9 rue Eugène Sue
72000 Le Mans
France
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Phone number : 0619034537Fleurs de France de A. Antonini, 安東尼尼 aux Éditions Galerie Élégance Taipei en 1988. Cet emboîtage semble être un prototype, notion « essai » sur les 3 gravures (signé), pas de justificatif (numérotation). Le livre est illustré de 3 gravures originales signé de Annapia Antonini a été imprimé à l'atelier Leblanc pour la taille-douce et à l'atelier Mérat la typographie. Le livre mesure 31x41 cm et pèse 1 kg (c) pour 2 pages + gravures + justification. Reliure d'éditeur en feuille sous emboîtage. Le livre est en très bon état.
La colonne de la grande armée d'Austerlitz ou de la Victoire de Ambroise Tardieu au Dépôt de l'atlas géographique Non Daté (1833). Le livre est illustré à la suite de 4 pages de texte, les 38 planches (COMPLET) représentent la vue générale, les médailles, piédestaux, bas-reliefs et la statue de l'Empereur au sommet de la colonne. Le livre mesure 32x25 cm et pèse 0,900 kg (c) Non paginé. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en état d’usage, bon, quelques rousseurs, coiffes frottée, absence de la page de titres.
Avertissement La Colonne de la Grande Armée, ce monument impérissable de la gloire des soldats français, était peu connue dans tous ses détails, son élévation empêchant l'oeil de distinguer jusqu'à son sommet les sculptures qui l'entourent. Les bas-reliefs, au nombre de quatre-vingts, représentent, dans une suite de belles compositions, tous les faits importants de l'étonnante campagne de 1805, depuis la levée du camp de Boulogne, jusqu'à la paix de Presbourg. J'ai pensé qu'il serait agréable aux nombreux admirateurs de notre gloire nationale, et aux braves qui l'ont élevée à un si haut degré, de posséder une description exacte du seul monument érigé à la Grande Armée par son illustre chef. En conséquence, j'ai dessiné et gravé avec le plus grand soin la vue générale, les piédestaux, bas-reliefs, statue et médailles dont il se compose, et n'ai rien négligé pour que l'exécution réponde à la noblesse du sujet, et que cet ouvrage forme, pour ainsi dire, le chapiteau du beau monument des Victoires et Conquêtes élevé par M. Panckoucke à la valeur française. Ambroise Tardieu
Yves Brayer et La Provence Peintures, aquarelles, Dessins d'André Chamson chez Arthaud en 1962. Édition originale numérotée 781 sur vélin, Dédicacé par Brayer. Le livre est illustré de 107 planches dont 48 en couleurs dont 21 à double page + croquis en noir dans le texte. Le livre mesure 34x27 cm et pèse 3,200 kg (c) pour non paginé. En feuilles sous couverture rempliée illustrée, chemise éditeur toilée écru et étui éditeur toilé vert. Le livre est en bon état, emboîtage insolé avec des rousseurs, intérieur en très bon état.
Édouard Boubat de Bernard Boubat et Geneviève Anthoury aux Éditions de la Martinière en 2004. Hommage de Bernard Boubat. Le livre est illustré de nombreuses photographies pleine page en noir et blanc. Le livre mesure 32x30 cm et pèse 3,300 kg (c) pour 365 pages. Reliure d'éditeur cartonnée avec jaquette. Le livre est en très bon état, odeur de tabac.
Pour la première fois, une monographie consacrée à l'oeuvre d'Édouard Boubat retrace plus de 50 ans de photographie (1946-1999) de celui que Jacques Prévert définissait comme un correspondant de Paix . Après une enfance passée à Montmartre. Édouard Boubat commence à s'initier à la photographie au lendemain de la guerre. C'est une rencontre en 1945 avec Lella, sa muse, une exposition à la galerie La Hune aux côtés de Brassaï, Izis, Doisneau et Facchetti qui le firent découvrir. Il devient alors l'un des collaborateurs permanents du magazine Réalités, parcourant le monde et rapportant de ses voyages des images uniques, repérables par leur élégance et leur poésie. Grâce à la collaboration de son fils, Bernard, et celle de Geneviève Anhoury, cet ouvrage réunit de nombreuses photographies célèbres ainsi qu'inédites, des écrits d’Édouard Boubat, des extraits de ses carnets personnels, et des textes d'écrivains parmi lesquels, Jacques Prévert, Michel Tournier, Marguerite Duras ou Christian Bobin.
Blaise de Montesquiou-Fezensac, avec la collaboration de Danielle Gaborit-Chopin
Reference : 156
(1973)
Le trésor de Saint-Denis, Inventaire de 1634, documents divers, planches et notices COMPLET de Blaise de Montesquiou-Fezensac, avec la collaboration de Danielle Gaborit-Chopin aux Éditions A. et J. Picard en 1973/1977. Les livres sont illustrés de 114 planches. Les livres mesurent 23x28cm et pèsent 4 kg (c) pour 333 597 169 pages + 114 planches. Reliure d'éditeur souple avec une jaquette, Broché. Les livres sont en très bon état, T3:couverture décollée.
