Paris, Imprimerie de Madame Veuve Thuau. 1832. 20 pages, broché, 18,5x24,8 cm. Etat bon
Apud Franciscum Muguet, Regis & Facultatis Medicinae Typographi, 1695. 4 pages. 24x18 cm Upper right corner paper loss
Paris, Rignoux, Imprimeur de la Faculté de Médecine, 1847. Broché avec couverture en papier bleu. 32 pages. 22,5x28 cm Couverture délavée, intérieur bon état
Typis Quillau, Universitatis & Facultatis Medicinae Typographi, 1743.4 pages, 19,2x24,8 cm Title page slightly browned Fils de Pierre Astruc, protestant converti lors de la révocation de l'Édit de Nantes, Jean Astruc (1684-1766) fit ses études de médecine à Montpellier. Élève de Pierre Chirac, médecin du Duc d'Orléans, dont il assura l'intérim de 1707 à 1709, il obtint la chaire d'anatomie de l'Université de Toulouse. Pensionné du roi au titre d'inspecteur des eaux minérales du Languedoc en 1720, il devint médecin-consultant du roi de France en 1730, année où il rentra au Collège de France. Membre de l'Académie de Médecine en 1743 à la suite d'un conflit qui opposa Mareshal et Lapeyronie avec les médecins dont il prit la défense à la suite de la création en 1724 d'un enseignement régulier de chirurgie à l'école St-Côme et de la création de l'Académie de Chirurgie en 1734
Strasbourg, Imprimerie F.C. Heitz, 1864. Broché sans couverture. 36 pages. 19x23,5 cm. Dédicace et signature de l'auteur pas complet, il semble que la page était coupée, sinon bon état
Thèse présentée et soutenue à la Faculté de Médecine de Paris. Paris, Imprimerie et Fonderie de Rignoux et Cie. 1837. 88 pages, 20x25,5 cm, broché, bon état, manque page de titre, le nom pour qui Carteron a fait l'envoi n'est pas lisible Fils de Jacques André Carteron, négociant en vins, et de Félicité Élisabeth Guélon, Paul Alexandre Carteron fait ses études au collège de Troyes, au collège Louis-le-Grand à Paris puis à la Faculté de médecine à Paris et passe sa thèse en 1837 sur l’entéro-mésentérite typhoïde ou fièvre putride des anciens. Lors de l’épidémie de choléra de 1832, il a prodigué ses soins aux malades et a été félicité par la Ville de Paris. En 1837, il s’établit à Bar-sur-Aube, qu’il quitte pour Troyes en 1839, après son mariage avec la fille de Gréau Aîné, l’un des premiers manufacturiers de la ville. Il est notamment membre puis président du Comité d’Hygiène et de salubrité, médecin légiste, médecin adjoint puis titulaire de l’Hôtel-Dieu de 1843 à 1881, médecin du bureau de bienfaisance, médecin inspecteur des pharmacies des maisons de charité de la ville, médecin des épidémies, des prisons, du lycée, du conseil de révision, médecin juré du Tribunal civil, membre du Jury médical, président du conseil de santé des hospices, président de la commission départementale pour la protection des enfants du premier âge, président de l’Association médicale de l’Aube pendant seize ans. Nageur et cavalier émérite, il est l’un des fondateurs de la Société d’équitation de Troyes. Il reçoit une médaille d’argent comme vaccinateur (1873), est nommé officier d’Académie (1873) et est fait chevalier de la Légion d’honneur en 1871. Ses obsèques ont lieu à l’église Sainte-Madeleine de Troyes avant son inhumation à Riceys-Haut, précédée d’un service funèbre dans l’église Saint-Vincent dont il avait fait restaurer la chapelle Saint-André en 1879.
Levrault, Strasbourg, 1812. Une plaquette in 8° brochée sans couverture, (4), 22, (2) pages.
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Paris, Payot, 1943 ; in-8, broché ; 314 pp., (4) pp. de catalogue, couverture ocre illustrée.
