1954 catalogue de l exposition organisée à la galerie mazarine (mars-avril 1954) bibliotheque nationale paris 1954 in 8 broché 264 pages
444 numéros décrits 24 planches hors texte
6 PAGES-42 CM X 60 CM-AU MUSEE DE L'ORANGERIE LES EAUX FORTES ET DESSINS DE REMBRANDT DE LA COLLECTION EDMOND DE ROTSCHILD-L'ART ET LE NATIONAL SOCIALISME, PAR WALDEMAR GEORGE, DEMI PAGE, 2 PHOTOS-LE TROISIEME CENTENAIRE DU DISCOURS DE LA METHODE EST COMMEMORE A LA BIBLIOTHEQUE NATIONALE PAR UNE EXPOSITION DESCARTES-L'EXPOSITION DES ESQUISSES DE RUBENS AU MUSEE ANCIEN DE BRUXELLES-UNE ENQUETE DE "BEAUX-ARTS" QUE PENSEZ-VOUS DE L'EXPOSITION VAN GOGH?-L'EXPOSITION DE 37, LE PAVILLON DE L'ELEGANCE, PHOTO (STAND DE MME LANVIN), LE PAVILLON DES ARTS ET DES TECHNIQUES DE L'ALGERIE, PHOTO-LE SALON DES JEUNES INDEPENDANTS, PHOTO (BAZAINE: "LA CHAMBRE D'ENFANTS"), LES DECORATIONS DE RAYMOND GID AU PAVILLON DE L'ENSEIGNEMENT, PHOTO-LA MAISON DE LA FAMILLE FRANCAISE, 2 PHOTOS, ARBUS-LE PAVILLON DES ARTS GRAPHIQUES ET PLASTIQUES, 1 PAGE, 8 PHOTOS (MALFRAY, ANDRE STRAUSS, LEON ZACK, HOLY, JOSEPH FLOCH, MAURICE BOUILLOT, BARAT LEVRAUX, ALEX GANESCO)-SAINT SAENS ET LES ARTS PLASTIQUES-A GENEVE L'EXPOSITION DES PEINTRES SCULPTEURS REGIONALISTES, PHOTO (HENRI MEYLAN)
COUVERTURE SOUPLE ETAT BON
Reference : 4056
galerie manzi joyant 17 et 18 juin 1913 - fort In 4 broché non paginé - 83 numéros décrits - nombreuses reproductions hors texte - Serpentes avec le titre de l'oeuvre conservées. état moyen de la couverture mais bon état intérieur.
oeuvres capitales de greco goya rembrandt f hals le tintoret bassano bellini van beyeren botticelli brekelenkamp de bruyn cranach albert guyp gérard david van dyck fyt agnolo gaddi baldung grun guardi sir th lawrence mainardi moroni van ostade raeburn rubens terborch tiepolo véronese wouwerman
Reference : 4050
Paris mai/juin 1912 - f. lair-dubreuil et henri baudoin commissaire priseurs - fort In 4 (36X28cm) demi chagrin bordeaux à coins - 173 pages - très nombreuses illustrations hors texte - bon état sauf un coin en cuir qui manque
baudry, bonnat, bouguereau, brozie, courbet, daubigny, decamps, delacroix, diaz, gustave doré, dupré, fortuny, fromentin, gallait, hébert, lefebvre, leibl, meissonier, regnault, renard, rousseau, stevens, troyon, vollon, rembrandt, rubens, véronèse ...
28 PAGES-EN UNE: AU LARGE DU CAP D'ANTIBES LA CARAVELLE AJACCIO NICE SOMBRE EN MER AVEC 95 PERSONNES-LES RAPPORTS SOVIETO TCHECOSLOVAQUES-SUPPLEMENT EDUCATION, UNE ANNEE DE RECHERCHE PEDAGOGIQUE, 1P, DEUX EXPERIENCES NOUVELLES DANS L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, 2 PAGES, LA PEDAGOGIE NOUVELLE DEMANDE UNE TRANSFORMATION DES ETABLISSEMENTS, 2P-LE CHEF D'OEUVRE DE RUBENS EN FRANCE MARIE DE MEDICIS HEROINE DE ROMAN PRECIEUX, PAR ANDRE CHASTEL, DEMI PAGE-AU MUSEE RODIN LA SCULPTURE TCHECOSLOVAQUE, PAR JACQUES MICHEL-JAUNI EN PLIURE CENTRALE DE UNE AVEC LEGERS MANQUES-COMPLET
COUVERTURE SOUPLE ETAT BON
Reference : ABE-1623797755191
OCT 1839:UNE SOIREE CHEZ MME LA DUCHESSE D'ABRANTES-LITT.ALLEMANDE:LES PIECES D'OR PRETEES-STE GENEVIEVE ET ST GERMAIN L'AUXERROIS-ET.MARITIMES:SIX MOIS D'UN NAVIRE-NOV 1839:LES COMETES VENUS JUPITER-SIX MOIS D'UN NAVIRE ( PARTIE 2)-LETTRES SUR LA NOUVELLE GRENADE-VUE DU ST SEPULCRE-FONTAINES DE LA PLACE DE LA CONCORDE-LA MADONE DE TORQUATO TASSO-AVRIL 1839:ALDOVRANDUS MAGNUS-UNE CAMPAGNE DES FRANCS-LA SERRURE DU PASSAGE-LAC MAJEUR,LETTRE DE NOURRIT A HIPPOLYTE BIS,LETTRE DE RUBENS-MAI 1839:FRANCOIS BILLARD,LES ORPHELINS DE TROUVILLE,CHARLES LE MAUVAIS (1356),LE BOUQUINISTE,CAGLIOSTRO, VOYAGES:UNE HISTOIRE ETRANGE ET UN CONTEUR CELEBRE,POESIES AVEC FORMES MATERIELLES DES OBJETS DONT ELLES PARLENT (VERRE, BOUTEILLE, CROIX),UN NID D'ARAIGNEE,VALLEE DU CACHEMIRE,LA BOHEME,MANIERE DE RECONNAITRE LES TABLEAUX ANCIENS-JUIN 1839:MISS SARA,SARA CLAPPERTON,LES MORTS SORTENT QUELQUEFOIS DU TOMBEAU TRADITION D'ANVERS,DESTINEES DE QUELQUES MUSICIENS,LE SINGE DE BIARD, ENTRETIENS SUR TALMA,LETTRES DE CONTEMPORAINS CELEBRES:LE PREMIER TABLEAU LETTRE INEDITE DU PEINTRE MARTIN DE LONDRES,LE PILOTE BOUSSARD, MAGAZINE:MINES DE DIAMANS EN RUSSIE-DEC 1839:CHIMAY ET COUVIN,HIST.DES MONUMENTS DE PARIS LE LOUVRE,LES ETABLISSEMENTS DE CHARITE A ROME,QUELQUES POISSONS-SEPT 1839:LE CANUT HISTOIRE LYONNAISE A CLAUDIUS JACQUARD,HISTOIRES NAIVES:MINETTE LE PETIT BERGER,ET.HISTORIQUES:UNE SOIREE CHEZ GERARD,HIST.DE LA COIFFURE EN FRANCE (18e SIECLE),LES MINES D'OR,TABLE METHODIQUE DES MATIERES-OCT 1840:LA BASTILLE,UN GRAND MARIN INCONNU,CHARLES MOREAU,RIP VAN WINKLE,L'AMI DU CHEVALIER DE FORBIN (PARTIE 2),L'AMERIQUE TROISIEME CAUSERIE BOSTON,ET.POETIQUES:LE CHANT DES ANGES,DE LA CHASSE,HIST.DE LA COIFFURE (COMMENCEMENT 19e SIECLE),SINGULIERE FONTAINE, CIRCULATION DES VOITURES A PARIS,COUTUME NORMANDE LE PILCHARD,CRITIQUE LITTERAIRE:PIERRE SAINTIVE,MERCURE DE FRANCE:SOMMAIRE-FEV 1840:ET.ASTRONOMIQUES:CHAPITRE PREMIER SATURNE URANUS,CHAPITRE 2 LA LUNE,CHAPITRE 3 ET DERNIER VOYAGE DANS LA LUNE ET RETOUR SUR LA TERRE CONCLUSION ET DENOUEMENT,ET.HISTORIQUES:UNE FEMME DE CENT TRENTE DEUX ANS,HIST DES MONUMENTS DE PARIS:LE TEMPLE,LITT.ANGLAISE:L'ILE MAGIQUE,ET.MILITAIRES:LA CANONNIERE N°28 EPISODE MARITIME,HIST.DES TAPISSERIES A PERSONNAGES,MANQUE MARGE INF P161/162 AVEC TEXTE TOUCHE,SURINAM,LITT.ORIENTALE:LE CRIME PUNI PAR LE CIEL-MARS 1840:HIST. NAIVES:QUATRE CONTES POUR LES TOUT PETITS ENFANTS,ET.ARTISTIQUES:RIBERA,HIST.DES TAPISSERIES A PERSONNAGES (FIN),ET.MILITAIRES:LES ARMES A FEU,LITT.ITALIENNE:L'IMPROVISATEUR GIUSEPPE REGALDI-AVRIL 1840:VOYAGES:MOEURS NORWEGIENNES EN CHEMIN POUR LE SPITZBERG,VOYAGES:LA CHARTREUSE DE BONPAS,ET.MARITIMES:UN NAUFRAGE, MAGAZINE:CONGO ET LOANGO,LA BOULE ROUGE,LES RUBANS,L'EMPIRE DE MAROC,LA FETE DIEU A VIENNE-MAI 1840:HIST.DES MONUMENTS DE PARIS:LA MAISON DE NICOLAS FLAMEL ET LA STE CHAPELLE,ET.BIOGRAPHIQUES:UNE REINE,MARINA MNISZECH,VOYAGES:UNE CAUSERIE SUR L'AMERIQUE-ET. HISTORIQUES:LA BATAILLE DE WOERINGEN-JUIN 1840:ET. RELIGIEUSES:LES DEUX TRAPPISTES,ET. MORALES:LES DEUX ORPHELINS,ET. MILITAIRES:ARMES A FEU,VOYAGES:L'AMERIQUE MODERNE SECONDE CAUSERIE,ET.LITTERAIRES:OMBRES ET RAYONS,PAR V HUGO-JUILLET 1840:CONTES ETRANGERS:LE CHEVALIER DOUBLE, ET D'HIST NATURELLE:LE MONDE INVISIBLE, HIST.NAIVES 3 CONTES POUR LES TOUT PETITS ENFANTS-JUILLET 1840: LITT.ANGLAISE LE MORT FIANCE, FANTASTIQUE REEL QUELQUES INSECTES MINEURS,OUALAN,LES ARMES A FEU-AOUT 1840:LE MONDE INVISIBLE,MOEURS DU MIDI UNE NOCE GASCONNE,THEATRE DE LA SCALA,VAUQUELIN,FLORENCEZAADAM,LES ARMES A FEU-SEP 1840:L'AMI DU CHEVALIER DE FORBIN, CONTE: LE PIED DE MOMIE,HERALDISME:LE BLASONUN PROCES EN IRLANDE-RELIURE DEMI CUIR PLATS PERCALINE-(200B)
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Rubens and his Workshop. The flight of Lot and his family from Sodom. Exhibition: Tokyo, National Museum of Western Art, 1994. 140 pages, fully illustrated in colour and black & white. Paperback. 28 x 23cms. A record of the research performed on the occasion of the study exhibition 'The flight of Lot and his family from Sodom', including comparisons with related works and technical analysis of the ground, pigments and painting techniques.
A record of the research performed on the occasion of the study exhibition 'The flight of Lot and his family from Sodom', including comparisons with related works and technical analysis of the ground, pigments and painting techniques.
