Reference : CZC-11254
Mémoires de Maximilien de Béthune, Duc de Sully, Principal Ministre de Henry le Grand Mis en ordre avec des remarques par M.L.D.L.D.L Protestant, ami, confident et conseiller du jeune Henry de Navarre, Sully joua un rôle important dans la conversion du prince. Dès le début de son règne, Henri IV ne manqua pas de l’appeler à Paris et de lui octroyer successivement les charges les plus importantes, entre autres celle de secrétaire d’état en 1594 et de surintendant des finances en 1599. Par ses mains passaient presque toutes les affaires du royaume, et c’est lui qui se chargea des négociations qui devaient amener le mariage du roi avec Marie de Médicis. Très touché par la mort du roi, Sully resta cependant en place en 1610, mais des intrigues l’amenèrent à donner sa démission. L’ensemble de l’œuvre dans laquelle Sully s’érige en pivot du règne d’Henri IV présente une haute valeur historique et fournit des détails extrêmement précieux pour l’histoire d’Henri IV et celle de Sully dont elle révèle la véritable personnalité. Complet en 8 Tomes, volumes in12, 170x100, reliés pleine basane époque, accrocs, bon état intérieur, trous de vers sur le dos, frais, solides. 415, 560, 565, 454, 484, 477, 483 & 375pp. Londres, 1765 ref/24/7
Roman inspiré par le complot que le jeune marquis d'Effiat tenta pour destituer Richelieu. 1640 : un procès en sorcellerie. Un bûcher. Un complot. Louis XIII défaillant d'amour, de culpabilité et de haine devant son jeune et gracieux favori. Richelieu remontant le Rhône dans un bateau tapissé de velours cramoisi qui traîne derrière lui l'embarcation où Cinq-Mars et de Thou enchaînés sont conduits au supplice : leur mort signifiera la fin de la vieille noblesse écrasée par le pouvoir et la raison d’État. Dans la foulée de Walter Scott et en attendant Dumas, Cinq-Mars est le premier en date, le plus dramatique et sans doute le plus réussi des romans historiques français. Édition définitive complet en deux vols, reliés demi toile, 190x130, frottements, un coin émoussé sur un vol, bel état intérieur, 295, 299pp Paris, Librairie Delagrave, vers 1900 ref/152
Histoire des Ducs de Bourgogne de la Maison de Valois 1364-1477 Barante ( Prosper Brugière de ) Amable-Guillaume-Prosper Brugière, baron de Barante, est un historien, écrivain et homme politique français, né à Riom le 10 juin 1782 et mort au château de Barante à Dorat le 22 novembre 1866 Complet en 13 volumes in8, 215x130, demi veau, dos lisses ornés de l'époque, tranches jaspées, bel état intérieur. Paris, Ladvocat 1826 La maison de Valois-Bourgogne est une branche cadette (en) de la maison de Valois, née de la concession du duché de Bourgogne par le roi de France Jean II le Bon à son fils Philippe le Hardi, en 1363. Elle est souvent qualifiée de « seconde maison de Bourgogne » pour la distinguer de la maison capétienne de Bourgogne, issue de Robert Ier de Bourgogne (1011-1076). La dynastie des ducs de Bourgogne, outre le duché bourguignon, gouverne de 1363 à 1482 par mariages successifs, achats ou conquêtes, de vastes territoires, notamment dans la région des anciens Pays-Bas. Premiers pairs de France, les ducs prennent la tête du parti bourguignon dans la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, au cours de laquelle Jean sans Peur est assassiné, poussant son fils Philippe le Bon à s'allier avec les Anglais dans la guerre de Cent Ans — une alliance finalement rompue en 1435 par le traité d'Arras. Les ducs de Bourgogne de la maison de Valois rivalisent dès lors en prestige avec leurs cousins royaux, ayant uni un grand nombre de fiefs français et impériaux, parmi les plus riches d'Europe, sous leur domination. Cependant, le projet d'ériger cet État bourguignon en royaume autonome échoue lorsque le dernier duc, Charles le Téméraire, est tué à la bataille de Nancy en 1477. Le dernier souverain de la dynastie, la duchesse Marie de Bourgogne, tente d'affirmer son autorité et, ce faisant, se marie à Maximilien de Habsbourg. La majeure partie de ses terres passent à sa mort à son fils aîné, Philippe le Beau, mais le duché de Bourgogne lui-même revient au domaine royal français. Marie meurt en 1482, mettant ainsi fin à la maison de Valois-Bourgogne. La descendance de Marie et Maximilien est parfois qualifiée de « maison de Habsbourg-Bourgogne » ou de « Bourgogne-Habsbourg »
fac-similés de lettres et autographes en hors texte. Montaigne, Viollet le Duc, Charles Nodier... L'antiquité. Iconographie du Christ. Iconographie de la Sainte Vierge. L'Egypte. Les scribes. Iconographie Grecque; Le moyen-âge. La Chine. L'Europe dans les temps modernes. Uitlité de toutes les collections. Le gout des autographes. Utilité des documents écrits. complet en 4 volumes, in-8 230x150, reliés demi cuir à coins, 510, 523, 568 & 648pp , petits frottements, bel état interieur, superbes volumes ! Importants ouvrages présentés en édition originale, Edition illustrée de 17 fac-similés d'autographes. Plon à Paris, 1862-1868.
