‎SAC A PAPIER - 7EME EDTION.‎

‎CALMANN LEVY. 1886. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Rousseurs. 250 pages - plats et contre plats marbrés - titre + auteur dorés - rousseurs dans l'ouvrage sans conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle‎

‎ Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle‎

‎Sac A Papier - 7Eme Edtion.‎

‎Calmann Levy Relié D'occasion bon état 01/01/1886 150 pages ‎

‎Modern Bibliothèque - 4 romans en 1 reliure : SIRE / LE NOUVEAU JEU / LE COEUR DE PIERRETTE / LE MARIAGE DE CHIFFON‎

‎Nouvelle Collection illustrée Calmann-Lévy / Modern-Bibliothèque Arthème Fayard 1910 1910.‎

‎Lectures pour tous. Année 1920.‎

‎ 1920 Paris, Hachette, 1920. 2 volumes, 24 x 16,5 cm (R), in-8, paginés 444 à 1294, 1444 à 1871, 148 à 415, reliure de demi-basane havane, dos lisses ornés.‎

‎Numéros de janvier à juin 1920 puis de août à décembre 1920, sans les tables et les couvertures. Très nombreuses illustrations. Récits, articles, voyages, à l'usage de la jeunesse. Textes de Pierre Loti, Maurice Genevoix, Alfred Capus, Gyp, Paul Bourget, Paul Reboux, Francis Carco, Henry Bordeaux, J.-J. Tharaud, Rosny aîné, Rosny jeune, Pierre Benoît, Pierre Mille, Gérard d'Houville... Ilustrations par Lalau, La Nézière, Lorenzi, Sylvain Sauvage, René Lelong, Jacques Touchet, Jarach... Le numéro de Noël 1920, intitulé "Le Tour du monde des voyages", est particulièrement exotique, avec des reportages photographiques et des nouvelles sur l'Inde, la Chine, l'Océanie, l'Argentine, la Palestine, New-York, l'Afrique, le Pôle nord... Queqlues feuillets déboîtés. (Prévoir des frais de port pour 2,8 kg) ‎

‎MADAME SANS-GENE - II : Le roi de Rome / LA FEE / LES ROCHES BLANCHES / UNE PASSIONNETTE / N°17 DE LA COLLECTION ROMANS.‎

‎TALLANDIER / CALMANN-LEVY. VERS 1910. In-4. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 + 122 + 125 + 110 pages augmentées de nombreuses illustrations en noir et blanc in et hors texte - Texte sur 2 colonnes - Plats et contre--plats jaspés.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

‎ILLUSTRATIONS DE GEORGES DUTRIAC, E. BOUARD, EDOUARD BERANRD Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

‎Le Rire N° 186. En couverture dessin de Bob (Gyp) sur l'affaire Dreyfus : M. Reinach et les électeurs.‎

‎Couverture souple. Revue. 12 pages.‎

‎Périodique. Couverture illustrée par Bob (Gyp). Le Rire, 28 mai 1898.‎

‎Celui qu'on aime, roman. ‎

‎S. l. (Paris), Ernest Flammarion Éditeur, 1937 ; in-8, 248 pp., broché. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime. Bon état.‎

‎Le coup du lapin. ‎

‎Paris, J fereczi & fils le livre moderne illustré , 1931; in-8, 221 pp., br.‎

‎.‎

‎Le monde à coté. ‎

‎Paris, Ernest flammarion, s.d.; in-12, 267 pp., cartonnage de l'éditeur.‎

‎.‎

‎Les moins de vingt ans. ‎

‎Paris, Calmann Lévy, 1930; in-12, 225 pp., broché.‎

‎.‎

‎Les poires. ‎

‎Paris, La renaissance du livre, s.d.; in-8, 80 pp., broché. Illustrations de nam.‎

‎Illustrations de nam.‎

‎Les poires, roman. ‎

‎S. l. (Paris), Ernest Flammarion Éditeur, 1932 ; in-8, 250 pp., broché. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime. Bon état.‎

