Bordeaux, Féret & Fils, 1875. En 24 sections montées sur toile et pliées, formant une carte de 632 x 863 mm.
Très rare carte du Bassin d'Arcachon, intitulée La Teste de Buch, exécutée suivant la décision du Conseil Général de la Gironde du 23 août 1875. Elle a été lithographiée en couleurs et imprimée par Erhard à Paris, et publiée à Bordeaux par Féret et Fils, éditeurs bordelais spécialisés dans publication d'ouvrages et de cartes sur la vigne et le vin. Elle a également été publiée dans l'Atlas départemental de la Gironde en 1888. Elle s'étend au nord jusqu'à Ignac, au sud jusqu'à la dune de la Grave, la forêt de Nézer et Caudos, et à l'est jusqu'à Argenteyres. À l'intérieur du bassin figurent les chenaux et l'Île des Oiseaux. À gauche figure la presqu'île du Cap Ferret. Les villes principales sont signalées en grands caractères en noir : Arès, Andernos, Lanton, Audenge, Biganos, Le Teich, Gujan, La Teste de Buch, Arcachon et Cap Ferret. Très complète et détaillée, cette carte montre les sémaphores et les feux, les réservoirs à poissons, le phare d'Arcachon, les débarcadères, les écluses, les postes de douane, les maisons forestières, et les cabanes à pêcheurs. Elle figure également, en rouge, les anciennes routes départementales classées comme chemins de grande communication et les chemins vicinaux, en noir, les chemins de fer, mais aussi les passages à niveau, les rivières et canaux, les moulins à eau et à vent, en activité ou en ruines (Ancien M.in de Sécary, Ruines du M.in Braoüet, Ruines du M.in du Pujoü, M.in Miquelon, M.in Javal, Ruines du M.in d'Andernos, M.in de Cantaranne, etc), les tuileries, briqueteries et pavés céramiques, les fours à chaux, les fonderies et hauts-fourneaux, les gravières ou minières, les verreries et les usines (usine de pâte à papier de Pont Nau, usine à gaz d'Arcachon). On peut voir également certains domaines comme le Chalet de Lesca et la Villa Algérienne, construite en 1865 par Léon Lesca et détruite en 1966. Bel exemplaire. Société historique et archéologique d'Arcachon et du Pays de Buch, Cartes anciennes du Bassin d'Arcachon, p. 125, fig. 166.
Bordeaux, Féret & Fils, 1875 [1888]. 625 x 830 mm.
Belle et rare carte du Bassin d'Arcachon, intitulée La Teste de Buch, exécutée suivant la décision du Conseil Général de la Gironde du 23 août 1875. Elle a été lithographiée en couleurs pour l'atlas intitulé Atlas départemental de la Gironde, imprimée par Erhard à Paris, et publié à Bordeaux par Féret et Fils, éditeurs bordelais spécialisés dans publication d'ouvrages et de cartes sur la vigne et le vin. Elle s'étend au nord jusqu'à Ignac, au sud jusqu'à la dune de la Grave, la forêt de Nézer et Caudos, et à l'est jusqu'à Argenteyres. À l'intérieur du bassin figurent les chenaux et l'Île des Oiseaux. À gauche figure la presqu'île du Cap Ferret. Les villes principales sont signalées en grands caractères en noir : Arès, Andernos, Lanton, Audenge, Biganos, Le Teich, Gujan, La Teste de Buch, Arcachon et Cap Ferret. Très complète et détaillée, cette carte montre les sémaphores et les feux, les réservoirs à poissons, le phare d'Arcachon, les débarcadères, les écluses, les postes de douane, les maisons forestières, et les cabanes à pêcheurs. Elle figure également, en rouge, les anciennes routes départementales classées comme chemins de grande communication et les chemins vicinaux, en noir, les chemins de fer, mais aussi les passages à niveau, les rivières et canaux, les moulins à eau et à vent, en activité ou en ruines (Ancien M.in de Sécary, Ruines du M.in Braoüet, Ruines du M.in du Pujoü, M.in Miquelon, M.in Javal, Ruines du M.in d'Andernos, M.in de Cantaranne, etc), les tuileries, briqueteries et pavés céramiques, les fours à chaux, les fonderies et hauts-fourneaux, les gravières ou minières, les verreries et les usines (usine de pâte à papier de Pont Nau, usine à gaz d'Arcachon). On peut voir également certains domaines comme le Chalet de Lesca et la Villa Algérienne, construite en 1865 par Léon Lesca et détruite en 1966. Bon exemplaire. Piqûres éparses. Société historique et archéologique d'Arcachon et du Pays de Buch, Cartes anciennes du Bassin d'Arcachon, p. 125, fig. 166.