Catalogue de l'exposition qui s'est tenue à Paris au Musée du Louvre en 1978. Broché sous couverture illustrée Très bon Paris RMN 1978 1 volume in-8°
édition originale
Reference : 22240
in-4° ; maroquin rouge cardinal décoré à “la cathédrale” sur les plats et au dos, décors constitué de deux colonnes de rosaces et vitraux pressé à la plaque gravée, décors complémentaires reliant les deux colonnes, aux petits fers, grands fleurons d’angle reliés par des filets d’épaisseurs différentes et filet gras d’encadrement, roulette sur les angles des coupes et roulette intérieure, charnière en cuir rouge, tranches dorées, traces de fermoirs et de cabochons absents, dos lisse de même (reliure Restauration) ; [2], faux titre manuscrit en couleur rouge, jaune et noir en caractères gothiques aquarellés, 295 pp. dont titre illustré d’une sorte de porte de cathédrale avec des statues de saints et angelots dans des niches, le tout au lavis ; pp. 75 à 103 : manuscrit du Samedi Saint avec partition, cul-de-lampe au lavis et à la dernière page croix et huit angelots également au lavis ; Supplementum, Evangelia Sacra avec un dessin à l’encre de Chine représentant un angelot et trois animaux fabuleux, manuscrit pp. 218 à 295 ; [3] bl., index manuscrit [5] ; 7 gravures à pleine page par de Cortone, Verdier, Dulin, Rubens (2), et deux non signées gravées par Balthazar Gentot datant du XVIIIe siècle, le restant est un texte imprimé découpé et collé sur les feuillets.
Ex-libris imprimé de Jean Vuaillat, érudit et poète lyonnais. Le supplément manuscrit concerne les Saints du Lyonnais. Coins légèrement mâchés, quelques petits frottements, rares petites tâches d’encre. Bel exemplaire et intérieur frais pour cet ouvrage de haute curiosité.
Phone number : 06 60 22 21 35
1990 koninklijk museum voor schone kunsten Soft cover As New
Van Bruegel tot Rubens: de Antwerpse schilderschool 1550-1650 tentoonstellingstellingscatalogus zachte kaft, 300 x 245 mm, 335 blz, talloze illustraties, in nieuw staat,
1990 koninklijk museum voor schone kunsten Soft cover As New
Van Bruegel tot Rubens: de Antwerpse schilderschool 1550-1650 tentoonstellingstellingscatalogus zachte kaft, 300 x 245 mm, 335 blz, talloze illustraties, in nieuw staat,
Reference : 7909
A Paris, chez F. Buisson, Libraire, rue Hautefeuille, n° 20, An III [1794-95]. Deux volumes in-8, demi-percaline verte, dos lisse avec titre, tomaison et filets dorés, xvi-408 pp. & 446 pp. Tome Premier : Notice historique sur George Forster - Voyage philosophique et pittoresque sur les rives du Rhin... : Première Lettre : Boppart. - IIe Lettre : Andernach. - IIIe Lettre : Cologne. - IVe Lettre : Cologne. - ...
--- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
Turnhout, Brepols, 1986 Hardback, 406 pages , 145 b/w ill., 180 x 265 mm. volume II fine ISBN 9780199210411.
Dr. Balis explores examines in the greatest detail Ruben?s paintings and drawings of hunting scenes and thereby throws a fascinating light on the society in which the artist lived, bringing the hunting scenes together for the first time in a definitve catalogue raisonne. Rubens may be said to have revived the genre of hunting scenes, a theme whose popularity had declined since the Middle Ages. Moreover, he enriched the courtly allusions and contemporary preoccupations. Dr. Balis explores this updating of the genre by examining in the greatest detail Ruben?s paintings and drawings of hunting scenes and thereby throws a fascinating light on the society in which the artist lived. This volume brings the hunting scenes together for the first time in a definitve catalogue raisonne that documents both the precedents for and the originality of Rubens?s development of hunting iconography, and argues that the prolific production of Flemish animal painters in the 17th century owes its very existence to Rubens?s example and his creation of a sympathetic audience. Both text and catalogue discuss the ever-important questions of what part Rubens himself played in the execution of these sometimes huge canvases, since he seems to have relied in some degree on the assistance of his studio or of specialized animal painters. Languages: English.
N°183 / Janvier 1938 / 33eme Année - Tome XXXIV. LES COLLECTIONS DE L'ECOLE DES BEAUX-ARTS / PIERRE PAUL RUBENS / LA MARCHE DE SILENE / ARMAND GUILLAUMIN / CAVAILLES.
Très bon état. LOT POSSIBLE NOUS CONTACTER.
ADELSWÄRD-FERSEN Jacques d' & TAILHADE Laurent & VERHAEREN Emile & VIVIEN Renée & COLETTE & MOREAS Jean & BARBUSSE Henri & SYMONS Arthur & BERRICHON Paterne & BOIS Jules & DEREME Tristan & DEUBEL Léon & FRESNOIS André du & GHIL René & KLINGSOR Tristan & LA JEUNESSE Ernest & LEGRAND-CHABRIER & MANDIN Louis & MARINETTI Filippo Tommaso & MIOMANDRE Francis de & NAU John-Antoine & NOISAY Maurice de & OCHSE Julien & PILON Edmond & RAYNAUD Ernest & SALMON André & SAINT-POINT Valentine de & SCHEFFER Robert & VISAN Tancrède de ARMFIELD Maxwell & CIOLKOWSKI Henri Saulnier & SARLUIS Léonard & LUINI Bernardino & BAZZI Giovanni Antonio & MOREAU Gustave & VINCI Léonard de & RAPHAEL & RIBERA José de & GOYA Francisco de & RUBENS Pierre Paul & LE CORREGE
Reference : 82965
(1909)
Albert Messein, Paris 15 janvier 1909-15 décembre 1909, 22x25cm, 12 livraisons reliées en quatre volumes.