AVANT-PROPOS Au terme de ce long travail consacré à la publication et à l'étude des inventaire et récolements de 1634 document essentiel à l'étude de l'ancien trésor de Saint-Denis travail qui, avec ses interruptions et ses reprises, a occupé plus de trente ans de ma vie ma gratitude va en premier lieu à mon très cher ami, Pierre Verlet, conservateur en chef au Département des objets d'art du Musée du Louvre sans son amicale et ferme ténacité, et son admirable esprit d'organisation, ce travail ne serait jamais parvenu à sa fin. Qu'il me permette ici de lui exprimer, à lui et à ses adjoints, MM. Daniel Alcouffe, Serge Grandjean et Bertrand Jestaz, mon infinie reconnaissance. Ma reconnaissance va aussi à mon autre très cher ami, Jean Hubert, membre de l'Institut. Au cours de ce travail, il n'a cessé de m'encourager et de m'apporter le secours de sa profonde et solide science. Je veux aussi exprimer mes plus vifs remerciements à Hubert Landais. Au temps où il occupait le poste de conservateur au Département des objets d'art, il m'a aidé de ses nombreux avis, avec la finesse de son goût et ses précieuses intuitions. Je veux aussi dire tout ce que je dois à Mme Danielle Gaborit. Elle s'est montrée pour moi, au déclin de mon âge, la plus précieuse des collaboratrices, vérifiant mes lectures de ses yeux exercés de jeune chartiste et faisant toutes les démarches que ma vieillesse ne me permet plus de faire. Qu'elle trouve ici le témoignage de tout ce dont je lui suis redevable. Enfin et avant tout, je veux ici exprimer ma profonde gratitude à Anne de Vogüé, ma femme, à qui ce livre est justement dédié. Plus que tout autre elle m'a soutenu de ses conseils et donné son appui éclairé. A son nom, je joins dans cette dédicace le souvenir de ma mère, qu'elle a tendrement aimée. C'est à elle que je dois le goût de ce qui est beau, et tout ce que j'ai de meilleur en moi. Je veux que toutes deux soient inséparables ici comme elles le sont dans mon coeur. Ce 29 juin 1971, en la fête des saints apôtres Pierre et Paul.
Félix Vallotton Les paysages de l’émotion de Bruno Delarue, Préface de Michel Pastoureau chez Seuil en 2013. Le livre est illustré de nombreuses photographies. Le livre mesure 26x29 cm et pèse 1,400 kg (c) non paginé (162). Reliure d'éditeur cartonnée avec jaquette. Le livre est en état d’usage, très bon, un bout de scotch sur la jaquette, dos insolé.
Félix Vallotton, né à Lausanne en 1865 et mort à Paris en 1925, qui figure parmi les pionniers de la peinture du XXème siècle, a produit une oeuvre si singulière qu'il reste encore aujourd'hui difficile à classer. Il résista à la forte influence de l'impressionnisme de son temps et restera toujours parmi les nabis, dont ses amis Bonnard et Vuillard, celui que l'on surnommait le "nabi étranger". Il ne se sentait d'ailleurs lui-même ni d'ici ni de là et c'est sans doute pourquoi il aima tant voyager. Cet ouvrage met l'accent sur une période importante de l'oeuvre de Vallotton, de 1895 à 1925, et plus particulièrement sur les paysages qu'il a composés au fil de ses voyages ou de séjours prolongés dans certains lieux qu'il affectionnait. Étudier les paysages de Vallotton, c'est à la fois mieux comprendre sa technique basée sur des croquis saisis sur le motif, ou, débuts de la photographie oblige, à partir de ses propres clichés ou bien de cartes postales. Mais c'est aussi, au fil des années, étudier son évolution créatrice allant de plus en plus vers l'abandon des détails superflus pour atteindre une certaine forme d'abstraction avant l'heure. C'est, enfin, mieux connaître l'homme, les lieux et les rencontres qui ont fait sa vie.
Femmes artistes artistes femmes, Paris, de 1880 à nos jours de Catherine Gonnard et Élisabeth Lebovici chez Hazan en 2007. Le livre est illustré de nombreuses photographies. Le livre mesure 19x27 cm et pèse 2,100 kg (c) pour 479 pages. Reliure d'éditeur cartonnée avec jaquette. Le livre est en très bon état.
Le Vingtième siècle est celui où les femmes prennent leur place dans l'histoire de l'art. C'est à Paris que cette histoire commence. Paris, surtout durant la première moitié du siècle, est, en effet pour ces femmes artistes (qu’elles soient nées en France ou viennent du Nord de l’Europe, de Russie ou d’Amérique) un carrefour : un terre d'exil pour les unes, l'occasion d'un nouveau départ pour les autres. C'est ainsi à Paris que se cristallise la notion de « femme artiste », dans le champ de la peinture et de la sculpture, qui s'élargit bientôt à la photographie, puis à l'installation, la vidéo, la performance, etc. Siècle de lutte, d'émancipation, d'indépendance, de création, de revendication, le XXème siècle est ainsi, pour les femmes, un siècle d'art. S'il existe des ouvrages sur l'histoire des luttes politiques et sociales des femmes, les histoires générales de l'art du XX siècle ne les intègrent que timidement, fréquemment dans un chapitre séparé. Quant aux ouvrages qui traitent de l'art au féminin, souvent militants, ils se limitent à évoquer quelques personnalités remarquables ou prennent la forme d'un dictionnaire. Cette étude se veut à la fois chronologique et thématique. Elle regroupe les artistes plus connues (de Sonia Delaunay à Sophie Taeuber, de Meret Oppenheim à Germaine Richier, d'Aurélie Nemours à Vieira da Silva, d'Annette Messager à Valerie Mréjen) et les oubliées, celles qui sont déjà «revenues» sur la scène artistique comme Claude Cahun, celles que cet ouvrage permet de faire connaître, comme Marie Vassilieff ou Marlow Moss; sans compter les artistes d'aujourd'hui, présentes non seulement sur la scène française, mais dans le monde global de l'art. Des encadrés biographiques, des citations et des entretiens réalisés par les auteures viennent compléter ce panorama des artistes et des œuvres. Quelle est la place des femmes artistes dans le fameux «modèle républicain» français, universaliste? Comment les femmes ont-elles intégré la profession d'artiste? Et, réciproquement, quelles transformations affectent la théorie esthétique lorsqu'on intègre la donnée du genre dans l'évolution des formes? Certaines questions relèvent de l'histoire de l'art, mais beaucoup sont inséparables des luttes des femmes pour leur émancipation. Jusqu'aux premières années du XXe siècle, le chemin parcouru par ces femmes n'est pas seulement balisé de révolutions esthétiques.
