Genève, Editions Pierre Cailler, 1947, 1 vol. in-8 br. sous couv. rempliée, de 89 pp.
41e volume de la collection "Les trésors de la littérature française".Bon exemplaire.
1668 Paris, Chez Charles Angot, 1668, in-4, veau brun de l'époque, dos à 5 nerfs orné de caissons et de fleurons dorés, roulette dorée sur les coupes et les coiffes, tranches mouchetées rouges, 303 pages suivies des tables (23 pages) ; 127 pages et 1 feuille.
Cette édition rare est considérée comme la Troisième, dont l'achevé d'imprimer date du 8 mai 1668. Elle présente en édition originale la seconde partie concernant le Traité de la Mécanique. Quant à l'Abrégé de la Musique, il est considéré comme la première édition en français (in Guibert, Bibliographie de Descartes). "Pour rendre son oeuvre accessible, Descartes abandonne le latin pour sa langue maternelle" (in Exposition Descartes, Bibliothèque nationale, Paris 1937 pp.91-92). René Descartes (1596-1650) est né en Touraine en 1596 d'un père conseiller au Parlement de Bretagne. En 1616 il est bachelier puis licencié en droit à l'Université de Poitiers. En 1618 il quitte la France pour la Hollande et entre dans l'armée du prince protestant Maurice de Nassau. Après avoir abandonné la vie militaire, il voyage en Europe en peaufinant la méthode dont il a eu l'idée durant l'hiver 1619. Dès 1629 il travaille à ses Essais (Dioptrique, Météores, Géométrie, Le Monde), qu'il publie en 1637 avec le Discours de la méthode dont ils constituent l'application. Commence alors une correspondance continue avec les savants de son époque. En 1649, il quitte la Hollande pour la Suède à l'invitation de la Reine Christine, à qui il donne des leçons de philosophie. Il meurt à Stockholm en février 1650. Ses papiers sont transmis à Clerselier qui publiera divers traités et volumes de lettres entre 1657 et 1667. ( Guibert, A. J. : Descartes. Bibliographie des Oeuvres publiées au XVIIème s., Paris, C.N.R.S., 1976). Usures d'usage, fentes aux mors, pour cette reliure d'époque, brunissures et taches à quelques pages, erreur de pagination pages 264-265
Leyde, 1637. À Leyde, Ian Maire, 1637. In-4 de 78 pp., (1) f., 413 pp., (1) p. d’avertissement et (17) ff. Maroquin brun janséniste, dos à nerfs orné, double filet doré sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrures. Reliure du XIXe siècle signée Thibaron. 198 x 150 mm.
[video width="1920" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/04/Descartes.mp4"][/video] Précieuse édition originale du chef-d’œuvre de Descartes. Tchemerzine, II, 776; PMM, 129; Horblit, One hundred book famous in science, 24; En Français dans le texte n°90; Dibner, Heralds, 81 (“The Dioptrique contains the earliest statement of Willebrord Snell’s law of refraction”) ; Norman Library, 621. Après la condamnation de Galilée en 1633, Descartes avait pris la résolution de ne laisser imprimer aucun ouvrage de son vivant. De la Hollande où l’avait conduit son aspiration à la solitude et à l’isolement, le philosophe continue cependant à correspondre avec ses proches. C’est aux instances de ceux-ci qu’il cède en publiant en 1637 une anthologie de ses recherches à laquelle il laissa le sens d’une démarche toute singulière et toute personnelle. Après avoir pensé confier son ouvrage aux Elzevier puis à un imprimeur parisien, Descartes finit par traiter avec le libraire imprimeur Jean Maire établi à Leyde, moyennant la rémunération de 200 exemplaires d’auteur. Œuvre fondamentale rédigée en français afin d’être plus intelligible et accessibleLe Discours de la Méthode marque une étape considérable dans la progression de la pensée occidentale