Paris, 1867, gravure isolée, 60,8 x 41,8 cm, provenant de l'ouvrage en deux tomes Les promenades de Paris, 1867-1873, J. Rothschild, éditeur, paru sous l'égide d'Adolph Alphand, concepteur des travaux décrits. Dessinée par E. Hochereau, principal responsable d'une large équipe de graveurs/dessinateurs. Gravure explicitant les aménagements prévus pour le square des Arts et Métiers. A la réorganisation tant architecturale qu'urbaine de Paris, impulsée durant le dernier tiers du 19ème siècle par Napoléon III et qu'il confie pour sa mise en oeuvre au baron Hausmann, répond le travail d'Alphand sur le volet des parcs, jardins et aménagements urbains liés au végétal dans Paris. La volonté de faire dialoguer constructions et nature, prend toute sa force dans l'apport d'Alphand qui conçoit des parcs et jardins, tous différents, tous adaptés à leur lieu d'implantation. Dans un style bucolique et pittoresque, chaque espace est élaboré sur les plans des circulations, des pavillons qui le ponctuent, du mobilier qui l'agrémente jusqu'aux détails tels que les plaques métalliques protégeant la base des arbres. Les plantes retenues pour scénographier ces lieux sont minutieusement choisies pour leur caractère ornemental notamment. Il s'agit d'une conception globale prenant en compte jusqu'au réseau d'égouts souterrains pour l'évacuation des eaux de pluie. Chacune des planches décrivant les travaux programmés se compose de vues en plan, d'élévations, de coupes générales ou de détails. L'ensemble présente, en dépit d'un caractère technique, un tempérament décoratif et ornemental. Alphand, Jean-Charles Adolphe (1817-1891) : paysagiste, inspecteur général des Ponts et chaussées, maître d'oeuvre des aménagements décrits dans Les promenades de Paris. Hochereau, Emile (1828-1905) : architecte, inspecteur des promenades de Paris. Davioud, G., D'Ardoize, Antoine, Fath, Labeyrie, Lambotte, etc. : dessinateurs de la Ville de Paris.
Planche ornementale en noir & blanc, gravée sur acier (eau forte), imprimée sur papier fort et homogène. En parfait état : papier clair et uni, avec relief d'estampage. Gravure d'une remarquable finesse. Somptueux travail graphique.
Paris, 1867, gravure isolée, 60,8 x 41,8 cm, provenant de l'ouvrage en deux tomes Les promenades de Paris, 1867-1873, J. Rothschild, éditeur, paru sous l'égide d'Adolph Alphand, concepteur des travaux décrits. Dessinée par E. Hochereau, principal responsable d'une large équipe de graveurs/dessinateurs. Gravure en plan et en élévation, décrivant l'aménagement du square du Temple. A la réorganisation tant architecturale qu'urbaine de Paris, impulsée durant le dernier tiers du 19ème siècle par Napoléon III et qu'il confie pour sa mise en oeuvre au baron Hausmann, répond le travail d'Alphand sur le volet des parcs, jardins et aménagements urbains liés au végétal dans Paris. La volonté de faire dialoguer constructions et nature, prend toute sa force dans l'apport d'Alphand qui conçoit des parcs et jardins, tous différents, tous adaptés à leur lieu d'implantation. Dans un style bucolique et pittoresque, chaque espace est élaboré sur les plans des circulations, des pavillons qui le ponctuent, du mobilier qui l'agrémente jusqu'aux détails tels que les plaques métalliques protégeant la base des arbres. Les plantes retenues pour scénographier ces lieux sont minutieusement choisies pour leur caractère ornemental notamment. Il s'agit d'une conception globale prenant en compte jusqu'au réseau d'égouts souterrains pour l'évacuation des eaux de pluie. Chacune des planches se compose de vues en plan, d'élévations, de coupes générales ou de détails. L'ensemble présente, en dépit d'un caractère technique, un tempérament décoratif et ornemental. Alphand, Jean-Charles Adolphe (1817-1891) : paysagiste, inspecteur général des Ponts et chaussées, maître d'oeuvre des aménagements décrits dans Les promenades de Paris. Hochereau, Emile (1828-1905) : architecte, inspecteur des promenades de Paris. Davioud, G., D'Ardoize, Antoine, Fath, Labeyrie, Lambotte, etc. : dessinateurs de la Ville de Paris.