| «Akademos restera donc une création éphémère, geste précurseur qui marquera l'histoire du mouvement homosexuel et le début du xxe siècle. » |<br>* Édition originale complète des 12 livraisons de cette luxueuse et éphémère revue fondée et dirigée par Jacques d'Adelswärd-Fersen, un des rarissimes exemplaires sur japon, seuls grands papiers, comportant quatre états des gravures en couleurs. Reliures en demi-percaline sable, pièces de titre en maroquin brun, plats de papier marbré, dos et couvertures conservés pour chaque numéro, bel exemplaire à toutes marges. Notre exemplaire comporte bien les quatre états en couleurs réservés aux exemplaires de luxe, tirés sur divers papiers, de chacune des 23 héliogravures d'esthétique Arts & Crafts, symboliste, Renaissance, Art Nouveau et antique, d'après Maxwell Armfield, Henri Saulnier Ciolkowski, Léonard Sarluis, Bernardino Luini, Giovanni Antonio Bazzi, Gustave Moreau, Raphaël, Léonard de Vinci, Pollaiolo, le Corrège, Piero de la Francesca, Rubens, Jose de Ribera, Francisco Goya, Mederhausem Rodo, Cardet, et des statues et stèles du musée de Naples et d'Athènes. L'élégante maquette de couverture est signée George Auriol, maître de la typographie Art Nouveau. Contributions de Laurent Tailhade, Émile Verhaeren, Renée Vivien, Colette Willy, Joséphin Peladan, Jean Moréas, Henri Barbusse, Arthur Symons, Jacques d'Adelswärd-Fersen, J. Antoine-Orliac, Paterne Berrichon, Jules Bois, Jean Bouscatel, Tristan Derème, Léon Deubel, André du Fresnois, Maurice Gaucher, René Ghil, Henri Guilbeaux, J.-C. Holl, Tristan Klingsor, Ernest La Jeunesse, Gabriel de Lautrec, Abel Léger, Legrand-Chabrier, Louis Mandin, Filippo Tommaso Marinetti, Francis de Miomandre, John-Antoine Nau, Maurice de Noisay, Julien Ochsé, Edmond Pilon, Ernest Raynaud, André Salmon, Valentine de Saint-Point, Robert Scheffer, Tancrède de Visan... Très bel exemplaire sur japon, d'une extrême rareté, de la première revue homosexuelle française. Ce n'est qu'en 1869 qu'apparaît le terme « homosexuel », dans les échanges épistolaires entre les journalistes et juristes allemands Karl Heinrich Ulrichs et Karl-Maria Kertbeny. Leurs écrits attestent des premières tentatives de décrire l'attraction physique envers le même sexe, non pour condamner l'acte, mais pour faire accepter une autre forme de sexualité aux yeux de la société. En effet, si les relations homosexuelles sont un élément constitutif des sociétés humaines depuis l'origine, elles ont longtemps été abordées sous l'angle unique de la relation charnelle. Stigmatisé, l'acte sexuel inverti est tour à tour codifié, toléré ou sévèrement condamné à travers les époques et les cultures, mais jamais interprété sous l'angle d'une attirance exclusive. Ainsi, la France, premier pays à dépénaliser l'homosexualité, supprime en 1791 le « crime de sodomie » dans le Code pénal, mais il faudra attendre la seconde partie du XIXe siècle pour qu'émerge la conscience d'une véritable identité homosexuelle comme le décrit Michel Foucault dans son Histoire de la sexualité : « L'homosexuel du XIXe siècle est devenu un personnage : un passé, une histoire et une enfance, un caractère, une forme de vie ; une morphologie aussi, avec une anatomie indiscrète et peut-être une physiologie mystérieuse. Rien de ce qu'il est au total n'échappe à sa sexualité. Partout en lui, elle est présente [...] Elle lui est consubstantielle, moins comme un péché d'habitude que comme une nature singulière. Il ne faut pas oublier que la catégorie psychologique, psychiatrique, médicale de l'homosexualité s'est constituée du jour où on l'a caractérisée [...] moins par un type de relations sexuelles que par une certaine qualité de la sensibilité sexuelle, une certaine manière d'intervertir en soi-même le masculin et le féminin. L'homosexualité est apparue comme une des figures de la sexualité lorsqu'elle a été rabattue de la pratique de la sodomie sur une sorte d'androgynie intérieure, un hermaphrodisme de l'âme. Le sodomite était un relaps, l'homosexuel est maintenant une espèce. » LES PRÉCURSEURS C'est dans ce contexte que naissent, sous la plume de Balzac, des personnages assumant pleinement leur autre sexualité, notamment Zambinella, Seraphita et surtout Vautrin, considéré comme le premier homosexuel de la littérature française. Cependant que Baudelaire qui voulait initialement titrer ses Fleurs du Mal : « les Lesbiennes » est condamné pour ses poèmes, Lesbos et Femmes damnées, célébrant les amours féminines. Car en sortant de la marginalité et en obtenant une forme de reconnaissance, les hommes et femmes homosexuels se trouvent confrontés aux regards critiques et aux stigmatisations caricaturales. Quelques écrivains, tels que Georges Eekhoud ou Renée Vivien, proclament littérairement leur homosexualité. D'autres, comme Oscar Wilde, l'assument publiquement, mais ne laissent que discrètement transparaître leur orientation dans leur uvre. Plusieurs continuent à taire leurs véritables appétences, pour s'assurer respectabilité et reconnaissance littéraire. Parmi eux, Proust et Montesquiou deviennent alors la cible de la plume assassine et fière de Jean Lorrain, « en-philanthrope » proclamé : « Mort, Yturri te salue, tante » écrit-il à Montesquiou, par voie de presse, à la mort de son amant, Gabriel Yturri. De pareilles - et véridiques - insinuations sur Lucien Daudet vaudront à Lorrain un célèbre duel avec Marcel Proust. CHASSE AUX SORCIÈRES D'Adelswärd-Fersen, né en 1880, grandit