P. Poussièlgue. 1872. 2 volumes in 12 ,1/2 basane noire, 428 & 524p. Nb. notes.
3e.édition ,dos frottés, cachets bibliothéque,frontispice gravé
P, Poussielgue, 1892, 2 vols in12br, 496-524pp Langue: Français
Roma, LAS 1998 287pp., in the series "Istituto Storico Salesiano. Fonti, serie seconda" vol.8, 24cm., VG [introduzione, testo critico e note a cura di Brenno Casali]
Stock Stock 1972, In-8 broché, 380 pages. Trés bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
1843 Maison Basset, Paris, 1843. hand-coloured map, by George and Smith, BARBIE DU BOCAGE, , image size approximately 22,5 x 30 cm old original print / originale Druckgrafik
trace de mouillure claire en coin,bonnes marges
1843 Maison Basset, Paris, 1843. hand-coloured map, by George and Smith, BARBIE DU BOCAGE, , image size approximately 22,5 x 30 cm old original print / originale Druckgrafik
trace de mouillure claire en coin,bonnes marges
Paris, Librairie Hachette et Cie, 1907. In-4 de 84 pp. numérotées [37]-84 et [421]-456; demi-percaline verte, pièce de titre de chagrin grenat, fleuron central, filets or en pied, premier plat de couverture conservé (reliure de l’époque).
Réunion des livraisons 4 à 7 et 36 à 38 du t. XIII (nouvelle série) de la revue Le Tour du Monde, contenant l’ensemble des articles d’Emile Barbier sur la Bolivie. L’illustration comprend 2 cartes et 91 photographies imprimées in texte. Ces illustrations ont été établies à partir de photographies originales, probablement prises par l’auteur pendant son voyage, puis retouchées par l’éditeur. A l’exception de la première, elles ne sont pas signées. Exemplaire de l’auteur, enrichi de 51 photographies en double état, avant la lettre, imprimées sur papier et présentant un tirage plus contrasté que celui des illustrations in texte. Le volume contient aussi 29 ff. de notes dactylographiées de différents formats contenant des passages inédits, ainsi que quelques annotations manuscrites à l’encre rouge. Emile Barbier était, en 1907, chargé de mission du ministère du Commerce et ancien conseiller du Commerce extérieur de la France. En 1895, il effectua un voyage dans l’ouest et le centre de la Bolivie, ce qui lui permit de rencontrer les populations rurales et indiennes, tout en visitant les usines et les installations minières du pays. Cette étude s’ouvre par des considérations générales sur la Bolivie: géographie, composition ethnique, langues, gouvernement, commerce, ressources minières, exportations, monnaie. Barbier y dénonce notamment les conditions de quasi-esclavage dans lesquelles vivent les Indiens domestiqués, décrit les Cholos ou métis, donne des indications sur les deux principales langues locales, le quichua et l’aymara, puis évoque les mines d’or, de cuivre, d’étain et d’argent. Le chapitre suivant contient des renseignements pratiques pour toute personne qui voudrait visiter la Bolivie; les autres chapitres donnent une relation détaillée du voyage: A partir du port chilien d’Antofagasta, l’auteur traverse, en chemin de fer, plusieurs localités (Cuevitas, Calama, Ollagué), avant d’atteindre la Bolivie. Arrivé dans le pays, il passe par Uyuni, Challapata et Oruro, le terminus de la ligne. Vêtu d’un costume local, il se déplace alors en caravane, avec guides, chevaux et mulets, pour se diriger vers Tapacari et Cochabamba. Les étapes suivantes sont Misqui et Sucre (Chuquisaca). De là, il se rend à Potosi, puis à Huanchaca où il reprend le train pour retourner à Oruro. Il se dirige ensuite vers La Paz et Chililaya, puis il s’embarque sur un petit paquebot qui parcourt le lac Titicaca et le dépose à Puno, au Pérou. De là, il prend le chemin de fer, passe par Arequipa et arrive au port de Mollendo (Pérou). Le dernier chapitre concerne les départements nommés Beni, Santa Cruz et Tarija, situés au nord, à l’est et au sud de la Bolivie, où l’auteur n’a effectué qu’une brève incursion. Ces régions sont occupées essentiellement par les tribus indiennes des rampes orientales des Andes, dont certains territoires restent encore inexplorés. Les photographies se rapportent en grande majorité à la Bolivie: Indiens domestiqués, Chola de condition moyenne, Indiens chunchos de