Planche ornementale en noir & blanc, gravée sur acier (eau forte), imprimée sur papier fort et homogène. En parfait état : papier clair et uni, avec relief d'estampage. Gravure d'une remarquable finesse. Somptueux travail graphique.
Paris, 1867, gravure isolée, 60,8 x 41,8 cm, provenant de l'ouvrage en deux tomes Les promenades de Paris, 1867-1873, J. Rothschild, éditeur, paru sous l'égide d'Adolph Alphand, concepteur des travaux décrits. Dessinée par E. Hochereau, principal responsable d'une large équipe de graveurs/dessinateurs. Gravure, en plan et en élévations, décrivant les petites constructions ponctuant les espaces publics de Paris : Champs-Elysées, Square des arts et métiers, Boulevards, Jardin du Luxembourg. A la réorganisation tant architecturale qu'urbaine de Paris, impulsée durant le dernier tiers du 19ème siècle par Napoléon III et qu'il confie pour sa mise en oeuvre au baron Hausmann, répond le travail d'Alphand sur le volet des parcs, jardins et aménagements urbains liés au végétal dans Paris. La volonté de faire dialoguer constructions et nature, prend toute sa force dans l'apport d'Alphand qui conçoit des parcs et jardins, tous différents, tous adaptés à leur lieu d'implantation. Dans un style bucolique et pittoresque, chaque espace est élaboré sur les plans des circulations, des pavillons qui le ponctuent, du mobilier qui l'agrémente jusqu'aux détails tels que les plaques métalliques protégeant la base des arbres. Les plantes retenues pour scénographier ces lieux sont minutieusement choisies pour leur caractère ornemental notamment. Il s'agit d'une conception globale prenant en compte jusqu'au réseau d'égouts souterrains pour l'évacuation des eaux de pluie. Chacune des planches décrivant les travaux programmés se compose de vues en plan, d'élévations, de coupes générales ou de détails. L'ensemble présente, en dépit d'un caractère technique, un tempérament décoratif et ornemental. Alphand, Jean-Charles Adolphe (1817-1891) : paysagiste, inspecteur général des Ponts et chaussées, maître d'oeuvre des aménagements décrits dans Les promenades de Paris. Hochereau, Emile (1828-1905) : architecte, inspecteur des promenades de Paris. Davioud, G., D'Ardoize, Antoine, Fath, Labeyrie, Lambotte, etc. : dessinateurs de la Ville de Paris.
Planche ornementale en noir & blanc, gravée sur acier (eau forte), imprimée sur papier fort et homogène. En parfait état : papier clair et uni, avec relief d'estampage. Gravure d'une remarquable finesse. Somptueux travail graphique.