au cur de cette révolution des murs et vit les terribles conflits intérieurs entre désir personnel et morale institutionnelle, entre représentation sociale et liberté intime. Si la France représente un espace de liberté bien supérieur à ses voisines, le jugement de la société reste profondément hétéronormé. Le fameux paragraphe 175 du nouveau Code pénal allemand condamnant en 1871 les « actes sexuels contre nature » dans tout l'Empire ou la condamnation d'Oscar Wilde aux travaux forcés en 1895, soulèvent l'indignation des homosexuels déclarés et l'inquiétude silencieuse des autres. Le monde littéraire n'est pas épargné. En 1900, G. Eekhoud est poursuivi pour Escal-Vigor, premier roman à parler ouvertement et positivement d'amours masculines. En 1902 Friedrich Alfred Krupp se suicide à la suite du scandale de présumées « orgies sexuelles » de Capri. L'année suivante, d'Adelswärd-Fersen, tout juste majeur, est accusé à son tour de pratiquer des « messes noires » avec de jeunes adolescents et la participation de l'aristocratie. De la chasse aux sorcières médiévale aux théories complotistes modernes, l'accusation de rite satanique est un topos des constructions fantasmatiques des sociétés confrontées aux différentes expressions de l'altérité. Fersen avait d'ailleurs offert à ses juges le modèle littéraire de leur accusation. C'est en effet par la publication en 1902, de L'Hymnaire d'Adonis : à la façon de M. le marquis de Sade, qu'il attire l'attention du Parquet. Et s'il n'écope que de six mois de prison, pour des faits qui seraient aujourd'hui bien plus sévèrement jugés, c'est qu'on lui reproche plus l'expression publique et littéraire de sa sexualité que ses malsaines mises en scène érotiques d'adolescents en tenues antiques. Profondément affecté par le déchaînement médiatique et le violent rejet de l'homosexualité dont il témoigne, Fersen publie en 1905 : Messes noires. Lord Lyllian, roman à clefs s'inspirant de son histoire et mettant en scène les sommités homosexuelles de la fin du XIXe siècle : Oscar Wilde, Lord Alfred Douglas, John Gray, Jean Lorrain, Joséphin Peladan, Achille Essebac, Robert de Montesquiou, Friedrich Krupp et Fersen lui-même. L'intention du jeune poète de 25 ans n'est plus seulement artistique, elle est devenue politique. D'Adelswärd-Fersen devient ainsi l'un des précurseurs du combat pour la reconnaissance et l'acceptation de l'homosexualité dans la société moderne. C'est ainsi que naît le projet d'Akademos. S'il s'inspire ostensiblement de la revue allemande d'Adolf Brand, Der Eigene, Fersen est bien plus ambitieux et souhaite entraîner avec sa revue, une mutation des mentalités. Aussi s'intéresse-t-il à des figures plus engagées comme le scientifique allemand Magnus Hirschfeld, qui crée en 1897 avec l'écrivain Franz Joseph von Bülow, le Comité scientifique humanitaire (« Wissenschaftlich humanitäre Komitee », WhK), première organisation de défense des droits des homosexuels. À la fin de l'année 1907, de la Villa Lysis à Capri, Fersen écrit ainsi à Georges Eekhoud : « La permission fort aimable que vous m'avez donnée d'écrire à Hirschfeld sous votre égide sera mise à profit. Je ne connaissais après mes passages en Allemagne que Brand et son Eigene. D'autre part, j'attendais, afin de correspondre avec les chefs allemands du parti, la réalisation d'un projet à moi, que j'ose vous confier : je voudrais, n'ayant d'ailleurs comme titre suffisant que l'orgueil de nos idées et une ardeur indicible à les savoir moins méconnues, fonder à Paris, en février prochain, une revue d'art, de philosophie, de littérature, dans laquelle petit à petit pour ne pas faire d'avance un scandale, on réhabilite l'autre Amour. J'espère, cher monsieur Eekhoud, que vous nous ferez l'honneur, un jour, de votre compagnie et de ce talent, universel aujourd'hui, qui vous range parmi les apôtres du « mouvement ». Dans tous les cas, je vous remercie pour la sympathie si délicatement exprimée, pour les espoirs que nous partageons, pour les bonheurs décrits, que tous les deux, nous avons, en marge des autres, savourés. » DER EIGENE : L'ANTI-MODÈLE Si Der Eigene, publiée dès 1896, est la première revue homosexuelle européenne et le modèle proclamé d'Akademos, elle ne poursuit pas les mêmes buts, et ne se construit pas sur le même modèle artistique et politique. Présentée comme une source de documentation des activités de nudisme et de l'histoire de l'art, la revue de l'activiste Adolf Brand ne prône pas un bouleversement social, mais une réinterprétation historique des relations hommes/femmes. Se proclamant d'un nouvel hellénisme, il s'appuie sur les usages de la pédérastie antique grecque pour réunir une communauté d'esprit viriliste, et tente de démontrer, au fil des contributions, la supériorité esthétique et érotique du corps masculin dans l'histoire de l'art et des murs. « Didier Eribon souligne de quelle manière les thèses masculinistes de Brand relèvent d'une conception universaliste de la sexualité [...], mais aussi d'une vision misogyne peu encline au changement social. L'étude du masculinisme homosexuel renvoie aussi à la construction d'une image de l'homme pensée comme outil de domination sociale envers les minorités de genre, de classe et de race. [...] la domination masculine se traduit [...] par l'exaltation des vertus morales et physiques de l'homme-machine ». Paradoxalement, la première revue homosexuelle épouse les codes de l'idéologie émergente. Dès 