au XVIIe siècle. «Le Discours de la Méthode» est suivi de 3 mémoires scientifiques. «La Dioptrique», «La Géométrie» et «Les Météores», abondamment illustrés de figures sur bois. Descartes y mentionne par ailleurs les découvertes de Harvey sur la circulation sanguine (Exercitadio anatomica de motu cordis et sanguinis, 1628). Il s’agit de la première discussion sur ce sujet par un philosophe français. Le Discours de la Méthode est divisé en six parties. Descartes en donne lui-même un aperçu au début de l’ouvrage: «En la première, on trouvera diverses considérations touchant les sciences. En la seconde, les principales règles de la méthode que l'auteur a cherchée. En la 3, quelques unes de celles de la Morale qu'il a tirée de cette Méthode. En la 4, les raisons par lesquelles il prouve l'existence de Dieu & de l'âme humaine, qui sont les fondements de sa Métaphysique. En la 5, l'ordre des questions de Physique qu'il a cherchées & particulièrement l'explication du mouvement du cœur & de quelques autres difficultés qui appartiennent à la Médecine, puis aussi la différence qui est entre nostre âme & celle des bestes. Et en la dernière, quelles choses il croit estre requises pour aller plus avant en la recherche de la Nature qu'il n'a esté & quelles raisons l'ont fait escrire.» L’auteur livre aussi dans la première partie sa biographie jusqu’en 1619. Comme la plupart des livres scientifiques importants, le Discours de la Méthode a vu son prix fortement progresser depuis une vingtaine d’années. Bel exemplaire, très pur et grand de marges, finement relié par Thibaron. Provenance: Thomas Powell et A. F. Gougy, 1930 avec ex libris.
Précieuse édition originale du chef-d’œuvre de Descartes. À Leyde, Ian Maire, 1637. In-4 de 78 pp., (1) f., 413 pp., (1) p. d’avertissement et (18) ff., le dernier blanc. Plein veau fauve, double filet doré encadrant les plats, dos à nerfs orné, tranches mouchetées, infimes restaurations. Élégante reliure parisienne de l’époque. 207 x 155 mm.
Précieuse édition originale du chef-d’œuvre de Descartes. Tchemerzine, II, 776 ; PMM, 129 ; Horblit, One hundred book famous in science, 24 ; En Français dans le texte n°90 ; Dibner, Heralds, 81 (“The Dioptrique contains the earliest statement of Willebrord Snell’s law of refraction”) ; Norman Library, 621. Après la condamnation de Galilée en 1633, Descartes avait pris la résolution de ne laisser imprimer aucun ouvrage de son vivant. De la Hollande où l’avait conduit son aspiration à la solitude et à l’isolement, le philosophe continue cependant à correspondre avec ses proches. C’est aux instances de ceux-ci qu’il cède en publiant en 1637 une anthologie de ses recherches à laquelle il laissa le sens d’une démarche toute singulière et toute personnelle. Après avoir pensé confier son ouvrage aux Elzevier puis à un imprimeur parisien, Descartes finit par traiter avec le libraire imprimeur Jean Maire établi à Leyde, moyennant la rémunération de 200 exemplaires d’auteur. Œuvre fondamentale rédigée en français afin d’être plus intelligible et accessible Le Discours de la Méthode marque une étape considérable dans la progression de la pensée occidentale au XVIIe siècle. « Le Discours de la Méthode » est suivi de 3 mémoires scientifiques, « La Dioptrique », « La Géométrie » et « Les Météores », abondamment illustrés de figures sur bois. Descartes y mentionne par ailleurs les découvertes de Harvey sur la circulation sanguine (Exercitadio anatomica de motu cordis et sanguinis, 1628). Il s’agit de la première discussion sur ce sujet par un philosophe français. Le Discours de la Méthode est divisé en six parties. Descartes