Hachette. 1888. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 345 pages. Auteur et titre dorés sur pièce de titre. Caissons.. . . . Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Deuxième édition. Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Paris, Hachette 1888, 185x115mm, XXVIII - 345pages, demi-percaline. Plats papier marbré. Auteur et titre dorés au dos. Bel exemplaire.
Cachet de bibliothèque. Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
HACHETTE et Cie. 3ème édition, 1890.IN12 pleine toile ,dos lisse titré, 346 pages. tampon de bibliothèque sur la page de titre
correct,un peu frotté.Ernest Lavisse, 1842 / 1922, historien français. Lavisse, boursier, intègre l'École normale supérieure en 1862. Il devient très rapidement précepteur du prince impérial sur recommandation de Duruy puis membre de son cabinet. La défaite de 1870 touche au plus profond de lui-même ce protégé du régime. Décidé à uvrer pour sa patrie vaincue, muni dun modeste viatique, il part étudier le fonctionnement du système universitaire de l'Allemagne victorieuse. Durant trois années, il étudie sur place l'histoire et les origines de la Prusse, thème qui restera sa spécialité.
Hachette, 1894, in-8°, xiii-451 pp, 2e édition, biblio, reliure demi-basane rouge, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), plats lég. frottés, qqs rares rousseurs, bon état
"Un ouvrage fort utile sur Frédéric de Prusse, et qui a été souvent démarqué par Gaxotte." (C. Michaud, Dix-Huitième Siècle) — "Personne plus peut-être que M. Lavisse n'a éclairé d'un jour nouveau les origines de la monarchie prussienne : il en est à son quatrième ou cinquième ouvrage sur ce sujet, et celui qu'il publie aujourd'hui ne semble pas le moins piquant. Tout, en effet, était à peu près connu sur le Grand Frédéric, si ce n'est sa jeunesse : dès qu'il atteignit l'âge d'homme, il arrangea sa vie, pour la postérité, avec une habileté dont il faut se méfier souvent, mais aussi avec un éclat qui ne laisse rien dans l'ombre. Ses premières années, si dures et qui font si peu d'honneur à la famille royale de Prusse, ont été au contraire systématiquement dérobées aux yeux des profanes et il a fallu une singulière ténacité pour en retrouver la trace. La longue bibliographie, placée en tête du volume, peut donner une idée du travail opiniâtre auquel M. Lavisse s'est livré. II a fait mieux il a voulu consulter aussi les lieux qui ont été témoins de tous les incidents pathétiques de la lutte du père et du fils (...) La « jeunesse » valait la peine d'être racontée, et elle a trouvé son historien." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1892)
Paris, Hachette, 1916, in 12, broché, XIII-451 pp; dos cassé
PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Hachette, 1893-1899, 2 vol. in-8°, xiii-451 et xiv-373 pp, reliures demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs, têtes dorées, couv. conservées (rel. de l'époque), papier lég. jauni, rousseurs au 2e vol., bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
Hachette, 1893, fort in-8°, xvii-373 pp, biblio, reliure demi-maroquin caramel, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et date en queue dorés, filet doré sur les plats (rel. de l'époque), un mors fendu sur 3 cm, trace de mouillure ancienne en marge inf. des feuillets (sans atteinte au texte), bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
Hachette, 1893, in-8°, xvii-373 pp, broché, dos factice, bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
COLIN Armand & Cie. 3ème édition. 1888. In-12. Cartonné. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Rousseurs. 295 pages. 1er plat décoré aux armoiries du Lycée d'Auch.. . . . Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
