Paris Gallimard NRF - Collection "Du Monde entier" 1983 In-8 Broché Dédicacé par l'auteur
Edition originale de la traduction française de l'américain par Marie-Lise Marlière. Exemplaire portant sur le faux titre la SIGNATURE autographe de Golding. Pas de grand papier annoncé. Très bon 0
L'air du temps , Paris 1967, 14x20,5cm, broché.
Edition originale de la traduction française et pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Légères piqûres sur les plats et petites rousseurs sur les gardes. Envoi autographe signé, en français, de Charles Goldstein à Charles Dobzynski. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Bruxelles, Ecran du monde, Paris, SFELT, 1950 ; petit in-8°, pleine percaline rouge à la bradel, titre doré au dos, couverture et dos conservés, ex-libris étiquette orné "Soussoune Huyberechts" ; 177pp.
Envoi autographe signé de l'auteur pour le Docteur et Mme Huyberechts en témoignage de gratitude au camarade humain et comptéhensif".Esther Goldstein, dite Estelle, née à Anvers en 1902, morte en 1991, fut une active militante socialiste, écrivaine et journaliste. (GrG)
Ventadour, Paris 1958, 13,5x18cm, broché.
Edition originale. Iconographie. Légers frottements sans gravité sur le dos, agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Georges Auric à Jean Laurent : "... l'auteur de Chemin de Lumière qui souhaite devenir un jour celui de Médée..." enrichi d'un envoi autographe signé d'Antoine Goléa. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris 1948 In-8 Broché Edition originale Dédicacé par l'auteur
Edition originale. Recueil de poèmes tiré à 300 exemplaires, celui-ci portant un ENVOI autographe signé de l'auteur à Paul ELUARD. Non coupé Assez bon 0
Paris, J.-B. Baillière, et à Montpellier chez Castel, 1846. in-8. 67pp. (1f.blanc). Broché, couverture imprimée (salissures, petits manques de papier au dos). Exemplaire non coupé, mouillures. Première édition de cette dissertation sur la philosophie médicale dans l'enseignement et l'existence même de la médecine. Envoi autographe de l'auteur.
Bruxelles, 1962 ; 1 volume in-8° broché couverture noire muette illustrée de 2 photographies en couleurs sur les 2 plats, et de 2 photographies en couleurs à l' intérieur des 2 plats ; bandeau blanc imprimé en rouge conservé ;182pp.,1f. Illustrations photographiques hors texte en noir, 1 carte à pleine page.
Envoi autographe signé de l' auteur.Tiré à 1500 exemplaires hors commerce numérotés réservés au public d'exploration du monde en Belgique, ici N° 804. (CO1)
Fayard, Paris 1958, 11,5x18,5cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Bel envoi autographe signé de Claire Goll à Georges et Katia Charraire, agrémenté de deux petites étoiles encolées. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Fayard, Paris 1958, 12x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Envoi autographe signé de Claire Goll à un couple de ses amis, Georges et Katia (Charraire). Agréable exemplaire complet de sa bande annonce. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris Seghers, coll. "Poésie 51" 1951 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, couverture à rabats en couleurs sur fond crème, 27 pp. Edition originale. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Dos et couverture légèrement jaunis, sinon bon état.
Wiesbaden Limes Verlag 1951 1 vol. Relié plaquette in-12, cartonnage éditeur, jaquette illustrée par Chagall, 48 pp. Edition originale illustrée de 4 dessins par Chagall. Long envoi de l'auteur en allemand. Petites rousseurs à la jaquette, sinon bon état.
Fayard, Paris 1959, 12x19cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Affectueux envoi autographe signé de Claire Goll à un couple de ses amis, Véronique et Georges (Charraire). - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Editions des Portiques, Paris, 1932. In-12, broché, 254 pages.
Edition originale(après 30 ex.sur pur fil Lafuma). Exemplaire du service de presse. Envoi autographe de l'auteur.
Paris Seghers, coll. "Poésie 50" 1950 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, couverture à rabats en couleurs sur fond crème, 43 pp. Edition originale. Envoi de Claire Goll à G.-E. Clancier "ce message d'Ivan". Le poète venait de disparaître en février 1950. Dos et couverture légèrement jaunis, sinon bon état.
Fernand Mourlot, Paris 1967, 25,5x33cm, en feuilles sous chemise et étui.
Edition illustrée de 18 lithographies originales hors-texte et en couleurs de Joan Miro, un des 150 exemplaires numérotés sur vélin de Rives, seul tirage après 25 vélin et 25 hors commerce. Très bel exemplaire. Signature manuscrite de Joan Miro à la justification du tirage. Notre exemplaire est enrichi d'un envoi autographe daté et signé de Joan Miro à Armand Blanc accompagné d'un dessin original réalisé au crayon de papier. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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1962 Tapuscrit de 12 pages in-4 avec corrections autographes, 1962 ; 9 lettres, dont 2 autographes et 7 dactylographiées signées, 25 août 1950 - 5 avril 1963, au total 10 pages in-4, 4 enveloppes conservées.Cette importante et rare correspondance de Gombrowicz adressée à une compatriote, exilée tout comme lui en Argentine, témoigne des efforts de l'écrivain pour promouvoir le rayonnement international de son oeuvre. Le précieux fragment tapuscrit que Gombrowicz a offert à sa correspondante recoupe l'ensemble du chapitre XII du Journal. C'est le récit du séjour que Gombrowicz fit en 1962 dans la maison d'Alicia et de son mari, à Hurlingham près de Buenos Aires. Après avoir maudit la promiscuité des transports en commun, l'écrivain se retrouve dans un havre de paix végétal et les peintures de son amie lui inspirent une belle réflexion sur l'art. Le tapuscrit présente une vingtaine de ratures et corrections autographes qui sont autant de variantes par rapport à l'édition imprimée.En 1950, Gombrowicz rencontre Yadwiga Alicia de Giangrande (1916-1999) à Buenos Aires où cette artiste-peintre polonaise a épousé un officier de marine argentin. Le 25 août 1950, comme elle s'apprête à faire un voyage à Paris, il lui envoie ses livres afin qu'elle puisse en parler autour d'elle en France : "Je vous donne tout ce que je possède, "Ferdydurke", le drame "Yvonne" et "Transatlantique". Un fardeau indigeste ! qui a été mal reçu par le groupe Ocampo, mais qu'importe puisque vous allez à Paris, où vous pourrez mesurer la vraie réputation de mon oeuvre ! Après tout, c'est là que se joue mon destin !"Gombrowicz ne croit pas si bien dire : c'est à partir de la publication française de Ferdydurke en 1958 qu'il va rompre son isolement. Dès le 1er mars, Gombrowicz se réjouit d'avoir reçu son contrat d'édition accompagné d'une lettre très positive de Julliard dont il rapporte les propos en français dans le texte : "plusieurs membres de mon comité de lecture m'ont chargé de vous féliciter de cette réussite exceptionnelle". Son traducteur Constantin Jelinski lui assure que Julliard est décidé à publier les Journaux quand leur traduction sera terminée. "J'ai Paris dans les mains" se réjouit-il, d'autant qu'on lui a rapporté que sa personnalité suscitait beaucoup de curiosité de la part des écrivains français. Le 28 décembre de la même année, il donne un compte rendu détaillé des articles qui sont parus sur lui en France. Il en attend d'autres au mois de janvier et cite une publicité de Julliard qui le présente comme "le plus grand écrivain polonais" (en français dans le texte). "C'est un argument formidable pour convaincre les éditeurs argentins de publier les Journaux". D'ailleurs Julian Gorkin, le rédacteur en chef de la revue Cuadernos, lui commande un article écrit par un auteur argentin à propos de Ferdydurke et de son succès en France, qu'il envisage d'accompagner d'extraits des Journaux. Gombrowicz demande donc à sa correspondante si elle connaît "un Argentin qui pourrait écrire quelque chose. Cela devrait être très éloquent puisque je ne me satisfais plus de n'importe quoi. Je me suis tellement éloigné des écrivains d'ici que je ne vois personne qui pourrait le faire. Mais vous connaissez beaucoup de gens et peut-être avez-vous des idées".Cette lettre est accompagnée d'une importante note sur la traduction des Journaux, écrite sans doute par Gombrowicz lui-même à la troisième personne (1 page in-4 dactylographiée avec apostille autographe) : l'auteur revient sur le succès en France de Ferdydurke qui devrait décider les éditeurs argentins non seulement à réimprimer la très bonne traduction espagnole de ce roman parue dix ans plus tôt, mais aussi à s'intéresser aux Journaux. "C'est un peu plus compliqué puisqu'ils n'ont pas été traduits en espagnol. Les éditeurs ne veulent pas prendre de risques avec un livre qu'ils ne connaissent pas. Mais si la traduction était faite, le livre serait sûrement publié tout de suite. D'abord parce qu'il est considéré comme la deuxième grande oeuvre de Gombrowicz, et aussi parce qu'il parle beaucoup d'Argentine. Milosz tient les "Journaux" pour le livre le plus important de la littérature polonaise depuis la guerre. En Pologne il est interdit à cause de sa critique du communisme, mais la presse était enthousiaste et c'est probablement l'oeuvre de Gombrowicz qui fait la plus forte impression sur le lecteur. Si l'on pouvait dès maintenant recevoir de l'argent pour traduire en espagnol les "Journaux", cela permettrait d'accélérer considérablement leur publication. 200 $ suffiraient sans doute, qui seraient déduits des droits d'auteur". Gombrowicz ajoute à la main : "Nous avons des propositions des plus grands éditeurs des USA, d'Italie et d'Allemagne, mais les revenus ne seront pas là avant quelques années".Sensible à ses difficultés, Alicia de Giangrande propose aussitôt à Gombrowicz de traduire elle-même les Journaux. Le 6 janvier 1959, l'écrivain se dit très touché par son offre, tout en réfrénant son enthousiasme : "Traduire un tel volume ne peut se faire rapidement ; c'est un travail d'une année entière et il faut d'abord voir si votre espagnol est suffisant pour accomplir cette tâche (...). Il y a deux méthodes pour faire cette traduction : 1/ payer plus cher (si l'on trouve de l'argent) un très bon traducteur afin d'obtenir une version française 2/ ou alors la réaliser avec une personne noble comme vous : cela voudrait dire que je devrais la surveiller et qu'un écrivain argentin devrait la corriger finalement". Il évoque d'autres traducteurs potentiels comme Asturias ou Landsberg.Mais Alicia s'accroche et Gombrowicz accuse réception le 30 janvier 1959 d'un essai de traduction de 29 pages qu'elle a réalisé à partir des Journaux : "J'ai oublié de vous dire qu'il serait mieux de choisir quelques extraits pour la presse - et surtout pas les pages sur la Pologne qui seront sûrement éliminées !". Il lui répète qu'il a peur de devoir surveiller de trop près la traduction : "c'est trop fatigant pour moi et cela me prend trop de temps".Malgré cette fin de non-recevoir, la correspondance se poursuit sous forme de lettres plus brèves, dont deux entièrement autographes, jusqu'au 5 avril 1963, date à laquelle Gombrowicz lui annonce son départ pour l'Europe : il logera chez Jelenski à Paris, avant d'être reçu à Berlin par la Fondation Ford.
1895 1 page in-8 à l'en-tête imprimé journal hebdomadaire L'Espagne, s.d. Enthousiaste missive de l’écrivain guatémaltèque (1873-1927), "heureux de retrouver notre Paris". Le jeune homme y accompagne sa deuxième épouse Raquel Meller qui "va chanter 5 semaines, à partir du 2 janvier, toujours à Olympia". Il ne s’annonce pas les mains vides : "Je vous apporte un cadeau qui vous plaira : deux grandes gravures originales de Goya, d’après des tableaux de Vélasquez. Elles m’ont été données par le ministère des Beaux-Arts de Madrid comme des choses très rares et très précieuses."
Simon Kra, Paris 1928, 12x19cm, broché.
Edition originale de la traduction française établie par Marcelle Auclair, un des exemplaires du service de presse. Envoi autographe signé de Marcelle Auclair à Guy Lavaud. Dos très légèrement insolé. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris G. Charpentier et E. Fasquelle 1910 1 vol. relié fin in-12, papier jaune marbré, dos lisse avec titre noir en long, non rogné, premier plat de couverture conservé, XXXVII + 64 pp. Édition définitive avec le discours de M. Millerand sur l'interdiction de la pièce. Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de Jean Ajalbert à l'écrivain et traducteur franco-russe Ely Halpérine Kaminsky. Mouillures en marge. Ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie.
Paris Persona 1985 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats illustrée, 292 pp., 16 planches hors-texte, bibliographie, chronologie. Édition originale. Envoi de l'auteur.
Paris G. Charpentier et Cie 1889 1 vol. relié in-8, plein vélin ivoire, couvertures conservées, 378 pp. Édition originale ornée de 2 fac-similés. Première biographie des frères Goncourt, remarquablement documentée, par l'avocat et collectionneur Alidor Delzant (1848-1905), sous la houlette attentive du frère survivant. Un des 100 exemplaires numérotés sur vélin comprenant une épreuve de l'ex-libris des frères Goncourt par Gavarni en frontispice. Envoi autographe signé : "à l'auteur de Niévès, affectueux souvenir. A. Delzant, juin 1890". Ex-libris gravé Henry Standish Esquire et ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie (quelques annotations de sa main à la mine de plomb). Quelques rousseurs, dos passé et un peu sali.
1 page in-8 sur papier deuil à son nom imprimé, s.l., 1er septembre 1871, anciennes marques adhésives aux quatre coins du dos. Souffrant de migraine, il écrit de son lit pour prévenir qu'il ne pourra pas se rendre au dîner mais sera présent au prochain. Il s'agit probablement du "dîner Magny", cénacle littéraire fondé par Gavarni en 1862, auquel participaient régulièrement les frères Goncourt.
Tirée du roman d'Edmond et Jules de Goncourt, 1 vol. in-12 br., G. Charpentier et Cie, Paris, 1888, (daté 1889 en couv.), 3 ff., VII pp., et 1 f., 134 pp. et 1 f. blanc
Rare exemplaire de l'édition originale de la pièce de théâtre tirée du roman éponyme, dédicacé par Edmond de Goncourt. Exemplaire modeste (couv. abîmée avec mq. en dos, qq. rouss.) à établir dans une reliure de qualité. Vicaire, III, 1050
Paris Emile Testard, "collection des dix" 1895 1 vol. broché in-4, demi-chagrin bordeaux, dos à nerfs, non rogné, couverture illustrée et dos conservés, VII + 257 pp. Première édition illustrée ornée de 70 compositions originales par Georges Jeanniot, dont 10 hors-texte gravés à l'eau-forte et 60 dessins in-texte gravés sur bois. Tirage limité à 300 exemplaires, celui-ci un des 38 numérotés sur Chine comprenant 4 états des eaux-fortes et enrichi d'un état unique de la planche "Le Poulailler", d'une suite sur Chine des vignettes et du prospectus de souscription. On joint une lettre autographe signée de Georges Jeanniot à Romagnol, éditeur de la "collection des dix" (1 page in-12, 13 octobre 1905). Ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie. En belle condition (rares rousseurs sur les premiers feuillets).
Paris Editions Rombaldi, coll. "Maîtrise" 1946 1 vol. broché petit in-8, broché, couverture illustrée rempliée, 206 pp. Bonne édition illustrée de 20 fines eaux-fortes originales (dont 17 à pleine page) par Étienne Bouchaud (1898-1989), membre de l'École d'Alger. Tirage limité à 990 exemplaires, celui-ci numéroté sur vélin teinté de Rives, enrichi d'une lettre autographe signée (1 page in-8, datée "Boulevard de Montmorency 67, Auteuil, mars 95") dans laquelle Edmond de Goncourt propose un rendez-vous au dramaturge et directeur de théâtre Albert Carré pour "un bout d'entretien au sujet de la pièce Manette Salomon" (voir le long développement à ce sujet dans le Journal à la date du 8 mars 1895).