‎Petit bob. ‎

‎Paris, Collection pourpre calmann levy , 1947; in-12, 254 pp., cartonnage de l'éditeur.‎

‎.‎

‎Soeurette, roman. ‎

‎Paris, Ernest Flammarion Éditeur, 1930 ; in-8, 310 pp., broché. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime. Bon état.‎

‎La Ginguette, roman. ‎

‎Paris, Ernest Flammarion, Éditeur, vers 1914 ; grand in-8, 88 pp., broché. Collection «Select Bibliothèque», n° 1Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime.‎

‎L'Entrevue. ‎

‎Paris, Nilsson, s.d. (vers 1900) ; in-12, 127 pp., broché. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime. Très bon état.‎

‎Totote. ‎

‎Paris, Arthème Fayard, s.d. (vers 1900) ; in-8, 126 pp., reliure d'éditeur. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime. Illustrations de Dutriac. État neuf.‎

‎Un raté, roman. ‎

‎Paris, Ernest Flammarion, Éditeur, 1922 ; in-8, 284 pp., broché. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime.‎

‎Un raté, roman. ‎

‎Paris, Ernest Flammarion, Éditeur, vers 1933 ; grand in-8, 76 pp., couverture et cahier agraffés. Collection «Select-Collection», n° 197. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime.‎

‎HISTOIRES INCOMPLETES : LE DESASTRE ( 1ERE PARTIE), PAS JALOUSE, SOUTIEN DE FAMILLE.‎

‎FAYARD.. 6 Septembre 1898.. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginée de la page 514 à la page 544. 1ère de couverture illustrée en couleurs. Quelques illustrations en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎N°43. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎HISTOIRES INCOMPLETES : LE DESASTRE ( 2EME PARTIE), PAS JALOUSE, SOUTIEN DE FAMILLE, MENSONGES.‎

‎FAYARD.. 9 Septembre 1898.. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginée de la page 546 à la page 576. 1ère de couverture illustrée en couleurs. Quelques illustrations en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎N°44. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎HISTOIRES INCOMPLETES : LE DESASTRE ( 3EME PARTIE), PAS JALOUSE, SOUTIEN DE FAMILLE, MENSONGES.‎

‎FAYARD.. 9 Septembre 1898.. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginée de la page 546 à la page 576. 1ère de couverture illustrée en couleurs. Quelques illustrations en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎N°45. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎PETIT BLEU.‎

‎Paris, Calmann-Lévy, 1896. In-8, broché, couverture rempliée.‎

‎Illustrations de Marold. Édition originale. L'un des 60 premiers exemplaires sur Chine. Couverture très légèrement dfraîchie. [6741]‎

‎LE MYSTERE EN PLEINE LUMIERE‎

‎BROCHE-282 PAGES-12 CM X 19 CM-LA SIBYLLE D'AUXERRE-LES TURQUOISES GRAVEES-SOUS LE SIGNE DE L'ESPRIT-LA MUSIQUE EN PERDITION-LE TESTAMENT D'EUGENE DELACROIX-LETTRE A GYP SUR LE PRINTEMPS A MIRABEAU-L'ENFANCE DE JEANNE D'ARC-L'AUTOMNE A CHARMES AVEC CLAUDE GELLEE (PAGES INTERROMPUES)-LE DEUX CENT VINGT CINQUIEME ANNIVERSAIRE DU LORRAIN-QUELQUES ROUSSEURS EN DEBUT D'OUVRAGE (5C)‎

‎PLON COUVERTURE SOUPLE ETAT BON‎

‎VIE DE BOHEME / FLINT / SOEURETTE - JOIES D'AMOUR.‎

‎ARTHEME FAYARD. NON DATE. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. environ 500 pages augmentées de nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte - Frontispice - Signet conservé -. . . . Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils‎

‎ Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils‎