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Phone number : 0619034537L'anatomie d'Heister avec des essais de physique sur l'usage des parties du corps humain, et sur le mechanisme de leurs mouvemens, Tome Premier de Lorenz Heister chez Vincent, rue S. Severin, à l'Ange en 1753. Le livre est Enrichie de Figures en Taille-douce sur 4 planches dépliantes. Le livre mesure 10x17 cm et pèse 0,400 kg (c) pour 552 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en état d’usage, bon, solide, coiffe basse manquante, signature manuscrite, planches dépliantes avec déchirures et plies (sans manque), rare rousseurs.
PRÉFACE. La fcience du Corps Humain eft auffi épineufe qu'elle eft intéreffante; elle demande un travail défagréable, dont la plupart des hommes ne fçauroient fouffrir que la repréfentation; la mémoire la plus heureufe eft toûjours furchargée du nombre prodigieux des parties, de leurs différences, de leurs fituations & de leur rapport. Pour ne pas perdre de vûe tant d'objets différens, il faut qu'une étude réitérée nous en retrace l'image continuellement. Mais ce travail fi pénible de la mémoire & des mains, n'eft eftimable que dans un Phyficien: ceux qui ne penfent qu'à étaler aux yeux les parties des Corps animés, font peu différens de ceux qui, en travaillant aux Mines, fuivent des Veines qu'ils détruifent & qu'ils ramaffent fans en fçavoir faire d'ufage: les Métaux précieux qui font renfer més dans ces Veines, ne font qu'une maffe informe dans les mains de ces Ouvriers. Ceux qui fans connoître par leur travail la machine animale, veulent en développer les refforts, travaillent encore moins utilement que ces Artifans qui n'ont que des mains & des yeux; n'ayant pour guide que...
L'anatomie du corps humain avec ses maladies, et les remèdes pour les guérir nouvelle édition augmentée de plusieurs observations de phisique curieuses et recherchées, et de figures anatomiques et chimiques, avec les maladies externes sujettes à la chirurgie et un grand nombre de remedes spécifiques et expérimentez de Saint Hilaire Chez Jean Couterot et Louis Guerin en 1684. Le livre est illustré de 15 planches dans le livre premier, 12 planches dans le livre second, 17 planches dans le livre troisième et 3 planches dans le livre quatrième. Le livre mesure 13x20 cm et pèse 0,600 kg (c) pour 581 pages. Reliure d'époque. Le livre est en état d’usage, moyen, manque les pages de 203 à 234 dont 8 planches, mouillure en marge extérieure sans atteinte au texte , couverture frottée.
Tire de l'anglois de M. Jean Bartlet, chirurgien par M. Dupuy Demportes.
Reference : 195
(1756)
Le Gentilhomme Maréchal, Où l'on a raffemblé tout ce que les Auteurs les plus diftingués ont rapporté de plus utile pour la confervation des chevaux, & où l'on traite fort au long de la caftration & d'une nouvelle machine inventée en Angleterre, pour leur couper la queue et suite du Gentilhomme Maréchal, Contenant les moyens de conserver la santé des chevaux, tant en route que dans l'écurie; les précautions qu'il faut prendre dans leur éducation, d'après les meilleurs Auteurs qui ont écrit sur cette matière, & beaucoup d'autres découvertes aussi utiles que curieuses; avec un Dictionnaire des termes de Maréchalerie & de manège Tire de l'anglois de M. Jean Bartlet, chirurgien par M. Dupuy Demportes chez Charles-Antoine Jombert, Imprimeur-Libraire en 1756/7. Les livres sont illustrés de 2 planches dépliantes. Les livres mesurent 11x17 cm et pèsent 0,500 kg (c) pour XVI+364 XX+259 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, coiffe basse avec un petit manque T2, 3 signatures manuscrites, une page déchirée sans manque, un coin manquant sur une page de garde. Bel exemplaire.
Préface. IL eft étonnant que la No bleffe fe plaigne continuelle ment de l'ignorance des Maréchaux, & qu'elle ne fe mette point en état de n'être plus leur dupe : une étude fuperficielle des maladies des chevaux lui fuffiroit cependant pour fe décider avec difcernement fur le choix des perfonnes auf quelles elle pourroit confier la cure de ces animaux ; ils font fi utiles, & (l'on peut même le dire) contribuent fi particuliérement à la gloire que la Nobleffe acquiert au fervice, qu'elle devroit bien par intérêt s'inftruire & acquérir des connoiffances propres à fe délivrer des raifonnemens abfurdes de certains Maréchaux, gens fans principes, & parconféquent expofés à chaque inftant à rendre cet animal précieux la victime de leur ignorance. Il femble que la médecine ait rougi par la ridicule vanité de ceux qui l'excrcent, d'étendre fes lumieres jufques fur un animal qui réunit l'agréable & l'utile. Pour moi, après les re cherches profondes que M. Gibfon & plufieurs autres ont faites fur cette matiere trop long-tems négligée...