1971, Bibliothèque des Arts, Paris. In-4, relié avec jaquette illustré. 141pp. Nombreuses illustrations en couleurs et n&b.
Bon exemplaire, quelques légères dechirures sur la jaquette ainsiq ue quelques frottement mais rien de très grave. Interieur frais et complet.
Catalogue exposition. Musée du Louvre, Paris, décembre 1963 - février 1964.Paris, Ministère d'Etat Affaires Culturelles - 1963. Nombreuses illustrations en noir et en couleurs. Suivi d'une biographie.Broché sous couverture illustrée. Très bon état. Format in-8°(21x18).
SIGNAC Paul
1964 / 171 pages. Broché. Editions Hermann.
Couverture présentant des frottements d'usage, intérieur frais. Bon état.
s.d.[ca 1895], 14x9,5cm, un bristol recto verso.
Bristol autographe signé de Paul Signac, 13 lignes rédigées à l'encre noire, à en-tête de son monogramme et de sa propriété de La Hune à Saint-Tropez. "Mon cher ami, Excusez-moi d'avoir tant tardé à vous remercier ; j'ai quitté Paris le lendemain de l'ouverture des Indépendants, sans avoir eu le temps ni d'aller vous serrer la main, ni de vous écrire. Je suis bien heureux que mon tableau vous ait plu et certainement très reconnaissant à votre amitié d'avoir bien voulu le signaler en si bons termes. Cordialement à vous, et merci de tout coeur. Paul Signac." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Henri Floury, Paris 1921, 14x19cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, mention de troisième édition. Belle couverture dessinée par Théo van Rysselberghe. Envoi autographe signé de Paul Signac à ses amis Madame et Monsieur Léon Deshairs, qui fut directeur de l'École nationale supérieure des Arts Décoratifs et conservateur de la Bibliothèque des Arts Décoratifs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Hermann. 1964. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 171 pages augmentées de quelques illustrations en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 702-Ouvrages divers sur les beaux-arts et les arts décoratifs
Présentation par Françoise Cachin. Classification Dewey : 702-Ouvrages divers sur les beaux-arts et les arts décoratifs
Paris, Hermann, 1964. 11 x 21, 171 pp., quelques illustrations en N/B, broché, bon état.
Introduction et notes par Françoise Cachin.
Paris, Librairie Floury, 1939. 14 x 19, 133 pp., 25 reproductions, broché, bon état.
Couverture par Henri de Testa.
1927 G. Crès et Cie 1927 In 4, couverture cartonnée rempliée, 135 pages, 129 reproductions en similigravure de MM. Demichel Ploquin et Cie (aquarelles, dessins et eaux fortes en noir)
s.d. (23 janvier 1894), 22,6x17,5cm, 2 pages sur un double feuillet déplié.
Lettre autographe signée de Paul Signac adressée à Camille Pissarro, rédigée à l'encre noire sur deux pages et signée d'un monogramme de l'artiste. Cette lettre a été retranscrite dans l'article de Pierre Michel et Christian Limousin intitulé "Octave Mirbeau et Paul Signac - Une lettre inédite de Signac à Mirbeau" (inCahiers Octave Mirbeau, n° 16, mars 2009, pp. 202-210). "Mon cher Maître, Cela vous ennuirait-il [sic]d'écrire à Mirbeau qu'un Signac, à votre avis, ne ressemble pas plus à un Seurat qu'un Hokousai à un Hiroshigé... si toutes fois (sic) le reproche d'imitation dont il cherche à m'accabler vous semble injuste. L'amitié que vous m'avez toujours témoignée et les compliments que vous avez bien voulu faire de mes toiles, m'autorisent à vous demander ce service. Cordialement. PS" Belle lettre dans laquelle Paul Signac cherche l'appui de son maître Camille Pissarro après une critique acerbe publiée par Octave Mirbeau dansL'Echo de Paris. Dans ledit article, le premier à la Une de L'Echo de Paris du 23 janvier 1894, Octave Mirbeau n'épargne en effet pas Signac: «M. Signac a voulu continuer Seurat. Je ne puis me faire à sa peinture. Je ne méconnais pas ses qualités mais elles disparaissent sous l'amoncellement de ses défauts. Ce qu'on admettait de Georges Seurat [...] on le comprend moins chez M. Signac qui n'en est que l'adepte trop complaisant et trop littéral. Et puis cette continuelle sécheresse me choque. M. Signac fait la nature immobile et figée. Jamais le vent n'a secoué la surface inerte de ses mers, ni tordu les branches de ses pins, ni animé l'éternelle fixité de ses nuages, la raideur cartonnée de ses ciels. Il ignore le mouvement, la vie, l'âme qui est dans les choses. [...] Il serait peut-être temps, pour notre joie, que M. Signac voulût bien nous donner du Signac. Je crois qu'il le peut.» Pourquoi cette obsession pour Seurat? «En ce début d'année 1894, la position de Mirbeau, de Geffroy, de Pissarro et que quelques autres, est de considérer que le néo-impressionnisme est bel et bien mort en 1891 avec la disparition de Seurat.Le regard rétrospectif qu'ils jettent sur cette aventure artistique les conduit à penser qu'il ne s'agissait nullement d'un prolongement, d'une continuation de l'impressionnisme par des voies nouvelles (scientifiques), mais bien d'une réaction contre lui, voire d'une liquidation pure et simple du mouvement.» (Cahiers Octave Mirbeau). La réponse de Pissarro à Signac, elle-même transcrite par Michel et Limousin, ne se fait pas attendre: cela «[l]'ennuirait d'écrire ce que vous me demandez à Mirbeau, et cela pour plusieurs raisons. [...] Premièrement parce que je suis en