Jules Caplain. Villebois-Mareuil, son idée, son geste Envoi autographe de l'auteur en page de titre " A Monsieur Georges Berthou, hommage sympathique Lettre du Général Mercier, entrevue de Wonderfontein, par le Baron Van Dedem, notes du Comte P. de Breda Georges Henri Anne Marie Victor, comte de Villebois-Mareuil, né le 22 mars 1847 à Nantes et mort à Boshof, en Afrique du Sud, le 5 avril 190, militaire français. Il reste principalement connu pour son engagement aux côtés des Boers contre l'armée britannique lors de la deuxième Guerre des Boers. Illustrations hors texte en noir et une lettre dépliante coupée et complète), Appel aux Légionnaires (photo-autographie). vol relié demi cuir, in8, 22x15, accrocs en tête de coiffe, très bel état intérieur, 222pp. Paris, Imprimerie F. Levé, ss date 1902 ref/86
35 Superbes planches couleurs et qq gravures Noir & Blanc Tome IV ( dernier) fort vol in-4. 260x190, frottements, bel état intérieur, 460p. Paris Barbier éditeur, 1850
Un frontispice, une reproduction de manuscrit et en fin de volume une table alphabétique des noms cités dans l'ouvrage. vol relié demi cuir, 23x16, accrocs à la coiffe, bon état int., 318pp. Provenance École d'Artillerie de Douai Paris, Dumaine, 1850. Édition Originale. Né le 25 avril 1767 à Bar-le-Duc, Nicolas-Charles Oudinot est issu de la petite bourgeoisie meusienne. Après des études dans sa ville natale puis à Toul, il s'engagea en 1784, à l'âge de dix-sept ans, dans le régiment de Médoc-infanterie, son caractère ne l'inclinant guère à participer aux affaires de la brasserie paternelle. Revenu dans sa région trois ans plus tard avec le grade de sergent, il y épousa Françoise-Charlotte Derlin en septembre 1789, année où les premiers événements de la Révolution lui fournirent l'occasion de se révéler. Le 14 juillet 1789, une compagnie soldée, formée à Bar, plaça à sa tête l'ancien soldat du Médoc-infanterie avec le grade de capitaine. Ayant montré sa fermeté et son esprit de décision lors de quelques troubles qui agitèrent cette ville, Oudinot fut désigné en 1790 comme chef de légion, commandant la Garde nationale du département, puis, le 6 septembre 1791, élu à la majorité des suffrages lieutenant-colonel du 3e bataillon des volontaires de la Meuse, avec lequel il partit pour la frontière du Nord-Est. À la suite de sa remarquable défense de Bitche, il fut promu chef de brigade (colonel) le 5 novembre 1793 et se vit attribuer le commandement de la 4e demi-brigade, qui venait d'être constituée avec l'un des plus brillants éléments de l'armée monarchique, le régiment de Picardie. En décembre de la même année, à l'affaire d'Haguenau il reçut la première d'une longue série de blessures qui firent de lui le maréchal le plus blessé de l'Empire. Quelques mois plus tard, sa conduite à Kaiserslautern, où il se fraya un passage à la baïonnette dans les rangs prussiens, lui valut le grade de général de brigade (14 juin 1794). Il avait alors vingt-sept ans et, comme la plupart des futurs maréchaux de l'Empire, était parvenu à ce grade bien avant le 18 Brumaire. En octobre 1795, victime de cinq coups de sabre à Neckerau et laissé sur le terrain, il fut fait prisonnier par les Autrichiens. Libéré l'année suivante à la suite d'un échange d'officiers supérieurs, il rejoignit les armées du Rhin et de la Moselle commandées par le général Moreau. En 1799, pendant la campagne d'Helvétie, il se distingua à la prise de Zurich et à celle de Constance, étant alors chef d'état-major de Masséna qui le fit nommer général de division (12 avril 1799). Oudinot prit ensuite part à toutes les grandes campagnes du Consulat et de l'Empire, à l'exception de celles d'Espagne et du Portugal. Auprès de Masséna, il soutint avec l'armée de Ligurie le siège de Gênes, place qui fut évacuée avec les honneurs de la guerre après avoir permis à Bonaparte de franchir les Alpes. Lors des dernières opérations en Italie, il s'illustra, notamment par un fait d'armes personnel en s'emparant avec son