[Maxime Juan, Roger Marage, Albert Decaris] - Charles Péguy
Reference : 060
(1981)
La tapisserie de Notre Dame de Charles Péguy aux Société De Saint-Éloy N°23 en 1981. Édition originale numéroté 113/115 sur vélin d'Arches. Le livre est illustré de 13 gravures originales sur cuivre par Maxime Juan, Roger Marage et Albert Decaris. Les gravures ont été tirées l'Atelier Georges Leblanc.. Le livre mesure 24x30 cm et pèse 1,300 kg (c) pour 84 pages. Reliure d'éditeur en feuille sous chemise et emboîtage. Le livre est en très bon état.
Présentation de paris a Notre : Ile Seguin Abside de Notre Dame de Paris Gargouille de Notre Dame Saint-Julien-le-Pauvre Présentation de la Beauce a notre dame de Chartres : Pèlerins sur la route de Chartres L'Eure à Chartres Calvaire dans la plaine Notre Dame de Chartres Les cinq prières dans la cathédrale de Chartres : La Visitation Façade de la Cathédrale La nef Bas-coté sud La prière
[Brion, Fromentin, Brandon, Schloesser, Brunet-Debaines, Rembrandt, Bernardino Luini, Chabry] - collectif
Reference : 007
(1869)
Gazette des Beaux-Arts, onzième année, deuxième période, Courrier européen de l'art et de la curiosité d'un collectif au Siège de la Rédaction de Juillet à Août 1869. Édition originale. Revue illustrée de nombreuses gravures hors-texte en noir et blanc. Eaux fortes Brion, Fromentin, Brandon, Schloesser, Brunet-Debaines, Rembrandt, Bernardino Luini, Chabry. Le livre mesure 29x21 cm et pèse 2,300 kg pour 576 pages. Reliure d'époque. Le livre est en très bon état.
Lot de 20 Revues Magazines Photo N°38 66 72 85 121 138 142 148 168 170 171 173 174 176 177 178 201 223 247 320 d'un Collectif chez U.E.M. en Novembre 1970, Mars 1973, Septembre 1973, Octobre 1974, Octobre 1977, Mars 1979, Juillet 1979, Janvier 1980, Novembre 1981, Décembre 1981, Septembre 1981, Février 1982, Mars 1982, Mai 1982, Juin 1982, Juillet 1982, Juin 1984, Avril 1986, Avril 1988, Mai 1995. Les livres sont illustrées de nombreuses photos. Les livres mesurent 22x28 cm et pèsent 6,200 kg (c) pour 114 à 150 pages par revue. Reliure Broché. Les livres sont en très bon état dans l'ensemble.
N°38 - Le dernier chef-d'œuvre de Cartier-Bresson: "vive la France" N°66 - Les fameuses photos du bain de soleil de Jackie !!, Tous les 24x36 reflex du monde !!, Les anatomies de William Silano N°72 - Un reflex à faire chez soi, Carl Fischer, Bresson par Lartigue, Les femmes perverses de Jonvelle N°85 - Spécial Photokina 74, Deux Chocs: Rollei Slx Beaulieu Sonore!!, Art Kane Michals Giacobetti Warhol Silano Hamilton Sieff Bailey Sachs Le Tierce des couvertures N°121 - Antonio: nus Instamatic, Marilyn dans l’intimité 1900, "les maisons" de New Orléans, Nikon du nouveau N°138 : Caroline de Monaco traquée par les Paparazzi N°142 – Concours: Publiez votre meilleure photo, Hitler: Son album inédit, Filmez sous la mer N°148 – Spécial concours Amateurs, Les 365 meilleures photos N°168 - Femmes photographes : leurs autoportraits nus N°170 – Myriam vraiment nue les photos que toute la France attendait, Les archives du Couperet N°171 – Des nus qui vous surprendront: les photos refusées par tous les magazines commentées par Francois Nourissier N°173 – Grace Jones nue, Les géants de la mode N°174 – Nues pour James Baes, horreur au Salvador, le photo disque Kodak N°176 – Noires et nues! les folles passions de Jean Paul Goude N°177 – Scoop: les amateurs plus forts que les pros, Gunter Sachs: ses derniers nus N°178 – Spécial USA de la cote est à la cote ouest, des photos choc N°201 – Les modes érotiques Dhelmut Newton N°223 – Jonvelle les stars que j'aime N°247 : Isabella Rossellini portrait d'une femme par les plus grands N°320 : Spécial An 2000, Couverture de Brooke Shieldd
Revues Magazines Photo N°80 d'un Collectif chez U.E.M. en Mai 1974. Le livre est illustré de nombreuses photos érotiques. Le livre mesure 22x28 cm et pèse 0,400 kg (c) pour 134 pages. Reliure d'éditeur souple. Le livre est en très bon état.
Couverture de Sylvia Krystel (Emmanuelle) Barbey Shinoyama Carnaval A Rio Nouveau Cahier Spécial Technique Inédit: Scènes de l'occupation Eva au pays des merveilles de Ionesco
Troubadours provençaux chez Les Bibliophiles de Provence N°25 en 1987. Édition originale numéroté 126/20/140 sur vélin d'Arches réservés aux collaborateurs de l'ouvrage, nominatif. Le livre est illustré de 10 gravures à la pointe sèche, au burin et à la manière noire de Brigitte Coudrain, réalisée au cours des années 1985 à 1987, tirées par l'Atelier Georges Leblanc. Le livre mesure 27x38 cm et pèse 3,500 kg (c) pour 140 pages. Reliure d'éditeur en feuille sous chemise et emboîtage. Le livre est en très bon état.
Windows at Bergdorf Goodman Édition Spéciale de David Hoey chez Assouline en 2012. Édition limitée en anglais. Le livre est illustré de Photography by Ricky Zehavi and John Cordes. Le livre mesure 6x30x39 cm et pèse 5,000 kg, non paginé (300 page env.). Reliure d'éditeur cartonnée sous emboîtage . Le livre est en très bon état, emboîtage avec quelques enfoncements, micros rayures.