en donne lui-même un aperçu au début de l’ouvrage : « En la première, on trouvera diverses considérations touchant les sciences. En la seconde, les principales règles de la méthode que l'auteur a cherchée. En la 3, quelques unes de celles de la Morale qu'il a tirée de cette Méthode. En la 4, les raisons par lesquelles il prouve l'existence de Dieu & de l'âme humaine, qui sont les fondements de sa Métaphysique. En la 5, l'ordre des questions de Physique qu'il a cherchées & particulièrement l'explication du mouvement du cœur & de quelques autres difficultés qui appartiennent à la Médecine, puis aussi la différence qui est entre nostre âme & celle des bestes. Et en la dernière, quelles choses il croit estre requises pour aller plus avant en la recherche de la Nature qu'il n'a esté & quelles raisons l'ont fait escrire. » L’auteur livre aussi dans la première partie sa biographie jusqu’en 1619. Comme la plupart des livres scientifiques importants, le Discours de la Méthode a vu son prix fortement progresser depuis une vingtaine d’années. La condition idéale pour le marché international est bien sur la reliure de l’époque. Trois exemplaires en vélin d’époque, sans provenance significative, sont apparus sur le marché ces dernières années : le premier fut vendu 180 000 €, « Exemplaire Beguin décrit avec des “trous de vers restaurés dans la marge de plusieurs dizaines de feuillets et quelques piqûres” ; Paris, 2006 » ; le second 247 000 €, « exemplaire vendu par Christie’s London le 2 juin 2004, lot n° 54 décrit “a little light browning, a few spot” » ; le troisième proposé, il y a déjà 12 ans à New-York, fut alors adjugé 200 000 €. Précieux exemplaire revêtu d’une élégante reliure parisienne de l’époque.
P., A La Tradition, 1947. In-4°, en ff., couv. rempliée.
Tir. limité à 420 ex. (dont 20 h.c.) sur grand vélin d'Arches à la forme, 1 des 50 ex. avec une suite des burins en premier état, celui-ci n°71. Front., titre gravé, 6 pl. h.t. et 21 burins dans le texte (dont plusieurs quasi pleine page) par Camille-Paul JOSSO. Rousseurs éparses, sinon bel exemplaire.
L'intelligence 1927 Paris. in8. 1927. Broché. 226 pages. 1 des 1000 exemplaires sur vélin Lafuma Très bon état
Lausanne, Alonso Diez 1945 250x190mm, 77pages, broché. Exemplaire sur papier “Marais” vergé, numéroté, no 96/165, dédicacé et annoté par Alonso Diez. Très bel exemplaire.
Dos muet. Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, éd. de la Chronique des lettres Françaises aux Horizons de France, 1927 - in -12, 108 pp. - rel. cart. éd. beige, non rogné
Trés belle typographie pour cette excellente édition du texte, imprimé sur un beau vergé à l'ancienne . Charmante collection, bon ex.
Couverture rigide. Cartonné. 106 pages. 18 x 10cm. Rousseurs.
Livre. Exemplaire numéroté sur Arches. Editions de la chronique des lettres françaises, 1927.
Paris 10/18 2002 In 16 Collection " Bibliothèques 10/18 " . - 316 p. , 350 gr.
Couverture souple Comme neuf
paris Garnier Flammarion 1982 1 Un volume broché au format poche de 254 pp.; quelques reproductions in-texte d'illustrations de l'époque; couverture illustrée.
Parfait état. Voir photos.
Paris Boivin et Cie 1937 in 8 (20,5x13) 1 volume broché, XV et 144 pages. Texte en latin avec traduction française en regard. Texte présenté, traduit et annoté par Ch. Adam, Membre de l'Institut. Bibliothèque de philosophie. Bel exemplaire
Très bon Broché
P., Boilvin & Cie, 1937, 1 vol. in-12 (204 x 132) broché sous couverture imprimée, de 144 pp. Bel exemplaire.
Collection "Bibliothèque de Philosophie". Texte présenté, traduit et annoté par Ch. Adam, membre de l'Institut.
