Paris.Génin.1958.In-8 relié avec jaquette illustrée en noir.577 p.avec Bibliographie et Table des Matières.BE.Quelques rousseurs sur les tranches.
1959 édition Genin paris 1959 In8 broché 577 pages - ex libris
Très bon état
P., Editions Génin, 1958, gr. in-8°, vi-577 pp, préface de T. S. Ashton, 10 cartes et figures, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Avec un Supplément bibliographique établi par A.-J. Bourde pp. 545 à 556. — "On ne saurait trop louer l'éditeur de permettre que le lecteur français prenne une connaissance aisée de ce bel et classique ouvrage d'histoire économique, dont tous les spécialistes s'accordent à reconnaître la valeur permanente. Publiée pour la première fois en français en 1906, cette étude fut revisée par l'auteur et publiée en anglais en 1928 ; la présente édition est conforme au texte anglais de 1928 ; l'importante bibliographie de P. M. a été mise à jour par A.-J. Bourde ; l'ouvrage est muni d'un index analytique." (Revue française de science politique, 1960)
Mitau, 25 avril 1808 in-4, [4] ff. n. ch., couverts d'une écriture fine et très lisible (environ 35/40 lignes par page), quelques ratures et biffures, en feuilles.
Malheureusement incomplet, ce mémoire d'émigration forme une réflexion des plus intéressantes sur les avantages et désavantages du séjour de Louis XVIII en Angleterre. Il fut rédigé juste après le calamiteux voyage qui conduisit le frère de Louis XVI de Mitau [Jelgava] à Gosfield Hall (septembre-octobre 1807).Le premier bifeuillet est complet, mais le second ne le continue pas : il manque au moins un feuillet entre les deux. De plus, un petit manque de papier en haut de la p. [5] prive le lecteur d'une phrase au moins p. [6].1. Premier bifeuillet. Pour le reste, le rédacteur, proche des Princes et apparemment demeuré dans le Palais de Mitau après le départ de Louis XVIII se montre au minimum sceptique sur le séjour anglais de ce dernier, d'autant que les conditions mises par le cabinet britannique s'étaient révélées drastiques : "Il se présente aujourd'hui une question de la plus haute importance : le Roi cherchera t-il à fixer sa résidence en Angleterre ? Il ne nous appartient pas de le décider ; mais jusqu'à ce que l'intention de Sa Majesté nous soit signifiée, il n'y a ni témérité ni présomption à se permettre d'en discuter les résultats. Nous ne raisonnerons que dans l'hyppothèse [sic] où le Roi pourroit se décider à rester en Angleterre, et d'abord nous demanderons ce que Sa Majesté peut espérer des Anglois, lorsque s'étant mis dans leur dépendance, elle ne pourra plus faire une démarche, ni entretenir aucune correspondance sans leur aveu et sans leur permission ? Est-on bien assuré des dispositions du gouvernement britannique en faveur de la famille des Bourbons ?" Tout le raisonnement respire une méfiance innée de l'Angleterre, traditionnelle en France, mais ravivée par le rôle réel ou supposé de la rivale dans les événements de la Révolution, depuis les émeutes de 1789 jusqu'à l'affaire de Quiberon. Le rédacteur incline manifestement en faveur de la Russie d'Alexandre Ier, même s'il faut se résigner à un séjour très à l'intérieur du pays, mais il estime que la Cour n'avait pas à quitter précipitamment Mitau.2. Second bifeuillet. Il concerne le même objet (le séjour de Louis XVIII en Angleterre), mais est formé apparemment d'une très longue citation d'un périodique politique anglais, bien informé et exposant la façon de voir des Britanniques sur cet événement, servant sans doute de pièce justificative à l'exposé précédent : "Nous croyons que le fait se réduit à ceci - il est certain que, malgré les paragraphes des journaux étrangers touchant l'intention de Louis XVIII de venir en Angleterre, notre gouvernement, loin d'avoir reçu aucun avis d'un pareil projet de la part de Sa Majesté Très Chrétienne, avoit toute raison de croire que les bruits répandus dans les papiers étrangers étoient entièrement dénués de fondement ; et ce n'a été que vers le milieu de la semaine dernière que l'on a reçu l'intimation de la résolution prise par cet illustre prince de venir dans ce pays ..." Le reste de l'article se montre plus que réticent à ce que l'Angleterre relève l'étendard des Bourbons et s'embarrasse de la personne du prétendant sur son sol, alors que, seule puissance encore en lutte contre Napoléon, elle a besoin de saisir toute ouverture ou perspective d'accomodement pour terminer le conflit. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1796) in-folio, [20] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne, soignée et très lisible (environ 30 lignes par page), en feuilles, cousu, dans emboîtage demi-basane violine, dos à nerfs orné de filets et pointillés dorés, filet et pointillés dorés sur les plats.