« In the late seventies, store windows were important and inventive. Everyone talked about them. Most stores today have lost the ability to create powerful windows that allow you to fantasize about an alternate universe where all is beautiful. Bergdorf's windows are the last of their kind and continue to inspire. » Tom Ford ( À la fin des années 70, les vitrines étaient importantes et inventives. Tout le monde en parlait. La plupart des magasins d'aujourd'hui ont perdu la possibilité de créer des vitrines puissantes qui permettent de fantasmer sur un univers alternatif où tout est beau. Les fenêtres de Bergdorf sont les dernières du genre et continuent d'inspirer. Tom Ford) Bergdorf Goodman, founded by master tailors Edwin Goodman and Herman Bergdorf, is located on the corner of New York's Fifth Avenue and Fifty-eighth Street, the former site of the Cornelius Vanderbilt mansion. The store has been a one-of-a-kind destination for exclusive fashion and unparalleled service since 1901. Thomas Hine writes about design, history, and culture. His books include Populuxe, The Great Funk, and I Want That! How We All Became Shoppers. » (Bergdorf Goodman, fondé par les maîtres tailleurs Edwin Goodman et Herman Bergdorf, est situé au coin de la Cinquième Avenue et de la Cinquante-huitième Rue à New York, l'ancien site du manoir Cornelius Vanderbilt. Le magasin est une destination unique en son genre pour une mode exclusive et un service inégalé depuis 1901. Thomas Hine écrit sur le design, l'histoire et la culture. Ses livres incluent Populuxe, The Great Funk et I Want That! Comment nous sommes tous devenus des acheteurs.) The window displays at Bergdorf Goodman are among the most famous in the world. Beyond mere marketing tools, they are legendary for their artistry, detail, smart references, and sly visual jokes, combining the best in advertising and in art. This spectacular compendium celebrates over a decade of New York City’s beloved spectacle. Out of Print. (Les vitrines de Bergdorf Goodman sont parmi les plus célèbres au monde. Au-delà de simples outils de marketing, ils sont légendaires pour leur talent artistique, leurs détails, leurs références intelligentes et leurs blagues visuelles sournoises, combinant le meilleur de la publicité et de l'art. Ce recueil spectaculaire célèbre plus d'une décennie du spectacle bien-aimé de New York.)
Roma antica di Famiano Nardini, 3 tomes sur 4, edizione quarta romana, riscontrata, ed accresciuta delle ultime scoperte, con note ed osservazioni critico antiquarie de Di antonio Nibby, Di antonio de Romanis chez Roma Nella Stamperia de romanis en 1818. Le livre est illustré de nombreuses planches. Le livre mesure 24x15 cm et pèse 2,200 kg (c) pour 331 358 et 416 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en état moyen, dos coiffes coins abîmés, feuilles volantes, à restaurer.
[De Beaumont, Boilly, Daubigny, Dubouloz, E. Giraud, Meissonnier, Pascal, Staal, Steinheil, Trimolet] - Dumersan
Reference : 296
(1843)
Chants et chansons populaires de la France 3 tomes COMPLET avec des notices par Dumersan chez Garnier frères, libraires éditeurs, non daté (1843?). Le livre est illustré de très nombreuses illustrations de MM. De Beaumont, Boilly, Daubigny, Dubouloz, E. Giraud, Meissonnier, Pascal, Staal, Steinheil, Trimolet. Le livre mesure 28x20 cm et pèse 4,100 kg (c), non paginé. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, rousseurs éparses, reliure avec frottements d'usages.
Tome premier : chants guerriers et patriotiques (chansons bachiques) Tome deuxième : chansons et chansonnettes (chansons burlesques et satiriques) Tome troisième : chansons choisies pour la jeunesse (romance, rondes, complaintes) Bien complet des 122 chansons réparties en 84 livraisons, des 3 titres frontispices gravés sur acier et dessinés par Trimolet sous serpente, des 3 tables et 3 introductions (tel que décrit par Vicaire) mais sans les trois couvertures illustrées. Chaque livraison est composée d'une ou plusieurs chansons superbement illustrées (par Trimolet, Steinheil, Daubigny, E. Giraud, Dubouloz, et quelques autres), de leur musique notée (arrangée avec accompagnement de piano par H. Collet) et précédée d'une notice (en majorité par Dumersan).
L’oeuvre de Limoges de Ernest Rupin chez Alphonse Picard, Éditeur en 1890. Édition originale, tirage à 200 exemplaires. Le livre est illustré de 500 gravures, dont un grand nombre tirées hors texte d'après les dessins et les photographies de l'auteur, 49 Planches hors texte légendées et 660 figures dans le texte.. Le livre mesure 26x34 cm et pèse 5,500 kg (c) pour 618 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, petite odeur de tabac, quelques rousseurs éparses, émoussé.