la région du Beni, types boliviens, deux cholas élégantes, conducteurs de caravanes de lamas, l’auteur en tenue de voyage (p. 50), Indiens boliviens employés dans une raffinerie de nitrate de soude, relais de voyageurs sur les hauts plateaux de la Bolivie, voie ferrée vers Pulacayo, Indienne d’Uyuni, muletiers boliviens, Indiens dansant devant la gare d’Uyuni, ouvriers des mines, concassement du minerai à Oruro, abri dans le massif de Huanchaca, Indiens et Cholos un jour de fête dans les environs de Cochabamba, Indiens de Potosi employés aux mines d’argent, vues de La Paz, Indiens embrigadés pour la récolte du caoutchouc, etc. Quelques-unes concernent le Chili, principalement le port d’Antofagasta: femme du peuple, débardeurs, débarquement du bétail, raffinerie de nitrate de soude. Deux autres montrent les habitants de Calama et la voie ferrée autour du volcan San Pedro. On joint: - Barbier (Emile). Note de l’auteur. Manuscrit dactylographié. S.l., février 1907, 3 pp. in-4 (au sujet d’une controverse avec le géographe Schrader). - Schrader (Frantz). La Bolivie contemporaine. S.l., février 1907, 2 pp. in-4 imprimées (extrait du Tour du Monde, contenant une critique des articles de Barbier). - Menu. Table gauloise. S.l., 7 septembre 1895, 1 p. in-4 imprimée sur bristol illustrée des portraits des participants au repas. Une note au crayon précise: «Le portrait de E. Barbier qui faisait partie du cénacle ci-dessous fut oublié parce que Barbier était en Bolivie au moment où ces portraits furent exécutés». - Clerc (Ch.). Lettre autographe signée à E. Barbier. Paris, 2 février 1904, 2 pp. in-8, en-tête imprimé «Lectures pour tous - Librairie Hachette & Cie». La célèbre maison d’éditions lui demande un article sur le Chili. - Carte de la Bolivie. S.l.n.d., 1 p. in-12 imprimée. - Liste des lecteurs chez Hachette. S.l.n.d., 1⁄2 p. in-12 manuscrite, au verso d’une invitation. Provenance: Emile Barbier. – Envoi autographe signé de l’auteur: «J’ai vécu ce livre. Je le dédie à mes enfants bien aimés Marcel et Simone». – Marcel Barbier, externe des hôpitaux de Paris (carte de visite contrecollée au verso du plat supérieur).
Paris Ernest Flammarion, Editeur 0 in 8 (27x21) 1 volume broché, couverture illustrée en couleurs, 244 pages [1], avec des illustrations de Gabriel Pernet. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon
Barbosa Felipe, Cabelo, Cadu, Clark Lygia, Collectif
Reference : 61886
(2006)
ISBN : 2850569402
Somogy éditions d'art 2006 In-8 broché 27,6 cm sur 22. 96 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
New York Cincinatti, Fr. Pustet & Co, 1891, sm. in-8vo, 15 p. (+ 1 white), without wrappers.
Not in Worldcat / Not in Sabin. An unknown Amrikana !. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Seuil 2006 In-4 relié 29 cm sur 27. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
New York, D. Appleton & Co, 1852. Fort in-8, bradel d’origine, pleine percaline noire ornée à froid, titre doré au dos, 295 pp., 17 pl. h.-t. dt le frontispice (15 lithographies et 2 pl. dépliantes dont la carte des routes interocéaniques), onglet d’errata relié in fine. Edition originale. Lettre manuscrite d'envoi, datée du 23 juin 1852, contrecollée au premier contreplat (1 p. in-8, en anglais)
La voie ferrée de l'isthme de Tehuantepec, achevée en 1907, fut concurrencée par la construction du Canal de Panama quelques années plus tard. Reliure frottée avec petits arrachements de toile sans gravité, très peu de rousseurs, petite restauration à la carte dépliante par pièce de toile cousue. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Savaète, Desclée de Brouwer 1898, gr in8br, 372pp Dos cassé. Langue: Français
New York, Prentice-Hall, 1945, lg. in-8°, XXI + 802 p., ill., clothbound, fine copy.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Limoges, Ardant, sans date Limoges, Ardant, sans date, vers 1880. In-8 relié demi-chagrin rouge, dos orné de petites étoiles dorées, titre doré, tranches dorées. Faux titre, frontispice, titre, VI + 304 pages. Illustrations hors texte. Quelques rousseurs.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Futur Luxe Nocturne 2004 In-8 broché, 235 pp.