introduction et notes par Louis Madelin fort volume in-8, 210x150, jolie reliure demi cuir, très bel état, 520pp Flammarion 1947 ref/32
volume grand in-8, 23x17, relié demi chagrin, parfait état intérieur, 423pp. Paris, Payot, 1934 ref/238
Bel envoi autographe de l'auteur à l'Amiral Charles Duperrée "La Cour du Second Empire (1856-1858)" est un ouvrage de l'écrivain français Charles-Jean-Marie Alquier, plus connu sous son pseudonyme Imbert de Saint-Amand. Ce livre fait partie d'une série de biographies historiques et de récits sur des personnages et des événements importants du XIXe siècle. L'ouvrage "La Cour du Second Empire (1856-1858)" se penche sur la période du Second Empire en France, qui a débuté en 1852 lorsque Louis-Napoléon Bonaparte, le neveu de Napoléon Ier, a pris le pouvoir en tant que Napoléon III. Le livre se concentre spécifiquement sur les années 1856 à 1858, une période de stabilité relative au cours du règne de Napoléon III. Au cours de cette période, la Cour impériale était le centre de la vie sociale et politique en France. Imbert de Saint-Amand explore les personnalités, les intrigues, les événements et les coutumes de la Cour impériale. Il offre un aperçu détaillé de la vie à la Cour, des relations entre les membres de la famille impériale et les personnalités influentes de l'époque, ainsi que des événements marquants de cette période. Imbert de Saint-Amand était connu pour sa manière romancée de raconter l'histoire, ce qui rendait ses récits historiques accessibles et captivants pour un large public. Ses œuvres étaient populaires pour leur capacité à donner vie à des époques révolues et à des figures historiques d'une manière engageante. "La Cour du Second Empire (1856-1858)" est l'un des nombreux ouvrages d'Imbert de Saint-Amand qui ont contribué à la compréhension de la vie à la Cour impériale de Napoléon III et de l'histoire de la France au XIXe siècle. Charles Marie Duperré (né le 14 septembre 1832, Baguer-Morvan, Ille-et-Vilaine - mort le 12 novembre 1914, Ambarès-et-Lagrave, Gironde) est un amiral français. Il est le petit-cousin du vice-amiral Victor Duperré et le petit-neveu de l'amiral Guy-Victor Duperré. Après l'École navale, il embarque sur La Virginie pendant l'incendie de Macao en 1849. En 1854, il se retrouve sur Le Duperré pendant les deux expéditions de la Baltique. En 1859, pendant la Campagne d'Italie (1859), il est lieutenant de vaisseau avant de devenir officier d'ordonnance de l'Empereur. Capitaine de frégate en 1866, il devient aide de camp de l'empereur et prend le commandement du Forbin en 1868 puis du Reine Hortense, yacht impérial en 1867. En 1870, il commande le bélier cuirassé Taureau. Il est promu contre-amiral en 1878 et vice-amiral en 1884. En 1890, il devient président du Conseil des travaux de la Marine. Il est pris dans L'affaire Ernest Picard Destelan en 1896 qui l'accuse d'avoir protégé un lieutenant déserteur. ( Wiki) volume in-8, 20x15, reliure demi cuir, un coin plié, très bon état intérieur, pales rousseurs, 479pp. Couvertures conservées, Ex-libris. Paris, Dentu, ss date 1890/1900 ref/266
Collection " Les femmes des Tuileries ", Napoléon III et sa Cour. Imbert de Saint-Amand Bel envoi autographe de l'auteur à l'Amiral Charles Duperrée ouvrage historique écrit par Charles Victor Imbert de Saint-Amand, un écrivain et historien français du XIXe siècle. Le livre explore la vie et le règne de Napoléon III (Louis-Napoléon Bonaparte), qui a été le président de la Deuxième République française de 1848 à 1852, puis l'empereur des Français de 1852 à 1870. L'ouvrage se penche sur la cour impériale de Napoléon III, décrivant la vie à la cour, les personnalités influentes qui l'entouraient, les événements marquants de son règne, les intrigues politiques et les développements importants de l'époque Charles Marie Duperré (né le 14 septembre 1832, Baguer-Morvan, Ille-et-Vilaine - mort le 12 novembre 1914, Ambarès-et-Lagrave, Gironde) est un amiral français. Il est le petit-cousin du vice-amiral Victor Duperré et le petit-neveu de l'amiral Guy-Victor Duperré. Après l'École