Paris, 1867, gravure isolée, 60,8 x 41,8 cm, provenant de l'ouvrage en deux tomes Les promenades de Paris, 1867-1873, J. Rothschild, éditeur, paru sous l'égide d'Adolph Alphand, concepteur des travaux décrits. Dessinée par E. Hochereau, principal responsable d'une large équipe de graveurs/dessinateurs. Gravure, en plan et en élévations, décrivant les petites constructions ponctuant les espaces publics de Paris : kiosque de marchand de journaux, bureau de la compagnie des omnibus, bureau ordinaire, bureau du surveillant de voitures de place, bureau de la compagnie des omnibus aux Champs-Elysées. A la réorganisation tant architecturale qu'urbaine de Paris, impulsée durant le dernier tiers du 19ème siècle par Napoléon III et qu'il confie pour sa mise en oeuvre au baron Hausmann, répond le travail d'Alphand sur le volet des parcs, jardins et aménagements urbains liés au végétal dans Paris. La volonté de faire dialoguer constructions et nature, prend toute sa force dans l'apport d'Alphand qui conçoit des parcs et jardins, tous différents, tous adaptés à leur lieu d'implantation. Dans un style bucolique et pittoresque, chaque espace est élaboré sur les plans des circulations, des pavillons qui le ponctuent, du mobilier qui l'agrémente jusqu'aux détails tels que les plaques métalliques protégeant la base des arbres. Les plantes retenues pour scénographier ces lieux sont minutieusement choisies pour leur caractère ornemental notamment. Il s'agit d'une conception globale prenant en compte jusqu'au réseau d'égouts souterrains pour l'évacuation des eaux de pluie. Chacune des planches décrivant les travaux programmés se compose de vues en plan, d'élévations, de coupes générales ou de détails. L'ensemble présente, en dépit d'un caractère technique, un tempérament décoratif et ornemental. Alphand, Jean-Charles Adolphe (1817-1891) : paysagiste, inspecteur général des Ponts et chaussées, maître d'oeuvre des aménagements décrits dans Les promenades de Paris. Hochereau, Emile (1828-1905) : architecte, inspecteur des promenades de Paris. Davioud, G., D'Ardoize, Antoine, Fath, Labeyrie, Lambotte, etc. : dessinateurs de la Ville de Paris.
Planche ornementale en noir & blanc, gravée sur acier (eau forte), imprimée sur papier fort et homogène. En parfait état : papier clair et uni, avec relief d'estampage. Gravure d'une remarquable finesse. Somptueux travail graphique.
Paris, 1867, gravure isolée, 60,8 x 41,8 cm, provenant de l'ouvrage en deux tomes Les promenades de Paris, 1867-1873, J. Rothschild, éditeur, paru sous l'égide d'Adolph Alphand, concepteur des travaux décrits. Dessinée par E. Hochereau, principal responsable d'une large équipe de graveurs/dessinateurs. Gravure décrivant les différents modèles d'urinoirs.A la réorganisation tant architecturale qu'urbaine de Paris, impulsée durant le dernier tiers du 19ème siècle par Napoléon III et qu'il confie pour sa mise en oeuvre au baron Hausmann, répond le travail d'Alphand sur le volet des parcs, jardins et aménagements urbains liés au végétal dans Paris. La volonté de faire dialoguer constructions et nature, prend toute sa force dans l'apport d'Alphand qui conçoit des parcs et jardins, tous différents, tous adaptés à leur lieu d'implantation. Dans un style bucolique et pittoresque, chaque espace est élaboré sur les plans des circulations, des pavillons qui le ponctuent, du mobilier qui l'agrémente jusqu'aux détails tels que les plaques métalliques protégeant la base des arbres. Les plantes retenues pour scénographier ces lieux sont minutieusement choisies pour leur caractère ornemental notamment. Il s'agit d'une conception globale prenant en compte jusqu'au réseau d'égouts souterrains pour l'évacuation des eaux de pluie. Chacune des planches se compose de vues en plan, d'élévations, de coupes générales ou de détails. L'ensemble présente, en dépit d'un caractère technique, un tempérament décoratif et ornemental. Alphand, Jean-Charles Adolphe (1817-1891) : paysagiste, inspecteur général des Ponts et chaussées, maître d'oeuvre des aménagements décrits dans Les promenades de Paris. Hochereau, Emile (1828-1905) : architecte, inspecteur des promenades de Paris. Davioud, G., D'Ardoize, Antoine, Fath, Labeyrie, Lambotte, etc. : dessinateurs de la Ville de Paris.
Planche ornementale en noir & blanc, gravée sur acier (eau forte), imprimée sur papier fort et homogène. En parfait état : papier clair et uni, avec relief d'estampage. Gravure d'une remarquable finesse. Somptueux travail graphique.
ALPHAND ; HUET ; BECHMANN ; DIET ; JOURNET ; DUTOIT ; VILLE DE PARIS ; LAZIES ; MATHELIN et GARNIER.
