Paris, Imprimerie Royale, 1837. In-4 de 1 f.n.ch. 275 pp. Arrêt du Mercredi 5 Avril 1837. Acte d'accusation. Paris, Imprimerie Royale, 1837. In-4 de 1 f.n.ch. 41 pp. Interrogatoires des accusés. Paris, Imprimerie Royale, 1837. In-4 de 1 f.n.ch. 210 pp. Cour des Pairs. Attentat du 27 Décembre 1836. Rapport fait à la cour par M. Barthe. Paris, Imprimerie Royale, 1837. In-4 de 1 f.n.ch. 87 pp. Exemplaire d'Épreuve du rapport de Félix Barthe. Ensemble 4 volumes in-4 brochés, couvertures bleues imprimées.
Première édition de ces quatre documents imprimés à la suite de l'attentat commis par Meunier sur la personne de Louis-Philippe le 27 Décembre 1836. Bel exemplaire broché.
Paris, Papy Descabane, 1821. 12 planches sous serpente reliées en 1 vol. in-4, demi-basane fauve, plats recouverts de papier maroquiné rouge, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque).
Livre édifiant destiné aux enfants, Suite complète dont un portrait du duc de Berry dessiné par Colin et gravé par Jazet et onze planches hagiographiques gravées à la manière noire par Charron, Hocquart jeune, Jazet et Paul d'après Chasselat, Defenne, Fragonard, Lordon, Martinet et Pêcheux.Ces mêmes gravures avaient illustré l'ouvrage de Hocquart paru chez Didot l'année précédente suite à la mort du duc de Berry le 14 février 1820 victime d’un attentat perpétré la veille à sa sortie de l’opéra. Charles-Ferdinand d’Artois, duc de Berry, né à Versailles le 24 janvier 1778 était un prince de la maison de Bourbon, fils du comte d’Artois, futur Charles X et de Marie-Thérèse de Savoie. Très bon exemplaire. Mors et coins frottés.
A Rouen, Chez Mégard, 1843. Affiche (43 x 53 cm) monté sur carton souple.
Bois gravé par Numa de Lalu en bandeau : Mort et obsèques de son Altesse Royale Monseigneur le duc d'Orléans suivi de son compte-rendu encadrant le calendrier. Ferdinand Philippe Louis Charles Éric Rosalino d'Orléans, né le 3 septembre 1810 à Palerme et mort le 13 juillet 1842 à Neuilly-sur-Seine, duc de Chartres puis duc d’Orléans et prince royal de France, était le fils aîné de Louis-Philippe Ier, roi des Français et de Marie Amélie de Bourbon, princesse des Deux-Siciles. Petits manques de papier à deux coins sans atteinte à la gravure.
Paris, De l'imprimerie de Vigor Renaudiere, 1820. In-folio de 2 pages (43 x 28 cm).
Canard de 1820 illustré d'un bois gravé (18,5 x 12,5 cm) qui relate l'affaire des chauffeurs assassins du curé de Guillerval et les « moyens employés par ces scélérats pour s'introduire pendant la nuit au domicile de M. Travers ; détails des persécutions que ces monstres ont fait endurer à leur victime ; cruautés commises par ces brigands qui ont chauffé les pieds du respectable vieillard âgé de 77 ans pour lui faire avouer où était son argent ; comment ils lui mirent un pistolet sous la gorge menaçant de le tuer ; intrépidité de ce vénérable ecclésiastique lorsque les brigands voulurent emporter les vases sacrés, récit douloureux sur la fin déplorable de ce malheureux pasteur ».
Paris, chez Ledoyen, Libraire, 1831. In-8 broché de 27 pp., couverture imprimée.
Traité anonyme d'un monarchiste convaincu suite à la révolution de Juillet. Légère mouillure angulaire. Pâles rousseurs.
Reference : 215414
Paris, Beauchesne, 1918 in-12, 344 pp., broché.
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Reference : 211754
Avignon, Seguin aîné, 1844 in-8, 40 pp., broché. Rousseurs.
Procès pour le "Délit d'excitation à la haine et au mépris du Gouvernement du Roi..." par la publication de sa brochure De l'abolition du monopole universitaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Picquet, 1825. Plan replié et entoilé de 78 x 50 cm, étiquette "J. Goujon marchand de cartes rue du Bac n°6 à Paris".