Bordeaux, Féret & Fils, [circa 1915]. 590 x 370 mm.
Belle et rare carte vinicole de la Gironde, publiée par Féret et Fils, éditeurs bordelais spécialisés dans publication d'ouvrages et de cartes sur la vigne et le vin. La carte montre sept appellations contrôlées, à chacune desquelles a été attribuée une couleur. En bas à droite figure une classification des grands vins blancs de la Gironde. La partie inférieure de la carte est occupée par un tableau intitulé Les grands vins rouges de la Gironde classés en 1855. Il s'agit de la première classification officielle des vins de Bordeaux, établie à l'occasion de l'Exposition universelle de Paris de 1855, à la demande de Napoléon III. Le tableau donne, pour chacun des crus, le nom, la commune de production, le propriétaire et la production moyenne en tonneaux. Les vins sont classés en importance du premier au cinquième cru. Les quatre 1ers crus sont le Château-Lafite (propriété des barons de Rothschild), le Château-Latour, le Château-Margaux et le Château Haut-Brion. La carte a été imprimée sur un papier glacé qui a malheureusement bruni, et présente des piqûres.
Genève / Paris, Joël Cherbuliez / Jullien Frères, 1853 à 1862. 4 parties en 3 volumes in-8 de 192; 669-[2]-272 et 242-[2] pages, demi-chagrin noir, dos lisses ornés de filets, titre et tomaison dorés.
2 grandes cartes couleurs, dépliantes, du territoire protestant des environs de Genève: de 1598 à 1687 en fin du volume II, après le traité de Saint-Julien en 1754 au dernier volume. Rare, d'autant plus en édition originale, ce qui est le cas de notre exemplaire [Geisendorf 1315]. Reliures un peu frottées, rousseurs.
Lausanne, F. Rouge et Cie, coll. Vie et documents du XXe siècle, 1954. In-8 broché de 236-[4] pages, couverture imprimée sous jaquette illustrée.
Illustré de hors-texte en noir, dont quelques photographies et des dessins de Hans Erni. 4 cartes de André Chautems. L'auteur fut directeur du Musée d'ethnographie de Neuchâtel et de l'Institut d'ethnologie de Neuchâtel. Notre exemplaire est enrichi d'un envoi autographe signé de Jean Gabus.
Paris : Gervais Clouzier, 1676. 4 parties en deux volumes, 8° (160 x 100 mm) , plein veau époque, dos à nerfs ornés avec titre et tomaison , différence de reliure, 13ffnch.-246pp-2ffnch et 4ffnch.240pp. , 4ffnch.-297pp.-2ffnch. Et 4ffnch.-153pp.-2ffnch. , coins et coupes usés , reliure solide , mouillure sur quelques feuillets (t3-4).
PREMIÈRE ÉDITION EN FRANÇAIS, et la seule édition française à contenir le vocabulaire de Poconichi (pt. IV, pp.125-153), EO en anglais en 1648. Thomas Gage a vécu et voyagé aux Antilles, en Amérique centrale et sur la côte ouest de l'Amérique du Nord de 1625 à 1637. Élevé dans la religion catholique, il se convertit au protestantisme à son retour en Europe. La publication de cet ouvrage «provoqua une sensation remarquable. Son récit de la richesse et de l'état sans défense des possessions espagnoles en Amérique du Sud excita la cupidité des Anglais, et on dit que Gage lui-même présenta à Cromwell le premier plan pour maîtriser le Territoires espagnols du Nouveau Monde... Il est nommé aumônier de l'expédition qui navigue avec Venables et Penn pour Hispaniola... La flotte échoue à Hispaniola, mais prend la Jamaïque, où Gage meurt en 1656 .P2-5A
[1842-1856]. 312 x 404 mm.
Belle vue de la ville de Copenhague, dessinée par Auguste Mayer et lithographiée en deux tons par Benoist, issue des Voyages en Scandinavie, en Laponie, au Spitzberg, et aux Îles Féroé. Bel exemplaire.
[1842-1856]. 312 x 400 mm.
Belle vue de la ville de Stockholm, dessinée par Auguste Mayer et lithographiée en deux tons par Benoist, issue des Voyages en Scandinavie, en Laponie, au Spitzberg, et aux Îles Féroé. Bel exemplaire.
Paris, H. Delarue, s.d. (ca 1925). 12 x 19, 110 pp., broché, bon état.
in 8 broché,couverture factice muette avec le premier plat de couverture,d’origine,contrecollé.Faux-titre,titre,347 pages,non coupé,4 cartes,42 graphiques.Hachette & Cie 1910
Le bridgeur 1990
Très bon état Ouvrage broché , format 21 X 15,5 cm , 215 pages . Jeux Cartes Bridge - largeur/hauteur :x cm - poid : g - nombre de pages : p. - langue :
circa 1830 114 x 190 mm.
