DUPONT-WHITE Charles Brook, Economiste, Publiciste et Philosophe (Rouen 1807 - Paris 1878).-
Reference : ORD-3471
13 août 1860. Il le remercie de lui avoir adressé son excellente thèse. 2pp. in-8.
Peu d'écrivains ont jeté dans la circulation générale autant d'observations et d'aperçus originaux. (Larousse 19°). Nombreux ouvrages.
, , 1690. Manuscrit in-4 (19,5 x 27,5 cm) à 31 lignes par page de (1) f. 372 ff. mal chiffrés 362, (22) ff., veau brun, dos orné à nerfs, pièce de titre ”Cours de Médecine” (reliure de l’époque).
Traduction française inédite et anonyme du Medica decas de François Du Port (1548-1624) probablement antérieure à la seule édition française publiée en 1694 sous le titre La Décade de médecine, ou le Médecin des riches et des pauvres, expliquant les signes, les causes et les remèdes des maladies. Publié une première fois en vers latins en 1613 (réédité en 1624), le traité de sémiologie médicale du médecin-poète fut traduit à la toute fin du XVIIe siècle par Du Four de La Crespelière qui adopta la même forme versifiée.François Du Port natif de Crépy-en-Valois, reçu bachelier à la Faculté de médecine de Paris le 10 janvier 1575, fut proclamé doyen le 6 novembre 1604. Il avait publié en 1584 De signis morborum libri quatuor prolégomènes aux dix livres du Medica decas. « Du Port était si bien l’esclave du démon de la poésie qu’il ne pouvait écrire quoi que ce fût, médecine ou autre chose, sans que ce fût en vers » (Achille Chéreau). La version en prose de ce manuscrit ne fut jamais publiée, vraisemblablement établie ici à des fins personnelles dans un double souci de praticité et de commodité. La copie, sans titre, n'est pas circonstanciée et s’ouvre sur l’Invocation à Jésus-Christ : « Je vous offre pour présent et vous fais un sacrifice de toute la médecine que j’ai tachée d’acquérir pendant le cours de plusieurs années que je vous supplie par une bonté toute divine et paternelle de recevoir et faire en sorte que cet ouvrage persiste et soit durable dans tous les temps, serve dans tous les siècles à venir de secours et remèdes contre tous les maux qui surviennent et attaquent le corps humain ».À la suite des dix livres de médecine conformes au texte publié, est ajouté de la même main un choix de pièces de circonstances historiques versifiées et de recettes pharmaceutiques en latin et en français : Sur le mariage du Roi de Suède (ou Étrennes envoyées par un Ramoneur à Mademoiselle, 1684) « Connaissez-vous, jeune Princesse, Quel est ce petit ... » ; (Robert Arnauld d’Andilly) Tombeau du Roi De Suède Sonnet, Inscription pour le Cœur de Madame de Mareil ; Manière de faire la tisane purgative impériale ; Eau de Chaux ; Eau pour la gangrène ; Pulvis Emeticus, poudre émetique, c'est la poudre d'algaroth ; Manière de faire le morbo ; Tombeau de Cromwell « Que contre mon pouvoir toute la terre gronde » ; Henriette de Coligny, comtesse de La Suze « Laisse moy soupirer importune raison » ; Épigramme sur la mort de Monsieur de Turenne en 1675 ; La Pensée des Pères de l’Église touchant les vérités des femmes ; Pour faire l’emplâtre divin pour toute sorte de place et d’ulcère ; Épitaphe Il est passé, ce Molière / Du théâtre à la bière / Le pauvre homme a fait un faux bond / Et ce renommé bouffon / N'a jamais su si bien faire / Le Malade imaginaire / Qu’il fait le mort pour de bon ; Épitaphe Paracelse ; Response de l’Espagne à la plainte de la France etc. Restaurations discrètes sur la reliure.Très beau manuscrit médical calligraphié d'une parfaite lisibilité.Walleriana I, 2648 ; Osleriana, 5308 ; Achille Chéreau, Le Parnasse médical français, 1874, p. 194.