Reference : 2356
(1889)
Paris, Imprimerie Autog. Aost & Gentil, sans date [1889]. In-Plano 49 x 65 cm. Reliure de lépoque en demi-chagrin bleu marine à coins, triples filets à froid en encadrement des plats de toile, titre, dates et blason parisien dorés sur le premier plat. Exemplaire entièrement monté sur onglets. 1 f. bl. ; 2 planches doubles + 4 planches (6 photographies originales), 1 p. (titre), 3 p. (texte autographié imprimé), 19 planches doubles (plans, coupes, façades et détails). ALPHAND ; HUET ; BECHMANN ; DIET ; JOURNET ; DUTOIT ; VILLE DE PARIS (auteurs). Entrepreneurs : LAZIES (maçonnerie). MATHELIN et GARNIER (Fontainerie). Rare et important ouvrage illustré de 6 photographies originales, dont 2 sur double page et de 19 planches doubles, techniques et architecturales, témoignant de lampleur des travaux effectués à Montmartre à la fin du XIXe siècle, afin daméliorer lalimentation en eau dun quartier en pleine croissance démographique. En effet, les sources naturelles présentes sur les flancs de la butte qui alimentèrent longtemps de nombreuses fontaines ne suffisaient plus : il fallait donc aller capter de leau de rivières, - ce que permet dès 1834 une machine hydraulique édifiée à Saint-Ouen -, la monter au sommet au moyen dune pompe à vapeur -, et la stocker doù la construction en 1835 dun château deau (qui fonctionnera jusquen 1927). A partir de 1887, sous la houlette dAdolphe Alphand, Directeur des Travaux de la Ville de Paris, sont entrepris deux chantiers de grande envergure. Le premier est la construction de deux réservoirs (un « grand » et un « petit »), dotés dune capacité totale de 11 000 m3, dont la conception est confiée aux ingénieurs Bechmann et Journet et les plans sont dressés par larchitecte Diet (photographies 4 et 5). Louvrage occupe lemplacement de lancien pressoir à raisins de labbaye des Dames de Montmartre, rue Azaïs, sur une colline sableuse à environ 128 m daltitude. La nature du sol complexifie énormément les travaux, d'autant que l'usage du béton pour les fondations, d'un coût prohibitif, est exclu. Les deux concepteurs ont donc misé sur la pression de l'eau contenue dans les réservoirs pour stabiliser le banc de sable présent à cet endroit. Néanmoins, une partie de ce sable (avec les gravats) fut évacuée par des wagonnets tirés par une locomotive à vapeur (photographie 3), tandis que l'on imaginait d'ingénieux systèmes pour garantir l'étanchéité de l'édifice. Le sous-sol, les murs et le sol sont donc réalisés en meulière, les voûtes de la couverture en briquettes, et les piliers intérieurs en maçonnerie de brique de Bourgogne. Autre contrainte : la proximité du Sacré-Cur (édifié à partir de 1886), qui requiert une harmonisation du style décoratif du bâtiment avec larchitecture néo-byzantine de la basilique (photographie 6), et là intervient le calcaire blanc des carrières de Souppes-sur-Loing et Château-Landon. Le second chantier de cette même année 1887 est celui de la nouvelle usine de relevage (ou élévatoire) Saint-Pierre, qui alimente à la fois le château deau et le réservoir. Ce dernier, définitivement opérationnel en 1889, pourvu de respectivement deux et trois étages, distribue leau dans les quartiers bas de Montmartre encore de nos jours. Les deux premières photographies, sur doubles pages, prises en 1886 et 1889, attestent de la transformation du paysage de la butte lorsque les réservoirs sont achevés.
Quelques frottements sur la reliure, rousseurs importantes sur le premier feuillet et la 3e photographie, marginales sur les deux premières photos, éparses ensuite, sinon bel exemplaire de cet ouvrage de toute rareté, présent dans seulement 3 institutions parisiennes (BnF, BHVP, BHdV). Chers clients Abebooks, le poids et le volume important de cet ouvrage entraîneront des frais postaux additionnels, merci de le prendre en considération avant votre achat. Dear Abebooks customers, the weight and volume of this book will entail additionnal shipping fees, thank you for taking it into consideration before ordering. Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding.