Bon état d’occasion
1904 PARIS, Edité par Librairie Orientale & Américaine E. Guilmoto - 1904 - E.O. - Broché - Grand et fort In-8 - 64 illustrations, certaines P.P. & 4 cartes - V-468 pages - Bel exemplaire - Réf. 48057
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Avec un envoi de l'auteur en page de garde " affectueux souvenirs de l'auteur ". L'histoire se déroule en l'année 1585, sous le règne de Henri III. "Frère Ange" est un roman qui plonge dans l’histoire d’un moine, frère Ange, vivant dans un monastère isolé au cœur de la campagne. Ce dernier mène une vie de dévouement et de piété, mais son quotidien bascule lorsqu'il est confronté à un événement mystérieux qui ébranle ses certitudes et son rapport à la foi. Au fur et à mesure de l'intrigue, il se découvre un héritage et des passions qu'il n’avait jamais imaginées, qui l’éloignent de sa vocation religieuse. Le livre explore les dilemmes spirituels, les luttes intérieures et la quête de soi à travers le prisme du monachisme et de la confrontation avec le monde extérieur. Reliure demi cuir. vol in8, 180x120, 334 pages. Complet. Illustrations d'Edouard Zier Paris, Tours, ss date vers 1900 ref/28
Barcelone, José Cunill Sala, 1892. In-8, rel. d’éditeur percaline bordeaux ornée en noir, dos titré avec armes dorées du Costa-Rica, 350 pp.-[2]ff., texte espagnol, un plan sur double page et 45 pl. en noir h.t.
Coiffes et coins frottés, toile un peu salie au premier plat, petite faiblesse de la première charnière, quelques très rares rousseurs, sinon intérieur en bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Piget, Damonneville, Durand Paris 1743 1 vol. In-12 de 2 ff.n.ch. IV 250 pp. 1 f.n.ch.; demi-veau contemporain, dos à nerfs orné, pièce de titre, tranches jaspées.
Edition originale. Très bon exemplaire orné de 3 cartes et 16 planches gravées repliées. L'auteur, médecin botaniste, fut envoyé en 1722, par ordre du Roi, à la Guyane, où il séjourna pendant trois ans. A son retour il publia sa relation qui est très recherchée pour son exactitude (Leclerc 119). Il explora le pays, étudia la faune et la flore et les coutumes des habitants. On y trouve la description de la culture du café, de la canne à sucre, du rocou et du manioc (Sabin 3604 - Pritzel 426).
Librairie militaire de J. Dumaine Relié 1881 In-8 relié demi-chagrin rouge, dos à nerfs ornés, plats de percaline rouge, avec une carte et huit plans dépliants pour la première partie et deux cartes et un plan pour la deuxième partie, les deux reliés dans le même volume, rare ; coiffe supérieure frottée, tranches salies, rousseurs, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
P., Michel Lafon, 1996. In-4 cartonné, 502 pages abondamment illustré en noir et blanc.
Nouvelle édition complétée et jumelee de "L'Age d'or du rock'n'roll" et de " L'Age d'or de la rock music". Tour d'horizon complet des differentes déclinaisons du rock.
PR Inc In-8 Softcover Boston 1980
Good Pp. 497-649. Interview with Virgil Thomson, musician, etc. Contient notamment une entrevue avec le compositeur américain Virgil Thomson, etc
[entre 1875 et 1876]. 685 x 478 mm.