I- Histoire de l'émaillerie limousine II- Les monuments La question de l'Émaillerie limousine est une de celles qui ont passionné le plus les archéologues depuis un grand nombre d'années. On a voulu faire dériver notre art limousin d'Écoles lointaines, moins anciennes pour la plupart, et, dans tous les cas, absolument distinctes; on a voulu lui con tester ce caractère national qui lui a valu une réputation réellement universelle et qui a contribué, pour sa bonne part, à faire connaître l'art français à l'Étranger. Nous ne reviendrons pas sur les luttes, parfois un peu vives, auxquelles ont pris part du Sommerard, Laborde, Labarte, Verneilh, Maurice Ardant, l'abbé Texier et Ferdinand de Lasteyrie. Nos honorables devanciers n'avaient pu réunir assez de documents pour discuter la question sur des bases irréfutables, mais nous ne devons pas leur être moins reconnaissant de leurs efforts, car les premiers ils ont déblayé le terrain et ont tracé à grand peine une voie hérissée de difficultés. Devons-nous nous en étonner ? Les émailleurs de Limoges étaient si oubliés qu'au commencement de ce siècle, d'Agincourt, dans son Histoire de l'Art, en parlant des émaux de Limoges, se borne à citer une peinture de l'un des Nouailher, de l'époque de la décadence des émaux peints, et lorsque, sous le titre de Bronze émaillé, il en vient à la description de deux plaques d'émail incrusté qu'il a découvertes à Rome, il ne peut donner aucun renseignement sur leur origine. L'archéologie est une science essentiellement progressive, et la découverte de documents inédits et de monuments ignorés doit souvent modifier les systèmes et les conclusions adoptés précédemment. Dans le cours de différents voyages, nous avons eu la bonne fortune de pouvoir étudier et photographier un grand nombre de pièces d'émaillerie; notre collection s'est complétée par la reproduction des objets qui ont figuré aux Expositions de Limoges, de Tulle et du Trocadéro pendant les années 1886, 1887 et 1889. C'est en présence de tous ces monuments, et en les comparant entre eux, que nous avons songé à faire connaître l'Œuvre de Limoges. Notre travail est divisé en deux parties : l'une comprend l'histoire de l'Émaillerie limousine d'après les textes et les monuments connus, l'autre donne les spécimens les plus intéressants des différents objets sur lesquels nos émailleurs ont exercé leur talent. Il sera terminé par une table analytique très détaillée destinée à faciliter les recherches. On ne peut écrire avec utilité sur les arts sans mettre en quelque sorte sous les yeux du lecteur un certain nombre des monuments qu'ils ont produits; si minutieuses que soient des descriptions, elles sont nécessairement incomplètes parce qu'elles s'adressent à l'intelligence quand c'est aux yeux qu'il faudrait parler, aussi avons-nous inséré dans notre ouvrage 500 gravures qui appuieront nos exposés et nos dissertations. Nous nous sommes fait un devoir scrupuleux d'indiquer les sources où nous avons puisé, pour qu'on puisse, au besoin, contrôler nos affirmations. Nous citons toujours, lorsque l'occasion s'en présente, les noms des auteurs qui nous ont fourni des renseignements et ceux des amis dévoués qui ont bien voulu faciliter nos recherches. Ce serait nous répéter que de les nommer dans ce court préambule. Nous devons cependant faire une exception pour M. Émile Molinier, attaché à la conservation du Musée du Louvre. Non-seulement M. Émile Molinier nous a envoyé les photographies ou les dessins de nombreuses pièces émaillées disséminées dans les collections publiques et particulières, mais, tout en nous aidant de ses conseils, il a généreusement mis à notre disposition les notes précieuses du cours d'archéologie qu'il professe à Paris depuis trois ans. Tous ceux qui connaissent les ouvrages de M. Émile Molinier et sa haute compétence pour toutes les oeuvres d'art qui indistinctement se rattachent au Moyen-âge, comprendront combien son concours nous a été utile. Pour nous nous regardons comme un devoir et un plaisir de l'affirmer, et nous sommes heureux de pouvoir rendre ainsi justice à sa complaisance et à son talent.
L’oeuvre de Limoges, 2 tomes COMPLET de Ernest Rupin chez Alphonse Picard, Éditeur en 1890. Édition originale. Les livres sont illustrés de 500 gravures, dont un grand nombre tirées hors texte d'après les dessins et les photographies de l'auteur, 49 Planches hors texte légendées et 660 figures dans le texte. Les livres mesurent 26x34 cm et pèsent 5,500 kg (c) pour 618 pages. Reliure d'époque cartonné. Le livre est en très bon état, petite odeur de tabac, quelques rousseurs éparses.
I- Histoire de l'émaillerie limousine II- Les monuments La question de l'Émaillerie limousine est une de celles qui ont passionné le plus les archéologues depuis un grand nombre d'années. On a voulu faire dériver notre art limousin d'Écoles lointaines, moins anciennes pour la plupart, et, dans tous les cas, absolument distinctes; on a voulu lui con tester ce caractère national qui lui a valu une réputation réellement universelle et qui a contribué, pour sa bonne part, à faire connaître l'art français à l'Étranger. Nous ne reviendrons pas sur les luttes, parfois un peu vives, auxquelles ont pris part du Sommerard, Laborde, Labarte, Verneilh, Maurice Ardant, l'abbé Texier et Ferdinand de Lasteyrie. Nos honorables devanciers n'avaient pu réunir assez de documents pour discuter la question sur des bases irréfutables, mais nous ne devons pas leur être moins reconnaissant de leurs efforts, car les premiers ils ont déblayé le terrain et ont tracé à grand peine une voie hérissée de difficultés. Devons-nous nous en étonner ? Les émailleurs de Limoges étaient si oubliés qu'au commencement de ce siècle, d'Agincourt, dans son Histoire de l'Art, en parlant des émaux de Limoges, se borne à citer une peinture de l'un des Nouailher, de l'époque de la décadence des émaux peints, et lorsque, sous le titre de Bronze émaillé, il en vient à la description de deux plaques d'émail incrusté qu'il a découvertes à Rome, il ne peut donner aucun renseignement sur leur origine. L'archéologie est une science essentiellement progressive, et la découverte de documents inédits et de monuments ignorés doit souvent modifier les systèmes et les conclusions adoptés précédemment. Dans le cours de différents voyages, nous avons eu la bonne fortune de pouvoir étudier et photographier un grand nombre de pièces d'émaillerie; notre collection s'est complétée par la reproduction des objets qui ont figuré aux Expositions de Limoges, de Tulle et du Trocadéro pendant les années 1886, 1887 et 1889. C'est en présence de tous ces monuments, et en les comparant entre eux, que nous avons songé à faire connaître l'Œuvre de Limoges. Notre travail est divisé en deux parties : l'une comprend l'histoire de l'Émaillerie limousine d'après les textes et les monuments connus, l'autre donne les spécimens les plus intéressants des différents objets sur lesquels nos émailleurs ont exercé leur talent. Il sera terminé par une table analytique très détaillée destinée à faciliter les recherches. On ne peut écrire avec utilité sur les arts sans mettre en quelque sorte sous les yeux du lecteur un certain nombre des monuments qu'ils ont produits; si minutieuses que soient des descriptions, elles sont nécessairement incomplètes parce qu'elles s'adressent à l'intelligence quand c'est aux yeux qu'il faudrait parler, aussi avons-nous inséré dans notre ouvrage 500 gravures qui appuieront nos exposés et nos dissertations. Nous nous sommes fait un devoir scrupuleux d'indiquer les sources où nous avons puisé, pour qu'on puisse, au besoin, contrôler nos affirmations. Nous citons toujours, lorsque l'occasion s'en présente, les noms des auteurs qui nous ont fourni des renseignements et ceux des amis dévoués qui ont bien voulu faciliter nos recherches. Ce serait nous répéter que de les nommer dans ce court préambule. Nous devons cependant faire une exception pour M. Émile Molinier, attaché à la conservation du Musée du Louvre. Non-seulement M. Émile Molinier nous a envoyé les photographies ou les dessins de nombreuses pièces émaillées disséminées dans les collections publiques et particulières, mais, tout en nous aidant de ses conseils, il a généreusement mis à notre disposition les notes précieuses du cours d'archéologie qu'il professe à Paris depuis trois ans. Tous ceux qui connaissent les ouvrages de M. Émile Molinier et sa haute compétence pour toutes les oeuvres d'art qui indistinctement se rattachent au Moyen-âge, comprendront combien son concours nous a été utile. Pour nous nous regardons comme un devoir et un plaisir de l'affirmer, et nous sommes heureux de pouvoir rendre ainsi justice à sa complaisance et à son talent.