Passionnant rapport au Directoire exécutif d'un "informateur" envoyé en Angleterre, grosso modo un espion.Le texte, bien rédigé, soigneusement calligraphié, entremêle les étapes de son voyage avec des résumés de mémoires sur les différents objets qui faisaient partie de sa mission d'information, ce qui donne à son récit un côté brouillon. On a en effet successivement :1. Le récit de son arrivée à Douvres, via Calais, où il se débrouilla pour créer un incident douanier au secrétaire de l'ambassade d'Espagne.2. Une série d'aperçus successifs (et brefs) sur la composition du cabinet britannique, sur les principales figures politiques de l'émigration française, sur la police londonienne, sur un projet d'expédition de secours pour les Chouans. Ce dernier retient l'attention de notres espion : on parle de débarquer à Avranches. A partir de là, l'envoyé fait ce qui semble le plus naturel : une infiltration. Il cherche à se faire passer pour un agent des Chouans auprès des émigrés les plus impliqués dans un débarquement éventuel.3. Le compte-rendu de plusieurs conférences qu'il eut en cette qualité avec un des représentants de l'émigration, qu'il appelle Nantier, mais qui est plus vraisemblablement celui qui se faisait appeler le baron de Nantiat, et dont il est question dans les Mémoires de Puisaye, comme d'un agent particulièrement remuant des milieux français londoniens. Il avait été l'un des principaux organisateurs de l'Expédition de Quiberon.4. Un long exposé intitulé Forces générales de la Grande-Bretagne (ff. 6v - 11), dans lequel il essaye de donner un aperçu des plus détaillés de la situation des forces armées britanniques, divisées en quatre classes : troupes de ligne, milice, les Fencibles (de "defencible") - levées de volontaires encadrés par des officiers d'active et destinés à protéger le territoire d'un débarquement hostile -, et naturellement la marine, force la plus considérable du pays.5. L'analyse d'une brochure anglaise sur le caractère de Georges-Félix de Wimpfen (ff. 11v - 12). Ce dernier se cachait alors dans la région de Bayeux après son imprudente action en faveur des Girondins en juin 1793.6. Un compte-rendu des agissements prévaricateurs d'un dénommé Courson, inspecteur général de l'artillerie, chargé de l'achat de 1000 chevaux à Wesel.7. Le récit très détaillé de son arrestation un 14 février, de sa comparution devant un juge de paix, de ses interrogatoires devant le Privy Council, et de sa détention dans une prison londonienne avant son expulsion à Hambourg où il arriva le 30 avril (ff. 14-17). Il y demeura jusqu'au 11 mai avant de retourner à Paris. D'après les informations collectées, il semble qu'il fut trahi auprès de Nantiat par des fuites en provenance de Calais. Ce dernier était d'ailleurs venu le visiter en prison deux jours avant son expulsion, pour lui révéler qu'il n'avait jamais été dupe de sa qualité d'espion du Directoire. Les interrogatoires menés par le duc de Portland (William Cavendish-Bentick, 1738-1809) comme secrétaire d'Etat de l'Intérieur portèrent sur les activités (commerciales) du prévenu, sa connaissance du Directoire, la possession de cartes de la Grande-Bretagne trouvées dans ses papiers, etc.8. Un rapport final sur l'accessibilité des ports anglais (Deal et Douvres).Un dernier mot sur le dernier feuillet promet un rapport plus complet : "Je remettrai au Directoire un supplément dans lequel se trouveront les détails que le tems ne me permet pas d'insérer dans le présent rapport et qui ne seront cependant pas dénués d'intérêt".Tel quel, ce rapport est passionnant non tant par les événements décrits que par la lumière qu'il jette sur les pratiques d'information en usage chez les deux gouvernements ennemis de France et de Grande-Bretagne, avec, comme intermédiaire nécessaire, les milieux émigrés de Londres. De chaque côté, l'enjeu immédiat est d'organiser un débarquement militaire sur les côtes de l'adversaire (ce fut Quiberon en juin 1795 pour les Anglais et les émigrés ; l'Irlande en 1797 pour le Directoire).La date et l'attribution sont en revanche plus délicates à établir. Pour la date, on peut suggérer avec vraisemblance le début de l'année 1796 (le Directoire est en place,consécutivement à l'Affaire de Quiberon, les services sont obsédés par les possibilités de débarquement). En revanche, il semble très difficile d'attribuer avec certitude le texte à un agent précis, le Directoire ayant employé quantité de personnes (pas forcément liées au régime) pour les missions de renseignement. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l., avril 1868 in-folio, [10] ff. anopisthographes n. ch., couverts d'une écriture épaisse, régulière et très lisible, biffures au crayon de bois, 10 ff. vierges, en feuilles, cousu.