Carte dressée par Pierre Lapie (1779-1850), colonel, géographe et cartographe, admis à l'École du génie en 1789. Ingénieur géographe au Dépôt de la guerre en 1793, il fut directeur du cabinet topographique du roi en 1814, promu chef d'escadron au corps d'Etat-major puis colonel en 1832. Il fit partie des membres fondateurs de la Société de géographie de Paris. Contient les plans en cartouches de La Canée, Candie et Retimo 1/20.000, Fort de La Sude 1/10.000, Labyrinthe souterrain près de Gortyne 1/2.500.Bel exemplaire.
Reference : 181404
Grenoble, Imp. de J.-L. Barnel, (1832) in-8, 7 pp., broché, couv. muette postérieure. Rousseurs.
Déclaration du 28 mai 1832 au sujet de la nouvelle monarchie. On remarque comme signataires Lafayette, Lamarque, Odillon-Barrot, Girardin. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie de E. Brière, 1841. In-8 broché de 41 pp., couverture imprimée.
Édition originale rare « par l'auteur de l'Espagne en octobre 1841 » : la B.N.F attribue ce titre à Eugène Rosseeuw Saint-Hilaire (1805-1889) historien de l'Espagne, suivant une note manuscrite sur son exemplaire, attribution qui n'est pas reprise par les bibliographies.
Reference : 180021
Paris, Chez Delarue, s.d. in-16, 128 pp., 1 planche dépliante recto-verso en frontispice, ill. in-t., broché, papier fantaisie.
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Paris, aux bureaux de la Phalange, 1845-1849. 10 vol. in-8, demi-veau vert, dos lisse orné de fers romantiques (reliure de l'époque).
Collection complète de la quatrième et dernière série. Revue mensuelle publiée par l'Ecole sociétaire, en parallèle avec la Démocratie pacifique, quotidienne. Ce fut Victor Considérant qui releva le drapeau du fouriérisme en fondant cette revue en 1836. Après la mort de Fourier, Considérant devint sans conteste le chef de l'école sociétaire. Cette dernière série correspond à la « troisième campagne phalanstérienne », avec les publications de l'école et les réunions de propagande, pour la réalisation effective du Parti social projeté et annoncé par Fourier ; on trouve dès le premier numéro la publication des manuscrits inédits de Fourier : Crimes du commerce ; Du Groupes d'amitié ; Echelle parallèle des attraction sociales ; Analyse du mécanisme d'agiotage ; Fragments et notes, etc.Principaux collaborateurs : H. Doherty, V. Meunier, Laverdant, Hennequin, Weill, Collin, Cantagrel, Perreymond, Considérant, A. Gilliot, P. de Boureulle, J. Duvall. Ex-libris cachet-tampon : Guillerault contrôleur des contributions directes. Accident aux mors et coiffes. Del Bo, p. 60.
Reference : 111073
Paris, Cosse et J. Dumaine, 1844 in-8, paginé 233-244, dérelié. Sans les planches.
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A Paris, chez H. Nicolle, 1820-1821. 6 vol.in-8, demi-basane racinée, dos lisse orné, pièces de titre en basane rouge et de tomaison en basane vert (reliure de l'époque).
Collection complète du journal favorable à la philosophie de Lamennais.Principaux collaborateurs : Bonald, Saint-Victor, Genoude, La Luzerne, Lamartine, et Charles Nodier qui signe 4 articles dans le tome ILa France telle qu'elle est, De la loi des élections et de l'aristocratie, Lettre sur Paris, Des Couleurs nationales ; 2 articles dans le tome III, Saint-Michel, Etudes poétiques… article dans le tome IV, L'Apocalypse du solitaire.A la suite de la disparition du journal le Conservateur, « M. de Bonald réunit de nouveau ses efforts à ceux de M. de Saint-Victor, le savant et spirituel auteur du Nouveau Tableau de Paris, pour continuer à soutenir, dans le Défenseur, les principes religieux et politiques qu'il avoit professés dans le Conservateur. Cette nouvelle publication périodique renfermoit peut-être des doctrines plus monarchiques, et plus constamment conformes aux principes de l'auteur de la Législation primitive ; mais l'attrait piquant d'une opposition ardente lui manquoit, et le Défenseur n'eut qu'une assez courte existence. Quelque mérite qu'aient les publications politiques, c'est malheureusement l'opposition seule qui a le privilège de les faire vivre : c'est là un des maux de notre époque, et personne ne le sentoit plus profondément que le sage écrivain. Quoi qu'il en soit, le Défenseur, dans sa courte existence, remplit mieux sa mission que le journal qu'il avoit remplacé : il défendit mieux que le Conservateur ne conserva, et son titre plus modeste fut aussi plus facile à justifier » (H. de Bonald, Notice sur le vicomte de Bonald). Hatin, 340.