Le Docteur Philippe Encausse est le fils du célèbre occultiste et kabbaliste Papus (Dr Gérard Encausse) ; il sait donc parfaitement de quoi il parle. Cet ouvrage est sa thèse de médecine, publiée en 1935, revue, très augmentée et précisée ; elle constitue la meilleure édition de ce travail précieux et fort bien documenté. Le Dr Encausse ne condamne pas en bloc les Sciences Occultes, loin de là, mais la pratique de certaines d'entre elles, notamment le Spiritisme, ainsi que l'amateurisme. Quelques rares petites rousseurs, bel exemplaire.
Phone number : 06 60 22 21 35
Paris, L. Leclerc, 1866. Broché. 110 pages. 14,2x23,2 cm Page de titre avec déchirures, premières pages partiellement détachées du bloque, page 65/66 avec déchirure, partiellement coupé, sinon bon état
1978 / 101 pages. Broché. Editions Amicale Corporative des Etudiants en Médecine de Bordeaux.
Couverture légèrement jaunie. Très bon état.
Typis Quillau, Saluberrimae Facultatis Medicinae Typographi, 1778. 8 pages, 24,3x18,4 cm Bound in contemporary paper cover Jean Noël Hallé est un médecin français, né à Paris le 2 janvier 1754 et mort dans cette même ville le 11 février 1822. Promoteur de la vaccination et de l'enseignement de l'hygiène, il est surtout connu pour avoir été premier médecin de Napoléon. Fils du peintre Noël Hallé, directeur de l'École de Rome, il devient docteur en médecine en 1770. Il est successivement professeur de physique médicale et d'hygiène à l'École de santé de Paris, professeur au Collège de France en 1805, professeur à la faculté de médecine, médecin ordinaire de Napoléon. Il est membre de l'Académie nationale de médecine. En 1795, il est élu membre de l’Académie des sciences, dont il est président en 1813. C'est Hallé qui a créé en France l'enseignement de l'hygiène. Il est l'un des éditeurs du Code des médicaments, ou Pharmacopée française, paru en 1813, et l'un des collaborateurs au Dictionnaire des Sciences médicales et à l'Encyclopédie méthodique. Il étudie les effets du camphre, le cancer du sein, et il est l’un des promoteurs de la vaccination. Il est l'auteur avec Étienne Tourtelle d'un traité d'Hygiène, paru en 1837. C’est lui qui défend Antoine Lavoisier à son procès devant la Convention nationale. Jean Noël Hallé est également l'éditeur des Œuvres complètes de Samuel Auguste Tissot, parues en onze volumes entre 1809 et 1813. Il a par ailleurs publié, en 1785, des Recherches sur la nature et les effets du méphitisme des fosses d'aisance. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (10e division)
Typis Viduae Francisci Muguet, Regis & Facultatis Medicinae Typographi, 1708. 8 pages, 18x24 cm Upper right corner paper loss and browned, otherwise good condition Jean-Claude-Adrien Helvétius est un médecin français, membre de l'Académie royale des sciences, né à Paris le 18 juillet 1685, et mort à Versailles le 17 juillet 1755 (à 69 ans). Biographie Jean-Claude-Adrien Helvétius est le fils de Jean-Adrien Helvétius, médecin d'origine néerlandaise venu s'installer à Paris pour vendre les médecines inventées par son père, et de Jeanne Desgranges. Il a fait ses études au collège des Quatre-Nations. Son père a voulu qu'il devienne médecin alors qu'il était tourné vers la vie militaire. Il abandonna sa première passion et alla alors avec passion vers l'anatomie et la chimie. Il a été reçu bachelier en médecine le 27 mars 1706, licencié le 1er juillet 1708, puis docteur en médecine de la Faculté de Paris à l'âge de 22 ans le 1er octobre 1708. Il s'est mis aussitôt dans la pratique. Il va alors remplir ses devoirs les plus indispensables de son métier ou aller au Jardin du roi. Pendant le terrible hiver 1709, il n'a pas arrêté de se rendre, à six heures du matin, suivre les médecins de l'hôtel-Dieu et de la Charité. Son père lui a acheté en 1713 une charge de médecin par quartier du roi Louis XIV. Sa réputation ayant grandi, il est nommé élève de