Editions du Rocher 1997 95 pages 15 6x13 2x0 8cm. 1997. Broché. 95 pages.
Bon état
La Table Ronde, 1975. In-8 broché, couverture imprimée sous jaquette illustrée par Siné. Infimes défauts au bord supérieur de cette dernière.
"Nous sommes en septembre 1944. Une époque où tout était possible. Fleur au fusil, le héros de ce livre, surnommé Bleubite à cause de sa jeunesse et de son inexpérience, s'engage pour la Libération, la revanche. bouter le Teuton définitivement hors de France. Il va rejoindre le corps franc Trompe-la-mort en Lorraine où l'ennemi a réussi à contenir l'avance américaine. Seulement il se trouve, par hasard, embarqué dans une drôle de 11 CV-galère. avec deux étranges combattants de l'ombre. Il va vivre, alors, une incroyable odyssée. faire d'hallucinantes rencontres. frôler plusieurs fois la mort, la pendaison. sombrer dans le délire. Avec une sorte d'allégresse toutefois. De la lecture somme toute gaillarde. une éducation truande au cours d'une promenade guerrière. " * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
S.n., Paris 5 Octobre 1995, 12,5x8,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit de 17 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son domicile du 11 de la rue Henri Monnier dans le neuvième arrondissement de Paris, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date, 5 X 95, et la mention "Mourir d'enfance", inscrites au crayon de papier par André Tillieu, sur le bristol. Enveloppe jointe. "Cher André, bien reçu ton article qui est comme d'habitude chaleureux et remarquable à tous égards. Tu y dis toujours des choses qui me vont droit au coeur. La carrière du livre se poursuit au mieux, mais les temps sont durs partout et la librairie en a pris un coup. On attend le miracle Chirac ou Dudule, c'est encore plus improbable que celui de la Vierge Marie. Avec toute ma vieille amitié. Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 20 Octobre 1989, 15x11cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 20 lignes et daté d'Alphonse Boudard, à en-tête de son domicile du 11 de la rue Henri Monnier dans le neuvième arrondissement de Paris, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Enveloppe jointe. "Vieux, Merci de ton aimable petit mot... Enfin j'ai fait ce que j'ai pu et si le résultat a été bon, tant mieux. Je n'arrive plus à remettre la main sur un exemplaire de la Méthode (la Méthode à Mimile, la Bible argotique écrite par Alphonse Boudard). Si je t'en trouve un je l'envoie à ta filleule en priorité. De toutes façons les éditions du Pré-aux-clercs vont relancer le livre à la fin de l'année... avec une nouvelle présentation et de nouvelles illustrations... + qqs chapitres de rajeunissement. Si nous pouvions en faire autant... Vivra verra... à quoi bon se mettre la rate au court bouillon !Toute mon amitié. Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 18 Octobre 1993, 14,5x10,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 19 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date (18.10.93) et la mention "Saint Frédo" (livre d'alphonse Boudard paru récemment) inscrites au crayon de papier et au stylo bleu sur le bristol par André Tillieu. Enveloppe jointe. "Vieux, Merci cent mille fois pour cet admirable papier qui complète celui de Louis (Nucéra) dans le journal du dimanche. Les fautes ? Les éditeurs ne nous donnent plus un second jeu d'épreuves... d'où ces bavures ! Si j'épuise le 1er tirage, je ferai corriger. Je croise les doigts... la période est dure dans les librairies comme ailleurs. Sans doute en novembre je me naturalise belge un jour ou deux, ce qui nous permettra de nous rencontrer autour du verre de l'amitié. Ton pote Al." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 4 Janvier 1990, 14,5x10,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 21 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date erronée (4.1.91) inscrite au stylo billo bleu sur le bristol par André Tillieu alors que la date du 4.1.90 est indiquée en haut de l'enveloppe. Enveloppe jointe. "Cher André, les voeux servent surtout à ne pas trop oublier les amis. Je te souhaite bien sûr santé, fric, l'oeil clair, le pas vif... etc... Je suis invité le 14 mars à Bruxelles pour une foire du livre. Je te tiendrai au parfum et on pourrais (sic) sans doute casser une petite graine ensemble à cette occase. Livre ? Je suis indécis... J'ai tout dit de ce que je pouvais dire. Il reste des trucs genre Fermeture... Je commence une collaboration à Détective à partir du 18 janvier... si ça te chante, tu pourras lire. Louis est à Nice, sa femme ne va pas très bien... surtout dans la tête, entre nous... A bientôt. Toute mon amitié. Ab." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 4 Février 1999, 14,5x10,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 15 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date (4.2.99) inscrite au stylo billo bleu en haut de l'enveloppe. Enveloppe jointe. "Merci, mon cher André, de ta magnifique lettre. J'ai parfois des doutes sur l'intérêt de ma production, eh bien tu me rassures. Je sais que j'ai en Belgique un lecteur attentif et qui pige mes moindres intentions, qui apprécie mes petits trucs de style. Je n'ai pas le temps de t'écrire plus longuement. J'espère te voir à Bruxelles en Avril ou Mai lorsque je ferai la promotion de Chère visiteuse le livre que je viens de finir et qui paraîtra dans deux mois. Voilà, vieux frère, ton amitié me fait chaud au coeur. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 21 Novembre 1997, 12,5x8cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 8 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Enveloppe jointe. "Merci, vieux pote, de ta bonne lettre. Je sais que tru es un amateur éclairé... alors tout ce que tu me dis me touche dans le mille. J'espère bien aller te saluer un de ces quatre en Bruxellie. Mon amitié. Ab." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 28 Mai 1996, 15,5x11cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 22 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Enveloppe jointe. "Vieux frère, merci de tes deux dernières lettres, je suis un peu débordé (par le succès entre autres) et j'ai laissé le courrier s'accumuler. J'ai pas vu "Mémoire de la France" si j'y suis cité c'est déjà pas si mal, d'habitude dans ce genre de bouquin je n'existe pas. Ni pour la Cerise, l'Hôpital, le prix Renaudot, ni pour le Cinoche. Je ne me plains pas puisque je n'écris pas pour la postérité. Mon prochain sort en septembre aux éditions du Rocher. "Madame de Saint Sulpice". Je ne pense pas que la presse catholique m'encensera. En tout cas j'espère amuser le lecteur et que tu sauras l'apprécier comme les autres. Tu es un fin gourmet de la chose écrite. J'espère que tu vas bien depuis ta dernière lettre. Moin amitié Ab." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 20 Septembre 1982, 12,5x8cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 17 lignes d'Alphonse Boudard, sur une carte de visite, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date et la mention "les enfants de choeur" inscrites au stylo bille noir en tête du bristol. Enveloppe jointe. "Vieux, comme toujours ton papier me va droit au coeur. Et tu dis juste... si c'était Beckett ! Hélas... le petit clan des snobs et de l'intelligentzia fait la loi, le bon goût et la réputation... Les vendredis soir Louis Nucera part à la campagne faire du vélo et travailler à son roman. Le mieux, pour l'instant, serait d'arranger q.q. chose avec Aline. Moi je peux me rendre libre et je serai content de te voir. à bientôt donc. ton pote. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 28 Septembre 1992, 14,5x10,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 14 lignes d'Alphonse Boudard, sur une carte de visite, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une date inscrite au stylo bille bleu en tête du bristol. Enveloppe jointe. "Mon cher André bien reçu Le Rail... et comme toujours ton papier amical et percutant. Quel dommage que tu ne sois pas critique au Nouvel Obs ou à l'Express !J'espère (ou espère Louis aussi) que tu viendras un de ces quatre te propulser sur les derniers trottoirs fréquentables de Pantruche. Porte-toi le mieux possible et à bientôt. encore merci.ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 18 Aout 1992, 14,5x10,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 16 lignes d'Alphonse Boudard, sur une carte de visite, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une année (92) ajoutée au stylo bille bleu en angle supérieur droit du bristol afin de préciser la date. Enveloppe jointe. "Vieux, merci mille et une fois pour tes petits mots et les articles découpés dans la Presse belge. Avec mon éditeur ça voir le jour moins vite ! On ne peut être partout. meilleure santé à ta femme et bonnes vacances tout de même. A partir de demain je rejoins la rue Smolett (à Nice)et son champion cycliste écrivain (Louis Nucéra). Au 42 ... (telef 92.04.10.95) si tu descends par là, on sera content de te voir. mon amitié. AB." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 22 Avril 1977, 15,5x11cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 15 lignes d'Alphonse Boudard, sur un bristol, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Enveloppe jointe. "merci mon cher Tillieu, de ce formidable papier sur Julien Blanc et ses joyeux. il en faudrait beaucoup de cette encre-là ! Hélas ! elle est rare il faut croire...les journalistes en place préfèrent tremper leur plume dans l'ersatz d'encre mélangée avec un peu d'eau croupissante. à bientôt j'espère... Je finis un gros bouquin "Les combattants du petit bonheur'... l'accouchement comme toujours est difficile. avec toute mon amitié. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 30 Décembre 1983, 12,5x8cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 21 lignes d'Alphonse Boudard, sur une carte de visite imprimée, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Enveloppe jointe. "vieux, oui le hasard fait bien les choses... surtout que l'interview date de mon dernier passage à Bruxelles début novembre. Tout va bien pour le livre, mais mapièce quitte les planches. (As-tu reçu le livre ?) J'espère tout de même te voir à Paris bientôt. En attendant je te souhaite la fameuse bonne année. Qu'elle soit heureuse, fructueuse admirable... artistique etc... et... avec mon amitié qui t'accompagne. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Alphonse Boudard lui fait part de son absence d’intention de rentrer à l’Académie de façon plus pérenne : « Je suis très content d’avoir le prix et ça s’arrête là ». Un portrait devant l’Institut issu d’un journal contre-collé en tête de la carte. Enveloppe jointe
S.n., Paris 11 Janvier 1989, 10,5x14,5cm, une feuille + une enveloppe.