Paris, aux bureaux de la Phalange, 1836-1840. 3 tomes de 36, 45 et 16 livraisons reliées en 1 vol. in-4, demi-basane fauve, dos lisse orné de fers romantiques (reliure de l'époque).
Première série très rare (juillet 1836 - août 1840) du périodique fouriériste La Phalange, Journal de l'Ecole Sociétaire faisant suite au journal le Phalanstère ou la Réforme Industrielle (1832-1834).Collaborateurs : Considérant, Dain, Chambellan, Paget, D'Izalguier, Pellarin, Muiron, Mme Vigoureux, Villegardelle, Baudet-Dulary, Lemoyne, W. Gagneur, H. Renaud, Tandonnet, Cantagrel, E. Bourdon, Laverdant, J. Blanc, A. Bureau, Toussenel etc.Ce fut Victor Considérant qui après la mort de Fourier devint sans conteste le chef de l'école sociétaire -, releva le drapeau du fouriérisme en fondant La Phalange en 1836 : « Le journal fondé aujourd'hui sous le nom de la Phalange, dont l'existence est assurée par les ressources propres et actuelles de l'Ecole sociétaire, a pour objet spécial de donner une publicité large et croissante à ces principes et à leur conséquences sociales établies… C'est une tribune qui se dresse, une chaire qui s'élève… pour donner l'enseignement d'une science constituée aux hommes qui auront volonté de l'entendre, et surtout pour susciter cette volonté dans les intelligences droites et les coeurs dévoués… Nous entrerons donc dans le domaine ordinaire de la politique, de la littérature et des Arts. Nous exposerons au point de vue de la science sociale, nos idées critiques ou organiques sur toutes ces choses auxquelles le public de notre époque est occupé. N'appartenant, par la théorie, à aucun des partis qui se disputent le terrain et sympathisant avec tous les bons désirs d'ordre et de liberté, de conversation et d'avenir qui se trouvent malheureusement et par grande erreur, épars dans leur camp hostile, nos jugements auront forcément un caractère d'impartialité qui nous fera le même jour, louer et blâmer alternativement par raison dans chaque classe, là où les organes ordinaires de la publicité font, par système, aveugle opposition ou soutenance aveugle » (Déclaration de Victor Considérant).Cette revue servit beaucoup au développement de l'Ecole sociétaire. Elle contenait des abrégés de la doctrine fouriériste, des critiques de la société de l’époque et elle présentait les multiples projets de réalisations en cours. Elle cessa de paraître en 1843, quand les fouriéristes décidèrent de créer un quotidien, La Démocratie Pacifique.Page de titre illustrée du Phalanstère pour chaque tome. Au tome 1, les livraisons 1 et 3 manquent ; au tome 2, les livraisons 22 et 48 ; au tome 3 , les livraisons 1, 2 et 3.Cachet-timbre royal. Del Bo, p. 47.
Reference : 659767
Paris, Plon, s.d. in-16, 12 pp., sans couv.
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Paris, De l'Imprimerie de Fain, 1814-1815. 43 livraisons numérotées 337 à 379 du 15 décembre 1814 au 15 juillet 1815 reliées en 2 vol. in-8, demi-veau havane, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaison en maroquin vert, couvertures jaunes conservées (reliure de l'époque).
Collection complète en premier tirage où le titre Nain Jaune apparaît avec le n°341, tandis que les quatre numéros de tête (337, 338, 339 et 340), précédés du très rare feuillet d'Avis de refondation du journal, portent encore le titre de Journal des Arts des Sciences et de la Littérature (Hatin, p. 286) ; pour la première édition séparée, ces mêmes numéros de tête sont réimprimés avec le titre Nain Jaune et paginés en romain (Vicaire, VI, 19).Journal fondé le 15 décembre 1814 par Cauchois-Lemaire. Le Nain Jaune dont les principaux rédacteurs étaient Merle, Jouy, Étienne, comptait parmi ses collaborateurs anonymes, Louis XVIII, qui faisait jeter dans la bouche de fer du journal des épigrammes mordants. Ce fut la rédaction du Nain Jaune qui inventa l'ordre des chevaliers de l'Éteignoir comprenant les personnalités les plus notables du parti de l'Ancien Régime, et l'ordre de la Girouette, dans lequel on comprit les hommes politiques les plus connus par la variation de leurs opinions. Le journal soutint Napoléon lors des Cent-Jours et fut supprimé au second retour des Bourbons le 15 Juillet 1815. Reliés en tête : Journal des arts, des sciences et de la littérature, n° 335 et 336.Bel exemplaire complet des 7 grandes caricatures dépliantes en couleurs numérotées et du brevet en noir de l'Ordre sombre de l'éteignoir (le second brevet de l'Ordre de la girouette manque). La caricature n°1 Les Journaux est reliée à la fin de la première livraison qui porte encore le titre Journal des Arts. Pièces de titre renouvelées.Provenance : bibliothèque de Bourlon de Rouvre avec son ex-libris armorié. Hatin, pp. 286 et 320 ; Vicaire VI, 19 ; Escoffier (247) décrit un exemplaire avec seulement 3 caricatures).
