Reference : 119362aaf
um 1786, in-Folio, Deutsche Handschrift in Tinte auf Papier, Schweiz, Ende 18. Jhd. 196 beids. beschr. Bl. Tls leicht fleckig, Auf vord. Innendeckel mehrere Besitzverm. versch. Mitglieder einer Familie STEPHANI, 18. - 19 Jhd. Enthält eine Aarauer Stadtgeschichte mit Eintr. bis zum Jahre 1786. Pergament der Zeit. Gebrauchsspuren, Schließbänder fehlen.
Sammlung von historiografischen und chronikalen Texten, beginnend mit der Frühzeit der Stadt, gefolgt von Zusammenfassungen und teils Abschriften der Freiheiten der Stadt Aarau, deren Erneuerung oder Bestätigung durch Könige und Kaiser sowie verschiedenen Verträgen und Vorkommnissen aus der Region. Der Autor behandelt wichtige politische und kriegerische Ereignisse im Aargau (Bauernkrieg, Villmergerkriege) mit teils umfangreichen Abschriften der Friedensverträge. Gefolgt von einem Friedensgebet 1712 sowie einem Schauspiel “Das verwirrte aber wider hergestelte Griechenland zu einem kurtzen Schauw-Spiel vorgestellet. In dem Jahr, da das verwirret Schweitzerland wider in seine vorige Ruh und Wohlstand gesetz worden. Den 1. September Anno 1712” (Schauspiel von Johann Rudolf Nüesperli von Aarau, in Bern aufgeführt). Es folgen diverse Liedtexte und Gedichte. Danach in Form von kurzen Jahreseinträgen die Jahre von 1716 bis 1786. Mit Abschrift eines Manifestes zur im Juli 1749 in der Stadt Bern aufgedeckten Verschwörung samt den Gerichtsurteilen (Henzi-Verschwörung). Alles ohne Korrekturen von derselben Hand in Schönschrift verfasst. Image disp.
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Vente d’une pièce de vigne dépendant du prieuré de Moustier en Bourgogne. Transcription jointe. très bon 1652 2 pages 1/2 in-4°
Reference : 6875
Donation entre Messire Marcel de Cavaillon de Romey, Chevalier seigneur de Saussac, résidant à Avignon, rue Petite Fusterie d’une part et Marie Charles Louis D’Albert, Duc de Luynes et de Chevreuse, d'autre part, de terrains situés sur les rives du Rhône en dessous de Pont Saint Esprit. Beau cachet de cire sous papier, aux armes de la ville d'Avignon. 6 folios de parchemin brochés. 9 juillet 1766. 33 x 24,5
Édition originale
, , (circa 1700). Manuscrit petit in-4 (13,5 x 19 cm) de (1)-239-(5) pp. à 18 lignes par page, table, basane granitée, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l’époque).
L'Ordonnance de 1670 signée à Saint-Germain-en-Laye enregistrée par le Parlement de Paris le 26 août, est le premier code de procédure criminelle (28 titres subdivisés en articles) qui instaura l'emprisonnement comme mesure préventive et les lettres de cachet. « Louis XIV veut dès 1665 répondre aux exigences de son état par le biais d’ordonnances "parfaites", synthèses des principes anciens et des innovations salutaires. Nouveau Justinien, il veut réaliser entre autres, un code de procédure criminelle, une "grande" ordonnance à la mesure de la grandeur à laquelle il aspire. De fait la grande ordonnance criminelle d’août 1670, fruit de cette ambition, reste appliquée jusqu’à la Révolution ; sa forme neuve et plusieurs mesures qu’elle implique inspirent jusqu’à notre code actuel » (Marc Boulanger).Copie anonyme d'une écriture régulière et lisible en reliure d'époque, contemporaine de sa promulgation. Coiffe de tête usée, coins frottés, épidermures.Bourgeois André, VII, 6281 ; Marc Boulanger, Justice et absolutisme : la Grande Ordonnance d'août 1670 in Revue d’Histoire Moderne et Contemporaine (année 2000-47-1 pp. 7-36).
Reference : 2562
Le treize floréal an douze, 4 ff. Lettre in-folio, 25 x 35 cm, manuscrites à l’encre noire sur papier bleuté reliés d’une ficelle,
Prise par la marine française d’un corsaire anglais, avouant avoir capturé une tartane et sa cargaison sans lettre de course valable. En conséquence de quoi, à la suite de l’application du droit maritime, l’état français saisi le corsaire et sa prise, sans possibilité d’appel.Document très rare
Lyon, le 16 août 1818, "Broché, Façonné et Uni" ; in-8, broché ; 24 pp.
Edition originale fort rare de cette brochure qui engage le roi à gouverner avec modération et respect des artisans et des travailleurs, et qui constitue une sorte de réponse aux évènements qui se sont déroulés à Lyon en 1817, sorte de fausse conspiration contre le roi. Ce document semble être resté anonyme. Petites rousseurs, bon exemplaire.
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Reference : 68415aaf
1835, in-4to, Original-Pappband.
Seckelmeisterrechnung für die Gemeinde Aefligen für die Jahre 1835 und 1836 von Seckelmeister David Lehmann, Bauer und Gemeinderat in Aefligen, 53 S. + 2 leere Bl., Originalkartonumschlag marmoriert, etwas abgegriffen, allgemein guter Zustand, gut lesbare Schreiberschrift, zwischen den Seiten 2 Exempl. eines vorgedruckten Formularblattes "Unterstützungstabelle", ausgefüllt für die Gemeinde Bollingen (Erhebung der bedürftigen Haushaltungen und Massnahmen der Gemeinde zur Unterstützung), s.d.Prozessakten für Jakob Lehmann, Davids sel(igen Sohn), Landwirt von Aefligen gegen Elisabeth Lehmann, geb. Hager, Klägerin, 1876/77, 78 S., Originalkartonmappe mit eingebundenen Protokollauszügen und eingeklebten Belegen und Attestaten, Umschlag fleckig, ansonsten guter Zustand, gut lesbare Schreiberschrift, zwischen den Seiten 20 Briefe, Rechnungen und andere Papiere (nur ein Teil zum Prozess, der Rest betreffend Anna Maria Lehmann aus Oberburg, ca. 1900). Die Ehefrau von Jakob Lehmann beantragt die Scheidung von ihrem Ehemann und will das Sorgerecht für die 2 Kinder. Prozessakte umfasst Klage und Wiederklage am Amtsgericht Burgdorf.
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Sans lieu, , 1887. Album in-4 de (2) ff. manuscrits et 49 aquarelles de forme médaillon sur papier Whatman montées sur papier fort, demi-veau fauve glacé à coins, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l' époque).
Collection complète de 49 aquarelles originales demeurées inédites signées « A. Baudon ».Reconstitution en images de l'affaire Fualdès depuis le meurtre jusqu'à la décapitation des condamnés : « au matin du 20 mars 1817, le corps du procureur Antoine Bernardin Fualdès était retrouvé égorgé dans l’Aveyron. Une extraordinaire affaire commençait, retentissant fiasco policier et judiciaire sur lequel se sont penchées plusieurs générations d’historiens, de chercheurs et de criminologues. Dans un pays usé par les guerres napoléoniennes, agité par des complots et des conspirations, l’affaire Fualdès agit comme un révélateur. Elle annonce le mariage entre la presse écrite et les chroniques judiciaires, le crime et les récits populaires, l’encre et le sang. En fait foi la profusion d’images produites : lithographies et estampes sont publiées par dizaines. Quant aux chansonniers, ils propagèrent une complainte qui sera fredonnée jusqu’à la fin du dix-neuvième siècle. » (Musée Fenaille).L'album manuscrit contient un titre, une introduction sur l'histoire de la «Complainte» composée en 1818 suivis d'une bibliographie de neuf ouvrages sur le procès.L'illustration comprend les portraits en médaillons des onze personnages principaux avec leur nom du procès réunis sur le frontispice et 48 médaillons circulaires accompagnés d'une strophe de la complainte calligraphiée; le tout dessiné et aquarellé par Auguste Baudon (1821-1905) médecin à Mouy (Oise) et malacologiste, auteur d'un catalogue des mollusques de l'Oise (1855, 1862) dont il dessina les planches (Mollusques marins des îles Açores par Henri Drouët ; 2 planches dessinées par le dr. Baudon). Baudon était également sculpteur et peintre - une "peinture représentant plusieurs escargots d'eau douce" fut exposée" à l'Exposition universelle de 1870 à Paris. Il publia sur l'archéologie, la paléontologie, l'anthropologie et l'histoire de sa région : il était membre de la société savante du département de l'Oise.Provenance : Bibliothèque Philippe Zoummeroff, Crimes et châtiments, n° 296.
Reference : 93954aaf
1829-1834, quer in-8vo, 24 lose Blätter mit Goldschnitt und Wasserzeichen, in der Grösse passend zur Schatulle, alle mit handschriftlichen Widmungen mit Tinte in deutscher Kurrentschrift einseitig beschriftet und 5 davon mit farbigen Original-Illustrationen (davon 1 kolorierter Stich), bei 1 Blatt wurde ein hellblaues Seidenband als Schriftspiegelbegrenzung in das Papier eingewoben (eine Ecke leicht beschädigt), 1 weiteres Bl. mit einer reparierten Ecke, ansonsten guter Zustand, lederüberzogene, aufwändig verzierte Schatulle in Form eines Buches mit Goldschnitt (lässt sich aufklappen wie ein Buch), Deckel und Unterseite mit neogotischen Architekturelementen in Blindprägung verziert, eingefasst von reicher Goldprägung an den Kanten und am Rücken, mittig das goldgeprägte Wort ‘Irene’ in Frakturschrift eingefügt, Schatulle innen mit hellblauem Papier ausgeschlagen, im Boden des Kästchens ist ein hellblaues Seidenband fixiert, Innendeckel mit Goldprägung an den Innenkanten und eingefügtem Stich ‘Die Holstein Brücke in Lübeck’. Mit passendem Schuber. Schönes Exemplar.
Reizvolles Poesialbum der Biedermeierzeit in fein gearbeiteter Schatulle, welche speziell für einen solchen Zweck angefertigt wurde und anschliessend noch den Namen der Besitzerin auf dem Deckel eingeprägt bekam. “Irene” steht wohl für Irene Medikus (auch Medicus), welche von Freundinnen und Freunden, vor allem aber von ihren Vettern und Basen (Cousins und Cousinen) Gedichte und Reime zu Themen wie Freundschaft, Lebensglück, Jugend, Erinnerung, Abschied usw. erhielt. Ausstellungsort ist oft die Stadt Mainz, was möglicherweise auch der Wohnort der Besitzerin war. Andere stammen aus Gernsheim, Wertheim a/M, Wöllstein und Wiesbaden. Einige sind mit feinen kolorierten Zeichnungen von Blumenranken oder Putenengeln versehen. Speziell zu erwähnen sind ein Blatt mit eingeflochtenem Seidenband und ein anderes, welches der Aussteller mit einem Stich bedruckte und dann kolorierte (Putenengel mit Harfe). Schönes Beispiel der aufblühenden bürgerlichen Kultur in Deutschland. Image disp.
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Reference : 72662aaf
en 1855. in-8vo, 30 ff., légèrement tachés, reliure en cartonnage original, dos fendu, sinon bon état,
"Naître, vivre, mourir! Tout le destin des hommes." Ainsi commence ce livret rempli de poèmes et textes (20 en tout) en français et en allemand. Les thèmes principaux sont la philosophie, l'amour et la femme, tirés des oeuvres de différents auteurs contemporains. Nous trouvons des passages de plusieurs pages à côté de dictons et citations d’une ligne. Les auteurs cités sont entre autres Burard, Jean Paul, Schiller, F. Oyex, Mélanie Waldor, la reine Hortense, Burger, P. Christian, Hyppolyte Luvas et Villenave. Image disp.
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Reference : 136459aaf
écrit à Vernex (la famille) et Montreux (les amis), (datés entre 1896 - 1901). in-8vo, feuilles de poésie et textes (30 en tout et qqs vides) en français et qqs-uns en allemand. Avec ca. 20 images collées, reliure en soie originale avec fermoir.
Image disp.
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Reference : 101213aaf
1869, gr. in-4to, oblong, titre manuscrit + 2 ff. (poême) + 216 ff. (432 p.) manuscrits dans une belle écriture (dont 34 ff. de poêmes) + 1 ff. table + 56 images (dont 2 cartes ou plans, 22 photographies originales en petit format, 8 publicités ill. d’hôtels et 5 panoramas gravés de Lucerne, du Rigi et du Lac des Quatre-Cantons), exlibris Peter E. Obergfell, reliure d’époque en demi cuir vert, dos à nerfs avec titre et ornements en or, 1er plat avec titre en or, tranches marbrées. Charnière devant affaiblie.
Récit de voyage manuscrit en forme de journal, enrichi de nombreuses illustrations. L’album est très soigné dans sa forme et ses écrits. L’auteur, un retraité parisien ayant travaillé pendant 40 ans au Trésor, décrit, en prose et en poésie au long de 216 pages, un voyage fait en 1869 avec sa femme et son ami M. Beauval. Le récit est un précieux témoignage d’histoire du tourisme hôtellier et de l’essor touristique du XIXe siècle. Riche en détails, le texte nous fournit nombreuses informations concernant les endroits visités, les hôtels frequentés, avec leurs prix, et ceux en construction. Le journal en prose est suivi par des poêmes écrits pendant le voyage, qui relatent du même.Les voyageurs partent de Paris le 9 juillet 1869 pour se rendre à Strasbourg où ils vistent la ville. Ils se rendent, en suite, à Baden-Baden où ils profitent du Casino et d’où ils partent visiter le château de Eberstein. A Bâle, ils logent à l’Hôtel Euler. De la ville sur le Rhin, ils se rendent à Lucerne, où ils séjournent à l’hôtel de Beau-Rivage: “Le train de Lucerne nous emportait avec plus de rapidité que les locomotives de France; nous avions l’air de voler plutôt que de rouler sur des rails”. Le 15 juillet, ils profitent de la journée pour un tour en bateau à vapeur sur le Lac des Quatre-Cantons. Concernant les noms des montagnes suisses, l’auteur écrit: “Je vous défie bien de retenir tous ce noms en ‘ef’, en ‘er’ etc. etc., qui doivent démancher la mâchoire des malheureux qui veulent les retenir”. En promenade sur le Lac de Zug ils croisent un bateau qui promène des membres du Conseil Fédéral: “Nous nous sommes salués à l’anglaise en levant nos chapeaux en l’air et en criant hourrah! comme des possédés sans nous arrêter ni les uns, ni les autres“. C’était la fête du Tir Fédéral de Zug. Les voyageurs, en passant par la ville en fête, ils sont frappés par l’organisation: “C’est fabuleux, il faut le voir pour s’en faire une idée”. Suit la visite de Zurich, où, dépuis leur dernier voyage en 1853, “des quartiers neufs ont été ouverts et couverts de charmantes constructions; les quais ont été rebâtis; les ponts ont été refaits; bref, la ville est tout-à-fait métamorphosée”. Les Parisiens se rendent par la suite à Interlaken et ils se promènent au pied de la Chûte du Staubbach. Dans la vallée de Lauterbrunnen, le tourisme est très développé: “A chaque station où s’arrêtent le voitures, on rencontre des guides ayant tous les accessoires nécessaires, des crochets pour porter vos bagages, des fauteuils pour charger les dames sur leurs épaules ...”. Etape suivante est la ville de Berne, où il logent à l’Hôtel Bernerhof. Ils visitent notamment la cathédrale et il admirent le Palais Fédéral. Ils traversent Fribourg, sans s’y arrêter, pour arriver à Lausanne (23 juillet). Dépuis la ville sur le Léman, ils se rendent au Château de Chillon, qui “est gardé par trois gendarmes et sert de prison militaire pour punitions de peu d’importance; il y a ordinairement une quinzaine de prisonniers”. Ils visitent la ville de Genève qui, elle aussi, a beaucoup changé dépuis 1853, et Aix-les-Bains dont l’auteur décrit minutieusement les bains. A Genève ils vont voir le panorama en relief du Mont-Blanc et ils se promenent dans les environs de la ville, à Ferney, Coppet et Evian. Le 1er août c’est le départ de la Suisse. Ils se rendent à Mâcon, puis à Vichy, où ils se profitent de la ville et réposent pendant presque un mois “des promenades et des courses faites en Suisse”. Dernière étape du voyage est Fontainebleau, où ils visitent le château et les alentours. Le voyage se termine au 30 août 1869. imagedisp.
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Reference : 101177aaf
Sion, Antoine Advocat, 1812, pt. in-8vo, 18 ff. imprimées intercalées par des ff. blanches, dont deux présentent des annotations manuscrites (livraisons de fromage), une page est détachée, brochure d’attente originale avec titre manuscrit sur la couverture: ‘Almanach à l’usage du ménage de l’hoirie du lieutenant ... Guerratty 1812’.
Petit almanach contenant le calendrier astronomique des mois, les lunaisons, les principales foires suisses, des proverbes anciens et les prévisions météorologiques de l’année.
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Reference : 92902aaf
34.5x44 cm, diplôme sur papier plié, préimprimé et rempi à la main, signé Napoléon, avec timbre (empreinte) sur le papier, bon état.
Document officiel du Second Empire. Le boucher Haismann de Sermamagny (Ht. Rhin, aujourd’hui Terr. de Belfort), après trois mois d’emprisonnement, peine subi pour outrage public à la pudeur, jugé par le tribunal de Belfort, il est réhabilité dans tous ces droits. Lettre de réhabilitation présenté en audience publique par le procureur général. Cette lettre est timbrée de l’empreinte du second Empire, basée sur le sceau avec l’inscription ,Napoléon, Empereur des Français’.
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Sans lieu ni date (début XIXème siècle). 3 pp. in folio manuscrits.
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, , 1828-1877. Manuscrit in-folio à l’encre brune (42 x 27 cm) de (1)-160-(8) ff. en belle page, 187 grandes miniatures dans le texte finement coloriées à l'époque, demi-vélin à coins, dos lisse muet (reliure de l'époque).
Superbe album de famille entièrement calligraphié, orné et enluminé, réalisé par Adélaïde Céleste de La Ruée dont le contrat de mariage en 1814 avec Didier d'Andigné de Mayneuf ouvre le recueil ; il s’achève le 1er avril 1874 avec la mention "Fin de mon Grand Livre" et la généalogie de la branche Mayneuf d’Andigné sous le titre "Époques de la mort de plusieurs de nos parents ainsi que de leur naissance". Les années 1875, 1876 et 1877 prolongent l'album avec les recettes générales idoines. « Mr Didier d’Andigné né le 2 mars 1793, conseiller auditeur à la Cour Royale de Rennes a reçu en partage du 4 août 1819, la Métairie de la Paillardière située en St. Gault, la Métairie de la Hamelinière, située en St. Gault & en Quelaines ». Avec les métairies de Chassepierre, Pinellière et la Haute Touche, c'est l'ensemble des recettes annuelles (achats de terres, mises en fermage) de ces différents domaines appartenant à la famille Andigné de Mayneuf qui sont consignés entre 1819 à 1877. Le plan de chaque métairie figurant les chemins et sentiers bordés d'arbres est entièrement dessiné et peint à la gouache dont 1. Année 1827. Métairie de la Paillardière. Plan compartimenté, 23 sections (feuillet 33) ; 2. Année 1829 Métairie de la Chassepierre, paroisse de Quelaines, plan compartimenté 1-21 (f.42) ; 3. Année 1830. Hamelinière. Plan compartimenté 23 sections (f. 48) ; 4. Année 1833 Plan compartimenté 1-15 de la "Pinellière autrement appelée Maison-neuve en St. Gault" (f.58) ; 5. Année 1836. La Haute Touche. Plan compartimenté, sections A-Z (f.65).La remarquable illustration entièrement dessinée et peinte à la gouache, est composée d'une Nativité en frontispice (feuillet 5), d'un titre à encadrement historié pour la naissance en 1823 de Marie-Augustine de Mayneuf du Teillay (f.19) et 185 grandes vignettes couvrant une incroyable variété de sujets dont des portraits et des vues, des scènes de villages, des places publiques, des scènes de piété ou liturgiques dont une prise d'habit d'une religieuse, des scènes historiques, de représentations théâtrales etc. ; elles illustrent aussi les événements familiaux, naissances et décès dont le mariage de Sophie d'Andigné en 1829, la "mort de Mlle Dumesnil notre tante" la même année, la "mort de notre chère Marie le 10 juillet 1847", la naissance d'Anna le 11 mars 1848 etc. Les dix-neuf derniers feuillets sont illustrés de deux compositions par planche sans texte.Les illustrations dont la veine naïve les rattache à un art populaire d'une remarquable facture, ne sont ni signées ni datées mais probablement l'oeuvre d'Adélaïde d'Andigné de Mayneuf (feuillet 4, un portrait de jeune femme en médaillon est daté "20 Xbre 1874"). Le format vignette employé (qui n’excède généralement pas ici vingt centimètres) et le nombre de portraits représentés inscrit également cet album dans le genre de la miniature très en vogue depuis le XVIIIe siècle. Exceptionnel recueil d'art populaire dont chaque illustration d'une grande fraîcheur est une miniature peinte à la gouache, provenant de la famille d'Andigné originaire d'Anjou, établie vers 1525 en Bretagne, où elle a donné plusieurs conseillers au Parlement de Bretagne, à Rennes et le député du Maine-et-Loire Louis-Gabriel-Auguste comte d'Andigné de Mayneuf (1763-1839). [Voir : Andigné, Marie-Antoinette. Généalogie de la maison d'Andigné illustrée de 383 blasons et contenant l'index complet des alliances depuis 1200 et l'inventaire des titres de la maison d'Andigné. [Saint-Poix] (Mayenne) : [M.-A. d'Andigné], 1971].
Paris Musée des Arts décoratifs 1962 In-8 à l'italienne Broché, couverture illustrée
Catalogue de cette exposition organisée par François Mathey au pavillon de Marsan. Couverture illustrée en couleurs par Mathieu. Préface de Francis Ponge "L'objet, c'est la poétique", reproduit en facsimile du manuscrit. 485 notices d'objets commandés spécialement pour l'exposition aux artistes : Jean Arp, Jean Dubuffet, Max Ernst, Giacometti, Ipousteguy, Meret Oppenheim, Man Ray, Dorothea Tanning... La première exposition de 1960 était intitulée "Antagonismes". > Bel exemplaire TRES BON ETAT 0
, , 1860-1862. 2 vol. in-8 manuscrits (14 x 21 cm et 15 x 19 cm) de (246) pp., demi-basane rouge, dos lisse muet (reliure de l'époque, étiquette papeterie Huteau Bordeaux) et (188) pp., demi-basane havane, dos lisse muet (reliure de l'époque, cachet « Viagrin Port-Louis Ile Maurice »).
Intéressant et rare témoignage manuscrit d'une française métropolitaine partie deux ans en voyage aux îles Maurice et de la Réunion (1860-1862). Cette voyageuse anonyme tient son journal dès son départ : Le 28 juillet (1860) à 9h1/4, nous avons quitté le port de Marseille, à bord du Valetta : en passant près de la jetée j'ai encore pu faire signe d'adieu à Edouard, puis le bateau s'éloignant rapidement, je me suis assise sur mon fauteuil à l'arrière du navire et j'ai regardé la France en pleurant, bientôt je n'ai plus distingué que Notre Dame de la Garde puis après avoir suivi quelques temps encore une ligne de rochers bordant les cotes je n'ai plus vu que le ciel et l'eau. Malgré mon chagrin la nouveauté d'un voyage sur mer m'a interessé et un peu distraite, j'ai observé le monde qui m'entourait, j'ai causé avec des passagers que j'avais déjà vus à Marseille… Côtes de Sardaigne, Ile de Gozo (Malte) jusqu'à Alexandrie où après un voyage de cinq heures nous arrivons à Suez dans un grand hôtel au bord de la mer où nous devons attendre un petit bateau à vapeur qui doit nous transporter à bord de la Norma ; nous apprenons avec plaisir que le navire nous conduira jusqu'à Maurice escale à Aden puis nous sommes enfin dans le port de Maurice après un voyage de 27 jours.Maurice est alors sous administration britannique mais compte une importante population française (Port Napoléon est redevenue Port-Louis et l’Ile de France, Ile Maurice). Le journal de notre voyageuse nous plonge quotidiennement sous cette administration où elle découvre la culture de la canne à sucre et la richesse des planteurs (Stanley, une des plus belles sucreries de l''île), les Coolies venus d'Inde depuis l'abolition de l'esclavage, les nouvelles infrastructures de l’île. Toute la vie sur l'île est retranscrite (commerce, géographie, scènes de la vie quotidienne, mariage - la cérémonie et le discours de l'abbé Magny durent à peine vingt minutes - jusqu'à un procès pour meurtre). Le 12 septembre 1861, elle voyage vers Bourbon (depuis peu île de La Réunion) où elle fait l'ascension du Mont Pouce, décrit le grand port, visite Mahébourg, le grand bassin, Saint-Denis de la Réunion, les champs de canne à sucre puis la savane, le jardin des pamplemousses, tandis qu'au mois de février s'abat sur l'île une épidémie de choléra : « comme si ce pays n'était pas encore assez détestable, nous voici sous le coup d'un fléau menaçant : depuis neuf mois nous avions quelques cas de choléra lorsque vers le milieu de janvier un navire portant des troupes de Chine nous a introduit pour de bon cette affreuse maladie. le choléra fait tous les jours 40 ou 50 victimes ».Le retour vers la France se déroule en plusieurs étapes à partir de novembre 1862 : Maurice, Suez, Le Caire, enfin Alexandrie.
Paris, , 1867-1905. Ensemble 359 ff. manuscrits déreliés (38,5 x 15 cm).
Extraits des registres à colonnes de l’agence de « billets d’auteur » Porcher Havez pour les comptes des auteurs compositeurs dramatiques de 1867 à 1905, au premier rang desquels Eugène Labiche, Charles Gounod, Leconte de Lisle, Jules Massenet, Guy de Maupassant et Georges Feydeau mais aussi Jules Lacroix, Édouard Lalo, Philippe Gille, Judith Gautier, Louis Gallet, Gourdon de Genouillac, Grenet-Dancourt, Alfred Grévin (créateur de costumes), Ludovic Halévy, Henri Agoust, Maurice Hennequin, Léon Hennique, Abel Hermant, Paul Hervieu, Edmond Missa, Jules Lemaître, Alphonse Lemonnier, Henri Meilhac etc. ainsi que les comptes posthumes de Théophile Gautier (†1872).Sous chaque nom est consigné par année le détail de ses pièces représentées suivi de l’« état (ou total) général des billets reçus depuis … jusqu’au … » le tout timbré et contresigné par l’artiste. De nombreux renvois en bas ou haut de page (« suite du folio 11 du registre 24… reporté registre 46 folio 292… suite folio 545 registre 22 ») indiquent un nombre important de registres où un même nom peut être reporté et expliquent la pagination erratique de l’ensemble.L'initiative d'une société des auteurs dramatiques appartient à Beaumarchais en 1777. Grâce à la lutte qu'il entreprit par la suite, une loi est ratifiée par Louis XVI le 19 janvier 1791 et reconnaît pour la première fois le droit d'auteur et sa protection. Un an avant la naissance en 1829 de la Société des auteurs-compositeurs dramatiques, première institution chargée de faire reconnaître et protéger les droits de propriété sur les œuvres artistiques (SACD), Jean-Baptiste Porcher fonda à Paris une agence pour la gestion et l’émission des « billets d’auteurs » en vertu d’un règlement de la Comédie-Italienne du 20 juillet 1781 qui stipulait que « les auteurs auront droit de donner des billets le jour de la représentation de leurs pièces ». L’agence Porcher, dont le directeur était Prudhommeaux disposait ainsi de billets vendus chaque soir devant les théâtres.« À côté de la rémunération pécuniaire, l’auteur qui fait représenter une pièce a droit à un certain nombre de billets qu’on appelle billet d’auteur. Ces billets, qui constituent un droit pour l’auteur, puisqu’ils forment une partie de la rémunération qui lui est due pour la représentation de sa pièce, sont mis en vente dans le public au moyen d’intermédiaires spéciaux. Les billets d’auteur sont vendus au public par des intermédiaires qui les proposent aux abords du théâtre aux allants et venants. L’auteur les cède à une grande agence dite de « succès dramatiques » qui les lui rachète avec 50% de rabais. Les plus importantes et les plus connues sont celles de Mme Porcher et de MM. Porcher et Havez. Ces agences à leur tour répandent les billets d’auteur dans le public par l’intermédiaire d’individus dont c’est l’unique profession. » (Joseph Astruc).Source comptable précieuse pour l’histoire du droit d’auteur et du théâtre français au XIXe siècle.Joseph Astruc, Le Droit privé du Théâtre ou Rapports des Directeurs avec les auteurs, les acteurs et le public, Stock 1897, page 121.
, , 1896. In-4 manuscrit de (222) ff. sur papier timbré, demi-chagrin noir à coins, dos à nerfs, pièces de titre en maroquin noir, chaque recto contresigné dans la marge inférieure, super-libris Péronne notaire (Mce Duffourg).
Acte de notoriété manuscrit établi par le cabinet Péronne pour le règlement de la succession Eugène Soubiès, décédé à Paris le onze décembre mil huit cent quatre vingt quinze après avoir consigné ses dernières volontés dans un testament olographe en date à Paris du trois janvier mil huit cent quatre vingt quatorze. Pardevant Me Raymond Marie Joseph Péronne et Me René Étienne Hatin Angonnard son collègue à Paris, soussignés. Ont comparu : 1. Madame Émilie Jacmart, propriétaire veuve de Monsieur Eugène Jean Vincent Soubies, en son vivant propriétaire ladite dame demeurant à Paris rue Laffitte n°15 (…) 2. Monsieur Émile Jean Albert Soubies propriétaire chevalier de la légion d'honneur demeurant à Paris rue Le Pelletier n°31. 3. Monsieur Bernard Maurice Comte, principal clerc de notaire demeurant à Paris rue de la Boétie agissant au nom et comme mandataire de monsieur Gustave Louis Henri Soubies. Inventaire immobilier d'une famille grandie sous le Second Empire et la Troisième République (Eugène Soubiès est marié en 1844, il meurt en 1895) originaire de Beaumont-de-Lomagne dans le Tarn-et-Garonne - où la famille conserve une propriété, composé de « maisons » parisiennes situées boulevard du Temple, rue de la Grange-Batelière , rue de Clichy et rue Laffitte (chapitre baux et locations), suivi de la liquidation des reprises et des valeurs mobilières : actions et obligations de multiples compagnies dont les chemins de fer (Madrid-Saragosse, Orléans etc.), la Compagnie Parisienne du Gaz, le Canal de Suez etc. Cachet ancien Raymond Péronne notaire à Paris. Pièce notariée intéressante qui renseigne sur le patrimoine d'une grande famille bourgeoise parisienne de la fin du XIXe siècle.
Paris 31 décembre 1856. Fort in-8 466pp 17 feuillets non chiffrés, texte dans un encadrement de filet noir, environ 28 lignes par page d'une petite écriture fine, serrée, bien lisible. Demi chagrin acajou, dos lisse orné de filets à froid et dorés, plats de percaline acajou avec cadre de filet à froid, reliure de l'époque. Illustré d'un portrait en sepia de la jeune fille à qui se manuscrit était destiné, tableaux synoptiques, 3 figures sur 1 planche à pleine page. Bel exemplaire frais, complet, bien relié.
Ce manuscrit, découpé en section faciles à repérer dans la table, est un ouvrage de calcul pratique, suivi d'un exposé détaillé des mesures métriques, des monnaies anciennes et étrangères, complété par des notions sur la pesanteur, les métaux, les pierres précieuses et d'imitation. Il fut offert par Monsieur Charrat à sa fille Emma, tendrement aimée, retirée à Périgueux pour raison de santé. La malheureuse succomba à son mal peu de jours après avoir reçu ce cadeau. Une note insérée par son père et les deux dernières lettres d'Emma, nous font participer à ce drame familial.