Paris Le Soleil Noir 1950 In-12 Broché, couv. à rabats Ed. originale
Edition originale. Frontispice de Jacques Hérold. Lettre-préface d'André Breton. Tirage à 330 exemplaires numérotés. Un des 300 sur vélin plumex. Bien complet de la bande-annonce rédigée par André Breton. Derrière son double est le premier ouvrage publié par le Soleil Noir. L'éditeur François Di Dio s'enflamme pour ce livre " ...qui fut accepté avec d'autant plus d'enthousiasme que Duprey nous apparut comme un soleil noir qui confirmait de façon décisive l'orientation même de la collection. Jacques Hérold se proposa d'illustrer l'ouvrage. Quand à André Breton, il autorisa la reproduction de la lettre qu'il avait adressée à Jean-Pierre Duprey pour servir de lettre-préface au recueil». En effet, Duprey avait envoyé fin 1946 son manuscrit à André Breton, et c'est Jacques Hérold qui le soumit à Di Dio. Très bon exemplaire 0
3 lettres et 3 cartes postales, datées 1988, relatives à des prises de rendez-vous et à la publication de textes dans la Nouvelle revue de Paris.
12 vol. in-8 reliure de l'époque peine basane marbrée, Chez Agasse, Paris, l'An III de la République, I : 2 ff., xxxii-371 pp. ; II : 2 ff., pp. 372-750 ; III : 2 ff., 459 pp. ; IV : 2 ff., pp. 460-898 ; V : 2 ff., 471 pp. ; VI : 2 ff., pp. 472-930 ; VII : 2 ff., 421 pp. ; VIII : 2 ff., pp. 422-860 ; IX : 2 ff., 620 pp. ; X : 2 ff., 380 pp. avec une planche dépliante ; Xi : 2 ff., 491 pp. ; XII : 2 ff., vi-338-286 pp. et 1 vol. in-4 reliure demi-basane marron, dos à 5 nerfs orné, Chez Agasse, Paris, l'An III de la République [ 1795 ], frontispice, 16 pp., 21 planches
Une annotation manuscrite ancienne en garde du premier volume indique : "ce volume a appartenu à Lenoir de la Roche, ancien sénateur et ancien Pair. Il a écrit des notes en marge". Le grenoblois Jean-Jacques Lenoir-Laroche (1749-1825) était franc-maçon, "Grand Profès" de la "Cité sainte du rite écossais rectifié". Député aux Etats généraux, il défendra avec enthousiasme la Constitution de l'An III, et sera ensuite nommé, pendant quelques jours, ministre de la Police sous le Directoire, puis entrera au Conseil des Anciens. Soutien du 18 Brumaire, il entrera au Sénat (président de la Commission de liberté individuelle). Sous la Restauration, il sera nommé Pair de France à titre héréditaire par Louis XVIII, puis Comte. Avec son épouse Claire, ils furent des amis de Louis-Claude de Saint-Martin, lequel finit ses jours chez eux le 18 octobre 1803. Les annotation de Lenoir-Laroche sont extrêmement nombreuses, couvrant des marges entières dans chacun des 8 premiers volumes, plus rares dans le volume 9, et absentes ou quasiment absentes des 3 derniers volumes. Aux douze volumes, l'on joint l'album de planche au format in-4. Etat satisfaisant (forts manques de cuir aux reliures, reliures bien solides, bon état intérieur) pour cet exemplaire de provenance remarquable, très richement annoté.
ENSEMBLE DE 23 LETTRES (format 21cm x 13cm) ENTIEREMENT REDIGEES ET SIGNEES PAR HENRY DUPUY de LOME (1816-1885) ingénieur militaire du Génie Maritime, alors Conseiller d'Etat en charge du budget de la Marine devant les Chambres, TOUTES ADRESSEES A L'AMIRAL LOUIS HENRI de GUEYDON (1809-1886), Préfet Maritime de Brest à cette époque. Elles se composent d'un feuillet double (soit 4pp entièrement ou partiellement rédigées, 4 d'entre elles comptant un double feuillet supplémentaire et 1 avec 2 doubles feuillets supplémentaires. Les marges sont étroites ou absentes, petits interlignes, écriture fine, rapide, dense, bien compréhensible (après une petite adaptation). 4 lettres rédigées en 1861-1862, outre des recherches de capitaux, ont trait à des essais de nouveaux canons inventés par Antoine Treuille de Beaulieu (1809-1886) et leur adaptation à la Marine (essais réalisés à bord de la Junon) et des modifications acceptées pour la "Magenta". 4 lettres datées 1865 annoncent une visite de Dupuy de Lôme à Brest à titre privé, 1 recommandation pour la venue à Brest de Xavier Raymond (1812-1886) Journaliste et Homme de Lettres de la Revue des Deux Mondes et 1 de remerciements pour le bon accueil fait à celui-ci, 1 où il est question du voyage de Napoléon III en Algérie avec son itinéraire au départ de Marseille et d'une rencontre projetée avec le Tsar avant l'embarquement. 2 lettres (1865-1866) évoquent un projet de réunion des escadres française et anglaise à Brest, prodiguent des conseil à l'Amiral de Gueydon pour qu'il obtienne sa nomination de Commandant de l'escadre d'évolution en remplacement de l'Amiral Bouët-Willaumez (ici nommé seulement Bouët), son rival étant l'Amiral de Chabannes, il promet enfin de continuer à soutenir le projet de réaménagement de l'Arsenal de Brest même lorsqu'il n'y sera plus Préfet. En effet, les 13 lettres écrites en 1864-1865 nous éclairent sur les efforts nécessaires et les difficultés rencontrées pour l'aboutissement de ce projet de grande envergure initié par l'Amiral de Gueydon: obtenir l'adhéson des nombreuses commissions et de ministres (finances, travaux publics, guerre, marine), ainsi que le soutien continu de Napoléon III; négocier au plus juste avec les entrepreneurs dont un M. Maublanc dont le nom revient souvent; convaincre le Conseil Municipal de Brest et autres notables de l'intérêt de céder des terrains au détriment du port de commerce; échanges au sujet des nombreuses modifications nécessaires à apporter aux plans initiaux concernant ici saloirs, radiers, balardeaux, profondeur des bassins, installation de l'avant-port ou petite rade, aménagement des quais Jean Bart et de Tourville. Le tout ponctué de mises au point et justifications de Dupuy de Lôme car les courriers officiels et privés se croisent, arrivent en retard, sont oubliés parfois sur le bureau d'un Ministre absorbé par d'autres tâches. BEL ENSEMBLE D'UNE RARE FRAICHEUR (à peine une petite coupure sans manque en tête et au bas d'une lettre, sans manque ni gêne pour la lecture). EXCELLENT TEMOIGNAGE SUR L'UN DES GRANDS CHANTIERS DU SECOND EMPIRE.
Ces lettres, écrites en marge des courriers et rapports officiels sont révélatrices de l'énergie déployée par Dupuy de Lôme et du soutien absolu qu'il accorda à la réalisation du projet initié par l'Amiral de Gueydon. Elles témoignent également de l'estime mutuelle et de l'amitié qui unissait les deux hommes. En effet, Dupuy de Lôme profite de toutes les occasions favorables pour faire en haut lieu l'éloge de l'Amiral de Gueydon, des grands services qu'il rend à la Marine, à son Empereur et à la France.
Lettre autographe signée par le Comte Dupuy-Montbrun, datée du 19 septembre 1788, adressée au Marquis de Rochegude. Rappel à l'unisson des nobles en vue de l'Assemblée de l'Ordre de la Noblesse réunie à Romans le 27 septembre 1788. En prélude à la Révolution ... On joint divers documents relatifs à Rochegude. en feuille Très bon Romans 18 septembre 1788
édition originale
Lettre signée par le Comte Dupuy-Montbrun et par le comte de Marsanne datée du 18 octobre 1788, adressée probablement au Marquis de Rochegude. Formalités à présenter en vue de l' élection des députés de la Noblesse. En prélude à la Révolution … On joint la Délibération (imprimée) prise ce jour-là. en feuille Très bon Romans 18 octobre 1788
édition originale
Ecole du Tissage Lyon 1938 Ouvrage entièrement manuscrit présentant de nombreux schémas et figures ainsi que 36 échantillons de tissus. Relié en pleine percaline verte sapin, dos muet, environ 39x29 cm. Quelques menus frottements d'usage sur la reliure, haut du second plat taché. Bon état pour le reste et intérieur bien propre.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
In 12 cartonné souple,dos toilé, premier plat illustré, titre,56 pages,31 pages de publicités,complet du grand plan dépliant de Saint-Dizier,illustrations photographiques dans le texte,Saint-Dizier,André Brulliard Maître imprimeur 1910.Petit envoi manuscrit de l’auteur,Bon exemplaire
DURANTIN Armand - (Senlis 1818 - 1892) - Auteur dramatique français
Reference : GF23891
1 page in8 - bon état -
Il demande (de la part de Mr Le Tellier du Cabinet de lecture) si une collaboration dramatique lui serait agréable - Il propose un vaudeville en un acte: "le sujet est tiré d'un article que j'ai donné il y a quelques mois dans les Français de Curmer, l'Agent de la rue de Jérusalem et qui a eu quelques succès"...- Dans l'affirmative, il souhaite un rendez vous - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
DURANTIN Armand - (Senlis 1818 - 1892) - Auteur dramatique français
Reference : GF23892
1 page in8 - bon état -
Il le remercie de s'être occupé de son "petit intermède" mais il est trop tard - Il a pensé que sa proposition n'avait pas intéressé l'actrice prêvue et l'a proposé à Mlle Victorine du théatre du Panthéon - "Elle trouva la scène fort à son gout, la musique lui sembla trés jolie et depuis cette époque, elle la répéte chaque jour"...- Il ne peut lui retirer sans lui faire un affront - En attendant il lui offre deux billets pour un petit vaudeville et souhaite le rencontrer pour d'autres projets Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Paris Gallimard 1942 1 vol. Relié in-8, bradel pleine toile verte, pièce de titre de basane fauve au dos, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (Honnelaître), XV + 351 pp. Nouvelle édition, à l'initiative de Jean Paulhan qui donne une préface en originale. Exemplaire du service de presse (il n'a pas été tiré de grand papier) enrichi d'un envoi de Paulhan daté du 11 juillet 1942 et d'un billet autographe signé du même adressé à une dame (certainement Yanette Delétang-Tardif, 2 ff. in-24 sur papier mauve où Paulhan a collé un petit portrait photographique de Duranty en tirage moderne). Très bel exemplaire.