L'art forain, Les animaux de manège de Fabienne et François Marchal chez Les Éditions de l'Amateur en 2002. Le livre est illustré de Nombreuses photos. Le livre mesure 33x24 cm et pèse 2,000 kg (c) pour 223 pages. Reliure d'éditeur cartonnée avec jaquette. Le livre est en état d’usage, très bon sous plastique.
Ouvrir la porte de Fabienne et François Marchal à Gérardmer, c'est tout à fait comme suivre le lapin d'Alice au Pays des Merveilles. Une fois franchi le seuil de la maison et descendu quelques marches vers le sous-sol, le visiteur est assailli par une foule enchevêtrée de chevaux, de chats, de cochons ou d'animaux exotiques les plus inattendus qui vous regardent interrogatifs du fond de leurs yeux de verre. Du sol au plafond et de la cave au grenier, tout le petit peuple des manèges semble avoir déserté la foire pour trouver refuge dans cette demeure que rien pourtant ne distinguait des autres de l'extérieur. À ce que je sache, aucun des hôtes forains des Marchal n'a plus quitté ce foyer, tant on s'y trouve bien et heureux d'être là. Mais comment ont-ils découvert le chemin de cette demeure singulière ? Peut-être ont-ils été attirés par l'amour passionné que leur voue ce couple depuis des décennies? Cette passion a commencé par un regard mais pas n'importe lequel, celui qui permet de découvrir un autre visage au monde comme jadis il ouvrit les yeux des pèlerins sur la route d'Emmaüs. Sur la route de l'art forain, ne sommes-nous pas, en effet, des milliers à passer tous les jours devant un cheval de bois ou une loterie sans seulement nous en apercevoir ? Longtemps, ceux qui avaient su voir la beauté d'un vieux manège furent peu nombreux : Sonia et Robert Delaunay dans leur quête du cercle et du mouvement ont rencontré le manège de cochons, de même que le poète Jacques Prévert et le photographe Izis se promenant à Londres furent sensibles au charme des anciens galopants ou que l'écrivain Raymond Queneau se souvenant des manèges du Lunapark de la Porte Maillot leur dédia son roman Pierrot mon ami. Fabienne et François, eux, aimaient les chevaux et c'est peut-être leur goût pour l'équitation qui les a d'abord sensibilisés à la beauté des sculptures en bois des carrousels. De ce jour, ils se sont lancés dans une entreprise sans pareille dont le présent ouvrage apparaît comme un aboutissement. D'abord ils ont collectionné, rassemblé et restauré une extraordinaire variété de sujets de manèges, mais aussi de peintures d’auto tamponneuses, de têtes de massacre, de loteries, de bouffe-balles... Mais comme aimer et connaître signifient parfois la même chose, les Marchal ont voulu savoir et comprendre en même temps qu'ils découvraient le monde oublié des créateurs de l'art forain. C'est ainsi qu'à chaque voyage pour contacter un forain, parler avec un sculpteur ou se faire ouvrir une remise de voyageur, ils ont photographié, interrogé, comparé, menant un travail de repérage et de recensement systématique de milliers d'œuvres créées pour la fête. Petit à petit, ils ont su reconnaître une main d'une autre dans la sculpture animalière des sujets de manèges. Plus tard, ils ont su l'histoire de chaque sculpteur, celle de Bayol, de De Vos, ou Chanvin en France, mais aussi celle de Heyn, de Müller ou de Hübner en Allemagne comme celle de beaucoup...
Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, supplément et complément publiés sous la direction de M. Arthur Pougin, 10 tomes COMPLET de F.-J. Fétis chez la Librairie de Firmin-Didot et Cie en 1881/3/4 1875/8. Deuxième édition. Le livre mesure 16x25 cm et pèse 8,000 kg (c) pour 478 484 480 491 480 496 548 527 480 691 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, couverture partiellement blanchi, dorures du dos passées, légèrement gauchi.