Exceptionnelle estampe, de toute rareté, figurant La Liberté éclairant le Monde, plus connue sous le nom de Statue de la Liberté, à l'entrée du port de New York. Elle a été lithographiée en deux tons et imprimée par Jules Chéret à Paris, sur les pierres de la Compagnie Générale des Carrières de Pierres Lithographiques, située à Paris. En bas à droite de l'estampe figure la mention Bartholdi scup.t, pour Bartholdi, sculpteur du monument. Cette estampe, lithographiée et imprimée entre 1875 et 1876, est l'une des toutes premières vues projetées de la Statue de la Liberté, quelques années avant qu'elle ne soit construite, érigée et inaugurée en 1886 sur Bedloe's Island (renommée Liberty Island en 1956), face à Long Island, là où débuta la Guerre d'Indépendance le 27 août 1776. Autour du piédestal de la statue, construit par les Américains sur les fondations du Fort Wood, ancien fort reconnaissable à son plan en étoile à 11 branches, construit entre 1806 et 1811, on aperçoit quelques promeneurs et des pêcheurs. Cette vue plongeante nous offre au second plan un large panorama de la ville, avec Manhattan, le fleuve Hudson, l'East River et le quartier de Brooklyn. Le pont de Brooklyn n'est pas visible puisqu'il sera inauguré en 1883. Le port de New York est animé de voiliers et de bateaux à vapeur. Sur la droite, on aperçoit également la pointe de l'île de Governors Island, avec la fortification de Castle Williams. Né le 2 août 1834 dans une famille de notables de Colmar (Haut-Rhin), Frédéric Auguste Bartholdi présenta très tôt des aptitudes certaines pour les arts. Après avoir essayé la peinture et la photographie, c'est vers la sculpture qu'il se tourne, essentiellement monumentale. Après un voyage initiatique en Orient, il travaille sur sa première commande, une statue du Général Rapp, haut personnage de l'Alsace ; inaugurée en 1856 à Colmar, elle contribuera grandement à le faire connaître. Patriote et républicain, Bartholdi est profondément révolté par l'annexion de l'Alsace et de la Lorraine par la Prusse en 1870, suite à la défaite de Sedan. Pour rendre hommage aux belfortains qui ont bravement affronté un terrible siège au cours du conflit, il sculpte le monumental Lion de Belfort en 1879, dont une réplique trône aujourd'hui place Denfert-Rochereau à Paris (Bartholdi, les Bâtisseurs de la Liberté. Exposition de photographies (1876-1886). Musée des Arts et Métiers, 2004-2005). En 1871, Édouard Lefebvre de Laboulaye, président du Comité de l'Union Franco-Américaine, souhaite sceller l'amitié entre la France et les États-Unis, et demande à Bartholdi de réaliser un monument commémoratif de l'Indépendance des États-Unis (1776-1876) qui sera offert par la France aux États-Unis. La construction de la statue débute en 1875 dans les ateliers Monduit et Bechet, situés à Paris. Le sculpteur élabore un premier modèle de son œuvre, d'une taille de 2,11 mètres, à partir duquel les ouvriers opèrent un découpage méthodique des différentes parties de la statue. L'architecte Eugène Viollet-Le-Duc, puis l'ingénieur Gustave Eiffel, participeront au projet. L'installation de la structure métallique et l'assemblage de l'enveloppe de la statue ont lieu en 1886 à New York. À leur arrivée le 25 octobre 1886, les membres de la délégation française entourant Auguste Bartholdi, découvrent, du pont du paquebot Bretagne, une œuvre monumentale de 93 mètres. La statue sera inaugurée le 28 octobre. La Liberté éclairant le monde connut d'emblée un immense succès. Elle restera l'oeuvre majeure du sculpteur Bartholdi, à laquelle il aura consacré quinze années de sa vie. Jules Chéret (1836-1932) est l'affichiste majeur de la Belle Époque. En 1866, il ouvre à Paris une imprimerie qui est la première à proposer des affiches illustrées lithographiées en couleurs. Il répond à la forte demande publicitaire liée à l'apparition de nouveaux produits, à l'évolution des modes de vente et au développement intense de l'industrie du spectacle. Il a ainsi joué un rôle décisif dans l'avènement de la publicité commerciale et culturelle. Inventeur de l’affiche en couleurs et de l'affiche illustrée publicitaire en France, surnommé par ses contemporains « le roi de l’affiche», sa production d’affiches pour les spectacles et la publicité entre le Second Empire et 1900 est considérable. Il a réalisé plus de 1 400 affiches qui ont accompagné l'entrée de la France dans la vie moderne. Parallèlement à sa carrière d'affichiste, il consacra la seconde partie de sa vie à la peinture décorative, et réalisa des œuvres pour ses mécènes mais aussi pour l'Hôtel de Ville de Paris, le musée Grévin, ou encore la préfecture de Nice (Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010). Cette estampe, d'une extrême rareté, est absente des collections publiques, françaises comme américaines. Elle manque également à toutes les bibliographies consacrées à