navale, il embarque sur La Virginie pendant l'incendie de Macao en 1849. En 1854, il se retrouve sur Le Duperré pendant les deux expéditions de la Baltique. En 1859, pendant la Campagne d'Italie (1859), il est lieutenant de vaisseau avant de devenir officier d'ordonnance de l'Empereur. Capitaine de frégate en 1866, il devient aide de camp de l'empereur et prend le commandement du Forbin en 1868 puis du Reine Hortense, yacht impérial en 1867. En 1870, il commande le bélier cuirassé Taureau. Il est promu contre-amiral en 1878 et vice-amiral en 1884. En 1890, il devient président du Conseil des travaux de la Marine. Il est pris dans L'affaire Ernest Picard Destelan en 1896 qui l'accuse d'avoir protégé un lieutenant déserteur. ( Wiki) volume in-8, 20x15, reliure demi cuir, très bon état intérieur, 521pp. Paris, Dentu, ss date 1897 ref/267
Bel envoi autographe de l'auteur en page de faux-titre Marie-Amélie et la Cour des Tuileries" est un ouvrage écrit par Charles-Jean-Marie Alquier, également connu sous le pseudonyme d'Imbert de Saint-Amand. Ce livre fait partie d'une série de biographies historiques écrites par Imbert de Saint-Amand, se penchant sur des personnalités et des périodes historiques importantes. Le livre "Marie-Amélie et la Cour des Tuileries" se concentre sur la vie de Marie-Amélie de Bourbon, également connue sous le nom de Marie-Amélie de Naples et de Sicile. Elle était la fille de Ferdinand Ier des Deux-Siciles et épousa Louis-Philippe Ier, le dernier roi des Français, en 1809. En tant que reine des Français, elle occupa une position importante à la Cour des Tuileries pendant le règne de son mari. Le livre examine la vie de Marie-Amélie en tant que reine consort de France, sa vie à la Cour des Tuileries, sa famille et son rôle dans la vie politique de l'époque. Il offre un aperçu de la vie à la cour royale française au XIXe siècle et des événements politiques qui ont marqué cette période, notamment la révolution de Juillet 1830, qui a conduit à l'accession au trône de Louis-Philippe. Imbert de Saint-Amand était connu pour sa manière narrative et romantique de raconter l'histoire, ce qui permet aux lecteurs de plonger dans la vie des personnages historiques qu'il a étudiés. Ses ouvrages ont été populaires pour leur capacité à donner vie à des époques révolues et à des personnalités historiques d'une manière accessible et captivante. volume in-8, 20x15, reliure demi toile, très bon état intérieur, pales rousseurs, 403pp. Couvertures conservées, Ex-libris. Paris, Dentu, 1893 ref/266
"Les Femmes des Tuileries" écrit par Paul-Louis-Étienne Napoléon d'Oriola, également connu sous le nom d'Imbert de Saint-Amand. Cet auteur français du XIXe siècle était célèbre pour ses biographies historiques et ses ouvrages sur la noblesse française. "Les Femmes des Tuileries" est un ouvrage de biographie historique qui se penche sur les femmes qui ont vécu à la cour des Tuileries à Paris pendant différentes périodes de l'histoire française, notamment pendant la période napoléonienne et la Restauration. Ces femmes jouaient souvent un rôle important dans la vie de la cour et de la société de leur époque.Il s'agit d'une biographie de Joséphine de Beauharnais, la première épouse de Napoléon Bonaparte et la première impératrice des Français. L'ouvrage se penche sur les premières années de la vie de Joséphine, née Marie Josèphe Rose Tascher de La Pagerie en Martinique en 1763. Il retrace son enfance et sa jeunesse dans les Caraïbes, sa vie en France après son mariage avec Alexandre de Beauharnais, et son rôle dans la haute société française de l'époque. Le livre explore également la montée de Joséphine dans la société française, sa relation avec Napoléon Bonaparte, et son rôle en tant qu'impératrice. Ce livre offre un aperçu fascinant de la vie et du parcours de Joséphine de Beauharnais, qui est devenue une figure importante de l'histoire de la France en tant qu'épouse de Napoléon et première impératrice. Il permet aux lecteurs de mieux comprendre la femme derrière la couronne et les événements qui ont marqué sa jeunesse et sa vie adulte. volume in-8, 20x15, reliure demi toile, très bon état intérieur, pales rousseurs, 248pp. Couvertures conservées, Ex-libris. Paris, Dentu, 1888 ref/266