ARMAND COLIN ET CIE. 1888. In-12. Broché. A relier, 1er plat abîmé, Dos abîmé, Mouillures. 295 pages. Second plat manquant. Dos cassé, ouvrage en plusieurs parties.. . . . Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Armand Colin, s.d. (1888), in-12, 295 pp, proclamations, discours et messages des empereurs Frédéric III et Guillaume II en annexe (pp 267-295), reliure demi-percaline bordeaux, dos lisse, pièce de titre basane noire (rel. de l'époque), qqs rares et pâles rousseurs, bon état
Le portrait comparé des trois empereurs d'Allemagne par l'historien Ernest Lavisse (1842-1922). Élève de l'École Normale supérieure, reçu deuxième à l'agrégation d'histoire derrière Gabriel Monod, il devient secrétaire du cabinet du ministre de l'Instruction publique Victor Duruy (1865-1868) puis est nommé précepteur adjoint du prince impérial Louis-Napoléon en 1868. Il se rallie définitivement au régime républicain en 1877. En 1888, il accède à la chaire d'histoire moderne à la Sorbonne. À cette époque, il a surtout publié des ouvrages sur l'Allemagne où il avait passé trois ans après 1870 : Étude sur l’histoire de la Prusse (1879) ; Essai sur l'Allemagne impériale (1881) ; Trois Empereurs d’Allemagne (1888). Sa carrière se déploya ensuite jusqu'à faire de lui « l'instituteur national » de la Troisième République. — "Ses cours publics, à certaines heures, furent pour lui des triomphes : nul de ses auditeurs n'a pu oublier les leçons qu'il professait en 1888 sur Guillaume Ier, Frédéric III et Guillaume II, durant ces cent jours qui virent se succéder, sur le trône allemand, trois empereurs..." (René Doumic, Revue des Deux Mondes, 1922)
Berlin, Junker und Dünnhaupt, 1935. In-8° br., 88 pp., index (Neue Deutsche Forschungen, 38).
Originalbroschur etwas gebräunt u. ausgefranst. Innen sauber. Gut Erhaltung. Mit handschriftlich Exlibris. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Giessen, 1935 92pp., 23cm., text in German, Doctoral Dissertation (Dissertation zur Erlangung der Doktorwürde bei der Philosophischen Fakultät der Hessischen Ludwigs-Universität zu Gissen), stamp, text is clean and bright, T113123
Hamburg, 1999 vi + 227pp., 30cm., Doctoral Dissertation (Dissertation zur Erlangung des Grades der Doktorin der Philosophie beim Fachbereich Sprachwissenschaften der Universität Hamburg), softcover (small label at lower end of spine), stamp at verso of title page, text is clean and bright, weight: 1.2kg., T112919
1936 Editions Georges Rochat, 1936, 203 pages, in 12 broché, état moyen, coins cornés, pliures, usures et frottements sur les bords des plats (déchirures).
P., Louis-Michaud (Collection "Anthologie des Classiques de Toutes les Epoques et de Tous les Pays"), sans date, in 12 broché, 223pp. ; non coupé. Bel exemplaire.
PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P, F Didot, 1842 , gr in8 1/2 chagrin rouge, dos lisse richement orné, pièces de titres noires , 72 planches HT gravées. Autriche, Boheme, Hongrie , Prusse , Bavière , Wutenberg , Bade , Brunswick , Anholt , Shwarsbourg , Saxe . Langue: Français
Firmin Didot Frères. 1838. In-8. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Coins frottés, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 495 pages +95 planches d'illustrations en noir et blanc hors texte. Texte sur deux colonnes. Contreplats jaspés. Dos cuir à titre, filets et motifs dorés. Dos déchiré en coiffe de tête, mors fendus.. . . . Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
FIRMIN DIDOT FRERES. 1838. In-12. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 480 pages + de très nombreuses planches de gravures en noir et blanc. Titre, tomaison et fleurons dorés sur demi-chagrin vert.. . . . Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Paris, Firmin Didot, 1842, in-8°, au total 676 p. + 76 gravures hors-texte, non rogné, rousseurs, inversion de cahiers dans la partie sur la Saxe, (sans manqe), cartonnage originale .