Bruxelles, Imp. du Nain Jaune, 1816. Profession de foi et 24 livraisons reliées en 1 vol. in-8, demi-vélin ivoire, pièce de titre noire (reliure moderne).
Collection complète. Journal fondé par Cauchois-Lemaire pendant son exil en Belgique ; il fait suite au Nain Jaune, supprimé lors du retour des Bourbons. Principaux collaborateurs : Arnault, Guyot. Le 12 novembre 1816, Le Nain Jaune est réuni au Mercure-Surveillant et devient le Libéral. Le gouvernement belge ne se sentit plus assez fort pour tolérer Cauchois-Lemaire et ses journaux. Il fut conduit à la frontière prussienne pour être enfermé dans une forteresse ; Cauchois-Lemaire put s'évader et se réfugia à La Haye.Exemplaire sans caricature, complet du rare numéro tricolore. Hatin p. 323.
Strasbourg, Imprimerie de P.J. Dannbach, 1820. Prospectus, 34 livraisons et et 1 numéro spécial reliés en 1 vol. in-folio à deux colonnes par page en caractères latins et gothiques, demi-basane marbrée, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Collection très rare avec son prospectus, de la première livraison publiée le dimanche 16 janvier 1820 au n°35 et dernier daté mercredi 5 avril 1820, suivie de la feuille imprimée le 6 avril 1820 Le Patriote alsacien et le Courrier du Bas-Rhin.Trihebdomadaire alsacien bilingue français et allemand, témoin des soubresauts de la liberté de la presse au tournant de 1820, fondé après la loi de Serre et suspendu après le retour des Ultras. Directeur et rédacteur : C. Marchand "jusqu'à présent attaché à la rédaction du Censeur européen".« Plusieurs autres départements jouissent des bienfaits de la liberté de la presse. Pourquoi ne suivrait-on pas cet exemple en Alsace (…) La feuille que je rédigerai offrira principalement au lecteur des nouvelles étrangères, des nouvelles de Paris et des nouvelles du département du Bas-Rhin (…) soit en matières d'impôts, soit en matière de commerce et d'agriculture (…) Le Patriote Alsacien aura des relations sûres avec l'Allemagne (…) Strasbourg l'une de nos premières places fortes offrira souvent au rédacteur du Patriote alsacien l'occasion d'entretenir ses lecteurs des devoirs du citoyen et de ceux du soldat (…) il sera heureux de pouvoir rendre hommage à l'excellent esprit qui anima toujours les habitants de cette cité et au dévouement dont nos braves sont prêts à donner l'exemple pour conserver les institutions, sans lesquelles il n'est de sécurité pour personne, et avec lesquelles on assure les prospérités de tous. Le Patriote alsacien sera imprimé en français et en allemand dans un format beaucoup plus grand que celui des feuilles déjà publiées à Strasbourg (…) Strasbourg le 5 janvier 1820 » (Prospectus).L'édition spéciale du 6 avril 1820 reliée en fin d'exemplaire (1 feuillet) opposa C. Marchand à Engelhard du "Courrier du Bas-RhIn" dont le journal continua à paraître malgré les restrictions.Tous les numéros portent le Timbre Royal et le Timbre à l'extraordinaire du Bas-Rhin. La 4e livraison manque. Discrètes restaurations, rousseurs, pâles mouillures.
Reference : 86928
Paris, Aux Bureaux de l'Audience, Journal Judiciaire, 1841 2 tomes en 1 vol. in-8, 395 pp. et paginé 18-647 pp., front. à chaque tome, 2 pl. h. t., demi-basane rouge, dos à nerfs orné (rel. de l'époque). Mouillure.