"Les Femmes des Tuileries" écrit par Paul-Louis-Étienne Napoléon d'Oriola, également connu sous le nom d'Imbert de Saint-Amand. Cet auteur français du XIXe siècle était célèbre pour ses biographies historiques et ses ouvrages sur la noblesse française. "Les Femmes des Tuileries" est un ouvrage de biographie historique qui se penche sur les femmes qui ont vécu à la cour des Tuileries à Paris pendant différentes périodes de l'histoire française, notamment pendant la période napoléonienne et la Restauration. Ces femmes jouaient souvent un rôle important dans la vie de la cour et de la société de leur époque. Marie-Amélie était l'épouse de Louis-Philippe Ier, qui est devenu le roi des Français en 1830 pendant la Monarchie de Juillet. Elle a donc été reine consort de France de 1830 à 1848, lorsque la monarchie a été renversée. "Les Femmes des Tuileries" d'Imbert de Saint-Amand offre un aperçu des vies et des personnalités de ces femmes de la cour des Tuileries, y compris Marie-Amélie. L'ouvrage explore leurs rôles, leurs relations et leur influence dans la société de l'époque. Il s'agit d'une source précieuse pour ceux qui s'intéressent à l'histoire de la France du XIXe siècle et à la vie à la cour royale. volume in-8, 20x15, reliure demi toile, très bon état intérieur, 410pp. Couvertures conservées, Ex-libris. Paris, Dentu, 1892 ref/266
publiées par André Beaunier. Portrait de Madame de Vintimille (une gravure d' après Langlumé sous serpente) au frontispice. Exemplaire sur vélin de Rives n°26 vol broché, 180x130, sous couvertures, très bon état, 90pp. Au Masque d'Or, Paris. Édition publiée dans la collection "Le florilège français" et achevée d' imprimer le 1er octobre 1921. Joseph Joubert, né à Montignac (Périgord) le 7 mai 1754 et mort à Paris le 4 mai 1824, est un moraliste et essayiste français. Il entretien une relation suivie de lettres avec Mme de Vintimille (1763-1831), née Louise Joséphine Angélique Lalive de Jully. De son vivant, il ne publia jamais rien, mais il écrivit de nombreuses lettres, ainsi que des notes et des journaux où il reportait ses réflexions sur la nature de l'homme, sur la littérature, et sur d'autres sujets, dans un style poignant, volontiers aphoristique. ref/202
Marguerite de Habsbourg, archiduchesse d'Autriche, née le 10 janvier 1480 à Bruxelles et morte le 1er décembre 1530 à Malines, fille de Maximilien d'Autriche, chef de la maison de Habsbourg, et de Marie de Bourgogne, fille de Charles le Téméraire, a successivement été princesse de Bourgogne, fille de France, infante d'Espagne et duchesse de Savoie. Fiancée au dauphin Charles, fils de Louis XI, après le traité d'Arras (1482), elle voit, après plusieurs années passées à la cour de France, ses fiançailles rompues, Charles VIII ayant décidé d'épouser la duchesse Anne de Bretagne afin d'empêcher Maximilien de devenir duc de Bretagne. Elle quitte la cour de France en emmenant sa dot (traité de Senlis, 1493). Les deux mariages qu'elle contracte ensuite s'achèvent par un veuvage prématuré : avec Jean d'Aragon (1478-1497), puis Philibert II de Savoie (1480-1504). Tante de Charles de Habsbourg (1500-1558), futur empereur Charles Quint (1520), elle en devient alors la tutrice et l'éducatrice à Bruxelles, la mère de Charles résidant en Espagne, et assure pendant sa minorité la régence des Pays-Bas à la place de Maximilien ; après l'intronisation de Charles comme souverain des Pays-Bas, puis roi de Castille et roi d'Aragon (1516), elle devient gouverneur général des Pays-Bas, avec le titre de « gouvernante ». Elle est particulièrement connue pour avoir négocié avec la mère de François Ier, Louise de Savoie, qui était sa belle-sœur, le traité de Cambrai, dit « paix des Dames », mettant fin à la participation de la France à la septième guerre d'Italie (1526-1530). Fort vol relié, in4, 30x22cm, jolie reliure demi cuir, 496pp, très bel état intérieur, exemplaire numéroté 264/300 sur papier d'Arches à la forme. Lille, Imprimerie L. Danel, 1927