Préface, L'histoire de la musique a deux aspects également dignes d'intérêt à l'un de ses points de vue, elle nous montre les éléments de cet art coordonnés d'une manière systématique dès les premiers âges du monde. Elle nous apprend que, pleins de reconnaissance pour les émotions douces, consolatrices ou joyeuses qu'ils en recevaient, les plus anciens habitants de la terre dont il reste des souvenirs ont donné à la musique une origine céleste. Partout dans l'antiquité, nous la trouvons mêlée aux mythologies, aux cosmogonies, aux théories les plus abstraites de la philosophie. Intimement liée à la poésie, laquelle était toujours chantée, la musique nous apparaît dans le monde habité comme l'expression caractéristique de l'organisation physiologique des peuples, et comme le résultat des climats sous lesquels ils vivaient, des circonstances qui les modifiaient, et des phases de leur civilisation. Le chant populaire est l'histoire vivante de la musique primitive sur toute la surface de la terre; il semble n'avoir eu d'autre auteur que les peuples eux-mêmes. Il n'a rien d'individuel; car il émane d'un sentiment commun; il est l'accent de la voix de tous; enfin, il est le fruit de l'inspiration collective. Chez toutes les nations, dans l'Inde comme à la Chine, chez les populations arabes, dans la Grèce, en Italie, chez les peuples germaniques et celtiques, le chant populaire, dont le chant religieux n'est qu'une forme, est en quelque sorte l'histoire traditionnelle. Mélancolique ou joyeux, naïf ou passionné, il nous instruit de la situation politique et morale des hommes chez lesquels il a pris naissance; il est toujours le produit d'une idée générale, d'un sentiment unanime, ou de certaines croyances qu'il transmet d'âge en âge. Les progrès de la civilisation modifient les instincts populaires et... Prix d'honneur 1988
Roland Cat Peintures - Paintings – Gemälde de François Nourissier aux Éditions Natiris en sept. 1985. Première édition. Le livre est illustré de 59 fac-similé. Le livre mesure 32x30 cm et pèse 1,300 kg (c) non paginé (70 env.). Reliure d'éditeur cartonnée avec jaquette. Le livre est en très bon état, jaquette aux bords émoussés, 3 bout de scotch sur la jaquette.
La peinture de Roland Cat n'est pas contemporaine. Il est un peintre de l'Avant ou de l'Après, jamais celui de notre temps, de notre environnement, de nos paysages. De nos fantasmes? Pas même. Il est trop métaphysicien pour se reconnaître au miroir de cette fin de siècle. Les moments du continuum espace-temps qui l'intéressent sont, mythologiquement, ceux où s'ébattent, dans des paysages trompeurs parce que (presque) semblables aux nôtres, les grands fauves préhistoriques, et, sur l'autre versant de l'imaginaire, la durée à venir - mais n'est-elle pas déjà venue: Atlantide, Ys, île de Pâques, incursions furtives ou fulminantes des géants ou des dieux ? quand nos villes seront en ruines, nos ferrailles rouillées, nos sites noyés à la suite de quelque caprice géologique ou erreur d'apprentis sorciers. Cat peint avant l'homme ou après l'homme. Il n'embarrasse ses compositions que de rares présences humaines : dame nue, moitié rêve, moitié poisson, qui brasse entre deux eaux, ou chemineau à la besace lumineuse s'éloignant sur un chemin sans destination. Quand des signes de la présence humaine apparaissent dans ses peintures ils sont prémonitoires ou nostalgiques, sarcastiques, ruiniformes, symboles d'absence, de désertion, d'absurdité. Cat n'est pas humaniste. Tout ce qui est humain lui semble étranger. Il doit considérer que sur la planète Terre et dans le système solaire, (il peint souvent de vastes ciels), la présence de l'homme n'aura été qu'accidentelle, une parenthèse navrante dont ne reste ront que des témoignages dérisoires jouets, bungalows : bancals, ponts inutiles tendus entre rien et rien, lits aux draps froissés, mégapoles pulvérisées, chefs-d'œuvre...
Friedlaender Ein Skizzenbuch Zeichnungen und Konzepte, Un carnet de croquis (dessins et concepts) propos de Robert Sydney Horn (en allemand, anglais et français) chez Manus Presse en 1974. Édition originale numéroté e.a./1000 sur papier BFK Rives. Tous les exemplaires sont accompagnés des deux lithographies originales en trois couleurs "Paques" créées pour cet ouvrage et signées dans la pierre et contre signé par Friedlaender. Hommage de l'auteur Le livre est illustré de nombreux dessins et concepts. Le livre mesure 35x44 cm et pèse 2,200 kg (c) pour 63 pages. En feuilles sous chemise cartonnée sous emboîtage . Le livre est en très bon état.
La société d'aquarellistes français, 1879 – 1896, Catalogues illustres des expositions et index de Gaïte Dugnat chez L’échelle de Jacob en 2002. Un des 300 exemplaires. Le livre est illustré de nombreuses gravures. Le livre mesure 16x24 cm et pèse 2,100 kg (c) non paginé. Reliure d'éditeur souple, Broché. Le livre est en très bon état, dos insolé.
PREFACE La vie artistique parisienne dans le dernier quart du XIXème siècle fut dominée par les Salons nationaux de la Société des Artistes français, de la Société des Artistes Indépendants, de la Société nationale des Beaux-Arts, d'Automne et des Tuileries. Ces manifestations généralistes exposaient des œuvres des diverses sections des Beaux-Arts: peinture, dessin, sculpture, gravure, art décoratif et architecture. Cette prédominance ne doit pas faire oublier d'autres organisations actives et de qualité centrées sur un thème ou une technique. Nous avions fait ce constat lors de notre travail sur les estampes exposées dans les Salons qui nous a permis de mettre en valeur des groupes ou associations dont les expositions étaient consacrées spécifiquement à la gravure et à la lithographie. Aujourd'hui, une opportunité nous permet d'exhumer et de donner à connaître un petit Salon qui présente des aquarelles et des dessins à la fin du XIXème siècle. Nous avons pu réunir les 17 premiers livrets des expositions de cette Société active depuis 1879, catalogues illustrés pour chaque artiste d'une reproduction, parfois de deux ou même trois œuvres présentées. Le domaine couvert par la Société d'Aquarellistes Français est bien spécifique : l'aquarelle et, éventuellement, le dessin, très rarement des estampes. Et c'est ce qui nous a retenu dans ces livrets, leur particularité d'œuvres sur papier. Les artistes, dans leur grande majorité, sont connus et référencés. Citons par exemple A. Besnard, MBoutet de Monvel, E. Detaille, E. Duez, H. Harpignies, J.-P. Laurens, L. Loir, G. Rochegrosse, J. Tissot et E. Yon. Notre reprint permettra donc sans doute de repérer, dater, localiser ou titrer de nombreuses œuvres qui circulent sur le marché ou sont actuellement conservées dans des collections privées ou publiques. Nous souhaitons donc que cette entreprise modeste, dont nous savons que la diffusion sera limitée mais appréciée des chercheurs et amateurs qui se penchent de plus en plus sur les expositions artistiques du siècle passé, permettra de porter un regard neuf sur cette production académique dédaignée jusqu'à peu et dont la Société d'Aquarellistes Français est une vitrine, une sélection. Gaïte Dugnat
La Tour Des Miracles et des amoureux qui écrivent sur l'eau de Georges Brassens aux Édition du Grésivaudan en 1982. Édition originale numérotée 4511/4500/5000 sur papier vélin d'Arches. Le livre est illustré de 24 lithographies originales, toutes signée par Pierre Cadiou. Le livre mesure 36x28x10 cm et pèse 5 kg (c) pour 182 et 219 pages. Important volume in-folio en feuilles sous chemise et coffret entoilé éditeur réalisé par Bernard Duval.. Le livre est en très bon état à comme neuf. Bien complet de la photographie originale Kodak représentant l'artiste et Brassens durant l'élaboration de l'ouvrage.
