Paris, Lemer, 1870, 1 br. in-8 de 88 pages non coupées ;
Roubaud habitait Visan et fut médecin à Entraigues (Vaucluse). Exilé politique en 1869 en Suisse.
Phone number : 06 80 15 77 01
Paris, Pagnerre, Carpentras, imp. Devillario, 1846, 1 br., manque sur la 1ère de couverture, dos cassé. in-8 de 334-(2) pp.,
Roubaud habitait Visan et fut médecin à Entraigues (Vaucluse). Exilé politique en 1869 en Suisse.[...] Les impots. - Les céréales. - L'Irlande. - De l'état de l'Irlande vis-à-vis de l'Angleterre. - Le gouvernement anglais peut-il pacifier l'Angleterre. - Conduite des irlandais dans les circonstances critiques ou ils se trouvent. - Politique anglaise à l'égard de la France en Algérie. Système de colonisation de l'Algérie. - Politique anglaise à l'égard de la France au Maroc. - Politique anglaise dévoilée à l'égard de la France à Tahiti. - Alliance Anglo-Russe. Etc...
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Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 28 novembre 1833 (Planche n°335)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.2cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 20.9cm x Largeur: 27.9cm - Titre en bas au centre : « Voyez Messieurs et Dames ! » ; légende plus bas au centre : « Voyez comme il est bien dressé, il donne la patte à tout le monde et se met à genoux et reçoit toujours avec un nouveau plaisir les petites // étrennes de la société. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°159 [160]. », en ht à dte : « Pl. 333. » [erreur de numérotation, planche 335] - Dans la lettre : « chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Description iconographique:Dans une arène entourée de palissades de bois, Louis-Philippe est représenté avec un corps d’ours et une tête humaine, vue de dos, mais reconnaissable au haut toupet. L’explication de la pl. précise que Benjamin Roubaud a voulu montrer « le système de la paix à tout prix, dans un ours qui danse et qui fait le beau à volonté, sous le knout d’un Cosaque qui le tient enchaîné, et au son du fifre et du tambour qu’un Anglais fait sonner » (Guillaume IV, roi du Royaume-Uni ?). C’est sur un parapluie posé sur ses épaules que le roi fait reposer ses bras. A terre, à gche, gît un chapeau décoré de la cocarde tricolore. Derrière la palissade, une foule de monarques assistent au spectacle et semblent contents, à en juger par leur mine réjouie, « depuis le colosse d’Autriche jusqu’à la colossillonnette d’Espagne » (in explication). On peut notamment reconnaitre Méhémet Ali. L’explication spécifie que la pl. vise à montrer « la double nature d’un Système qui a toute la rudesse d’un ours envers les patriotes de l’intérieur, et toute sa gentillese et son obéissance pour les hommes de la sainte-alliance », faisant allusion en cela à l’attitude répressive et belliqueuse de Louis-Philippe envers le peuple français, et au contraire, sa docilité dans les affaires internationales, Louis-Philippe ayant mené une politique étrangère de non-intervention afin de se concilier les bonnes grâces des grands royaumes (notamment des trois pays formant la Sainte-Alliance). Cf. congrès de la Sainte-Alliance à Münchengraetz en septembre 1833.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
iconographie:Dans une arène entourée de palissades de bois, Louis-Philippe est représenté avec un corps d’ours et une tête humaine, vue de dos, mais reconnaissable au haut toupet. L’explication de la pl. précise que Benjamin Roubaud a voulu montrer « le système de la paix à tout prix, dans un ours qui danse et qui fait le beau à volonté, sous le knout d’un Cosaque qui le tient enchaîné, et au son du fifre et du tambour qu’un Anglais fait sonner » (Guillaume IV, roi du Royaume-Uni ?). C’est sur un parapluie posé sur ses épaules que le roi fait reposer ses bras. A terre, à gche, gît un chapeau décoré de la cocarde tricolore. Derrière la palissade, une foule de monarques assistent au spectacle et semblent contents, à en juger par leur mine réjouie, « depuis le colosse d’Autriche jusqu’à la colossillonnette d’Espagne » (in explication). On peut notamment reconnaitre Méhémet Ali. L’explication spécifie que la pl. vise à montrer « la double nature d’un Système qui a toute la rudesse d’un ours envers les patriotes de l’intérieur, et toute sa gentillese et son obéissance pour les hommes de la sainte-alliance », faisant allusion en cela à l’attitude répressive et belliqueuse de Louis-Philippe envers le peuple français, et au contraire, sa docilité dans les affaires internationales, Louis-Philippe ayant mené une politique étrangère de non-intervention afin de se concilier les bonnes grâces des grands royaumes (notamment des trois pays formant la Sainte-Alliance). Cf. congrès de la Sainte-Alliance à Münchengraetz en septembre 1833.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 29 août 1833 (Planche n°308)- La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 147.coloriée. Plate 308. [Paris de Becquet for Maison Aubert [29 August 1833] Lithograph. Overall paper size 34.5 × 25.8 cm.French caricature of Talleyrand’s proposal to Lord Palmerston to form an alliance with Britain to counter-balance the continental league of the autocratic states of Russia, Austria, and Prussia.The print represents Talleyrand standing, supported on a crutch, reining in the infant Louis-Philippe, whilst King William IV bemus- edly looks on, commenting: ‘this child will never walk alone’. One rein is marked ‘Traite de 1815’, the other ‘Sainte Alliance’. Louis- Philippe is depicted from behind as a small boy in skirts playing with a miniature fortress and pulling a toy cannon. As usual with this artist, Talleyrand’s surgical boot is attached in error to his left foot.1 Benjamin Roubaud (1811–1847), lithographer, etcher and painter, made his name as an inspired Parisian caricaturist, contributing to the humorous comic journal La Caricature (1830–1835); he signed himself ‘Benjamin’or ‘A.B.’Dwyer 762 (misdated 1834).
signature : « Benjamin et Paillet » [Benjamin Roubaud, dessinateur, et Paillet, graveur]- Inscription - Sur le château de sable, un graffiti en forme de poire ; sur les laisses avec lesquelles Talleyrand tient le roi : « Traités de 1815 » et « Sainte alliance »Description iconographique:Talleyrand, à dte de la composition, vu de profil, appuie son bras gche sur une béquille. Il tient en laisse un enfant vêtu d’une robe rose et d’un petit fichu bleu (« en moutard tricolore » in explication). Vu de dos, il est reconnaissable au toupet et aux favoris : il s’agit du roi Louis-Philippe, occupé à construire un château de sable avec une truelle. Il tient en laisse un petit canon posé sur une plate-forme à roulettes. Allusion à son désir d’édifier des forts autour de Paris. Derrière eux se trouve Guillaume IV, roi du Royaume-Uni. Il montre Louis-Philippe du doigt tout en regardant Talleyrand avec un sourire moqueur. Il semble donner des ordres à Talleyrand. Cette pl. est une référence au projet de rapprochement avec l’Angleterre tenté par Talleyrand en direction de Palmerston pour contrer l’alliance continentale de la Russie, l’Autriche et la Prusse (Sainte-Alliance de 1815 entre ces trois pays, puis rejointe par la France en 1818 grâce à l’action de Talleyrand). Or, Guillaume IV s’y opposa, fervent défenseur de l’isolationnisme (le Royaume-Uni avait déjà refusé, en 1818, d’entrer dans la Sainte-Alliance). La pl. se moque du manque d’autonomie et d’autorité de Louis-Philippe sur l’échiquier européen.Personnages représentés:Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Louis-Philippe Ier, roi des Français
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur lithographe - TALLEYRAND
Reference : 25148
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 3 juillet 1834 (Planche n°400)Inscription - Titre en bas au centre : « hop !…………. hop ! ……………… hop !!!! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°191. », en ht à dte : « Pl. 400. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, sur le socle à gche, signature : « BenjAMIN [le N est écrit en sens inverse] » [Benjamin Roubaud, dessinateur] - Sur le socle, un graffiti représentant une tête piriforme
Sur la piste d’un cirque, Louis-Philippe (vu de dos mais reconnaissable aux favoris et au toupet) bondit de son cheval et passe à travers un cercle de papier représentant la « CHARTE // constitutionn […] [constitutionnelle] » tenu par deux personnages. Il s’agit de Talleyrand, à gche, juché sur un petit socle, incarnant la diplomatie, et de Persil en habit de magistrat, à dte, au milieu du public, de l’autre côté d’une palissade. Il incarne la « jugerie » (in explication), c'est-à-dire le ministère de la justice. Parmi les spectateurs, on peut reconnaître Lobau à gche, portant un bicorne, et Viennet derrière lui. Dans la partie de dte : Bugeaud, Fruchard, ainsi qu’Odier et Jollivet derrière eux. Enfin d’Argout se trouve à l’extrême dte. Les autres sont plus difficilement identifiables. L’explication précise la signification des attributs du roi : « (…) avec le rifflard qui représente la prudence, les culottes rapiécées qui représentent l’économie, et le faux toupet qui représente la maturité, vigoureuse encore et virile ». De plus, à gche au premier plan gît à terre un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore. A dte, enfin, un cosaque excite le cheval, un fouet à la main. Il représente « l’indépendance nationale » (in explication). La pl. ironise sur l’immense dépendance de la France de Louis-Philippe vis-à-vis de la Russie dans les affaires diplomatiques. D’après la presse d’opposition, le roi des Français va dans le sens des décisions prises par la Sainte-Alliance afin de ne pas la contrarier et risquer un incident. La pl. se propose de mettre en image une phrase extraite d’un numéro récent du Journal des débats : « On verra bientôt que le système sait surmonter toutes les difficultés, traverser tous les obstacles et briser toutes les résistances ». Le roi est ainsi présenté comme un acrobate, un pantin obéissant aux exigences de la Russie, quitte à renier les principes fondamentaux de la Charte constitutionnelle française.Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume; Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Mouton, Georges, comte de Lobau; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Jollivet, Adolphe; Bugeaud, Thomas-RobertCaricature of the liberalized Charter of 1830 which lifted censorship of the press and increased the electorate to double its previous size. Talleyrand is portrayed as a circus master in a long frock-coat standing on a pedestal in an arena, holding up a hoop with a paper screen marked ‘Charte Constitutionelle’ with the aid of a lawyer from the side of the audience: at a command, Louis-Philippe has jumped through the hoop from the back of a galloping horse to the applause of the audience, still clutching his umbrella. Talleyrand’s orthopaedic boot is here shown correctly on his right foot.
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur - TALLEYRAND
Reference : 24414
(1834)
1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature( Journal) No 200 Plate 419 [Paris] Delaunois for Aubert [September 1834] Lithograph. Platemark 23 × 27 cm; overall paper size 26.5 × 33 cm.the club foot in error attached to the sitter’s left leg. Four crowned monarchs are swearing their oath by placing a hand on the holy book; from left to right: the rotund figure of Louis-Philippe, the infant Isabella II of Spain supported by a wooden baby walker has dropped her doll, the girlish Maria II of Portugal in a mantilla holding up a doll in her right hand and touching the bible with her left, and KingWilliamIV.French caricature of the Quadruple Alliance of 4th September 1834 portraying Talleyrand dressed as a bishop with mitre and crozier seated in the centre holding a large opened bible; the artist shows
bon état,pli vertical
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur-lithographe
Reference : 25526
(1842)
1842 LE CHARIVARI Aubert et Cie, imprimeur-lithographe- Marie-Joseph dit Eugène Sue (1804-1857) (Titre factice), PANTHEON CHARIVARIQUE, nº97. (Titre de l'ensemble)- Vers 1841 — 1843- Lithographie-Description:-1 feuillet ; illustration page 3.-- texte imprime au dos,bon etat,marges courtes,rogné en haut,petit manque papier à l'angle du bas,dans l'etat. Hauteur: 36cmx Largeur: 27.3cm - Au recto, sur la lithographie, en bas à gauche, imprimer à l'encre noire : "Chez Bauger & Cie R. du Croissant 16.", au centre : "Chez Aubert & Cie Pl. de la Bourse." et à droite, imprimé à l'encre noire : "Imp. d'Aubert & Cie." ("ie" de "Cie" en exposant sur un point). impressionInscription concernant le titre - Au recto de la lithographie, en haut, imprimé à l'encre noire à gauche : "(Romanciers)" ; au centre : "PANTHEON CHARIVARIQUE." Impression - Au recto de la lithographie, en bas à droite, sur l'image, imprimé à l'encre noire : "Benjamin". (souligné). ImpressionInscription concernant le titre - Au recto de la lithographie, en bas au centre, sous l'image, imprimé à l'encre noire : "Sur la mer littéraire orageuse parfois, / En habile marin navigue Eugène Sue / Sans l'arreter jamais la critique déçue / Voir sa plume filer un succès tous les mois."