Daté du 15 avril 1868, le document est signé du général de division directeur du Conservatoire impérial des arts et métiers, à savoir Arthur-Jules Morin (1795-1880), ingénieur militaire nommé à ce poste en 1854 (il le conserva jusqu'à sa mort).Le texte semble constituer le brouillon, au demeurant contourné, d'un article ou d'un mémoire sur une question parlementaire agitée à l'époque : "Tandis que, depuis sa dernière session, la Chambre des députés, saisie d'un projet de loi sur l'enseignement technique, hésite et ne paraît pas sentir l'importance politique et industrielle du développement de l'instruction scientifique répandue parmi les travailleurs de tous les rangs, les Anglais, adoptant les principes sur lesquels ce projet de loi est basé, en ont soumis un analogue à la délibération du Parlement" (version avant les corrections manuscrites au crayon de bois).Suivent la traduction d'un article du Journal de la société des arts de Londres (Journal of the Royal society of arts, 10 avril 1868), sur les donations de Joseph Withworth (1803-1887, industriel qui donna une impulsion décisive au développement de l'enseignement technologique en Grande-Bretagne), ainsi que des extraits des débats à la Chambre des Lords.À cette époque, la question de l'enseignement technique (ou "professionnel" comme on dit aujourd'hui) accusait un retard considérable en France : L’exposition universelle de Londres ayant montré le retard du pays en cette matière, le ministre de l’Agriculture, du Commerce et des Travaux publics avait chargé une commission d’étudier le développement de l’enseignement professionnel. A l’issue de ses travaux, qui durèrent quand même de 1863 à 1865, elle élabora la première définition officielle de l’enseignement technique mais se prononça contre une organisation générale de cet enseignement par l’État ... - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1847) in-folio, titre, 57 pp., couvertes d'une écriture régulière, fine, lisible (environ 30 lignes par page), avec des biffures et ratures, en feuilles, cousu.
Ce long texte forme une traduction en français des débats engagés le 5 mars 1847 à la Chambre des Lords autour de la seconde lecture du Custody of offenders bill. Le texte anglais qui a servi de base est celui donné par le Times du lendemain, 6 mars 1847 ; les ratures et biffures correspondent aux hésitations du traducteur pour rendre certaines expressions. Le début du texte original est le suivant : I beg now to move that this Bill be read a second time. The object of the Bill is not one of any considerable importance. Its scope is confined to little more than assimilating the law with respect to Irish offenders, to the law as it now exists in Great Britain. Et le traducteur le suit phrase à phrase.L'essentiel de l'intervention est donc constitué par l'intervention du comte Grey, avec les questions et interruptions ordinaires dans les débats de la Chambre. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Armand Colin Paris, Armand Colin, 1965. Grand et fort In-8 broché de 708 pages Très Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
S.E.D.E.S.. 1967. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais. 348 pages. Premier plat illustré en couleurs.. . . . Classification Dewey : 942-Angleterre
Classification Dewey : 942-Angleterre
CHAMPION Edouard. 1925. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 315 pages. Dos renforcé par une bande, avec code de bibliothèque sur la coiffe en-tête. Tampons de bibliothèque sur la page de titre et dans quelques marges.. . . . Classification Dewey : 942-Angleterre
Classification Dewey : 942-Angleterre
CHAMPION Edouard. 1925. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. XXII + 326 pages. Dos renforcé par une bande, avec code de bibliothèque sur la coiffe en-tête. Tampons de bibliothèque sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 942-Angleterre
Classification Dewey : 942-Angleterre
1953 Hachette, 1953, 190 pages, in 8 reliure éditeur cartonnée, état d'usage, quelques usures et frottements sur le bords des plats et les coins.