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Paris, [1878]. 570 x 720 mm.
Très grand plan des 1er et 2ème arrrondissements de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.
Paris, [1878]. 601 x 727 mm.
Très grand plan des 3ème et 4ème arrrondissements de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.
Paris, [1878]. 605 x 784 mm.
Très grand plan du 7ème arrrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Invalides, Saint Thomas d'Aquin, École Militaire et Gros Caillou. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.
Paris, [1889]. 610 x 768 mm.
Beau plan figurant Paris en 1796. Il a été dressé par Bernard, géomètre de la Ville, sous la direction de l'historien Taxil, à l'occasion de l'Exposition universelle de 1889, et gravé par Wuhrer pour l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Le plan dit de la Commission des Artistes est un plan très particulier, reconstitué et peut-être fictif, son existence n'ayant pas été formellement établie. De 1793 à 1797, des architectes (les commissaires de la voirie et quelques architectes de plus grand renom), ont constitué une commission officielle regroupant donc les "Commissaires artistes préposés pour la division, l'embellissement et l'assainissement de la commune de Paris". Il s'agissait d'appliquer la loi du 4 avril 1793 selon laquelle les Biens nationaux pourraient être lotis. Un mois plus tard, un concours est organisé pour lotir la Terrasse des Feuillants, future rue de Rivoli. Les artistes vont proposer un certain nombre d'ouvertures de rues nouvelles à travers les couvents confisqués en 1790, afin de lotir leurs terrains. Lors de ses réunions, la Commission évoque fréquemment un "plan général" sur lequel seront reportés la "totalité des projets", ainsi qu'un "grand plan de la commune" sur lequel est effectué ce report. La principale opération concernera l'avenue de l'Observatoire, dont les travaux seront achevés en 1816. Parmi les projets très partiellement réalisés figurent de nombreux percements (parmi lesquels la future rue d'Ulm) dans les quartiers sud-est (où les couvents étaient nombreux), formant un réseau cohérent entre l'avenue de l'Observatoire et le Jardin des Plantes, l'aménagement des terrains des Célestins et de l'Arsenal, et évidemment la rue de Rivoli. Ce plan des Artistes a malheureusement disparu, ou n'a peut-être jamais existé. Le présent plan a donc été reconstitué d'après des textes d'archives et les procès-verbaux des séances du 3 Germinal et du 24 Fructidor An IV (23 mars et 10 septembre 1796). Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, p. 82.
Paris, [1889]. 612 x 770 mm.
Remarquable plan de Paris figurant le réseau d'eau de la ville au 1er janvier 1889, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Les eaux de source, de rivière (Seine, Marne et Ourcq), les conduites de refoulement, les aqueducs et les réservoirs sont distingués de six couleurs. Entre 1852 et 1869, sous l'impulsion des travaux du baron Haussmann et de l'ingénieur Belgrand, le réseau d'eau a augmenté de 850 km et sa longueur totale a doublé. Belgrand lance un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. En 1855 Haussmann et Belgrand ont l’autorisation de principe du Conseil de Paris pour alimenter la capitale en eau de source. Belgrand devient directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et met en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Le plan illustre également les Grands Travaux de Paris sous le second Empire, conduits de 1852 à 1870 par Napoléon III et le baron Haussmann, préfet de Paris. Tout autour de la ville, on voit l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.
Paris, [1889]. 612 x 770 mm.