L’ouvrage contient les parties suivantes: 2 ff. + 140 p. (Autriche) + 78 p (Bohême) + 78 p. (Hongrie) + 80 p. (Prusse) + 64 p. (Bavière) + 40 p. (Wurtemberg) + 48 p. (Saxe) + 144 p. (Bade, Hesse, Brunswick, etc.). Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
P., Firmin Didot (Collection "L'Univers. Histoire et Description de tous les Peuples"), 1842, in 8° relié demi-basane bleue, dos lisse orné ; texte sur deux colonnes ; des rousseurs. Exemplaire dérelié et cassé, auquel il manque le chapitre "Grand Duché d'Oldenbourg et Seigneurie de Kniphausen", ainsi que les 2 premières pagesdu "Duché de Nassau".
Illustré de 68 planches gravées hors-texte, sur 76.Autriche (140 pages - 27 planches) - Bohême (88 pages - 4 planches) - Hongrie (79 pages, dont un feuillet inversé - 6 planches) - Prusse (80 pages - 16 planches) - Bavière (63 pages - 4 planches) - Wurtemberg (40 pages - 2 planches) - Grand Duché de Bade, Etats Hessois, Etats de la Maison de Brunswick, et Petites principautés souveraines de la Confédération Germanique (144 pages - 4 planches) - Saxe (47 pages - 4 planches) ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Firmin-Didot, 1839, 2 vol. in-8 rel. 1/2 peau, 495 p - 480 p.,"L'Univers. Histoire et description de tous les peuples", une centaine de gravures in-fine pour chaque volume, texte sur deux colonnes, deux cartes dépl., dos à 4 faux-nerfs et fleurons, angles des plats un peu frottés, intérieur frais sans rousseurs, bonnes reliures d'époque solides, bon état.
Voir le sommaire sur photos jointes.
Paris, Firmin Didot Frères, 1838, EDITION ORIGINALE, 2 vol., in-8, demi chagrin bleu foncé, titre et tomaison avec décors dorés sur dos à 4 nerfs, plats papier marbré bleu et noir, reliure d'époque, 495 - (1) - 480 pp., texte sur deux colonnes, tranches marbrés multicolores, ill. par 1 carte en noir dépliable de Th. Duvotenay et 195 gravures en noir hors texte, Tables des matières, Explications des planches, L'auteur, né le 17 juin 1794 à Paris où il est mort le 16 mai 1860, etait un helléniste, épigraphiste, archéologue et traducteur français. Maître de conférences à l’École normale supérieure, responsable de la bibliothèque de la Sorbonne, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, président de l'Institut de France. Il est surtout connu comme le précepteur de Napoléon III. Nos deux volumes font partie d'une ambitieuse collection qui nous permet de découvrir l'histoire, la géographie, les mœurs et la description de tous les peuples du monde entier. Des textes écrit par des "spécialistes" de l'époque et avec ssurtout de très belles cartes et gravures en noir hors texte. Belle présentation dans une agréable reliure d'époque en très bon état. RARE. Très bon état général; quelques très légères épidermures sur les deux reliures maus restaurées; rousseurs éparses habituelles
Paris, Didot frères, 1838, in-8°, IV (titre avec marque de l'éditeur) + 1 carte (Germanie ancienne, par Th. Duvotenay) + 480 p. (texte sur deux colonnes) + 100 planches gravées (numérotées de 101 à 200), quelques rousseurs, reliure en demi-cuir, dos orné.
Ouvrage abondamment illustré de vulgarisation historique sur l'Allemagne, de 1273 (avènement de Rodolphe Ier de Habsbourg) jusqu'à l'époque contemporaine.
Phone number : 41 (0)26 3223808
1838 Paris, Didot frères, 1838, 2 volumes cartonnage ed.in-8°, IV (titre avec marque de l'éditeur) 495p.+ 2 cartes (Germanie ancienne, par Th. Duvotenay) + 480 p. (texte sur deux colonnes) + 200 planches gravées sur acier h.-t.(numérotées de 1 à 200), quelques rousseurs, reliure cartonnage ed., Usures ou accroc aux coiffes de tête, rousseurs sans gravité, bon ex.
Ouvrage abondamment illustré de vulgarisation historique sur l'Allemagne, de 1273 (avènement de Rodolphe Ier de Habsbourg) jusqu'à l'époque contemporaine