état-major d'une batterie autrichienne gardant le passage du Mincio (décembre 1800). En février 1805, à la veille de la formation de la troisième coalition, il reçut le commandement en chef des grenadiers réunis, soldats d'élite qui ne furent bientôt plus connus que sous le nom de « Grenadiers d'Oudinot » : il remporta l'année même une série de succès à Wertingen, Amstetten. Vienne et Hollabrünn, puis contribua à la victoire d'Austerlitz. Il rendit de précieux services en 1806 durant la campagne de Prusse, enleva Ostrolenka par une brillante charge de cavalerie Tannée suivante (février 1807) et se couvrit de gloire face aux Russes à Friedland (juin 1807). Le 25 juillet 1808. l'Empereur lui accorda le titre de comte de l'Empire avec pour dotation le domaine d'Inowaclo (Pologne). A la tête de sa troupe — surnommée « la colonne infernale » tant elle inspirait de crainte dans les rangs ennemis —, il se signala durant la campagne d'Autriche (1809) à Ebersberg puis Essling. Quand Lannes fut mis hors de combat, l'Empereur donna « le commandement du 2ecorps au comte Oudinot, général éprouvé dans cent combats, où il a montré autant d'intrépidité que de savoir» (23 mai, 10e Bulletin de la Grande Armée). Peu après, il fit des prodiges de valeur à Wagram, où il força la victoire en outrepassant les ordres de Napoléon, qui lui donna son bâton de maréchal le 12 juillet 1809 et le titre de duc de Reggio. S'il semble bien que l'Empereur voyait, depuis plusieurs années déjà, en lui l'un de ses futurs maréchaux, divers facteurs ont pu venir retarder son élévation à cette dignité : Oudinot était de l'armée du Rhin el n'avait rencontré Bonaparte pour la première fois qu'après l'instauration du Consulat; républicain affiché, il fit longtemps partie du groupe des généraux « d'opposition »; s'il était un meneur d'hommes d'une bravoure exceptionnelle, il n'était toutefois pas un grand stratège ; ses multiples blessures, enfin, le tinrent trop souvent écarté aux moments où se distribuaient les distinctions. À l'intrépidité Oudinot joignait un esprit chevaleresque reconnu de ses adversaires et, dernière la rudesse extérieure de son caractère, un indéniable savoir-faire qui contribuèrent sans doute à lui faire attribuer certaines missions plus diplomatiques que militaires avant comme après son accession au maréchalat. Chargé, en 1806, de prendre possession au nom de Berthier de la principauté de Neuchâtel (Suisse) cédée à la France par la Prusse, il s'attira, par son équité et son désintéressement, la reconnaissance des habitants qui, à son départ, lui offrirent une épée d'honneur et la citoyenneté de Neuchâtel. Gouverneur d'Erfurt, il eut la tâche délicate de veiller au bon déroulement d'un congrès (septembre 1808) où étaient conviés nombre de souverains et princes d'Europe autour de Napoléon et du tsar, auquel l'Empereur le présenta comme « le Bayard de l'armée française ». Lors de l'abdication de Louis Bonaparte du trône de Hollande, Napoléon, ayant décidé d'annexer ce pays à l'Empire, en confia l'occupation à Oudinot, qui sut concilier dans cette opération (1810) la fermeté qu'exigeait l'application des ordres reçus, le respect que demandait le sort d'un peuple éprouvé et les égards qu'appelait la situation du frère de l'Empereur. C'est durant son séjour en Hollande qu'Oudinot apprit le décès de sa femme dont il avait eu sept enfants. Quelque temps plus tard, le 19 janvier 1812, il épousa Marie-Charlotte-Eugénie de Coucy, jeune femme de l'aristocratie de l'Ancien Régime, qui lui donna quatre autres descendants venant agrandir une famille où le métier des armes fut largement représenté. Tous ses fils embrassèrent la carrière militaire : l'aîné, Victor, lieutenant des hussards en 1809, chef d'escadron à la fin de l'Empire, reçut en 1849, une fois devenu général, le commandement en chef du corps expéditionnaire français contre la République romaine ; le deuxième, Auguste, colonel des chasseurs d'Afrique, trouva la mort durant la conquête de l'Algérie ; le troisième, Charles, fut lieutenant-colonel d'infanterie et le quatrième, Henri, général de brigade. Deux de ses gendres, Claude Pajol et Guillaume de Lorencez, étaient de brillants généraux de division qui, comme le maréchal, firent les dernières campagnes de l'Empire. Chef du 2e corps pendant la campagne de Russie, Oudinot remporta plusieurs succès autour de Pulutsk (août 1812) et montra le plus admirable courage en ouvrant à l'armée le passage de la Bérézina (novembre 1812). Commandant le 12e corps, le 4e, puis le 7e et 12e corps réunis durant la campagne d'Allemagne, il se battit comme un lion à Bautzen (mai 1813), mais fut refoulé par Bernadotte à Gross-Beeren (août 1813) ; il conduisit ensuite avec héroïsme deux divisions de la Jeune Garde à Wachau puis à Freiburg (octobre 1813) et, lors de la campagne de France, fit preuve d'une remarquable bravoure à La Rolhière (février 1814) et à Arcis-sur-Aube (mars 1814), où il reçut sa trente-deuxième blessure. Oudinot fut enfin de ceux qui, étant encore à Fontainebleau le 4 avril 1814, incitèrent alors l'Empereur à l'abdication, Rallié au gouvernement provisoire après l'abdication de Napoléon, le 20 mai 1814 le maréchal Oudinot se vit remettre par Louis XVIII le commandement en chef du corps royal des grenadiers et chasseurs à pied (ex-Garde impériale), puis fut nommé ministre d'Etat, pair de France et gouverneur de la 3e division militaire. Durant les Cent-Jours, dégagé de ses serments envers l'Empereur mais non de ceux qu'il avait prêtés aux Bourbons, il fit savoir à Davout, alors ministre de la Guerre, qu'il n'entendait pas « jouer un double rôle ni servir deux maîtres » et souhaitait rester dans ses terres, ce qu'il confirma ensuite directement à l'Empereur qui l'avait appelé à Paris (avril 1815) : « Je ne servirai personne, Sire, puisque je ne vous servirai pas. » Conduite loyale à laquelle Napoléon rendit hommage à Sainte-Hélène. Au retour de Louis XVIII, Oudinot devint major général de la Garde royale (8 septembre 1815), puis reçut le commandement en chef de la Garde nationale de Paris qu'il conserva jusqu'à la dissolution de ce corps (1827), tandis que sa femme se voyait confier la charge de dame d'honneur de la duchesse de Berry. Oudinot, qui bénéficia vraiment de la confiance des gouvernements de la Restauration, fut mis à la tête du 1er corps de l'armée des Pyrénées conduite par le duc d'Angoulême lors de la guerre d'Espagne (1823) et mena ses troupes à Madrid dans une campagne à caractère plus politique que guerrier. Resté d'abord à l'écart du gouvernement de Juillet, le maréchal vieillissant accepta ensuite les fonctions de grand chancelier de la Légion d'honneur (1839), puis, trois ans plus tard, de gouverneur de l'hôtel des Invalides, où il s'éteignit le 13 septembre 1847. ref/45
Nouvelle édition vol relié in8, 190x130, demi cuir, très bel état intérieur, 270pp Paris, Michel Lévy, frères 1865 ref/128
JULES RENARD - RENARD alias DRANER (Jules)
Reference : 52652
(2007)
ISBN : 2286039429
Charles Hérissey - Le Grand Livre du Mois 2007 In-4. Cartonnage souple de l’éditeur, illustré en couleurs, 2 pp. + 135 planches en couleurs hors texte et à pleine page. Exemplaire en bon état.
Ce livre ravira les amateurs d’uniformes, mais aussi ceux qui aiment rire, car nous avons là, l’un des sommets dans l’art de la caricature ! Très bon état d’occasion
[Wely J. ] - Jul-Hien,Broka - Dérouville Henri - Mortreuil Félix
Reference : 15837
(1898)
Partitions sur le Militaria Guéteville 1898 approx.
Etat moyen Petit format
EDITIONS HAUSSMANN. 1958. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos frotté, Intérieur acceptable. 105 pages agraffées illustrées de nombreuses photos en noir et blanc in texte et carte.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
PUBLICATION MENSUELLE DU MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ET DES FORCES ARMEES. Classification Dewey : 355.021-Militaria
1 brochure in-8, Feret et Fils, Ve Cadoret, Bordeaux, 1884, 44 pp.