Paris, Boivin, 1937. 13 x 20, 144 pp., broché, bon état.
2 Bände. Amsterdam, Daniel Elzevier, 1668. Kl.-4°. 4 n.n. Bl., 383 S.; 4 n.n. Bl. 404 S. Mit ca. 180 Holzschnittillustrationen im Text. Lederbände der Zeit mit Rückenvergoldung.
Willems 1393. - Erste lateinische Ausgabe aus dem Nachlass herausgegeben. Descartes beschreibt gesammelte Experimente, die er als Lehrer während seines fast 20-jährigen Aufenthaltes in Holland verfasste. - Einbände stark beschabt. Rückenvergoldung oxydiert.
Phone number : 41 (0)44 261 57 50
"Francofurti, Friderici Knochii, 1692. Trois parties en un fort volume in-4, Tome 1: frontispice, (4)-340 pp et (4) pp. d'index.; Tome 2, (2)-351 pp. et (5) pp. d'index; T. 3, (14)-374pp.; de nombreuses vignettes sur bois dans le texte; plein vélin ivoire couverture rigide, titre manuscrit au dos (reliure de l'époque). Quelques rousseurs éparses. "
Deuxième édition.
Amsterdam, Blaviana, 1682-1683, 3 VOLUMES petit in 4 reliés en plein veau, dos ornés de fers dorés, tranches rouges (reliures de l'époque), (coiffes usées, mors fendus), bon état interieur, T.1 (4), 383pp., T.2 : (2), 404pp., (2), T.3 : (8), 427pp., nombreuses figures dans le texte
---- Cinquième édition latine des LETTRES DE DESCARTES AUGMENTEE D'UN TROISIEME VOLUME par rapport aux éditions latines précédentes ---- "Cette édition des lettres de DESCARTES est augmentée d'un troisième volume par rapport à la précédente". (Guibert pp. 91/94)**63880/6388/P2
Bel exemplaire conservé dans son vélin hollandais de l'époque. Amsterdam, Blaeu, 1682-1683. 3 parties en 3 volumes in-4, I/ (1) f.bl., (4) ff., 383 pp., (1) f.bl.; II/ (1) f.bl., (2) ff., 404 pp., (2) ff., (1) f.bl.; III/ (1) f.bl., (8) ff., 427 pp., (1) f.bl., pte. brulure pp. 249 et 413 avec atteinte à 2 lettres. Plein vélin hollandais, fleuron à froid au centre des plats, double filet à froid autour des plats, dos lisses, tranches jaspées. Reliure de l'époque de l'éditeur Blaeu. 201 x 154 mm.
Première édition originale complète des Lettres de Descartes à la princesse Élisabeth et à Mersenne. Le 3ème volume contient la suite de la correspondance latine de Descartes et paraît ici pour la première fois. Tchemerzine, II, 786. Pendant plusieurs années, de 1642 à la fin de 1649, c'est-à-dire pendant la période de sa vie qui va des « Méditations métaphysiques » à sa mort à Stockholm, René Descartes (1596-1650) échangea une correspondance assidue avec la princesse Élisabeth, fille de Frédéric V, électeur palatin et roi de Bohême. « Celle-ci, femme fort cultivée et spécialement versée dans les sciences mathématiques, avait lu avec beaucoup d'intérêt et une vive admiration les ‘Méditations métaphysiques’. Par un émigré français, ami de Descartes, Palotti, elle avait pénétré plus avant dans la pensée de celui qu'elle considéra bientôt comme son maître. Et dès sa première lettre (mai 1643), elle demande au philosophe quelques explications sur un point de ses « Méditations » qu'elle ne saisit pas bien : comment peut-il se faire que « l'âme puisse déterminer les esprits (animaux) du corps pour faire les actions volontaires, n'étant qu'une substance pensante » (donc inétendue). Descartes explique pourquoi ce point a pu demeurer obscur dans son exposé. Cette discussion, qui est la plus intéressante de toute la « Correspondance », occupe toutes les lettres de l'année 1643). Au cours des années suivantes, les problèmes qui se poseront à l'occasion de la parution des œuvres de Descartes (celui-ci les faisait parvenir à son amie et lui dédia ses « Passions de