Albin Michel, Paris 1947, 13,5x20,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse. Envoi autographe signé de Philippe de Félice à Maurice Blanchot. Une petite déchirure en tête du dos qui comporte également d'infimes piqûres. Exemplaire complet de son prière d'insérer. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Superbe manuscrit à propos des travaux littéraires du poète et dramaturge français Félix Arvers (1806-1850). Ce précieux document dresse tout d’abord une analyse pertinente sur la plus grande œuvre du poète « Le Sonnet », puis, nous offre ensuite une description de l’Homme intime et son entourage. « Il y a cent ans, le 7 Novembre 1850, mourait à l’hospice Dubois de Paris, où il était en traitement depuis quinze jours, le poète Félix Arvers, qu’une paralysie grave emportait prématurément à l’âge de quarante-quatre ans. Il était l’auteur d’une vingtaine de pièces, pour la plupart des comédies et vaudevilles dont quelques-unes écrites en collaboration. Deux de ses œuvres personnelles avaient été jouées au théâtre français : "La course au clocher", en 1839, et le "second mari" en 1841. Ni l’une ni l’autre, n’eut cependant sauvé son nom de l’oubli s’il n’avait laissé, de son œuvre purement poétique un immortel sonnet. Le fameux sonnet d’Arvers, " le sonnet du siècle" comme l’on s’est plu à le nommer, en son temps. Toute une génération l’a récité de mémoire, et certes, tous les lettrés le connaissent, de même beaucoup d’autres que la poésie trouvent sensibles et qui ont à leur portée quelque anthologie où le sonnet d’Arvers ne peut manquer d’être, le voici, pour tous ceux qui n’en ont plus un souvenir précis ou qui l’auraient oublié… ». Après avoir retranscrit l’intégralité du sonnet, Courville, s’intéresse à la source d’inspiration cachée du poète, Marie Nodier (la femme de lettres fille de l’écrivain Charles Nodier) et à l’Arsenal « Le chef-d’œuvre de poésie devint rapidement célèbre. Fréquemment cité, on en prit copie et on le récita avec ferveur. Il provoqua l’enthousiasme des salons de Paris en attendant de faire le tour de la France puis celui du monde. Des compositeurs tels que Bizet, Widor et d’autres s’en inspirant, ajoutèrent à sa popularité. Cet exemple d’amour sans espoir aux accents si purs toucha tous les cœurs, et l’on cherche pendant très longtemps, bien après la mort du poète, à savoir quelle pouvait être cette inconnue digne de lui avoir inspiré un sentiment aussi délicat et aussi profond. Quelques rares personnes de l’entourage du poète, les amis parfaitement discrets, surent seules à quoi s’en tenir. Pour tous les autres, le mystère demeurait impénétrable. C’est ce que l’auteur avait d’ailleurs sincèrement voulu, et c’est pour mieux dérouter la curiosité qu’il publia le sonnet en lui donnant ce sous-titre : "imité de l’italien". L’aveu engageait le lecteur à supposer une interprétation idéale sinon un plagiat complet […] Le sonnet d’Arvers est bien français d’inspiration et de création et le secret qu’il cachait en a été connu après la mort de celle qui en fut l’inspiratrice. Rappelons par plaisir son nom, c’est la très charmante, la très bonne Marie Nodier, la joie pure, le frais sourire des soirées du salon de l’Arsenal dont son père, Charles Nodier était l’incomparable esprit. Le souvenir de Marie Nodier s’illustre d’un beau titre " Notre Dame de l’Arsenal", surnom que lui donna, en témoignage d’amitié, Victor Hugo. Sa gracieuse jeunesse et sa noblesse d’ame sont évoquées dans les stances ailées et trois beaux sonnets d’Alfred de Musset. Et qui veut savoir, d’un autre ami de Marie, ce qu’étaient les hôtes, les invités, les fidèles, la gaité, la simplicité et l’esprit et la gloire du foyer de l’Arsenal, il lui suffira de lire les quarante-sept pages, étincelantes et ferventes, d’Alexandre Dumas qui servent d’introduction à l’une de ses œuvres "La femme au collier de velours ". Courville dresse ensuite un portrait biographique de Marie Nodier puis évoque la fin de l’Arsenal « Elle se sentait l’amie de tous que son père aimait et rassemblait, elle était leur sœur par sa jeunesse comme par les dons de son esprit qui l’avaient faite poète et musicienne. C’est sur l’album amical de Marie Nodier qu’Arvers, alors âgé de vingt-quatre ans, écrivit son immortel sonnet. Elle en eut la primeur. Devina-t-elle, ayant lu "ces vers tout remplis d’elle", qu’elle était cette femme qui les dictait ? Aucun témoignage ne permet de le supposer. Surtout qu’au moment où elle en reçut l’hommage, au début de 1830, elle allait devenir Madame Menessier. Elle avait dix-neuf ans et elle épousait un jeune fonctionnaire […] Mais un temps vint où Marie délaissa son piano des soirées dansantes de l’Arsenal, un berceau la retenait. Alors, peu à peu son absence fit de l’ombre. La jeunesse du cercle se dispersa, il lui semblait qu’un charme avait été rompu. Il devait l’être tout à fait quelques années plus tard, en 1844, quand le foyer de l’Arsenal cessa d’exister par la mort de celui qui en était l’ame, le bon Charles Nodier. Ce fut la dispersion complète de cette charmante et amicale pléiade intellectuelle…Mais le souvenir de l’Arsenal