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur lithographe
Reference : 25262
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 30 janvier 1834 (Planche n°355) - Œuvre : Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image : Hauteur: 21.2cmx largeur: 28.8cm- Titre en bas au centre : « Verse, verse, verse encore. // (Chanson Bachique) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°169. », « Pl. 355. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur] - Inscription - Au bout des autres branches de vigne se trouvent diverses sommes d’argent touchées par le gouvernement suite aux amendes infligées aux journaux de l’opposition : « 2200 », « 24000 », « 6000 »…Description iconographique:Parodie d’une représentation du triomphe de Bacchus. Une des œuvres de référence est-elle "Le cortège de Bacchus" réalisée au XVIIe siècle par Cornelis de Vos (Madrid, musée du Prado)? Il semblerait que la pl. entretienne quelque ressemblance avec cette œuvre (le choix de représenter un âne, la disposition des personnages…). C’est Louis-Philippe qui est représenté en Bacchus ventripotent et nu. Il chevauche un énorme coq gaulois. Il tourne la tête vers Persil, représenté en corybante, en train de presser dans la coupe du roi la récolte de raisin, se transformant en écus de cents sous, fruit des procès et amendes dont furent frappés les journaux de l’opposition (le « NATIONAL », la « Tribune » et le « CHARIVARI »). Derrière le coq se trouve Viennet en Orphée chevauchant « un pégase d’Estagel » (in explication), qui est en fait un âne (en référence aux ânes d’Estagel) et jouant de la lyre. Un autre personnage (?) chevauche aussi le coq, et cache les parties génitales du roi avec une branche de vigne. Il est coiffé d’un bicorne. A dte, madame Athalin, en ménade vêtue d’une grande robe, suit le cortège tout en buvant une coupe de « CERISES // A // L’EAU DE VIE » dont elle porte le bocal sous son bras gche. La pl. dénonce le plaisir et l’ivresse procurés aux membres du gouvernement par la récolte de l’argent issu des amendes infligées aux journaux de l’opposition. Le titre est la phrase qu’on imagine Louis-Philippe prononcer pour continuer à se délecter de ce délicieux breuvage.Personne / Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume
iconographie:Parodie d’une représentation du triomphe de Bacchus. Une des œuvres de référence est-elle "Le cortège de Bacchus" réalisée au XVIIe siècle par Cornelis de Vos (Madrid, musée du Prado)? Il semblerait que la pl. entretienne quelque ressemblance avec cette œuvre (le choix de représenter un âne, la disposition des personnages…). C’est Louis-Philippe qui est représenté en Bacchus ventripotent et nu. Il chevauche un énorme coq gaulois. Il tourne la tête vers Persil, représenté en corybante, en train de presser dans la coupe du roi la récolte de raisin, se transformant en écus de cents sous, fruit des procès et amendes dont furent frappés les journaux de l’opposition (le « NATIONAL », la « Tribune » et le « CHARIVARI »). Derrière le coq se trouve Viennet en Orphée chevauchant « un pégase d’Estagel » (in explication), qui est en fait un âne (en référence aux ânes d’Estagel) et jouant de la lyre. Un autre personnage (?) chevauche aussi le coq, et cache les parties génitales du roi avec une branche de vigne. Il est coiffé d’un bicorne. A dte, madame Athalin, en ménade vêtue d’une grande robe, suit le cortège tout en buvant une coupe de « CERISES // A // L’EAU DE VIE » dont elle porte le bocal sous son bras gche. La pl. dénonce le plaisir et l’ivresse procurés aux membres du gouvernement par la récolte de l’argent issu des amendes infligées aux journaux de l’opposition. Le titre est la phrase qu’on imagine Louis-Philippe prononcer pour continuer à se délecter de ce délicieux breuvage.Personnages représentés:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume
1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique- La Caricature ( Journal) No 196, plate 411 [Paris] Delaunois for Maison Aubert [7 August 1834] Lithograph. Platemark 32 × 27cm; overall paper size 36.3 × 27.6 cm.,rare,bon étatFrench caricature of the Quadruple Alliance between France, Great Britain, Spain, and Portugal signed on 22nd April 1834 which crowned Talleyrand’s diplomatic career. The treaty, conceived by Palmerston to strengthen the liberal countries of western Europe against the auto- cratic northern monarchies, supported progressive governments recently installed in Spain and Portugal, against the claims of rival pretenders to the throne representing traditional interests. The infant Queen Isabella II of Spain1 was challenged by her uncle Don Carlos,2 and the young Queen Maria II of Portugal3 by her uncle Dom Miguel.4 The print shows Talleyrand peacefully reclining on a monument, as the architect of the treaty with pandemonium surrounding him. In apseudo-resurrection scene Don Carlos is shown flying on high shed- ding proclamations causing an explosion on the stock exchange, whilst below, the Queen Regent of Spain with her daughter Isabella, King Louis-Philippe and two other princes are looking up in a daze. Military conflict is indicated in a dark, brooding background.1 Isabella II of Spain (1830–1868), daughter of Ferdinand VII and Maria Cristina of the Two Sicilies, succeeded to the throne, because her father induced the Cortes to set aside the Salic law to re-establish the ancient law of succession. This was contested by her uncle, the Infante Carlos, who fought a civil war to support his claim with the help of the conservative opposition;2 Carlos Maria Isidro de Borbony Borbon-Parma(1788–1855),younger brother of King Ferdinand VII, known as Count of Molina, claimed the throne of Spain according to Salic law which excluded female succession introduced during the 18th century; the law was changed by Ferdinand in favour of his daughter Isabella. As a result the country was rent by civil war between the incumbent regency supported by the liberals and the Carlist pretender backed by the traditionalists;3 Dona Maria II (1819–1853), daughter of Pedro I Emperor of Brazil, became Queen Regnant of Portugal, when her liberal father abdicated the Portuguese throne. The decision was disputed by her absolutist uncle Miguel who usurped the throne, but was forced to abdicate in 1834;4 Dom Miguel(1802–1866),secondsonofKingJoaoofPortugal,aconserva- tive influenced by Metternich, led two revolts against his liberal father, and was exiled as a consequence. After betrothal to his young niece Maria II of Portugal, he took sole power and ruled as Miguel I of Portugal from 1828 to 1834, overthrowing the liberal constitution. In 1831 his elder brother Pedro abdicated the throne of Brazil, and ejected Miguel after a three-year civil war to re-establish Maria as Queen Regnant in 1834.