1903, « Brand quitte l'organisation du WhK d'Hirschfeld et fonde la Communauté des spéciaux (« Gemeinschaft der Eigenen », GdE). Influencé par le contexte de la Lebensreform, il exalte la virilité adolescente et la maîtrise de soi dans la nature. Il organise des camps collectifs, des marches sportives et des séances de nudisme, en accord avec les pratiques des Wandervogel, ces regroupements d'adolescents qui alimenteront les rangs des jeunesses hitlériennes à la fin des années 1920. » (Damien Delille, Homoérotisme et culture visuelle dans les revues Der Eigene et Akademos) AUTRE AMOUR, AUTRE CULTURE Akademos procède d'une tout autre philosophie. Pour Fersen il est moins question d'exalter la virilité issue de l'Antiquité que d'explorer une vision littéraire de l'homosexualité héritée du symbolisme décadentiste. La ligne éditoriale de la revue est parfaitement exprimée dans une nouvelle lettre à Eekhoud. « Villa Lysis, 4 août 1908 « Cher Monsieur Eekhoud, « En décembre ou en janvier dernier, je crois, nous avons parlé d'un projet de revue que nous voulions fonder des amis et moi avec l'aide de l'éditeur Messein. Il s'agissait - sans donner de prime abord à la publication un parti pris, une étiquette, une allure de combat - d'arriver à mettre en lumière la question de la liberté passionnelle - les différentes théories sensuelles. Il s'agissait en quelques mots de défendre l'Autre Amour, par le souvenir des temps passés, par les espoirs des temps présents. Akademos est maintenant une chose décidée. Revue mensuelle (que nous espérons plus tard faire paraître tous les quinze jours) elle comprendra dans chaque numéro un roman (à suivre), deux ou trois nouvelles, deux poèmes, deux pages de musique, un courrier de Paris, critique des livres, critique des théâtres, une critique d'art [et] une lettre de l'étranger. De temps à autre un article de philosophie, de médecine, de jurisprudence. Akademos enfin, contiendra outre la couverture, deux hors texte, reproduction d'une uvre antique ou moderne (sculpture, architecture, peinture ou paysage). » Akademos s'affirme dès l'origine comme une revue humaniste et un espace de tolérance, à travers lequel la figure de l'homosexuel(le), sa sensibilité spécifique, son art de vivre et l'expression artistique de sa différence puisse s'inscrire dans une quête de modernité esthétique et littéraire. ADAM L'ANDROGYNE Si Fersen et ses contributeurs cherchent dans l'art antique une légitimité historique, c'est plus pour en extraire une source d'inspiration et offrir une ascendance esthétique à la nouvelle figure artistique que promeut Akademos : l'Androgyne. À l'opposé de la polarité sexuelle défendue par Eigene, la figure de l'androgyne se pose comme une réconciliation entre les genres et une défense de l'indétermination sexuelle. Au-delà de la représentation mêlant féminin et masculin, l'androgyne acquiert dans la revue de Fersen une dimension nouvelle, politique et avant-gardiste. C'est ainsi dans Akademos que l'on trouve, sous la plume de Joséphin Peladan, la première remise en question de l'identité de genre, et les prémices d'une théorie du non-binaire. « L'Amour n'est donc plus pour le lecteur "un sentiment d'affection d'un sexe pour l'autre", mais le sentiment d'affection de l'être humain pour lui-même, qui se manifeste communément, mais non essentiellement, selon la polarisation sexuelle. Sans doute pour la correspondance des formes, l'amour peut se nommer l'attraction d'un sexe pour l'autre. Mais l'âme, quelle part a-t-elle dans la division sexuelle ? Nous avons aperçu Elohim, prenant un côté d'Adam, par une section verticale [...] Adam androgyne avait donc une âme et un esprit androgyne : et la femme serait la moitié animique et la moitié spirituelle de l'homme, comme elle est sa moitié physique ? Les théologiens, en concile, se sont posé cette question. En isolant Aïscha de Aisch, Iohah lui a-t-il donné une âme personnelle, ou a-t-il dédoublé l'âme, comme il a fait pour le corps ? Ce dédoublement a-t-il été radical, isolant le passif de l'actif ? Ou bien l'âme a-t-elle conservé son androgynisme ? En ce cas l'esprit seul attesterait le sexe intérieur. » (Joséphin Peladan, « Théorie amoureuse de l'androgyne. De l'amour », Akademos, n° 6, juin 1909) UNE ACADÉMIE SANS EXCLUS Là où Brand prônait la guerre des sexes, Fersen célèbre leur consubstantialité. Refusant tout clivage, il ouvre, dès le premier numéro, sa revue aux écrivaines lesbiennes et libérées, dont Colette, Renée Vivien et Annie de Pène, mais également aux écrivains de toutes sensibilités. Des auteurs aussi disparates que Maxime Gorki, André Salmon, Marinetti, J.-H. Rosny aîné, Arthur Symons, Henri Barbusse et Léon Tolstoï côtoient les écrivains explicitement engagés dans la cause homosexuelle. Comme l'écrit Nicole G. Albert : « Certes Fersen s'adresse aux membres de « l'Autre Amour » et conçoit Akademos comme un lieu de ralliement, voire de résistance, mais il ne veut pas les cantonner à la marginalité et vise, de façon utopique, à créer une académie sans exclus, c'est-à-dire à attirer un lectorat beaucoup plus large afin de dédiaboliser, faute de la banaliser, l'homosexualité. » (Albert, Nicole G. « Réédition d'Akademos : la renaissance d'une revue pionnière », La Revue des revues, vol. 68, no. 2, 2022) ICONOGRAPHIE D'UNE SUBCULTURE L'iconographie de la revue joue ici un rôle fondamental. Affranchie de toute fonction illustrative, elle développe sa propre identité et définit les