Belle estampe gravée à l'aquatinte figurant le Dôme de Florence, issue des Viaggi in Italia de Francesco Gandini. Bel exemplaire.
circa 1830 113 x 189 mm.
Belle estampe gravée à l'aquatinte figurant la place de la basilique Santissima Annunziata, issue des Viaggi in Italia de Francesco Gandini. Bel exemplaire.
circa 1830 113 x 189 mm.
Belle estampe gravée à l'aquatinte figurant la place de la Sainte Trinité à Florence, issue des Viaggi in Italia de Francesco Gandini. Bel exemplaire.
circa 1830 114 x 191 mm.
Belle estampe gravée à l'aquatinte figurant le pont de la Sainte Trinité à Florence, issue des Viaggi in Italia de Francesco Gandini. Bel exemplaire.
circa 1830 121 x 194 mm.
Belle estampe gravée à l'aquatinte figurant une vue générale de Florence, issue des Viaggi in Italia de Francesco Gandini. Mouillure claire dans le coin inférieur gauche.
circa 1830 119 x 195 mm.
Belle estampe gravée à l'aquatinte figurant la façade du Palais Ducal de Modène, issue des Viaggi in Italia de Francesco Gandini. Bel exemplaire.
circa 1830 118 x 194 mm.
Belle estampe gravée à l'aquatinte figurant les palais et édifices situés en bord de mer, issue des Viaggi in Italia de Francesco Gandini. Rousseurs marginales.
circa 1830 115 x 190 mm.
Belle estampe gravée à l'aquatinte, issue des Viaggi in Italia de Francesco Gandini. Bel exemplaire.
[circa 1810]. 400 x 535 mm, monté sur carton.
Jolie carte manuscrite, encre noire et aqaurelle, de la commune d'Yzernay, dans le Maine-et-Loire, à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Cholet. Y sont figurés les routes, les villages et les hameaux, les cours et étendues d'eau ainsi que les bois. Le plan de la ville d'Yzernay est placé dans un cartouche orné. Le titre est inscrit dans un cartouche architectural, flanqué de deux soldats, porté par deux éléphants, avec au sommet un soldat tenant un drapeau tricolore avec un aigle sur la hampe. La carte est orientée. Traces de pliures, petit trou au centre. Piqûres.
J.B. Dutertre, 1774. En trois feuilles jointes formant une carte de 0,50 x 2,60 m.
Magnifique carte du Canal royal de Languedoc entre Capestang et l'étang de Thau, de plus de 2,50 mètres de longueur, levée par ordre de Arthur Richard Dillon, archevêque et primat de Narbonne de 1763 à 1790, sous la direction de François Garipuy, ingénieur en chef des États du Languedoc. Elle a été gravée par Nicolas Chalmandrier, et imprimée par Jean-Baptiste François René Dutertre. L'exemplaire a été très finement colorié à l'époque. Cette carte en trois feuilles fait partie d'une grande carte du Canal de Languedoc, composée de quatre parties subdivisées en quinze feuilles. La première partie, composée de trois feuilles, montre le canal entre Toulouse et Renneville, la seconde, en cinq feuilles, entre Renneville et Trèbes, la troisième, en quatre feuilles, entre Trèbes et Capestang, et enfin la quatrième et dernière, en trois feuilles, entre Capestang et l'étang de Thau. Probablement pour pouvoir être vendues individuellement, et parce qu'elles ne peuvent pas être jointes, Chalmandrier a composé une bordure d'encadrement pour chacune des quatre parties, ainsi qu'un cartouche de titre. Les quinze feuilles, qui représentent les 240 km du canal, s'étendent sur plus de 11 mètres de longueur. La carte est décorée d'un superbe cartouche de titre inscrit sur un monument, orné, en tête, des armoiries d'Arthur Richard Dillon et d'insignes archiépiscopaux, avec la devise latine Dum spiro spero (Tant que je respire, j'espère), et en pied, des armoiries du Languedoc. En bas à droite figure un second cartouche, richement décoré d'amours et de guirlandes de fleurs, avec à nouveau les armoiries d'Arthur Richard Dillon, et celles du Languedoc. Dans la Méditerranée voguent deux vaisseaux, trois voiliers et deux barques chargées de rameurs. Les villes principales sont représentées par une citadelle aquarellée en rose, dont la taille varie selon l'importance de la ville ; les étangs, marais et rivières sont aquarellés en bleu-vert. L'échelle est de 2000 toises. Considéré comme l'une des merveilles du règne de Louis XIV, le Canal royal de Languedoc, reliant Toulouse et la Garonne à la