in 8 broché,faux-titre,titre,III,254 pages,XI bibliographie.Félix Alcan bibliothèque de philosophie contemporaine 1929,envoi manuscrit de l’auteur
Köln, DuMont Schauberg, 1960, in-4to, (25 x 32 cm) 191 SD., reich farbig Illustriert, Farbabb. auf Tafeln eingeklebt, Original-Pappband.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Rhodes s.d.[ca 1980], 13x8cm, une carte postale + une enveloppe.
Suggestive carte de visite autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres marron et mauve, enveloppe jointe. "dear Buttons. Oui telephonez moi quand tu es à Sauve-qui-pleutet je viendrai te chercher (un coeur dessiné). Larry." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Sommières 2 février 1979, 12,7x8,1cm, une carte de visite sous enveloppe.
Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite.
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches. L'écrivain informe sa jeune amante française d'un imminent départ à Londres, où il venait fréquemment visiter son éditeur : "Je suis chez Alan Thomas. 16 Holbury St. Chelsea. Faites moi signe quand tu veux [sic] Love, Larry" . Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite sous enveloppe.
Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite.
Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. L'écrivain donne l'adresse de son éditeur londonien à sa jeune amante française afin qu'il l'acceuille à son arrivée : "ALAN THOMAS [...] si le taxiteur n'est pas sûr dites lui que Hobury St se trove [sic] directement en face du pub WORLD'S END dans le KING'S ROAD." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Sommières 12-02-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe.
Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "... Maintenez la tête hors de l'eau - L'immersion prolongée du nez et de la bouche peut provoquer une asphyxie mortelle", coupure de presse scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain renseigne sa jeune amante montpelliéraine sur ses prochains déplacements : "Buttons. Je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Sommières s.d. (circa 1970), 15x10cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une vue des bords de la Vidourle à Sommières. Admirable et humoristique confession de l'écrivain à sa jeune amante : "Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange ! Bientôt je serai impuissant et le problème n'existera plus !". Durrell revient sur ses nombreuses conquêtes féminines ("Pour l'instant je suis comblé de belles et j'en profite - pourquoi pas !") et donne de précieux conseils à sa destinataire, qui avait choisi de rester indépendante malgré les prières de l'écrivain : "Tu n'es pas heureuse en amour parce que tu es intéressée - tu cherche [sic] des combines toujours au lieu de te donner sans réserve ni réservation ! C'est quand on deviens [sic] esclave qu'on est vraiment heureux !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Sommières 18 octobre 1971, 15x10,5cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une citation de Nietzsche soulignant une image humoristique. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Grèce 28 mai1981, 14,6x10,2cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, sa jeune amante française, rédigée au feutre bleu, au verso d'une illustration humoristique mettant en scène Poséidon. L'écrivain a séjourné au Club Méditerranée et en chante les louanges par un vers du poème néomédiévalThe Bard,de Thomas Gray et un de Baudelaire : "youth at the prow and beauty at the helm" (Jeunesse à la proue et beauté à la barre) luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you (tout est fait pour vous) J'ai envie de rester encore vingt ans ici. That would make me 110 years old (j'aurais 110 ans)." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Sommières 3 janvier 1969, 14,6x10,2cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une illustration humoristique de Lassalvy. L'écrivain adresse ses voeux pour l'année 1969 à sa jeune amante française, et s'apprête à suivre le tournage du film adapté de son roman "Justine", premier volume de son Quatuor d'Alexandrie: "Je vais à Londres samedi pour un mois de 'filmage'. Amuse toi bien mais sagement !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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