Rare exemplaire de l'édition originale. Etat moyen (couv débrochée avec mq., bon état par ailleurs, exemplaire à relier).
Paris, A.Peyronnet & Cie, Editeurs, 1928. 1 volume in-12 carré, broché, couverture souple illustrée d'une vignette contre-collée conservée, 106 pp., volume illustré de deux croquis, très bon état.
Petit ouvrage historique de la Collection Les Clochers de France. Il s'agit du Journal de bord d'un Capitaine de l'Artillerie, Guichard, ayant participé à l'Expédition de Chine, de 1900 à 1902.
à Strasbourg, chez Amand König, 1780, 1 veau granité, dos à nerfs, orné, triple filets doré d'encadreemnt, coupes dorées, tranches marbrées, ex-libris contrecollé sur la première garde: "Bauthéac 1792", coins, coiffes et mors frottés. in-8, titre, 3 ff.n.c., 528 pp., texte sur 1 et 2 colonnes, tableau dépliant gravé ;
Phone number : 06 80 15 77 01
Moutier, Prévôté, 1977; in-4, cartonnage entoilé, jaquette illustrée.
Abondante iconographie en noir et en couleurs- Excellent état.
Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1886-1887. 2 vol. in-12, rel. de l'ép. demi-basane verte (insolée), dos lisse orné de filets dorés, titre doré, tranches mouchetées, 300-291 pp.
Pte restauration au ruban adhésif à la p.1 du T.2, rousseurs au T.2, bon ex. par ailleurs. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Plon et Cie, 1879. 2 vol. in-12, rel. de l'ép. demi-basane verte (insolée), dos lisse orné de filets dorés, titre doré, tranches mouchetées, 321 et 344 pp., nb. fig. h.-t. en n/b., deux cartes dépliantes.
2 coins émoussés, rousseurs, bon ex. au demeurant. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Association des Amis des Musées de la Marine, 1977. Un vol. in 4 broché de 216 +52pp. illustrations en noir de Pierre Noel. TBE
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Avec les plans des batailles navales du Cap Saint Vincent, d'Aboukir, de Copenhague, de Trafalgar et une carte du Sund et de 2 plans de la bataille d'Aboukir. ...................... Photos sur demande ..........................
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Paris CHARPENTIER 1853 Deux volumes in-12°, (4) 322 et (4) 310 pp., couvertures imprimées. (marques et décollement de papier aux dos, rousseurs). 9 plans repliées.
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Bruxelles, Bruylant-Christophe et cie. 1870 353 + [i] pp., 24cm., reliure cart. d'époque (plats marbrés, dos en cuir avec titre doré), feuilles de garde marbrées, texte et intérieur frais, bon état, N104325
Regensburg, 1793-98. Bound in 2 fine (not quite uniform) contemp. full calf. Raised bands, richly gilt spines. Titlelabels with gilt lettering. Broad gilt borders on covers. All edges gilt. Stamp on title-page. (4),116225,(4)128,(2)132,(4)126,(2) pp. A few scattered brownspots. printed on good paper.
1 vol. in-8 br., Etude Jutheau SCP, 1990, 821 numéros
Remarquable documentation historique et philatélique. Bon exemplaire (très bon état)
Paris : J. Hetzel, (1888),In-18,reliure demi toile noire, X-348 p.Bibliothèque des professions. Série F. N 5,cachet bibliothéque militaire,legeres rousseurs,
IMP. LANG. Oct 1934. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. 24 pages. Quelques illustrations, cartes et photos en noir et blanc dans le texte et hors-texte.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
Classification Dewey : 355.021-Militaria
Berlin, Grunow,1878-80. 4to. and small folio-oblong. Both volumes rebacked, preserving most of original gilt spines. Stamps on title-page. XLIV,1288 pp. Atlas with 100 lithographed plates. Internally fine.
EDITIONS DU GERFAUT COLLECTION ROMAN DE GUERRE N°21. 1965. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 219 pages.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
Roman de guerre. Adaptation de Marc Schweitzer d'aprés les Carnets de l'Enseigne Mistsuo Kabuchi. Classification Dewey : 355.021-Militaria
Berlin, Kolk, (1931). 4to. Orig. full cloth. Gilt spine. Gilt lettering on spine and upper cover. Stamp on title-page. (16),603 pp. Profusely textillustrated. Plates and folded plan.