, , 1765. In-12 manuscrit de (12)-87-(55) pp., vélin rigide, un lacet (sur deux), inscription à l'encre du temps sur le plat supérieur RETHO/RIQUE ROUAIX (reliure de l'époque)
Cours complet manuscrit de rhétorique daté 1765 copié par l'élève Pacifique Rouaix sous la dictée du Révérend Père Cazanave : Ce cayer appartient a moÿ (…) qui le trouvera aura la bonté de me le rendre ou de le porter en rhetorique où il me trouvera (…) jours les étudiants du père (…) et du R.d père Cazanave. L'an de grâce 1765.« Voici Messieurs, l'heureux moment où vous entrez dans la carrière de la Rhétorique. » (préface). Contient : Définition de la Rhétorique, Fin et nature de la Rhétorique, Origine et utilité de la Rhétorique, Écrivains à qui nous devons les préceptes de la rhétorique ; Invention, disposition, élocution, Antimême (enthymème), Dilemme, Induction, Des parties du discours, réfutation, péroraison, élocution, genres sublime et médiocre, différentes espèces de figures etc. Suivi de : « La Poëtique Françoise dictée par le R.P. Boscus » (première partie seule) ; extraits et commentaires latins et français d'oeuvres classiques. Titre rouge et noir. Les Archives Parlementaires rapportent que lors de la séance du 2 Brumaire an III à la Convention Nationale (23 octobre 1794), le citoyen Pacifique Rouaix, notaire à Saint-Girons, département de l'Ariège, « donna à la patrie la finance de son ci-devant office de notaire ».Archives Parlementaires de 1787 à 1860 - Première série (1787-1799) Tome XCIX - Du 18 vendémiaire au 2 brumaire an III (9 au 23 octobre 1794) Paris : CNRS éditions, 1995. p. 357.
20 oct. 1570, doc. parch. in-4, oblong.
Cet arrêt autorise François de Seyssel baron d'Aix, gentilhomme de la chambre du Roi Charles IX à n'accepter que sous bénéfice d'inventaire la succession de son frère, Charles de Seyssel, baron d'Aix et capitaine de cinquante hommes d'armes des ordonnances, décédé depuis un an. Francois de Seyssel, Marié à Marguerite de Monteynard, Gouverneur du château de Pont-d'Ain, Commandant d'une compagnie de gens d'armes pour l'empereur Charles Quint, Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi François Ier, Page du Roi François Ier. Gironné d'or et d'azur de huit pièces. Bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Directeur : Charles Peignot. Revue bimestrielle publiée à Paris par Arts et Métiers Graphiques le 15 décembre 1934. In-4 (31 cm) 67, (1) pages, nombreuses illustrations in-texte et 7 encartages hors-texte. Broché. Couverture de Annenikov tirée chez Mourlot Frères. Manque de 2 cm à la tête du dos, petit frottis au dos, intérieur en très bel état. [ Complet de tous les hors-texte; quelques images de Grandville, plan de Suresnes, couverture de « Les Contes du Chat Perché » de Marcel Aymé, paysage de Pierre Boucher, planches extraites de la « Nouvelle clef des songes » et des « Oeuvres de Maupassant » et une page d’annonces des « Encres Lefranc ». Ce numéro contient un article (pp. 49-53) sur « Les Manuscrits de Jacques Cartier » de G. Brito. Aussi, des textes de Max Jacob, Mac Orlan, Michel Leiris, Jean Bruller et Claude-Roger Marx ].
Reference : 88302aaf
1740, in-8vo, 200 S. + 6 Bl. (Register) + 48 Bl. + 11 w. Bl., insges. rund 270 Rezepte, handgeschrieben in schöner, gut leserlicher, deutscher Kurrentschrift (ca. 18 Linien/S.), mit kalligraph. Überschriften, mit alphabet. Register für den ersten Teil, es folgen weitere Rezepte von verschiedenen Händen, Seiten leicht gebräunt, insges. guter Zustand, Ex-Libris von Dr. med. et phil. Carl Gerster, Sanitätsrat in Braunfels (Radierung zeigt einen Arzt bei der Herstellung einer Arznei, Photogravure & Druck von H. Feh, Zürich), späterer (XIX Jhd.) Halbpergamentbd. mit Ecken, hs. Titel auf Rücken, guter, fester Einband.
Das Werk trägt den schlichten und wohl später eingefügten (Unter)titel „Verschiedne Arzneimittel“ und erklärt die Herstellung und Verwendung einer grossen Zahl von Essenzen, Tinkturen, Pulvern, Pillen und Pflastern zur Heilung menschlicher Krankheiten und Gebrechen aller Art, vom Hundebiss über die Wassersucht bis zur Pest „Balsam wider die Pest, Pulver vor die Pest und Rothe Ruhr“. Der erste Teil in Schönschrift mit Register wird ergänzt durch weitere Rezepte von teils verschiedenen Händen. Hier hat der anonyme Autor oft auch die Herkunft seiner Rezepte angegeben, neben Ärzten und Barbieren erscheinen hier vor allem adlige Herrschaften aus Mittel und Ostdeutschland, was auf einen Hofarzt des 18. Jh. hinweisen könnte. Rezepte, welche von Gräfinnen oder andern Honoratioren empfohlen werden, gelten wohl als besonders wirksam. Neben den eigentlichen Behandlungsmitteln im medizinischen Sinn finden sich auch mehrere Rezepte für Rosenwasser, verschiedene Essige, Kirschwasser u. ä. Ein interessanter Einblick in das Rezeptbuch eines Arztes des 18. Jhd. image disp.
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