Jules Chéret : Maindron, Les Affiches Illustrées (1886-1895), Paris, 1896 ; Beraldi, Les graveurs du XIXe siècle. Guide de l'amateur d'estampes modernes, 1886, Tome IV ; Broido, The Posters of Jules Chéret, Toronto, 1980 ; et enfin la plus récente, Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010. Cette dernière bibliographie est la plus complète de toutes. Elle recense les 1430 affiches de Jules Chéret, avec une illustration pour chaque affiche. Elle mentionne une planche intitulée La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876, mais celle-ci est plus petite que notre affiche (59 x 46 cm). C'est l'une des rares à ne pas être illustrée, car l'auteur de la bibliographie n'a pas été en mesure de la localiser. Notre vue est l'une des toutes premières vues projetées de la Statue de la Liberté. On retrouve cette illustration sur l'affiche publicitaire de Jules Chéret annonçant le diorama représentant le monument commémoratif de l'Indépendance des États-Unis d'Amérique, présenté au Palais de l'Industrie sur les Champs-Élysées. Ce diorama avait été réalisé dans le cadre d'une campagne de promotion lancée, dès 1875, par le Comité de l'Union Franco-Américaine, afin de lever des fonds. Le diorama fut présenté une première fois en août 1877 au Palais de l'Industrie (journal quotidien Le Rappel du 28 août 1877), puis une seconde fois aux Tuileries en 1878 (journal quotidien Le Rappel du 3 avril 1878). Un exemplaire de cette affiche publicitaire se trouve au Musée Bartholdi à Colmar ; le musée lui attribue la date de 1874 ; mais si l'on s'en tient à l'article du quotidien Le Rappel, cette date est erronée. Un autre exemplaire de cette affiche annonçant le diorama se trouve à la Bibliothèque Nationale de France, qui la date de 1876, mais la date est ici également erronée. On peut donc penser que notre affiche a été réalisée avant celle annonçant le diorama, plus précisément entre 1875, date de lancement de la campagne pour la levée des fonds, et 1876, date du centenaire. Exemplaire en très bonne condition. Deux petites restaurations anciennes dans les marges gauche et droite, très légères cassures dans la partie haute de l'estampe, petites taches claires au bas du titre anglais. BARTHOLDI (Frédéric Auguste). La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876. - Liberty enlightning the World. Centennial anniversary of United States Independance. French-American Union. 1776-1876. Bartholdi scup.t. Imprimé par JULES CHÉRET, 18, rue Brunel, PARIS, Sur les Pierres de la COMPAGNIE GÉNÉRALE DES CARRIÈRES DE PIERRES LITHOGRAPHIQUES, 3, rue Rossini, PARIS. [between 1875 and 1876]. 685 x 478 mm. 10 000 € Exceptional print, of an extreme rarity, depicting Liberty Enlightening the World, better known as the Statue of Liberty, at the entrance to the port of New York. It was lithographed in two tones and printed by Jules Chéret in Paris, on the stones of the Compagnie Générale des Carrières de Pierres Lithographiques, located in Paris. At the bottom right of the print appears the mention Bartholdi scup.t, for Bartholdi, sculptor of the monument. This print, lithographed and printed between 1875 and 1876, is one of the very first projected views of the Statue of Liberty, a few years before it was built, erected and inaugurated in 1886 on Bedloe's Island (renamed Liberty Island in 1956), facing Long Island, where the War of Independence began on August 27, 1776. Around the pedestal of the statue, built by the Americans on the foundations of Fort Wood, an old fort recognizable by its 11-pointed star plan, built between 1806 and 1811, we can see some walkers and fishermen. This bird's eye view offers us in the background a wide panorama of the city, with Manhattan, the Hudson River, the East River and the district of Brooklyn. The Brooklyn Bridge is not visible since it will be inaugurated in 1883. New York Harbor is bustling with sailboats and steamboats. On the right, we can also see the tip of Governors Island, with the fortification of Castle Williams. Born on August 2, 1834 in a family of notables from Colmar (Haut-Rhin), Frédéric Auguste Bartholdi showed very early some aptitudes for the arts. After trying painting and photography, he turned towards sculpture, essentially monumental. After an initiatory trip to the East, he worked on his first order, a statue of General Rapp, a high figure in Alsace; inaugurated in 1856 in Colmar, it will greatly contribute to making him known. A patriot and republican, Bartholdi was deeply revolted by the annexation of Alsace and Lorraine by Prussia in 1870, following the defeat of Sedan. To pay tribute to the people of Belfort who bravely faced a terrible siege during the conflict, he sculpted the monumental Lion of Belfort in 1879, a smaller replica of which now stands on Place Denfert-Rochereau in Paris (Bartholdi, les bâtisseurs de la Liberté. Exposition