Méditerranée, révolutionna le transport fluvial et la circulation dans le Midi. Conçu par l'architecte et ingénieur Pierre-Paul Riquet, le Canal des Mers Océane et Méditerranée, comme il était également appelé, fut construit de 1667 à 1681, et achevé par Vauban en 1693. Jusqu'à dix mille ouvriers participèrent au percement du canal, et à la construction de ses nombreux aqueducs et ouvrages. Il fut renommé Canal du Midi à la Révolution. En 1856, il sera prolongé jusqu’à l’Atlantique par le canal latéral à la Garonne. Le 7 décembre 1996, il est inscrit au Patrimoine mondial de l’humanité. François Garipuy (1711-1782), ingénieur en chef des États du Languedoc, fut directeur des travaux publics de la Sénéchaussée de Toulouse, puis de celle de Carcassonne. Graveur parisien de cartes et plans, Nicolas Chalmandrier a gravé six feuilles de la carte de Cassini, ainsi que des plans de villes françaises et étrangères comme Paris, Montpellier, Madrid ou Gibraltar. L'ingénieur et le graveur ont collaboré sur une autre carte du Canal royal, intitulée Carte générale du Canal Royal de la province de Languedoc, publiée par Laurent Aubert en 1771 (0,49 x 2,14 m). Bel et très rare exemplaire finement aquarellé à l'époque. Infimes rousseurs à l'extrême droite de la carte, mouillure claire dans la marge gauche. Thomas, Introduction à l'histoire générale de Languedoc, des bénédictins Fr.-Claude de Vic et Fr.-Joseph Vaissète, 1853, p. 109, 35 ; Société Languedocienne de Géographie, 1897, p. 161, Feuilles VIII à XXII ; Mémoires de la Société archéologique de Montpellier, Tome troisième, 1850-1854, p. 479, 35 ; Vannereau, Catalogue de l'exposition des cartes anciennes du Languedoc, Actes du quatre-vingt-sixième Congrès national des sociétés savantes, Montpellier, 1961, p. 554, 24.
[circa 1830]. 217 x 266 mm.
Belle vue de Bayonne et de sa citadelle, dessinée et gravée à l'aquatinte par Louis Ambroise Garneray. Peintre, graveur et homme de lettres, Garneray fut avant tout marin même si son père, élève de David, lui enseigna le dessin et la peinture. Après avoir servi sous différents commandements dont celui de Surcouf, il se retrouva pendant huit ans, prisonnier des pontons anglais. De retour au pays, il fut nommé Grand Amiral de France et devint, en 1833, directeur du Musée des Beaux-Arts de Rouen. Petites taches dans les marges, petites déchirures dans la marge inférieure restaurées.
[circa 1830]. 225 x 282 mm.
Belle vue du port de Bordeaux, dessinée et gravée à l'aquatinte par Louis Ambroise Garneray. Peintre, graveur et homme de lettres, Garneray fut avant tout marin même si son père, élève de David, lui enseigna le dessin et la peinture. Après avoir servi sous différents commandements dont celui de Surcouf, il se retrouva pendant huit ans, prisonnier des pontons anglais. De retour au pays, il fut nommé Grand Amiral de France et devint, en 1833, directeur du Musée des Beaux-Arts de Rouen. Petites rousseurs dans les marges gauche et droite, sinon bel exemplaire à grandes marges.
[circa 1830]. 224 x 286 mm.
Belle vue de Bordeaux, dessinée et gravée à l'aquatinte par Louis Ambroise Garneray. Peintre, graveur et homme de lettres, Garneray fut avant tout marin même si son père, élève de David, lui enseigna le dessin et la peinture. Après avoir servi sous différents commandements dont celui de Surcouf, il se retrouva pendant huit ans, prisonnier des pontons anglais. De retour au pays, il fut nommé Grand Amiral de France et devint, en 1833, directeur du Musée des Beaux-Arts de Rouen. Petites rousseurs marginales, sinon bel exemplaire à grandes marges.
circa 1830 217 x 295 mm.
Belle vue du port de Boulogne-sur-Mer, dessinée et gravée à l'aquatinte par Louis Ambroise Garneray. Peintre, graveur et homme de lettres, Garneray fut avant tout marin même si son père, élève de David, lui enseigna le dessin et la peinture. Après avoir servi sous différents commandements dont celui de Surcouf, il se retrouva pendant huit ans, prisonnier des pontons anglais. De retour au pays, il fut nommé Grand Amiral de France et devint, en 1833, directeur du Musée des Beaux-Arts de Rouen. Quelques rousseurs marginales. Exemplaire à grandes marges.