Reference : 13353
Monaco, Les Documents d'Art, 1943. 200 X 245 mm. en feulles sous couverture rempliée et double emboîtage. 214 pp. Illustré de 24 eaux-fortes originales en couleurs par Maurice Leroy. Edition tirée à 750 ex. num. sur vélin Lana. Emboîtage pâli.
Phone number : 41 021 964 60 10
Eaux-fortes originales de Maurice Leroy.Tirage limité à 700 exemplaires, tous sur vélin d'Arches. Celui-ci (N°30) un des 19 auxquels il à été joint une suite avec remarques des 19 cuivres et 1 croquis original signé de l'artiste.Paris, La Tradition - 1946 - 182 pages. Première édition illustrée par Maurice Leroy.Pages volantes sous couverture rempliée imprimée. Chemise avec titre au dos et étui, cartonnés. Pas de rousseur. Très bon état. Format in-4°(28x19).
LEROY Maurice
Par Choderlos de Laclos. Illustrations de Maurice Leroy.Edition tirée à 3180 exemplaires. Un des 3000 sur Héliona des papeteries navarre. Celui-ci N°2436.Paris, Editions du charme - 1941 - 237 p. et 247 p.Broché sous couverture rempliée. Taches sur les pages de garde. Pas de rousseur. Bon état. Format in-8°(20x15).
LEROY Maurice
Rédaction Administration. 1933. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos abîmé, Papier jauni. 8 pages. Rousseurs. Quelques illustrations en noir et blanc. Texte sur plusieurs colonnes. Salissures. Pliures et quelques déchirures.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
Sommaire:Coty est jugé- Spoturno s'en va-t-en guerre- Le massacre des chats à Berlin a suscité dans le monde entier une vive émotion- On n'entendra plus de musique à la T.S.F.- etc. Classification Dewey : 70.1-Journaux
Paris La Belle Edition Hardcover
Contes et Nouvelles De La Fontaine, il a tiré de cette belle édition des contes de la fontaine 50 exemplaires, numerotés de 1 à 50n, tirés sur velin pur fil du marais, enrichis d'une composition originale(manque), et d'une suite en noir tirée sur lana, exemplaire sur pur fil du marais n° 24, tres bon état, non coupé, dans une boite,
Phone number : +32(0)496 80 81 92
Paris, La Tradition, 1938. Petit in-4 (245 x 200) ; 215-[2] pp., broché, couverture de feutrine vieux rose rempliée, chemise cartonnée rose et emboïtage de la même couleur. (étui en partie décoloré), décharge au 1er et au dernier f. Blanc.
Tirage à 500 ex tous sur grand Vélin d'Arches à la forme. Un des 450 numérotés. 16 eaux-fortes originales en couleurs dans et hors-texte de Maurice LEROY. Charmant exemplaire en très bon état. Photos sur demande.
La tradition La tradition, 1938. In-8 carré broché, couverture rempliée, sous étui de suédine rose (abimé). 213 pages non coupées illustrées d'eaux-fortes originales par Maurice Leroy. Tirage à 500 exemplaires sur grand vélin d'Arches à la forme, celui-ci 1/450 exemplaires, n°108. Quelques rousseurs pales sinon bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Illustrées d'Eaux-fortes originales par Maurice Leroy. 16 compositions en couleurs.Édition limitée à 520 exemplaires, tous sur grand vélin d'Arches à la forme. Celui-ci porte le numéro 250.Paris, La Tradition, 1938 - 216 pages.Ouvrage broché sous couverture muette. Chemise et étui velours rose. Pas de rousseur. Bon état. Format in-8°(24x19).
LEROY Maurice
La Tradition, Paris, 191 p., exemplaire numéroté 19 (l'un des 49 sur vélin d'Arches), 191 p., pointes sèches de Maurice Leroy, 2 dessins originaux, une suite avec remarques, une planche refusée, feuillets libres sous chemise papier et emboitage, manque l'étui de l'emboitage,
Traduction de Gueudeville. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
[Butscha Emile ] - Ganivet,Bardès - Leroy Maurice - Blondelet Charles,Saclé Constant
Reference : 74510
(1888)
Partitions sur le Militaria,Partitions sur les Chanteurs de rue Le Bailly,Bornemann 1888 approx.
Bon état Grand format Piano
GROUSSET R., BARTH K., MAYDIEU, MASSON-OURSEL P., LEROY M., LEFEBVRE H., HALDANE J.B.S., MIDDLETON-MURRY J. & JASPERS K.,
Reference : F23326
, Neuchatel, Baconnière 1949, 399pp., br., non coupé, bon état, F23326
1951, Raoul Solar. Série verte (emboîtage vert). in-12 broché de 170 pages, couverture blanche décorée rempliée. Exemplaire numéroté 640/2870 tiré sur Vélin d'Annonay. Illustrations de Maurice Leroy. 12ème volume de la collection. | Etat : Accroc bas du dos, papier protecteur abimé (Ref.: ref82913)
Raoul Solar
1951, Raoul Solar. Série verte (emboîtage vert). in-12 broché de 170 pages, couverture blanche décorée rempliée. Exemplaire numéroté 1523/2870 tiré sur Vélin d'Annonay. Illustrations de Maurice Leroy. 12ème volume de la collection. | Etat : Bon état (Ref.: ref83499)
Raoul Solar
L'Imprimerie à l'Ecole. 1952. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur bon état. 24 pages. Illustré de nombreuses photos en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture
Coll. de brochures hebdomadaires pour le travail libre des enfants. Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture
L'Imprimerie à l'Ecole. 1951. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 32 pages. Illustré de nombreux dessins et photos en noir et blanc et monochrome dans le texte.. . . . Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture
Documentation de M. Leroy. Hebdomadaire. Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture
L'Imprimerie à l'Ecole. 1952. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 24 pages. Illustré de nombreux dessins et photos en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture
Coll. de brochures hebdomadaires pour le travail libre des enfants. Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture
L'Imprimerie à l'Ecole. 1949. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur bon état. 24 pages. Illustré de nombreux dessins en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 372.89-Livre scolaire : histoire / géographie
Documentation de M. Leroy (Aisne). Hebdomadaire. Classification Dewey : 372.89-Livre scolaire : histoire / géographie
Marabout 2001 95 pages in8. 2001. Broché. 95 pages.
French édition -légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état d'ensemble- Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis la France
Tonnelle. 5 février 1916. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 12 pages environ illustrées de gravures noir et blanc. Premier et second plat de couverture en couleurs illustré par Leroy et Florès.. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
A COMPTE DE L'AUTEUR. 1948. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginé de 320 à 327 - Quelques soulignement dans le texte au stylo noir - ENVOI DE L'AUTEUR.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Lucien Vogel éditeur, Paris Mai 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Mai 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, la signature ne permet pas d'identifier l'artiste. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
PUB - PUF. 1964. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Intérieur frais. 198 pages. Etiquette de code sur le dos. Tampons et annotation de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre. Quelques annotations au crayon dans le texte.. . . . Classification Dewey : 410-Linguistique
Université libre de Bruxelles, Travaux de la Faculté de Philosophie et de Lettres, Tome XXIV. Classification Dewey : 410-Linguistique
Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -