‎LES EGLOGUES DE VIRGILE. Avec les illustrations d'Adolphe Giraldon gravées sur bois en couleurs par FLORIAN. Préface par E. GEBHART de l'Académie française. Texte établi par H. GOEZLER‎

‎ Paris Plon-Nourrit et Cie 1906 -in-folio emboitage un volume, en feuillets libres avec couverture rempliée gauffrée sous portefeuille pleine toile crème grand in-folio Editeur (Editor cloth-bound in-folio) (24 x 34,8 cm), couverture imprimée en relief avec décor et titre dorés rempliée, sous portefeuille d'Editeur orné lui aussi d'une 1ère de couverture imprimée en relief avec décor et titre dorés, Tirage Limité à 301 exemplaires ; 1/280 exemplaires sur papier à la forme des usines d'Arches (N°273), orné de 55 compositions originales par GIRALDON,gravées sur bois en trois couleurs par FLORIAN : soit un titre-frontispice, un portrait, 10 titre ornés, 10 bandeaux, 10 cul-de-lampe et 23 encadrements. Texte en latin, [12]-65-[5] pages, 1906 Paris, Plon-Nourrit et Cie Editeur,‎

‎Note : Un autre titre avec fig. et encadr. en coul. porte : "P. Virgilii Maronis Bucolica".....trés RARE....... Très bel exemplaire de ce superbe ouvrage typiquement Art Nouveau.........en bon état (good condition). bon état ‎

‎"Lutèce" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juin) 1898, sujet : 19,5x36cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Adolphe Giraldon pour L'Estampe Moderne, série numéro 14 publiée en juin 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, quelques rousseurs, traces de pliures angulaires. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎"Lutèce" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juin) 1898, sujet : 19,5x36cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Adolphe Giraldon pour L'Estampe Moderne, série numéro 14 publiée en juin 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; traces de pliures angulaires. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Le Centaure. La Bacchante.‎

‎Paris, Plon Nourrit & Cie, 1925. In-8 en feuilles, couverture rempliée illustrée, chemise et étui. Orné de 12 illustrations dans le texte. Tiré à 331 exemplaires, celui-ci sur papier à la cuve d’Arches. ‎

‎Le Centaure. La Bacchante.-‎

‎Préface de Charles Maurras. Illustrations d'Adolphe Giraldon. Plon-Nourrit. 1925. Gd in-8 (17,8 x 24,2cm) plein chagrin orange brûlée, dos à 5 nerfs, tête dorée, double filets or sur les contreplats, emboîtage, couverture illustrée d'un médaillon brun et or conservée, 62pp., texte imprimé en vert bordé à chaque page d'un double bandeau en couleurs. 1 des 30 exemplaires de tête (après l'exemplaire unique) sur papier sur Japon avec une double suite d'états décomposés des bois sur Japon mince et sur Chine. Très bel exemplaire.‎

‎La Vie des abeilles.‎

‎Paris, Ferroud, 1914-1918. Grand in-8 (154 x 249 mm), 255 pp., 1 f. n. ch. Maroquin vert janséniste, dos à nerfs, auteur, titre, date et abeilles dorés, doublure de maroquin olive ornée d'abeilles avec un encadrement végétal composé de fers dorés et à froid et de maroquin mosaïqué bordeaux, rouge, vert et brun, gardes de soie décorées de motifs végétaux, tranches dorées, dos et couvertures conservés, dos avec légères marques de frottement et légèrement et uniformément passé ; p.156 : suite sur Chine en couleurs : petit trou dans la planche (René Aussourd, 1919).‎

8 Images

‎Un des 55 sur Japon avec trois états des illustrations. Cette "édition recherchée et cotée." (Carteret) est illustrée de 32 compositions d'Adolphe Giraldon gravées sur bois en couleurs par Florian : 8 hors texte dont un frontispice, 8 titres de chapitres illustrés, 7 en-têtes, 7 culs-de-lampe, 1 vignette de couverture et 1 vignette de titre. Né à Marseille en 1855 ; petit-fils de l'éditeur Jean-Baptiste Giraldon, il commença à illustrer à partir de 1885. Il fut pendant plusieurs années professeur à l'école d'art de Glasgow et créa un caractère typographique qui porte le même nom. Il contribua à quelques-uns des plus beaux illustrés de style Art nouveau et Art déco. Il fut, avec Jules Chadel, l'un des premiers décorateurs de reliures. On peut lire au dernier feuillet des informations sur la création de l'ouvrage : "Le 1er août 1914 tout fur arrêté. En 1916 "La Semeuse" ouvrit de nouveau ses ateliers. Martin [prote] était mort pour la France et Henri Guillemain [pressier] cruellement blessé en 1914 tentait, en vain, de continuer son travail. Ch. Clément voulut bien mettre au point la gravure des bois et le 1er mai de l'année de guerre 1918 […] l'impression de La Vie des abeilles fut achevée." Cet ouvrage a été imprimé à 1200 exemplaires numérotés. Celui-ci est un des 55 (n°77) sur Japon impérial après 30 sur Japon impérial au format in-8. Il comprend trois états pour les hors texte (un sur Chine en noir avec remarques, un sur Chine en couleurs avec remarques et un sur Japon en couleurs) et une suite supplémentaire sur Chine en noir pour les illustrations d'en-têtes et les culs-de-lampe. Cet exemplaire a été enrichi d'un portrait de l'auteur gravé en héliogravure. Cet exemplaire a été remarquablement relié en maroquin de René Aussourd strictement contemporain. La reliure est doublée et mosaïquée et est ornée d'un semé d'abeilles. René Aussourd était le neveu de Charles Meunier et élève de Chambolle-Duru. Il ouvrit son atelier en 1912. Ses reliures, classiques et d'une exécution parfaite, ont toujours été reconnues au même titre que celles de ses confrères plus novateurs. Très bel exemplaire en maroquin doublé et mosaïqué de René Aussourd. Carteret, Le Trésor du bibliophile, livres illustrés modernes 1875-1945, IV, p. 259 ; Mahé, Bibliographie des livres de luxe…, II, p. 766 ; Crauzat E. de, La Reliure française de 1900 à 1925, I, p. 48-49.‎

‎LES MEMOIRES DU SIEUR DE PONTIS, OFFICIER DES ARMÉES DU ROY.‎

‎Hachette 1898 illustrations de Julien le Blant et Giraldon Reliure éditeur, tête or, demi bas à coins, titre et plats ornés. Frottements sur le dos.‎

‎1578 Bénédict-Louis de Pontis. Le village de Pontis à eu un rôle clé dans l’histoire des voies de communication entre la Provence et le Dauphiné. A la confluence des torrents alpestres de la Durance et de l’Ubaye, Pontis contrôlait l’accès des Hautes vallées riches en pâturages d’estives. Pour passer d’une vallée à l’autre « Ubaye-Durance », le chemin du col de Pontis était préféré à celui du lit des cours d’eau trop menacé par les crues. Ainsi les bergers et leurs troupeaux transhumants, les voyageurs passaient-ils par Pontis dont le Seigneur était un personnage puissant, capable d’affirmer son autonomie face aux états en compétitions dans cette zone des Alpes (Provence, Dauphiné, Savoie).‎

‎Partition de la chanson : Boléro Numéro 3 pour Contralto ou Basse ‎

‎ Lemoine Henri 1892 approx.‎

‎ Bon état Grand format Piano ‎