Remarquable plan de Paris figurant le réseau d'eau de la ville au 1er janvier 1878, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Les eaux de sources, de rivières (Seine, Marne et Ourcq), les conduites de refoulement, l'aqueduc de l'Ourcq et les réservoirs sont distingués de cinq couleurs. Entre 1852 et 1869, sous l'impulsion des travaux du baron Haussmann et de l'ingénieur Belgrand, le réseau d'eau a augmenté de 850 km et sa longueur totale a doublé. Belgrand lance un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. En 1855 Haussmann et Belgrand ont l’autorisation de principe du Conseil de Paris pour alimenter la capitale en eau de source. Belgrand devient directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et met en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Le plan illustre également les Grands Travaux de Paris sous le second Empire, conduits de 1852 à 1870 par Napoléon III et le baron Haussmann, préfet de Paris. Tout autour de la ville, on voit l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.
Paris, [1889]. 612 x 768 mm.
Remarquable plan de Paris figurant le réseau d'eau de la ville en 1854, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Les eaux de l'Ourcq, de la Seine, du puits de Grenelle et des aqueducs des eaux d'Ourcq et de sources sont distingués de quatre couleurs. Les limites de Paris sont ici fixées par le Mur des Fermiers généraux, enceinte construite entre 1784 et 1790, et dont l'objectif était de permettre la perception, aux points de passage, d'un impôt sur les marchandises entrant dans la ville. Il fut détruit en 1860 lors de l'extension de Paris jusqu'à l'enceinte de Thiers. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.
Paris, [1878]. 602 x 742 mm.
Très grand plan du 11ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Folie Méricourt, Saint-Ambroise, Roquette et Sainte-Marguerite. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.
Paris, [1878]. 630 x 798 mm.
Très grand plan du 12ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Bel Air, Picpus, Bercy et Quinze Vingts. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.
Paris, [1878]. 620 x 786 mm.
Très grand plan du 13ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Salpêtrière, Gare, Maison Blanche et Croulebarbe. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 83 à 94 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.
Paris, 1888. 618 x 773 mm.
Très grand plan du 14ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Mont Parnasse, Santé (renommé quartier du Parc-de-Montsouris en 1937), Petit Montrouge et Plaisance. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 75 à 84 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).
Paris, 1888. 622 x 774 mm.
Très grand plan du 15ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Saint-Lambert, Necker, Grenelle et Javel. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 68 à 77 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).
Paris, 1888. 1,03 x 0,59 m.
Très grand plan dépliant du 16ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Auteuil, Muette, Porte Dauphine et Bassins (renommé quartier de Chaillot en 1896). Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 52 à 67 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le plan montre également une partie du bois de Boulogne. En 1852, la propriété du bois de Boulogne fut cédée par Napoléon III à la Ville de Paris, qui fut alors chargée d'aménager l'espace vert en quatre ans. Les travaux débutèrent l'année suivante, dirigés par Haussmann, qui créa pour son adjoint Jean-Charles Alphand, le Service des Promenades et Plantations de Paris. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).
Paris, [1878]. 615 x 743 mm.
Très grand plan du 17ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Ternes, Plaine Monceau, Batignolles et Épinette. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 40 à 52 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.
Paris, 1888. 593 x 763 mm.
Très grand plan du 18ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Grandes Carrières, Clignancourt, Goutte d'Or et Chapelle. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 31 à 40 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).
Paris, 1888. 650 x 765 mm.
Très grand plan du 19ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Villette, Pont de Flandre, Amérique et Combat. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 18 à 33 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. On remarque également le parc des Buttes-Chaumont, aménagé par Adolphe Alphand, responsable des parcs et jardins de Paris, et inauguré le 1er avril 1867, à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).
Paris, [1878]. 790 x 571 mm.
Très grand plan du 20ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Belleville, Saint-Fargeau, Père Lachaise et Charonne. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. La place de la Nation est ici encore appelée place du Trône. Elle prendra son nom actuel lors de la fête nationale du 14 juillet 1880. On voit sur ce plan l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 10 à 20 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.
Paris, 1888. 600 x 773 mm.
Très grand plan des 5ème et 6ème arrondissements de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Chacun des arrondissements est divisé en quatre quartiers. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).
Paris, [1878]. 573 x 703 mm.
Très grand plan du 8ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Champs-Élysées, faubourg du Roule, Madeleine et Europe. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.