de photographies (1876-1886). Musée des Arts et Métiers, 2004-2005). In 1871, Édouard Lefebvre de Laboulaye, president of the Committee of the Franco-American Union, willing to seal the friendship between France and the United States, asked Bartholdi to work on a monument commemorating the Independence of the United States ( 1776-1876) which will be offered by France to the United States. Construction of the statue began in 1875 in the Monduit and Bechet workshops, located in Paris. The sculptor developed a first model of his work, measuring 2.11 meters, from which the workers carried out a methodical cutting of the different parts of the statue. The architect Eugène Viollet-Le-Duc, then the engineer Gustave Eiffel, will take part in the project. The installation of the metal structure and the assembly of the shell of the statue took place in 1886 in New York. Upon their arrival on October 25, 1886, the members of the French delegation surrounding Auguste Bartholdi, discovered, from the deck of the liner Bretagne, a monumental work of 93 meters. The statue will be unveiled on October 28. Liberty Enlightening the World was immediately a huge success. It will remain the major work of the sculptor Bartholdi, to which he devoted fifteen years of his life. Jules Chéret (1836-1932) was the major poster artist of the Belle Époque. In 1866, he opened a printing press in Paris which was the first to offer lithographed illustrated posters in color. He met the strong advertising demand linked to the appearance of new products, the evolution of sales methods and the intense development of the entertainment industry. He thus played a decisive role in the advent of commercial and cultural advertising. Inventor of the color poster and the illustrated advertising poster in France, nicknamed by his contemporaries "the king of the poster", his production of posters for shows and advertising between the Second Empire and 1900 was considerable. He produced more than 1,400 posters which accompanied France's entry into modern life. At the same time as his career as a poster artist, he devoted the second part of his life to decorative painting, and produced works for his patrons but also for the Hôtel de Ville in Paris, the Musée Grévin, or the prefecture of Nice (Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Cheìret. De l’affiche au deìcor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010). This extremely rare print is absent from public collections, both French and American. It is also missing from all the bibliographies devoted to Jules Chéret: Maindron, Les Affiches Illustrées (1886-1895), Paris, 1896 ; Beraldi, Les graveurs du XIXe siècle. Guide de l'amateur d'estampes modernes, 1886, Tome IV ; Broido, The Posters of Jules Chéret, Toronto, 1980 ; and the most recent, Bargiel & Le Men, La Belle Époque de Jules Chéret. De l’affiche au décor. Les Arts Décoratifs, Paris, 2010. This last bibliography is the most complete of all. It lists the 1,430 posters of Jules Chéret, with an illustration for each poster. It mentions a print entitled La Liberté éclairant le Monde. Centième anniversaire de l'Indépendance des États-Unis. Union Franco-Américaine. 1776-1876, with no other mention. But this one is smaller than our print (59 x 46 cm). It is one of the few not to be illustrated, as the author of the bibliography was unable to locate it (pp. 224-225, n°631, "Affiche non localisée"). This is one of the very first projected views of the Statue of Liberty. This illustration can be found on Jules Chéret's advertising poster announcing the diorama representing the monument commemorating the Independence of the United States of America, presented at the Palais de l'Industrie on the Champs-Élysées. This diorama had been made as part of a promotional campaign launched in 1875 by the Committee of the Franco-American Union, in order to raise funds. The diorama was presented for the first time in August 1877 at the Palais de l'Industrie (article in the daily newspaper Le Rappel of August 28, 1877), then a second time at the Tuileries in 1878 (article in the daily newspaper Le Rappel of April 3, 1878). The Bartholdi Museum in Colmar owns a copy of this advertising poster, and dates it from 1874, but from the article in the newspaper Le Rappel, this date is erroneous. The National Library of France also owns a copy of this poster announcing the diorama, and dates it from 1876, but again the date is erroneous. We can therefore assume that our poster was produced before the poster announcing the exhibition of the diorama, and more precisely between 1875, date of the launching of the campaign, and 1876, date of the centennial anniversary. Copy in very good condition. Two small old restorations in the left and right margins, very slight cracks in the upper part of the print, small light stains at the English title.