Arts et traditions populaires d’Alsace, La maison rurale et l'artisanat d'autrefois de Georges Klein, Préface de Georges Henri Rivière chez les Éditions Alsatia Colmar, collection « Prestige de l'Alsace » en 1973, Édition Originale Numérotée 4/300/2000 sur Chiffon, édition de luxe, hommage de l'auteur. Le livre est illustré de nombreuses photos et gravures. Le livre mesure 24x31 cm et pèse 2,500 kg (c) pour 255 pages. Reliure d'éditeur cartonnée sous emboîtage. Le livre est en très bon état, dos insolé avec un petit accroc, emboîtage insolé.
En 1946, paraissait un important recueil, le premier d'une série traitant de l'art populaire français, autour de textes rassemblés et coordonnés par Adolphe Riff. A la demande de ce dernier, j'en avais écrit la préface. Vingt-sept ans après, Georges Klein, disciple du maître disparu, et son successeur à la conservation du Musée Alsacien, publie le présent ouvrage, auquel il me prie d'ajouter quelques lignes. Un nouveau maillon, dans cette chaîne du temps et de l'amitié. L'intention demeure: munir les spécialistes de l'art populaire de nouveaux et solides matériaux; aider le public à mieux connaître les trésors du patrimoine traditionnel. Mais, cette fois, appliqué à l'Alsace, c'est d'un ouvrage de synthèse qu'il s'agit, tiré d'une somme de contributions variées, enrichi des efforts personnels de l'auteur. On y voit, limité à une région privilégiée, se préciser et s'approfondir un des domaines les plus importants de la culture rurale, la maison. L'auteur en dégage la continuité dans le temps. Partant de modèles d'une relative simplicité, remontant à la fin du Moyen Age, voire en deçà. Débouchant sur les modèles complexes et opulents du XVIIIe siècle, participant eux-mêmes à l'apogée culturel du monde rural français, dans les mêmes moments. Il en montre la diversité dans l'espace. De l'aire forestière des Vosges au riche ruban agricole de la Plaine, à travers les coteaux vignerons. A son propos, il renforce une hypothèse: l'édification de la maison rurale traditionnelle n'aurait pas été conduite par un maître d'œuvre architecte, elle l'aurait été par un maître d'ouvrage artisan. Il en souligne le caractère global. Avec son système de culture matérielle immobilière et mobilière, articulé à ses systèmes...
Renoir et ses amis de Georges Rivière chez H. Floury, Editeur en 1921. Exemplaire de l’édition courante sur vélin, complet de la pointe sèche originale “Jeunes filles fleurissant leurs chapeaux”, face à la p. 226 (Delteil, 8). Cette estampe, signée dans la planche en bas à gauche, représente la fille de Berthe Morizot, Julie Manet et sa cousine Jeannie Gobillard, qui deviendra l’épouse de Paul Valéry il est a noter qu’il y a une grande différence de composition entre les épreuves lithographiques (1897-1898) et la pointe-sèche, la première est que la pointe-sèche est... à l’envers. Publiée originellement dans l’ouvrage de Gustave Geffroy “La Vie artistique” publié chez Dentu en 1894), puis dans celui de G. Rivière, en 1921. Le livre est illustré de 56 planches hors texte dont en 12 en couleurs, 95 reproductions en héliogravure. Le livre mesure 22x27 cm et pèse 2,200 kg (c) pour 273 pages. Reliure d'époque cartonnée, couverture conservée sanguine “Tête de jeune fille”. Le livre est en très bon état, nerfs légèrement frottés.
Avis au lecteur, En plaçant le nom de Renoir en tête d'un recueil de souvenirs personnels, je n'ai pas eu l'intention d'ériger ce grand artiste en chef du groupe des Impressionnistes. Il n'y en eut pas parmi ceux qui ne consentirent jamais à diriger des élèves ou à tenir l'emploi de chef d'école. Rien n'eût désobligé davantage Renoir que de se voir attribuer un rôle de directeur, soit de ses amis de la première heure, soit des artistes qui vinrent à lui plus tard. J'ai voulu simple ment signifier que Renoir occuperait ici la plus grande place. Il n'en pouvait être autrement dès lors que j'évoquais l'époque lointaine de ma jeunesse. C'est auprès de Renoir que je me tenais pendant les années d'épreuves du groupe dont il faisait partie, quand les représentants de l'art officiel tentaient de briser la tentative des jeunes artistes qui s'efforçaient de se libérer des formules poncives. C'est à l'instigation de Renoir que j'ai publié, en 1877, un journal qui fut, pendant trop peu de temps, un instrument de défense et de propagande pour nos amis. Par-dessus tout, une amitié qui dura près d'un demi-siècle et ne connut jamais de défaillance m'a naturellement porté à mettre le nom de Renoir au seuil d'un livre où l'on trouvera la libre expression d'opinions qui furent, pour une bonne part, communes au peintre et à l'ancien rédacteur de l'Impressionniste.