Jean Méry, anatomiste à l'Académie royale des sciences, le 3 août 1715, adjoint anatomiste le 3 janvier 1716, premier titulaire, associé anatomiste le 9 juillet 1718, associé vétéran le 22 août 1726. En 1719, le roi Louis XV est tombé gravement malade et Helvétius, bien qu'encore assez jeune, est appelé en consultation. Il a proposé de faire une saignée du pied. Contre les avis opposés, il a donné des arguments si forts qu'il a obtenu l'accord de tous les médecins consultés. La saignée a été faite et a obtenu les effets souhaités. Le Régent a alors voulu qu'il ne s'éloignât plus du roi et quand la Cour revint à Versailles, le Régent lui a offert de s'y installer en lui accordant une pension de 10 000 livres. En octobre 1720, Helvétius est nommé inspecteur-général des hôpitaux militaires de Flandre et a acheté la charge de médecin ordinaire du roi à M. Boudin. Il est alors devenu un homme de la cour, de la ville et de l'académie, ce qui l'a entraîné à voir naître l'ambition de se rendre le chef de la médecine. La faculté de médecine de Paris lui a reproché d'avoir essayer d'en prendre le contrôle quand Nicolas Andry, qui lui était favorable, était doyen de la faculté. Vers la fin du décanat d'Andry, il a essayé de se faire nommé doyen à sa place. Finalement, la faculté a choisi d'élire par acclamation Étienne-François Geoffroy le 2 novembre 1726. Helvétius, Andry ont essayé de faire annuler cette élection par le cardinal Fleury1. Il a publié en 1722 un ouvrage, Idée générale de l'économie animale, et observation sur la petite vérole, dans lequel il a présenté les usages des différentes parties du corps animal. Il a rempli la fonction de médecin de la reine Marie Leszczynska, dès 1725, quand il l'a accueillie à la frontière du royaume avec les principaux officiers de la Maison du roi. Le roi l'a honoré d'un brevet de conseiller d'État. Il est nommé premier médecin de la reine en 1728. En 1746, il a eu une attaque qui a entraîné une paralysie mais qui ne l'empêchait pas de remplir les fonctions de sa charge, mais en 1751, voyant que l'incommodité allait en augmentant, il a proposé Claude de la Vigne de Frécheville, un de ses élèves, en survivance dans sa charge de premier médecin de la reine2. Il est alors resté enfermé chez lui, répondant aux consultations d'une clientèle que sa réputation de médecin lui attirait et il s'est occupé à travailler sur divers ouvrages. En décembre 1754, son état venant à s'aggraver, il a mis en ordre ses affaires, légué, entre autres choses, tous les livres de sa bibliothèque à la Faculté de médecine de Paris que cette compagnie n'avait pas dans la sienne.
Levrault, Strasbourg, 1814. Une plaquette in 4° brochée sans couverture de (4), 45 pages.
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Typis Quillau, Universitatis & Facultatis Medicinae Typographi, 1748. 8 pages, 24,8x18,5 cm Slight foxings
Louis GERON, de Malmédy, département de l'Ourthe (Gouvernement du bas-Rhin)
Reference : 2095
Didot jeune, Paris, 1815. Plaquette in 4° de 23 pages, non reliée, trou de ver d'un cm en marge.
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Typis Quillau, Universitatis & Facultatis Medicinae Typographi, 1741. 8 pages, 19,3x25 cm Slight water damage at bottom right, title page browned, otherwise good condition
Paris, Imprimerie de Didot le Jeune, 1826. Broché sans couverture. 38 pages, 20,8x25,5 cm. Dernière page bruni, sinon bon étag. Avec envoi
[Marine, Médecine] B. T. R. LE CACHEUR de Grosville, dept. de la Manche (chirurgien-major du 31° équipage de haut-bord)
Reference : 2105
Levrault, Strasbourg, 1811. Une plaquette in 4° brochée sans couverture, déreliée, (4), 20 pages.
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Didot jeune, Paris, 1821. Une plaquette in 4° brochée sans couverture de 29 pages
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Non daté / 75 pages. Editons A.G.E.M.P.
Très bon état.