Ouvrage d'édification écrit dans un style mêlé de dialogues. Anne-Louise-Marie de Beauvau-Craon, princesse de Poix, née le 1er avril 1750 et morte le 20 novembre 1834, est une aristocrate française. Elle tenait un salon où elle recevait tout ce qu'il y avait de plus brillant au sein de la société du temps et notamment les partisans des idées nouvelles tels que Lally-Tollendal, l'abbé de Montesquiou, le marquis de La Fayette, les ducs de Guines et de Liancourt ainsi que pour les dames Mmes d'Hénin, de Tessé, de Lauzun, de Simiane, d'Ossun etc. Nouvelle édition, 2 tomes en un vol relié, 180x120, dos lisse, plats frottés, bon exemplaire, 212 & 216pp Paris, Librairie Adrien Le Clere 1857 ref/105
volume grand in-8, 23x17, relié demi chagrin, parfait état intérieur, 311pp. Paris, Grasset, 1937 ref/238
Notices biographiques, les préliminaires, les arrestations, la conciergerie, Mazas, la Roquette et les exécutions, épilogue. Armand de Ponlevoy (1812-1874) était le provincial de France des Jésuites : description au jour le jour de l'arrestation, de la captivité et de l'exécution par la Commune des otages de la Roquette, membres de la Compagnie de Jésus. vol in-8, 19x13, relié plein cuir, toutes tranches dorées, superbe reliure, très bel état, 178pp. rare et bel exemplaire. Paris, Téqui, 1871 ref250
Documentation importante sur: les Etats du Hainault, de Flandre, de Namur, de Tournay et du Tournaisis, du Luxembourg - la justice criminelle - du Clergé - de la Noblesse - de la Toison d'Or - du Traité des barrières - du commerce avec l'Espagne, les Hollandais, de l'Angleterre, de la France, avec les Liégeois, avec la Porte, etc... fort volume, 34x22, dans une couverture cartonnée, dos avec usure, relativement solide, 407pp. Bruxelles, Hayez, Imprimeur de l'Académie Royale, 1828
publiés par son petit fils Paul de Rémusat complet 5 vols reliés, gd in8, 230x140, reliure demi cuir, frottements, bon état int. 413, 420, 416pp. Paris, Calmann Levy, 1880 ref/E1 Claire Élisabeth Jeanne Gravier de Vergennes, comtesse de Rémusat, née le 5 janvier 1780 et morte le 16 décembre 1821, est une femme de lettres française. Elle est la petite-nièce du comte de Vergennes, ministre sous Louis XVI, et la fille de Jean-Charles Gravier de Vergennes, directeur des vingtièmes, guillotiné le 24 juillet 1794. Elle épouse le comte de Rémusat, qui devient sous l'Empire chambellan de Napoléon Ier. Elle est elle-même attachée à l'impératrice Joséphine comme dame du palais. Elle est la mère du comte Charles de Rémusat, ministre de l'intérieur en 1836.
Portrait en frontispice. De 1749 à 1777, Madame Geoffrin organisa, dans son hôtel de la rue Saint-Honoré, vis-à-vis les Capucins, un salon bi-hebdomadaire, offrant à ses hôtes une table abondamment et délicatement servie, recevant des artistes le lundi, des savants, des gens de lettres et philosophes, tels Diderot, Voltaire, D'Alembert. Ouvrage de référence pour l'étude des salons, de la vie intellectuelle et de la sociabilité parisienne au XVIIIe siècle. Grand in8, 230x160, relié demi cuir à coins, frottements, tranches dorés, très bon état intérieur, 469pp. Calmann Lévy, 1897 ref/214
Chronique des quatre premiers Valois ( 1327-1393), publiée pour la première fois pour la Société de l'histoire de France par Siméon Luce L'auteur traite de l'histoire de la France depuis l'avènement de Philippe de Valois jusqu'à la démence de Charles VI, était un clerc d'origine normande, familier de Philippe d'Alençon, archevêque de Rouen. Marquée par un souci d'exactitude, cette relation constitue un document précieux pour cette période. Elle comporte des renseignements tout à fait neufs, qui comblent de véritables lacunes historiques, notamment sur les derniers incidents de la Jacquerie, sur les causes et certains détails de la révolution du 31 juillet 1358, sur une curieuse expédition des Picards en Angleterre, et sur la revanche prise par les Anglais. Grand in8, 22x19, relié demi toile, bon état intérieur, auréoles mouillures sèches, 354pp, couvertures d'origines conservées. Paris, J. Renouard, 1862