Brive, Ecritures, 1998, broché, couverture illustrée, 14x20,5 cm, 219 pages.
Bon état .
Charme de la France 1952 in4. 1952. Broché. Collection 'Charme de la France'. Recueil de 83 photographies de Jean Roubier. Préface de Camille Mayran
Bon Etat de conservation couverture défraîchie intérieur prorpe
Atura 2002 156 pages in8. 2002. Broché. 156 pages.
Bon Etat annotations haut page faux titre
Presses Universitaires de France - PUF 2004 331 pages 15x21x2cm. 2004. Broché. 331 pages.
intérieur frais une ride sur le dos
Presses Universitaires de France. 1981. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 192 pages.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Collection politique d'aujourd'hui. Classification Dewey : 320-Science politique
Aix. Aubin. 1840. In-8 (142 x 223mm) broché, couverture verte imprimée, VIII, 195 pages. Petites taches au sommet de la couverture sinon bel exemplaire, non coupé, papier très blanc, dans son élégant habit d'origine. Rare.
Etienne-Charles ROUCHON-GUIGUES qu'on appela avant la Renaissance félibréenne le dernier des patriotes provençaux, écrivit un éloquent (et inutile) plaidoyer en faveur de la vieille Constitution provençale détruite par l'Assemblée Nationale en 1789, digne de survivre au moins par sa formen littéraire et sa correction impeccable. En 1840 paraît son traité de la Politique, prélude d'un grand ouvrage qui n'a jamais vu le jour. Il y fait preuve d'une prodigieuse érudition surtout au point de vue du droit constitutionnel comparé. (Renseignements tirés de l'Encyclopédie départementale des Bouches-du-Rhône XI, 468). Le dernier des patriotes provençaux
Aix, Achille Makaire, Libraire-Editeur, 2, rue Pont-Moreau, 2 Broché 1863 Rare ouvrage in-8 (22.5*14.5), dos broché, XVIII+373pp., Eloge de l'auteur par M. Saudbreuil, Exposition, Livre premier et préliminaire : Etablissemens politiques antérieurs à la formation du comté de Provence, Livre deuxième : Comté de Provence depuis sa formation jusqu'à l'union avec la France, Livre troisième ; Comté de Provence depuis l'union avec la France ; manques au dos et à la couverture sans toucher au texte, quelques rousseurs à l'intérieur, prix en l'état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
G. van oest 1928 in4. 1928. Broché.
Etat Correct dos assez abimé + trace colle pages non-coupées
1957 Paris, André Bonne, 1957 in-huit, 350 pp
potrait en frontispice, broché.
Paris : Editions Magnard, collection "Fantasia rouge", 1978. Un volume in-8°, cartonnage illustré de l'éditeur.
Envoi de Jean Gaulmier. Couverture un peu passée. [19591]
FLAMMARION .. 1975.. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 240 pages.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Préface de François Mitterand. Collection : la rose au poing. Classification Dewey : 320-Science politique
Bayard Culture 2011 256 pages 18x14x2cm. 2011. Broché. 256 pages.
French édition légères marques de lecture mais du reste en très bon état d'ensemble. Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France
CENTURION. 1993. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 242 pages. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
QUE FAIRE. NON DATE. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 87 pages - texte en dactylographié.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
format moyen, couverture souple.260 pages. Bon état 1997 Albin Michel