Apud Viduam Francisci Muguet, Regis & Facultatis Medicinae Typog., 1706. 4 pages, 18x24 cm Upper right corner paper loss
Strasbourg, Typographie de G. Silbermann, 1864. Broché sans couverture. 26 pages. 19,4x23,5 cm. Bon état
Strasbourg, Imprimerie de J.H.Ed. Heitz, 1867. Broché avec couverture en papier bleu. 24 pages. 22,8x27,8 cm. Tache sur la couverture, page de titre et jusqu'à la page 11, sinon bon état
pud Viduam Francisci Muguet, Regis & Facultatis Medicinae Typog., 1712. 4 pages, 18,8x25 cm
Apud Viduam Francisci Muguet, Regis & Facultatis Medicinae Typograi, 1703. 4 pages, 24,5x18,5 cm Bound in contemporary paper cover Jacob Benignus Winsløw, ou Jacques-Bénigne Winslow, né à Odense (Danemark) le 2 avril 1669 et mort à Paris le 3 avril 1760, est un médecin et anatomiste français d’origine danoise, professeur au Jardin du Roi (1743-1758). Biographie : Sa famille était d'origine suédoise et noble ; le nom originel de la famille était Mansen. Le nom de Winslow vient du village de Winslee, situé en Scanie, dont le grand-père de Jacob Benignus Winslow avait été pasteur. Jacob Benignus est le fils de Peter Winslow, pasteur luthérien, et de Marthe Brun. Il a commencé, par tradition familiale, des études de théologie et a écrit plusieurs sermons qui ont eu assez de succès pour qu'un pasteur lui offre de le rejoindre en lui assurant d'avoir son bénéfice après sa mort. Vers 1696, soutenu par Matthias Moth, conseiller privé du roi de Danemark, et l'astronome Ole Christensen Rømer, il abandonne ses études de théologie. Il suit alors les cours du collège de Borrichius et est le prosecteur de Caspar Bartholin le Jeune. Après un an d'études, il décide de voyager pour se former en anatomie. Son père essaye de le retenir au Danemark en lui offrant une cure en Fionie. Le roi de Danemark lui offre sa protection en lui demandant de visiter les différentes écoles de médecine d'Europe. Le 22 février 1697, à l'âge de 28 ans, il quitte le Danemark « malgré la rigueur extraordinaire de l'hiver » avec Johannes von Buchwald (de) (1658-1738) qui a été ensuite médecin du roi de Danemark et professeur à Copenhague. Il se rend aux Pays-Bas pour poursuivre ses études : il est immatriculé à l'université de Leyde le 15 mars 1697 et y suit les cours d'anatomie de Govard Bidloo ; il se brouille avec lui sur la circulation du sang dans le fœtus. Il se rend ensuite à Amsterdam, où il rencontre Frederik Ruysch et Johannes Jacobus Rau (1668-1719) au moment où Pierre le Grand visite le pays anonymement. Il reste dans les Provinces-Unies jusqu'en mai 1698, puis vient à Paris. Arrivé à Paris, il se convertit au catholicisme sous l’influence de Bossuet, dont il adopte les prénoms. Il devient docteur régent de la faculté de médecine de Paris en 1705. Il est aussi démonstrateur d’anatomie et de chirurgie au Jardin du Roi. Il entre à l'Académie royale des sciences où il est l'élève d'Alexis Littré en 1707, puis de Joseph-Guichard Du Verney en 1715, avant de devenir associé anatomiste en 1716, puis pensionnaire anatomiste en 1722. Au début des années 1740, il dirige la construction d’une nouvelle salle consacrée à la dissection, dite amphithéâtre Winslow, encore visible rue de la Bûcherie à Paris. En 1743, il commence à enseigner à l'université de Paris. Il a favorisé la formation de Jacques René Tenon et collaboré avec les anatomistes François-Joseph Hunauld et Joseph Guichard Duverney. Une dalle verticale (funéraire ?) semble lui être consacrée, un peu cachée dans le « charnier » de l'Église Saint-Étienne-du-Mont à Paris, en vis-à-vis de vitraux restaurés (« pressoir mystique »…)