l'amour ») sont de tous ordres : à propos des « Principes de la Philosophie », à propos des livres qu'il lui conseille de lire ou sur lesquels elle lui demande son avis, à propos des nouveautés scientifiques, la princesse se fait éclaircir et discute certains points de physique, de mathématiques, de morale et de métaphysique qu'elle n'a point saisis ou qui lui semblent contestables. « Mon admiration s'augmente toutes les fois que je relis les objections qu'on vous a faites, comment il est possible que des personnes qui ont employé tant d'années à la méditation et à l'étude, ne sauraient comprendre des choses si simples et si claires, que la plupart, en disputant du vrai et du faux, semblent ne pas connaître comment il les faut discerner et que le sieur Gassendus (Gassendi), qui est en la plus grande réputation pour son savoir, a fait, après l'Anglais (Hobbes), des objections moins raisonnables que tous les autres. » Cette correspondance présente un très grand intérêt ; car, à propos des questions de son interlocutrice, Descartes se trouve amené à reprendre un certain nombre de problèmes et à en donner un exposé plus clair et plus complet que dans ses œuvres ; mais surtout, c'est le seul document direct qui nous le fasse connaître dans son intimité et, en lui, l'homme et non plus seulement le philosophe. « Nous y apprenons qu'il avait projeté d'écrire un « Traité de l'érudition » ; nous y gagnons d'intéressants détails sur la vie, toute retirée et consacrée à l'étude et surtout à la méditation, qu'il mena en Hollande, et sur les quelques mois qu'il passa à la cour de Christine de Suède. » Descartes écrit aussi à Mersenne, improvisant des réponses à d'innombrables questions avec une facilité extraordinaire. «Les 3 volumes de cette correspondance sont illustrés de nombreuses figures et dessins géométriques sur bois». (Guibert, Bibliographie des Œuvres de René Descartes, p. 94). Bel exemplaire conservé dans son vélin hollandais de l'époque.
Felix Meiner. 1982. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos frotté, Papier jauni. 188 pages. Texte en allemand. Un ex-dono à l'encre sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand
Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand
1936 Paris, La compagnie typographique, 1936; in- folio de (3) ff. (faux-titre, titre, 1 bl.) - 179pp. – (2) ff. colophon et achevé d’imprimer) – (1) f. Reliure de l’éditeur de parchemin blanc, au chiffre doré de la Compagnie typographique poussé sur les plats, titre doré au dos, fermeture par lacets et petit boutons de bois ronds, couverture et dos conservés. Ouvrage placé dans un étui vert olive formant boite, dos muet. Très rare édition typographique tirée à 88 exemplaires. «Achevé d’imprimer le 31 aout 1936 par John Johnson sur les presses de l’Université d’Oxford. La présente édition composée avec l’elzévir de William Caslon a été limitée à quatre-vingt-huit exemplaires sur vergé fabriqué spécialement à la main par Arnold & Foster d’Eynsford, Ken». Exemplaire nominatif n° 13.
Boite frottée avec fente, ouvrage en parfait état. (Reu-CH1) Absente jusqu'au 16 mars, vos commandes seront enregistrées mais je ne pourrai y répondre qu'à partir du dimanche 17. Merci de votre compréhension.
GF Flammarion 1992 502 pages poche. 1992. Broché. 502 pages.
Bon état
GF Flammarion 1992 502 pages poche. 1992. Broché. 502 pages.
Très bon état
Bordas / Les oeuvres philosophiques 1987 192 pages in12. 1987. Broché. 192 pages.
Bon état
GF Flammarion 1992 502 pages poche. 1992. Broché. 502 pages.
Bon état