Carte de voeux illustrée signée de 13 lignes d'Alphonse Boudard, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une date inscrite au stylo bille bleu en tête de la carte. Enveloppe jointe. "Merci de tes voeux vieux frère... je te renvoie la balle... santé, sérénité, pognon pour le bi centenaire... pour toi et les tiens. Un livre me conduira peut-être à Bruxelles en mars et bien entendu je te ferai signe. Avec ma vive amitié.ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 30 Décembre 1978, 11x15cm, une feuille + une enveloppe.
Carte de voeux illustrée signée de 12 lignes d'Alphonse Boudard, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une date inscrite au stylo bille noir en angle supérieur droit de la carte. Enveloppe jointe. "Tous mes meilleurs voeux aussi... santé, fric, bonne fourchette et surtout qu'on puisse se retrouver entre amis... On va organiser ça avec Louis (Nucéra), le gros Georges (Georges Brassens)etc... Je publie "Le corbillard de Jules" fin février... ma pogne amie. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1er Janvier 1988, 15x21cm, une feuille + une enveloppe.
Carte de voeux datée et signée représentant Paul Léautaud saisi par le peintre Viko de 15 lignes d'Alphonse Boudard, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Enveloppe jointe. "Salut vieux, merci de tes voeux... on essaiera de mijoter un livre selon tes goûts... aux petits oignons ! Si tu descends dans le sud, c'est à dire au soleil lumineux de Paris, fais nous signe ( à Louis ou à moi) et on bavardera un peu plus que la dernière fois. avec tous mes voeux pour 88, pour toi et les tiens... et mon amitié.ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
FRANCE LOISIRS / ROCHER. 1999. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 277 pages.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
FRANCE LOISIRS - ROCHER. 1999. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 277 Pages. Jaquette en bon état.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Paris, France Loisirs, 2000, in-8 cartonnage éditeur sous jaquette, 277 pp. BON ETAT.
AUTRES TITRES DISPONIBLES du même auteur.
ROCHER. 1999. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 334 pages; quelques annotations en page de garde; jacquette illustrée couleur, légèrement frottée.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Le Pré aux Clercs, Paris 1990, 14x22,5cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Agréable exemplaire. Coupure de presse et photocopies jointes. Envoi autographe signé d'Alphonse Boudard à son proche ami André Tillieu : "... qui je l'espère s'amusera un peu sur le parcours de cette chère visiteuse avec mon amitié." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Editions du Rocher 1999 in8. 1999. Broché avec jaquette. 334 pages. On ne peut pas être et avoir été dit-on et la cinquantaine venue la comtesse Hortense estime qu'il est temps pour elle de dire adieu à une vie quelque peu dissolue pour embrasser la religion. Sait-on jamais? Une fin de vie édifiante pourrait bien lui valoir dans l'au-delà quelque indulgence pour des débuts plus tapageurs. Charité et modestie la conduisent à arpenter les couloirs de la Santé comme visiteuse de prison de celles qui vont apporter un peu de réconfort aux condamnés. Mais l'un d'entre eux Gilles un beau voyou à l'ombre pour vingt ans lui tape dans l'oeil. Et ce qui devait arriver arrive. Hortense perd la tête fait jouer ses relations et parvient à libérer Gilles pour en faire son chauffeur pour le meilleur et pour le pire. On imagine sans peine le parti qu'Alphonse Boudard peut tirer d'une telle situation. Lui qui a effectivement connu la prison dans les années50 a dû aussi y croiser quelque visiteuse. En tous les cas le portrait d'Hortense est plus vrai que nature et l'effet de contraste souligné par une langue toujours aussi verte tout à fait réjouissant. --Gérard Meudal Très Bon Etat du livre jaquette jaunie
Gallimard. 2000. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 401 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Collection folio n°3437. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle