Paris : Les Editions de Minuit, 1961 - un volume 12x18,8cm broché de 177 pages - première édition sur papier ordinaire (après 208 exemplaires numérotés) - bon état -
1961 Minuit, 1961. In-12, 180 p., non coupé.
Édition originale, UN DES 198 ALFA mousse, seul grand papier. * Dictionnaire des uvres, I, 854. * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Les Éditions de Minuit, 1961. In-12, 177 pp., demi-basane gris anthracite de Leroux, plats de peau sciée taupe percée de pointillés, papier à la colle au centre des plats, couverture conservée, étui bordé de basane grise (minuscules frottements).
Édition originale de ce roman de Beckett. Un des 100 exemplaires tirés sur Alfa mousse Navarre, réservés au Club de l'édition originale, cet exemplaire a été signé à la justification par Samuel Beckett. Bel exemplaire parfaitement établi dans une reliure de Leroux. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
S.n. [Jean-Jacques Sergent], s.l. s.d. [1998], 17x25,5cm, broché.
Curieuse et étonnante publication d'inspiration lettriste, imprimée à 100 exemplaires sur calque et acétate. Agréable et très rare exemplaire se présentant sous feuilles de papier calque entre lesquelles s'intercalent parfois des feuilles illustrées de plastique souple, l'ensemble broché et protégé par une couverture de papier calque plus épais. Le texte est agrémenté d'illustrations alternant entre projection dans la modernité et rappel du Moyen-Age. Bel exemplaire malgré l'absence de la première vignette autocollante sur papier argenté en début de volume et sur laquelle est inscrit le titre de l'ouvrage. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
LES EDITIONS DE MINUIT. 1980. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 87 Pages. . . . Classification Dewey : 94.4-Editions numérotées
Exemplaire N°1520 Classification Dewey : 94.4-Editions numérotées
Couverture soupleimprimée. Non coupé.
Paris Les éditions de Minuit 1980 87 pp. In-12. Broché. Parfait état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE. Celui-ci un des 99exemplaires sur Alfa Mousse.
Paris, Editions de Minuit, 1980. In-8, broché, non coupé, 87 pp.
Édition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur Alfa mousse, N° 10, seul tirage en grand papier avec 7 H. C. Neuf, non coupé. ETAT NEUF. Photos sur demande.
Paris Éditions de Minuit 1980 1 vol. Broché in-8, broché, couverture à rabats, non coupé, 87 pp. Édition originale française, traduite par l'auteur. Un des 106 exemplaires numérotés sur alfa mousse, seul tirage en grand papier. A l'état de neuf.
Paris, Les Editions de Minuit, 1980. In-12 broché de 87-[5] pages, couverture à rabats, imprimée en deux tons. En belle condition.
Edition originale au tirage limité à 106 exemplaires sur alfa mousse, celui-ci un des 99 numérotés en arabe (11).
Berlin : Alinea Presse, 1996 Grand in-4 triangulaire, imprimé sur papier noir, en accordéon. Cartonnage noir de l'éditeur, étui.
Edité par les éditions Suhrkamp, d’après la pièce écrite en 1963, mettant en scène 3 personnages, deux femmes et un homme, emprisonnés dans des jarres. .Ouverture originale et atypique en accordéon. Tirage de 30 ex.numérotés en chiffre romain et 25 ex. en langue allemande, anglaise et française. Exemplaire nominatif, réservé à Mr Ide.
Les éditions de minuit. 1972. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Papier jauni. 137 pages - couverture contrepliée - coiffe en pied abîmée - étiquette collée sur les plats - rousseurs sur les plats.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Paris Editions de Minuit 1966 In-12 Broché Edition originale
EDITION ORIGINALE. Un des 112 exemplaires numérotés sur bouffanrt select réservés à la Librairie des éditions de Minuit. Bel exemplaire Très bon exemplaire 0
Paris Editions de Minuit 1966 In-12, broché, couverture imprimée.Edition originale. Tirage limité à 199 exemplaires numérotés. Un des 87 premiers exemplaires sur vélin pur fil Lafuma. Neuf, non coupé.
Paris Éditions de Minuit 1966 Paris, Éditions de Minuit, 1966. 99 pp. Deux petites piqûres sur les gardes blanches. ÉDITION ORIGINALE. UN DES 87 PREMIERS EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS SUR PUR-FIL LAFUMA, suivent 112 ex. sur Bouffant. Comédie. Pièce en un acte pour trois personnages,écrite en anglais en 1963. Première publication: Play, dans Play and Two Short Pieces for Radio, Londres, Faber and Faber, 1964. Pré-publication de la traduction française par l'auteur dans Les Lettres Nouvelles, numéro de juin-juillet-août 1964. Va-et-vient. Dramaticule pour trois personnages, écrit en anglais en 1965. Première publication: Come and Go, Londres, Calders and Boyars, 1967. Traduction française par l'auteur. Cascando. Pièce radiophonique pour musique et voix, musique de Marcel Mihalovici, écrite en français en 1963. Première publication (en français) dans Dramatische Dichtungen, Band I, Frankfurt, Suhrkamp Verlag, 1963. Paroles et musique. Pièce radiophonique, musique de John Beckett, écrite en anglais en 1962. Première publication: Words and Music, dans Evergreen Review, vol.6, n°27, novembre-décembre 1962; repris dans Play and Two Short Pieces for Radio, Londres, Faber and Faber, 1964. Traduction française par lauteur. Dis Joe. Pièce pour la télévision, pour un personnage et une voix, écrite en anglais en 1965. Première publication: Eh Joe, dans Eh Joe and Other Writings, Londres, Faber and Faber, 1967. Pré-publication de la traduction française de lauteur dans Arts, n°15, 5-11 janvier 1966. Acte sans paroles II. Mime pour deux personnages et un aiguillon, écrit en français en 1959. Première publication (en français) dans Dramatische Dichtungen, Band I, Frankfurt, Suhrkamp Verlag, 1963. Couverture souple
Edition originale
Éditions de Minuit, 1966. In-12, 101 p., couv. à rabats.
Édition originale, ENVOI de Beckett à Jean-Louis Bory. Exemplaire enrichi d'une lettre de Luc Frèdefon, qui marque son désaccord au sujet de sa critique de « Film » de Samuel Beckett que Bory avait qualifié d'« attente écarquillée de mort ». * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous.
Minuit, Paris 10.1.1966. Broché 18 x 12 - 19 x 14, couverture à rabats imprimée en bleu et noir. Édition originale, après 80 Lafuma & 112 bouffant réservés à la librairie de l'éditeur.
Avec une dédicace autographe signée et datée (Paris, janvier 66) de l'auteur à Gerda Zeltner, journaliste-traductrice, qui a consacré sa vie à la littérature française et en particulier au nouveau roman, et publié des études sur Claude Simon, Ponge et Robbe-Grillet. Ses affinités avec Beckett semblent moins connues, mais les notes et repères (au crayon) qui truffent cet exemplaire, dès le titre souligné et commenté "Spiel", témoignent d'une lecture assidue.Autre titre juste signé et enluminé de stabilo sur demande :-( > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
1966 Paris. Editions de Minuit. 1966. 1 volume in-12, demi-maroquin bleu nuit à petits coins, dos lisse orné d’un décor géométrique de filets dorés serti de 4 strass bleu, tête dorée, couvertures et dos conservés, étui. Reliure signée P. - L. Martin.
Edition originale en volume de la traduction française, par l'auteur lui-même. Certaines pièces avaient été publiées dans revues; Acte sans paroles II a été directement écrit en français. 1 des 80 exemplaires sur pur fil Lafuma, premier papier.Elégante reliure de P. L. Martin.
Paris Editions de Minuit 1970 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 99 pp. Première édition collective. Un des 112 exemplaires numérotés sur bouffant sélect. Bel exemplaire.
1966 Éditions de Minuit, 1966. In-12, 101 p., couv. à rabats.
Édition originale, ENVOI de Beckett à Jean-Louis Bory. Exemplaire enrichi d'une lettre de Luc Frèdefon, qui marque son désaccord au sujet de sa critique de « Film » de Samuel Beckett que Bory avait qualifié d'« attente écarquillée de mort ». * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Les Editions de Minuit, Paris 1966, 11,5x18cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Précieux envoi autographe daté de Janvier 1966 et signé de Samuel Beckett à son ami le peintre Geer (Van Velde) et à sa femme Lise. Légères piqûres sans gravité sur le premier plat. « Que dire de ces plans qui glissent, ces contours qui vibrent, ces corps comme taillés dans la brume, ces équilibres qu'un rien doit rompre, qui se rompent, et se reforment à mesure qu'on regarde ? Comment parler de ces couleurs qui respirent, qui halètent ? de cette stase grouillante ? de ce monde sans poids, sans force, sans ombre ? Ici tout bouge, nage, fuit, revient, se défait, se refait. Tout cesse, sans cesse. On dirait l'insurrection des molécules, l'intérieur d'une pierre un millième de seconde avant qu'elle ne se désagrège. C'est ça la littérature. » (La Peinture des van Velde ou Le monde et le pantalon, in Cahiers d'Art n°11-12, Paris 1945) Beckett ne parle pas ici, malgré les apparences, de son uvre littéraire mais de la peinture de Geer Van Velde, ajoutant quelques lignes plus loin: «[Bram] Van Velde peint l'étendue. G[eer] Van Velde peint la succession.» Cet éloge, publié à l'occasion de la double exposition des Van Velde, Geer chez Maeght et Bram à la galerie Mai, est le premier texte d'importance sur ces peintres alors à peu près inconnus du public: «On ne fait que commencer à déconner sur les frères VanVelde. J'ouvre la série. C'est un honneur.» Il est aussi le premier texte critique écrit directement en français par un jeune écrivain irlandais qui n'a encore jamais publié en France. Ainsi, le premier et plus important écrit sur l'art de Beckett, composé à l'aube de sa carrière littéraire, instaure, dès l'origine, une relation fondamentale entre son uvre en gestation et la peinture de ses amis: «Aussi a-t-on souvent lu ce texte en creux, ou en miroir, comme une des rares désignations de la poétique (à venir) de Beckett par lui-même, une sorte de programme anamorphique d'écriture» (Un pantalon cousu de fil blanc: Beckett et l'épreuve critiquepar Pierre Vilar) Véritable déclaration d'intention du dramaturge, ce texte fondamental - dont Beckett confesse dès l'introduction la valeur introspective: «avec les mots on ne fait que se raconter» - inaugure la période créatrice la plus fructueuse de l'écrivain. En effet, à l'instar d'Apollinaire et de Cendrars, Beckett puise dans les problématiques artistiques de ses contemporains le ferment de son écriture à venir par «la mise en cause la plus profonde des présupposés narratifs, figuratifs ou poétiques.» (Pascale Casanova inBeckett l'abstracteur) L'influence majeure de la peinture moderne sur la structure - ou déstructuration - narrative du théâtre et des romans de Beckett sera révélée et analysée par de nombreux penseurs, dont Gilles Deleuze, Julia Kristeva ou Maurice Blanchot. C'est justement à partir de la peinture des Van Velde, de Geer, puis de Bram, que Beckett formalise cette volonté de traduire la question picturale en dramaturgie. Ainsi refuse-t-il les décors de Nicolas de Staël pourEn attendant Godotcar: «Il faut que le décor sorte du texte, sans y ajouter. Quant à la commodité visuelle du spectateur, je la mets là où tu penses. Crois-tu vraiment qu'on puisse écouter devant un décor de Bram, ou voir autre chose que lui?» (Lettre à Georges Duthuit, 1952). Lorsqu'il rencontre Geer en 1937, «Beckett traverse une crise existentielle majeure, il vient de remodeler son premier romanMurphy, refusé par un grand nombre d'éditeurs, il sombre dans l'alcoolisme, quitte l'Irlande et s'installe définitivement à Paris» (Le Pictural dans l'uvre de Beckett,Lassaad Jamoussi). Il revient d'un long voyage artistique en Allemagne où il s'est imprégné d'uvres classiques et d'art contemporain - c'est lors de ce voyage qu'il découvre lesDeux hommes contemplant la lunede Caspar David Friedrich, à l'origine deEn attendant Godot. L'art est alors au cur de sa réflexion créatrice et l'amitié qui va le lier à Geer puis plus tard à Bram et à leur sur Jacoba (avec laquelle il entretint peut-être une relation plus qu'amicale) va profondément influencer sa vie et son écriture. Son premier écrit sur l'art est une courte notice sur Geer Van Velde dont il impose les uvres à sa nouvelle amante Peggy Guggenheim à l'occasion de la création de sa galerie londonienne. Malgré l'échec relatif de l'exposition (qui suit celle de Kandinsky), il obtient de Peggy une bourse d'un an pour son ami. James Knowlson avance même que «si Beckett a longtemps gardé des liens étroits avec Peggy, c'est d'abord et avant tout parce qu'elle était susceptible de donner un sérieux coup de pouce à ses amis artistes, à commencer par Geer Van Velde.» (inBeckettp. 474) Enigmatique, la petite note que Beckett rédige alors à la demande de Peggy contient déjà en germe la pensée du dramaturge: «Believes painting should mind it on business, i.e. colours. i.e no more say Picasso than Fabritius, Vermeer. Or inversely. » (« Pense que la peinture devrait se mêler de ses propres affaires, c'est-à-dire la couleur, c'est-à-dire pas plus de Picasso que de Fabritus ou Vermeer. Et inversement. ») Plus lents à croître, son amitié pour Bram et son intérêt pour sa peinture modifient peu à peu le regard de Beckett sur la peinture de Geer et lorsque, dix ans après sa première rencontre avec les frères, il écritLe Monde et le Pantalon, Beckett met à jour une dualité symbolisée par ce titre tiré d'une anecdote placée en exergue de l'article. Le monde, c'est l'uvre «imparfaite» de Dieu créé en six jours à laquelle le tailleur oppose la perfection de son pantalon achevé en six mois. La relation entre cette anecdote et les frères Van Velde est peut-être à chercher dans le second essai que Beckett leur consacre en 1948,Peintres de l'empêchement(Derrière le miroirn°11/12): «L'un d'eux dira: Je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce qu'il est ce qu'il est. L'autre: je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce que je suis ce que je suis. Il y a toujours ces deux sortes d'empêchement, l'empêchement-objet et l'empêchement-il. [...] Geer Van Velde est un artiste de la première sorte [...], Bram Van Velde de la seconde.». Résistance de l'objet ou impuissance de l'artiste, cette fable, «véritable noyau narratif premier en forme de kôan zen» (P. Vilar), se retrouvera ensuite dispersée dans l'ensemble de l'uvre de Beckett et occupera plus particulièrement une place centrale dansFin de Partie, dont Roger Blin, note par ailleurs la similitude avec l'uvre de Geer: «Il était ami à cette époque des frères Geer et Bram van Velde, hollandais et peintres tous deux. Geer était un peintre dans la lignée de Mondrian. J'ai le sentiment que Beckett voyaitFin de partiecomme un tableau de Mondrian, avec des cloisons très nettes, des séparations géométriques, de la géométrie musicale.» (R. Blin,Conversations avec Lynda PeskineinRevue d'Esthétique). L'affinité grandissante de Beckett avec l'uvre de Bram Van Velde et l'énergie qu'il dépense pour défendre son travail, notamment auprès de la galerie Maeght ou de son ami, l'historien d'art Georges Duthuit, se feront sans doute aux dépens de ses relations avec Geer. Cependant, malgré quelques malentendus, leur amitié ne sera jamais rompue, ni le dialogue silencieux mais agité que l'écrivain entretient avec l'uvre du petit frère van Velde dont il possédait deux grandes toiles: «Le grand tableau de Geer me fait enfin des signes. Dommage qu'il ait si mal tourné. Mais ce n'est peut-être pas vrai.» (lettre à Georges Duthuit, mars 1950) «Geer dégage un grand courage. Des idées un peu tranchantes, mais peut-être seulement en apparence. Je l'ai toujours beaucoup estimé. Mais pas assez je crois.» (lettre à Mania Péron, août 1951) La mort de Geer Van Velde en 1977 affecte profondément Beckett et coïncide avec une période d'intense nostalgie durant laquelle l'écrivain décide de se livrer à un «grand ménage» dans sa demeure pour vivre entre des «murs gris comme le propriétaire». Confiant ses états d'âme à son amie, la décoratrice de théâtre Jocelyn Herbert, Beckett témoigne de l'indéfectible affection qu'il porte au peintre depuis quarante ans:«plus de toiles sous les yeux, y compris celle du grand Geer Van Velde derrière le piano». Précieux témoignage de l'amitié de ces compagnons de route qui, depuisle premier roman de Beckett pour lequel ils vérifiaient ensemble la vraisemblance de la partie d'échecs opposant Murphy à M. Endon, ont affronté ensemble les grands enjeux de la modernité: «C'est qu'au fond, la peinture ne les intéresse pas. Ce qui les intéresse, c'est la condition humaine. Nous reviendrons là-dessus.» (Beckett à propos des frères Van Velde, inLe Monde et le Pantalon) - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Les Editions de Minuit, Paris 1966, 12x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Envoi autographe signé de Samuel Beckett à Gaetan Picon. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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