nouveaux codes de l'homoérotisme créant des images qui « alimente[nt] la création d'une subculture homosexuelle, à même de soutenir le partage des sensibilités et d'imaginer des alternatives aux normes sociales de genre. » Le soin apporté à la réalisation de ces gravures à pleines pages, sur un papier spécial et tirées en quadruple état dans les exemplaires de luxe, témoigne de la particulière attention portée par Fersen à cette autre expression de la sensibilité homosexuelle. De futures icônes de la culture gay sont ainsi, pour la première fois, présentées dans une optique homoérotique, comme l'Antinoüs Farnèse, le Saint Sébastien de Ribera ou Le Jeune Violoniste de Raphaël. Mais c'est dans les uvres modernes que la nouvelle imagerie homosexuelle prend véritablement forme : le poignet cassé et les costumes dandy du caricaturiste Moyano, la gestuelle du fascinant androgyne de Léonard Sarluis intitulé Inquiétude, dont l'uvre originale n'a pas été retrouvée, le Iacchos de Maxwell Armfield et surtout les compositions d'Henri Saulnier Ciolkowski dont « le style ou le pinceau effilé aux doigts - les soies furent sûrement arrachées à la perruque d'une irréprochable poupée d'Asie - attaque, ô consciencieux, la tablette blanche. » (André Thévenin, « Un adepte du noir et blanc : Ciolkowski », Akademos, n°9). «L'homoérotisme devient un moyen de contourner l'interdit sexuel et de le sublimer par l'art» (Damien Delille) Parallèlement, et en réaction directe à la revue de Fersen, prend forme dans les médias réactionnaires, une imagerie violente, caricature de celle d'Akademos. C'est notamment en février 1909 qu'apparaissent dans un numéro spécial de la revue de L'Assiette au beurre intitulé « Les p'tits jeun' hommes » et portant en couverture une caricature de Fersen, plusieurs des stéréotypes visuels scellant la rhétorique naissante de l'homophobie. LE SUICIDÉ DE LA COMMUNAUTÉ La plus signifiante et émouvante de ces gravures est cependant une simple photographie qui illustre le premier numéro d'Akademos. Il s'agit du portrait de Raymond Laurent, jeune poète et amant de Longhorn Whistler, neveu présumé d'Oscar Wilde, qui s'est donné la mort le 24 septembre 1908 à Venise. Plus qu'un hommage, la photographie de ce Phbus moderne s'offre en figure tutélaire de la revue, Christ païen portant tout à la fois l'espoir et la tragédie du « troisième sexe » : « Mais ne faites point de ce suicide un crime à la littérature. Laurent s'est tué. Le revolver lui a été mis au poing par une époque où la maison Tellier est la seule expression d'âme permise. Il y a des façons de syvetonner les âmes d'élite : c'est par les préjugés » (d'Adelswärd-Fersen, sous le pseudonyme de Sonyeuse, Akademos, n° 1). Dès son premier numéro, Akademos fut accueilli avec respect et admiration par le monde littéraire, comme en témoigne cet éloge de Charles-Henry Hirsch dans le Mercure de France : « Akademos [...] est une revue somptueuse, imprimée avec luxe et bon goût. Toutes les belles choses n'ont heureusement pas un destin court et il faut souhaiter la durée à ce nouveau recueil. ». Malgré la confiance et la volonté de Fersen, sa revue ne survivra qu'une année, non en raison d'une censure ou d'une campagne de dénigrement, mais du fait même des principaux intéressés par cette courageuse, mais trop précoce tentative de révolution des murs : « Les abonnements sont d'une rareté dérisoire, et pour la raison simple que l'on considère dangereux de s'abonner... Au lieu de m'aider, toute une catégorie bien peu indulgente et nullement intellectuelle d'adonisiens me tourne le dos - est-ce par habitude ? dirait un plaisantin. [...] il reste la volonté de continuer la tâche, et l'espoir de former un parti. » (Lettre à G. Eekhoud, 9 mai 1909) - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Brussel 1933 L.J. Kryn Soft cover No Jacket 1st Edition
Het huis van Pieter Paul Rubens, wat het was, wat het werd, wat het worden kan, 25x18 cm, 88pp, geïllustreerd met z/w foto's. Goede staat
Chartres, Editions Alliaume, 1957, plaquette format 240x160mm, 23 pages, illustrations in et hors-texte, exemplaire en bon état.
Tableau miraculeux de Rubens " La Naissance de Louis XIII à Fontainebleau ", contenant le Masque de Fer, confirmé par plus de 100 preuves prophétiques, irréfutables et surprenantes par Me Maurice Alliaume.
, Brussels, Arcade., 1971 Hardcover with imprint on back and illustrated dustjacket, + slipcase, 185 x 265 mm., 386 pp. and 200 illustrations in b/w. neuf / fine condition! ISBN 0714814032.
Definitive Raisonnated Catalogue of teh work of Rubens in 27 parts. Based on the material assembled by Ludwig Burchard. Each part written by a well - known scholar. new price 150.00 euro
, Brussels, Arcade, 1971., Bound, black cloth, gilt spine, originale red dust jacket illustrated in b/w, red slip - case, 18x26,5cm, 386pp + 200 plates b/w. **very fine condition !!!
Part IX: The Decoration of the Torre de la Parada. Complete work of Rubens. The corpus is based on the material assembled over several decades by Ludwig Burchard.
, Brussel, Paleis der Academien, 1972. (db)., Gebrocheerd, originele uitgeversomslag beduimeld, 18x26cm, 23pp + 35 platen z/w.
Medelingen van de Koninklijke Academie voor Wetenschappen, Letteren en Schone Kunsten van Belgie. Klasse der Schone Kunsten, jaargang XXXIV, n?°2.
, Brepols, 2022 Paperback, 279 pages, Size:216 x 280 mm, Illustrations:11 b/w, 70 col., Language(s):English, Spanish. ISBN 9782503589084.
Summary Recent research on the collections treasured by artists during their lifetime, or those collections they had access to, has contributed significantly to the understanding of their own compositions. Traditional historiography has favoured the study of the royal and aristocratic collections that could have inspired artists rather than of the artists' own collections. Only those of the 'great' artists, such as Rubens, Bernini, Velázquez or Mengs, have been comprehensively examined. In the eighteenth century, the notion of collecting itself was transformed. An aesthetic taste was fostered and developed through the gathering of objects, and the personal collection of an artist could therefore provide the key to a more thorough understanding of their production. The nineteenth century witnessed artists bequeathing their collections to different institutions, sometimes even creating their own institutional collection. Architects, painters, sculptors and goldsmiths assembled some of the most important artistic collections of their time in their workshops. TABLE OF CONTENTS Introduction. The Pictor Doctus and the Artists' Collections: From Taste to a Training Resource ? Ana Diéguez-Rodríguez & Ángel Rodríguez Rebollo I. Learning from the Artistic Collections, Libraries and Workshops Pablo de Céspedes, arte y humanismo en su biblioteca. Una nueva propuesta de interpretación en torno a su colección bibliográfica ? Alejandro Jaquero-Esparcia Bernardino Poccetti as Collector ? Alexander Röstel & Grant Lewis ?Ha muerto Rubens?. El eco de su colección en el rey de España ? Matías Díaz Padrón Francisco de Solís, Collector of Drawings ? Ángel Rodríguez Rebollo & Isabel García-Toraño II. Coteries: The Role of the Friendship and the Academies Vicente Carducho's Modelling of Artistic Practice and Connoisseurship ? Tiarna Doherty Between Guild and Academy: Collections of Central European Painters as a Source of Artistic Progress or a Steady Livelihood? ? Tomá? Vale? French Barbizon Landscapes Collected by Pre-Raphaelite and Aesthetic Movement Artists in the second half of the Nineteenth Century ? Sarah Herring Women Painters and Academicians: Models and Collections ? Mariángeles Pérez-Martín III. Artists at the Court: Experience and Erudition Court Institutions and their Impact on Artworks by the valet de chambre Artists Serving at the Valois-Burgundian Court during the Fifteenth Century ? Oskar Rojewski Velázquez and the Royal Collection. Opening the Pandora's Box ? Miguel Hermoso Cuest Index of Names
Dimension extérieur : 55,8 x 40 cm. Cuvette : 50 x 35,5 cm. Magnifique gravure au burin d'époque, peinte d’après Rubens, dessinée par Jean-Marc Nattier et gravée par Antoine Trouvain. En excellent état général. A Paris chez le Seigneur Nattier, peintre de l'académie royale rue Frementeau. Gravure accompagnée d'un texte : Le Grand Duc Ferdinand épouse la Princesse en vertu de la procuration du Roy Henri IV que Bellegarde Grand Ecuier de France lui avoit apportée. Dossat et Silleri avoient negotié ce mariage et le Cardinal Aldobrandin Légat du Pape en fait la ceremonie dans l’Eglise Sta Maria del fiore. L’himenée porte la queue à la Reine qui est accompagnée de la Grande Duchesse et des principales Dames de sa Cour. Et de l’autre côté est la Noblesse Françoise qui avoit suivi le Marquis de Silleri Ambassadeur.
Cette estampe représente le mariage par procuration de Marie de Médicis et d’Henri IV, célébré en la cathédrale de Florence par le Cardinal Pietro Aldobrandini le 5 octobre 1600. La reine, au centre, reçoit l’anneau nuptial de la main de son oncle, le grand-duc de Toscane Ferdinand Ier de Médicis. Autour d’eux sont réunis le marquis de Sillery, garde des sceaux et chancelier de France par l’action duquel le premier mariage d’Henri IV avec Marguerite de Valois a pu être annulé, Roger de Bellegarde, grand écuyer de France, porteur de la procuration, ainsi que, sur la droite, Christine de Lorraine, grande-duchesse de Toscane, et Éléonore, duchesse de Mantoue, la tante et la sœur de Marie de Médicis. Rubens, présent lors du mariage, s’est représenté lui-même derrière la reine, tenant une croix. Seul élément mythologique, Hyménée, dieu du mariage, apparaît au premier plan accompagné d’un chien, symbole de fidélité. Seul manque le futur époux, Henri IV, alors en guerre contre la Savoie. Le couple ne se rencontrera qu’à la fin de la guerre, le 9 décembre 1600, à Lyon. Pierre Paul Rubens est un peintre néerlandais né en 1577 et mort en 1640. C'est un peintre brabançon de l'école baroque flamande.Aidé par un atelier important, Rubens produit une œuvre considérable dans des genres divers. Il accepte de peindre un grand nombre de portraits mais, « d'instinct plus porté aux grand travaux qu'aux petites curiosités » comme il l'écrivait lui-même, il prête peu d'attention aux détails, qu'il ne peint pas en profondeur et dessine de quelques traits. En effet, il va travailler à un rythme extrêmement productif, réalisant 1403 peintures selon le catalogue de Michel Jaffé. Il réalise surtout de grands projets religieux, des peintures mythologiques, et d'importantes séries de peintures historiques. Prisé des Grands pour l'érudition et le charme de sa conversation, il joue également un rôle diplômatique important à son époque et jouit d'une position sociale sans égale chez les artistes de son temps. Jean-Marc Nattier, né le 17 mars 1685 et mort le 7 novembre 1766 est un peintre français talentueux et précoce, qui remporte à l'âge de quinze ans le premier prix de dessin de l'académie. Antoine Trouvain, né en 1640 et mort en 1707, est réputé pour être l'auteur d'une large série de portraits gravés de courtisans du règne de Louis XIV.
, Antwerpen, Rubensherdenking, 1940., Originele geillustreerde ( wapenschild) uitgeversomslag in kleur, 25x16,5cm, 893pp. good condition.
Systematic bibliography of thewritings and publications of Rubens and on his artistic production. 16 zw/w ills.
Brussel, De Lage Landen 1943 xxi + 211pp.+ 15 illustraties buiten tekst, 25cm., mooie inbinding (gemarbreerde platten, roodlinnen rug met titel in goudopdruk), mooie staat, S85069
Antwerpen, Comité Rubensherdenking 1940 893 [iv] pp.+ 16 illustraties buitentekst, geïllustreerde omslag, 25cm., goede staat, S84334