froid avec lui, vous le savez bien. Deuxièmement parce que, pour vous-même, il ne sied pas de discuter l'opinion d'un critique, même étant persuadé d'être dans le vrai, et, si vous voulez franchement ma façon de penser et que je suis heureux d'avoir l'occasion de vous exprimer, je trouve que la méthode même est mauvaise. Au lieu de servir l'artiste, l'ankylose et le glace. Si je vous ai fait des compliments cette année, c'est parce que j'ai trouvé vos dernières toiles mieux que celles que vous aviez exposées aux Indépendants, mais je suis loin de trouver que vous êtes dans la voie qui convient à votre tempérament essentiellement peintre et si, jusqu'à présent, je ne vous ai rien dit à ce sujet, c'est parce que j'étais sûr de vous être désagréable et, somme toute, mes convictions peuvent ne pas être partagées par vous. Réfléchissez mûrement et voyez si le moment n'est pas venu de faire votre évolution vers un art plus de sensation, plus libre et qui serait plus conforme à votre nature.» «Dépité, et privé de l'autorité d'un maître vénéré par le critique, Signac en est réduit à élaborer lui-même, et sans plus attendre, la réponse à adresser à Mirbeau [...]» (ibid.) Cette réponse prend la forme d'une longue lettre rédigée le même jour que celle que nous proposons et aujourd'hui conservée au Harry Ranson Center de l'Université d'Austin (Texas): «Je reconnais hautement que c'est Seurat qui a instauré la technique néo-impressionniste et lui en laisse toute la gloire mais il me serait facile de vous prouver par la suite de mes tableaux qu'il n'y a jamais eu chez moi transition brusque causée par l'influence de Seurat, mais bien une logique d'évolution qui m'a amené à le rencontrer. Nous sommes arrivés à ce carrefour par des voies bien différentes.[...] Mais, c'est plein d'ardeur, qu'encouragé par les compliments que le cher Camille Pissarro m'a bien voulu faire sur mes derniers envois, et par la petite fleur d'espoir que vous voulez bien laisser percer sous vos critiques je me remets au dur et bon travail. » (23 janvier 1894). Et Signac se «remet au travail»: «il saura parfaitement rebondir et tirer son épingle du jeu. Peu à peu, à Saint-Tropez où il s'est installé, sa technique évolue. Grâce à la pratique de l'aquarelle (conseillée par Pissarro...), il rompt avec les formes trop strictes du pointillisme et trouve la spontanéité qui lui faisait défaut. En 1895, sa touche s'élargit, il abandonne le point.[...] Quant à Mirbeau, il ne restera pas insensible à l'évolution de Signac. En 1905, il loue ses « frémissantes aquarelles» et range le peintre parmi ceux qui, bien qu'ignorés par l'Etat et réprouvés par l'Institut, «maintiennent intacte la réputation artistique de la France». » (ibid.) Document capital pour la compréhension de l'uvre de Signac et précieux témoignage d'une importante période transitionnelle pour l'artiste. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Viviers 18 août (1926 ?), 14x9,5cm, quatre pages sur un bifeuillet.
Lettre autographe signé de Paul Signac, 4 pages rédigées à l'encre bleue, à en-tête de sa propriété de "Les Maraniousques Viviers (Ardèche)" Manques de papier sans atteinte de texte au pli central du bifeuillet et en marge inférieure du premier feuillet. Signac s'adresse à son correspondant depuis sa maisonnette sise sur la rive droite du Rhône, au sud de Montélimar où il venait de s'installer : "Ce pays est très beau et notre petite maison commence à s'organiser. Vous verrez cela en "redescendant". Il allait y séjourner jusqu'à la fin de sa vie. Après s'être consacré à l'illustration des Mémoires d'un touriste de Stendhal, il confie : "Je me suis mis à peindre... j'en avais faim". Le peintre continue sa missive sur un commentaire concernant probablement une maison dans le pays breton de son destinaire, où Signac, passionné de la vie portuaire, résidait régulièrement et avait réalisé nombre de ses toiles : "Il n'était pas très bien de leur part de nous augmenter d'une moitié du prix payé... précisément. [...] Il est bien qu'ils s'aperçoivent que leur maison n'est pas si facile à louer (absence de plage, de casino, de mer... ça ne va pas aux gens qui veulent dire à leur concierge "nous sommes allés aux bains de mers ! Et les tarifs croissants des chemins de fer empêchent bien des familles d'aller en Bretagne. Peut-être l'an prochain seraient-ils heureux de nous prendre... à l'ancien prix" Charmante lettre du peintre, qui en a agrémenté la deuxième page d'un petit soleil à l'encre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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<p>Collection «Paroles d'artistes«. Bilingue français anglais. «Pourquoi donc la division, qui peut se prévaloir d'avantages que n'assurent pas les autres techniques, a-t-elle rencontré tant d'hostilité ? C'est qu'en France, on est rebelle à toute nouveauté d'art et, non seulement insensible, mais hostile à la couleur. Or, on avait contre l'art néo-impressionniste ce double grief : il constituait une innovation, et les tableaux exécutés selon sa technique brillaient d'un éclat inaccoutumé.« Paul Signac, D'Eugène Delacroix au Néo-Impressionnisme </p> Lyon, 2019 Fage 63 p., nombreuses illustrations couleur, broché. 12 x 17,5
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