Librairie Larousse. Non daté. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 174 pages. Texte en français et en anglais en regard. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque.. . . . Classification Dewey : 942-Angleterre
5e édition. 'Méthode rationnelle pour apprendre l'anglais', 3e Livre. Classification Dewey : 942-Angleterre
Hollier-Larouse and Co, Paris. Non daté. In-12. Relié. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 174 pages (même pagination sur 2 pages en regard). Texte en français et en anglais en regard. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque. Annotations au crayon dans le texte.. . . . Classification Dewey : 942-Angleterre
'Méthode rationnelle pour apprendre l'anglais', 3e Livre. 4e édition. Classification Dewey : 942-Angleterre
"1908. Paris éditions Arthur Rousseau Bibliothèque du Musée Social 1908. - Broché 12 cm x 19 cm 89 pages - Texte de Marcel Kleine - Bibliographie anglaise - Une tache sur la couv. sinon bon état"
Paris, Lebigre-Duquesne frères, 1858 in-12, [2] ff. n. ch., 359 pp., broché sous couverture imprimée. Rousseurs.
Édition originale. Charles de Bussy est le pseudonyme du pamphlétaire Charles Marchal (1822-1870), l'auteur de Pourquoi j'ai été républicain, pourquoi je ne le suis plus (1854). Dans cet ouvrage, Bussy s'insurge contre les activités politiques menées en toute impunité depuis la trop tolérante ville de Londres par des anciens meneurs de 1848 (Mazzini, Ledru-Rollin, Kossuth etc.). Il faut dire que la capitale anglaise accueillait alors tout ce que l'Europe comptait d'agités et d'agitateurs qui continuaient en toute impunité depuis l'exil leurs activités de déstabilisation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Quesnay de Beaurepaire] - Marchal (Gustave), [Quesnay de Beaurepaire (illustré de 26 gravures hors texte inédites par)]
Reference : 3890
(1894)
1894 1894 Librairie de Firmin-Didot et Cie, Paris, 1894. Un volume in-4 demi chagrin noir, dos à nerfs orné de fleurons dorés, titre doré, plat supérieur frappé de la mention Lycée Henry IV, fr., 368 pp. et illustrations hors-texte. Bel exemplaire.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
PARIS, chez J. Renouard, & cie - 1856 - E.O. - In-8 - Broché - Couverture muette - 398 pages - Exemplaire non coupé - bon exemplaire
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Margot Holmes, Angleterre? (propriétaire), Ex-libris. Ex-libris ( 35*28mm). [329-1]
Paris/Tournai, H.Casterman 1859 xvi + 544pp., non coupé, cet exemplaire a été déposé à l'administration communale de Tournai & signé par l'éditeur H.Casterman, dos peu restauré sinon en bel état, R32515
Paris/ Tournai, Casterman 1859 xvi + 544pp., reliure cart. (qqs.traces d'usage, plats marbrés), 23cm., cachet, R50446
PTIKIN PICTORIALS Ltd. NON DATE. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 26 pages augmentées de nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte - 1er et 2e plats en couleur.. . . . Classification Dewey : 942-Angleterre
OUVRAGE EN ANGLAIS / A Royal Family album From The Days of Queen Victoria To H.R.H. Prince Charles of edinburgh. Classification Dewey : 942-Angleterre
Saint-Cloud, Chez l'auteur, 1968, in-8°, 243 pp, 8 pl. de gravures hors texte, reliure simili-cuir bordeaux éditeur, bon état. Edition originale, un des 500 ex. de luxe numérotés
Lyon, Editions " Oeuvre des Bonnes Lectures ", 1909, format 23x14,5cm, broché, 162 pages, bon état.