Julliard, 1945 in-12 , broché ,couverture illustrée ,274p. ,dos passé,
service de presse
Sans lieu ni date (fin XVIIIème). In 4° de 22 pp (rousseurs).
On joint: Réponse d’Antoine-Quentin Fouquier, ex-accusateur public près le Tribunal Révolutionnaire de Paris, aux différents chefs d’accusation poortés en l’acte à lui notifié, le 26 frimaire: A la Défense Générale de Billaud-Varenne, Collot d’Herbois, Barrère et Vadier, etc… P., Marchant, An III. In 8, couverture factice, 88 pp.
Les Coulisses du Tribunal Révolutionnaire, Fouquier-Tinville intime, avec des Lettres inédites de Fouquier-Tinville, de sa Veuve, de ses Enfants, et de nombreux Documents nouveaux tirés des Cartons du Tribunal Révolutionnaire aux Archives Nationales,
Reference : 4950
(1910)
1910 Paris, Société d'Editions et de Publications Parisiennes, sans date, [1910], 1 fort Volume broché, 207 x 144 mm. 412 pp. Abondante Iconographie, 20 Gravures et Fac-similés, dans et hors texte,usures d'usage sur les plats, quelques rousseurs, du reste, bonne condition.
"Antoine Quentin Fouquier de Tinville, dit Antoine Fouquier-Tinville, 1746-1795, juriste français qui devient le principal accusateur public du Tribunal révolutionnaire.Accusateur public central pendant la première partie de la Révolution française et la Terreur, il demande l'exécution de nombreux prévenus, y compris de personnes célèbres, comme Marie-Antoinette, Danton et Robespierre, et fait condamner plus de deux mille d'entre eux à la guillotine. Après la fin de la Terreur, avec le 10 thermidor, il est arrêté. « Ce n'est pas moi qui devrais être traduit ici, mais les chefs dont j'ai exécuté les ordres. Je n'ai agi qu'en vertu des lois portées par une Convention investie de tous les pouvoirs ». Généralement, sa défense consiste à renvoyer la faute des exécutions sur le Comité de salut public, particulièrement sur Maximilien de Robespierre. Malgré cette défense, il est condamné à mort. Il est guillotiné à Paris le 7 mai 1795. Le dernier mis-à-mort du Tribunal révolutionnaire avant sa suppression."
Phone number : 02.31.77.03.74
Genève, Ed. de Crémille, 1971. in-12, 252-247-251-251 pages, ill. h.t., rel. cartonnage decor « Club ».
Prix pour les 4 vol. [CA27] Sade - Béria - Judas - Torquemada - Attila - Fouquier-Tinville - Tamerlan, etc.
1851 Lithographie en noir et bistre - Format 18,5 x 12 cm environ sur une feuille de papier fort de 25,5 x 16 cm - Paris vers 1850 -
D'après A. Lacauchie - Avec une notice biographique de quelques pages -
ROUCHER (Jean-Antoine) poète français (né à Montpellier le 22 février 1745, guillotiné le 25 juillet 1794.)
Reference : 159C30
« …continuez à me donner la joie de vous lire » avoue-t-il à la jeune Eulalie, âgée de 14 ans. Il la félicite et l’encourage à continuer à lui écrire sans brouillon. « le style l’orthographe et l’écriture se sentent un peu de cette nouveauté, mais l’habitude vous rendra maitresse de votre pensée, de vos principes et de votre main. Je ne veux pas dire cependant que votre lettre soit mal, mais seulement que bientôt j’en recevrai qui seront mieux. Vous me faites, ma chère Minette des promesses bien douces, je les accepte de bien bon cœur…. ». Il lui recommande d’être attentive aux conseils donnés par sa mère, « elle veut comme moi s’il est possible, une fille parfaite…. ». Sa surcharge de travail et son éloignement de Paris pour plusieurs jours à Epinay, ne lui permettront pas d’être en famille, « comme je ne serai point ici samedi prochain, je prends mes avances afin que vous receviez dimanche prochain votre pain béni… ». On joint 2 lettres autographes signées de Marc François GUILLOIS (1774-1848) rédacteur au Moniteur Universel, qui épousa sa fille Eulalie Roucher pendant la terreur, en Août 1794. Ces deux lettres sont adressées au baron Le Prieur de Blanvilliers. La première lettre datée de septembre 1838, fait état du don de cette lettre au baron. Dans la seconde lettre datée de février 1839, il lui demande de lui transmettre une copie de cette fameuse lettre, « ma famille désire et je désire une copie de tous les autographes dont je dispose et même que j’en demande une à toutes les personnes à qui j’en ai déjà remis… ».
Bel ensemble