Le second tome est consacré au procès de madame Lafarge. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Reference : 191087
Paris, 1832 in-8, 16 pp., sous ficelle.
Sur le traitement des condamnés politiques de la Restauration par la nouvelle monarchie. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
, , 1820-1829. 7 ouvrages reliés en un volume in-8, cartonnage bleu nuit, dos lisse orné de filet doré (reliure de l'époque).
CARAMAN (Victor-Marie-Joseph-Louis de Riquet, marquis de). Observations sur les institutions militaires en France. Paris, imprimerie de J. Tastu, 1829. In-8 de 64 pp. Extrait de la 36e livraison du Spectateur Militaire. « La puissance d'un état dépend bien plus de l'emploi qu'il fait de ses ressources, que de ses ressources mêmes ». CARRION D'ESPAGNE DE NISAS DE PAULIN (Gonzague de). De quelques détails d'organisation et d'administration militaires. Saint-Denis, Imprimerie de Constant Chantpie, 1829. In-8 de 29 pp. Extrait du Journal des Sciences militaires, 48e livraison. Ouvrage divisé en 5 chapitres : De l'engagement volontaire ; Du remplacement ; Du signalement des militaires ; Du rengagement ; Résumé. [AULNOIS (Augustin d')]. Projets concernant les Gardes nationales de France, en temps de paix et en temps de guerre, et notamment la Garde nationale de Paris sa garde d'honneur et sa garde urbaine par un ancien grenadier de la Garde nationale. Paris, Librairie Ladvocat, 1829. In-8 de 47 pp. Edition originale. Officiellement supprimée en 1827, la Garde nationale est rétablie en 1830 au moment des Trois Glorieuses. 1 tableau dépliant : Tableau synoptique de l'organisation de la Garde d'Honneur de Paris. Tables. Instruction pour les tirailleurs. Saint-Omer, chez J.-B. Lemaire, [1829]. In-12 de 24 pp. Journal Militaire officiel. Année 1832. - Premier semestre. Livraison supplémentaire. Ordonnance sur le service des armées en campagne. Paris, Ancelin, 1832. 3 planches dépliantes gravées par Adam : Camp d'un régiment de 3 bataillons en première ligne. Les baraques étant pour 16 hommes ; Camp d'un régiment de 2 bataillons en première ligne. Les baraques étant pour 8 hommes ; Camp de Cavalerie. CLOUET (Anne-Louis-Antoine). De la composition et de l'organisation de l'armée. Paris, chez Ancelin et Pochard, et chez Gide, 1828. In-8 de 156 pp. Ouvrage divisé en 3 parties : causes du malaise de l'armée; moyens d'attacher les Sous-Officiers et soldats au service; mesures propres à améliorer le sort des officiers. GOUVION-SAINT-CYR (Laurent de). Considérations sur l'organisation des Etats-Majors de l'Armée. Paris, F. G. Levrault, 1820. In-8 de 124-(1) pp. Edition originale. Sous la Restauration Gouvion-Saint-Cyr (1764-1830) fut ministre de la Marine, de la Guerre de 1817 à 1819, réorganisa l’armée et laissa son nom à la loi sur le recrutement. Relié en tête 7 feuillets manuscrit non signés, d'une écriture très lisible : Réorganisation des Etats Majors en 1818. 1er Rapport au Ministre.
Paris, Imprimerie Royale, 1831. 2 vol. in-folio de (2)-XXXVIII-(1)-432 pp. et 107-(9) pp., demi-veau rouge, dos à nerfs orné d'un fer fleur de lys répété, pièce de titre en maroquin rouge et vert, tête cirée, non rogné (reliure moderne).
Édition originale. Nouveau règlement de l'infanterie française au début du règne de Louis-Philippe bien complet de son atlas contenant 64 planches dépliantes, dessinées et lithographiées par C. Frenet, chef de bataillon au corps royal d'état-major pour l'école du soldat, déplacement des bataillons, peloton de tirailleurs, placement sur les champs de bataille, etc. In fine 9 planches de musique gravées, Batteries & sonneries, composées par Pierre Melchior, chef de musique, qui sont encore en usage de nos jours pour l'infanterie. Très bel exemplaire à grandes marges.
Reference : 666935
Paris, Société Anonyme de Publications Périodiques, 1884 in-12, 16 pp., portrait, broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Reference : 659472
Paris, 1852; in-8, 47 pp., broché, papier bleu. Petits manques au dos et à la couverture.
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