resta dans le cœur de tous. L’aimable mémoire de Charles Nodier devait être évoquée vingt-trois ans plus tard, dans un livre signé du nom de Madame Menessier-Nodier. Ce pieux et vibrant témoignage filial était aussi le livre du souvenir de Marie pour tous les amis de sa jeunesse du temps de l’Arsenal. Beaucoup n’étaient déjà plus dont Arvers et d’autres plus illustres, tels que, Musset, Eugène Delacroix, Alfred de Vigny .Celle qu’aucun d’eux n’oublie jamais devait survivre à tous. Marie Nodier vécut jusqu’à l’âge de 82 ans… ». Courville dédie la fin de son manuscrit aux derniers jours d’Arvers et confie quelques anecdotes. « Felix Arvers reste célibataire. C’est vers la fin de 1848 qu’il ressentit les premiers symptômes de la maladie qui devait abréger sa vie. Il dut malgré tout continuer d’écrire pour le théâtre. Mais bientôt, privé de mouvements, il lui devint impossible d’aller lui-même présenter la pièce qu’il venait d’achever. Un ami dévoué s’en chargeait, non toujours avec succès. Une certaine fois l’ami revint avec un refus : "on trouve lui dit-il, que ta pièce manque de mouvement. Je les admire tes bons hommes, répondit Arvers, paralytique, de mouvement ! De mouvement ! Si j’en avais, je ne les mettrais pas dans mes pièces, je les garderais pour moi ". La verve du vaudevilliste continuait d’aller. Elle devait persister jusque la fin lorsqu’Arvers se sentit très mal, il appela à son chevet un prêtre de ses amis. Celui-ci qui avait été son condisciple à l’école de droit, s’empressa de venir. Arvers se confessa à lui et, la confession terminée, quand son ami allait affectueusement le quitter, il le retint : " Ecoute ! Ecoute encore… j’allais oublier le plus gros péché de mon existence. Quoi donc ? fit le prêtre l’ait particulièrement inquiet, j’ai dit un jour beaucoup de mal de Charles X ". C’était vrai, mais c’était aussi à ce moment-là de la part d’Arvers, une ultime espièglerie de vaudevilliste, car il savait son ami un libéral fougueux. Rien d’étonnant, c’était l’Abbé Coquereau, un caractère d’ailleurs original… […] Arvers légua par testament à un de ses amis parisiens, ce qui lui restait de son patrimoine, environ 27000 Francs et divers manuscrits dont celui du sonnet que l’on a pu voir, en 1927, à l’exposition de la " jeunesse des Romantiques" organisée à la maison de Victor Hugo, Place des Vosges à Paris. Les obsèques d’Arvers furent célébrées modestement à l’église Saint Laurent, le 10 Novembre 1850. Il fut, selon sa volonté, inhumé au cimetière de Cézy dans l’Yonne, auprès de son père et de sa mère qui était morte à Paris en 1845.». Cet article sera publié dans le quotidien « Le courrier de l’Ouest » d’Angers, le 7 Novembre 1950. On joint une lettre dactylographiée signée du rédacteur en chef du journal, attestant du paiement des honoraires reçus par Courville pour la rédaction de cet article.
Paris Seghers, coll. "Poésie 53" 1953 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, couverture à rabats en couleurs sur fond crème, 38 pp. Edition originale. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Dos et couverture légèrement jaunis, sinon bon état.
Belle lettre. " Mais maintenant que je vous ai demandé pardon, je vais vous dire comment il se fait que le lendemain même vous n'avez pas reçu tous mes remerciements. Vous m'avez fait espérer encore une fois votre visite et je vous attendais pour vous dire de vive voix : que vous êtes le plus aimable des hommes et que je n'oublierai jamais l'accueil si gracieux que vous m'avez fait ".
J.-C. Lattès, Paris 2002, 13x20,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Infimes piqûres sans gravité sur les garges blanches. Envoi autographe signé de Fellag à une proche amie : "A Martine avec toute ma tendresse et 1 million de bisous." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Jean-Claude Lattès, Paris 2014, 12x18,5cm, broché.
Édition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. Envoi autographe daté et signé de Fellag à sa femme Marianne (Epin) mon amour que j'aime pour toujours. Pour toutes les caresses et les tendresses futures. Ton Mohand." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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paris et Rome Gallimard , Du Monde Entier. 1973-1974 2 Un volume broché de format in 8° de 176 pp.; jaquette illustrée; bande éditeur conservée. Jointe une photographie de 13,5x21 cm , dédicacée et signée par Fellini.
Ensemble en très bel état. Voir photo.
Editions Le Triangle, Genève 1959, 13,5x18cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Dos et plats légèrement et marginalement insolés. Iconographie. Envoi autographe signé de Florent Fels à son amil'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rimqui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris Henri Floury Editeur 1928 In-8 Broché Ed. originale
ENVOI AUTOGRAPHE SIGNE DE L'AUTEUR. Couverture illustrée, reproductions in et hors-texte. Bon 0
Fayard 1957 1 vol. broché in-8, broché, 203 pp. Edition originale. Un des 25 exemplaires de tête numérotés sur Hollande Van Gelder. Très bon état, non rogné.
Pierre Cailler, Genève 1959, 16x18,5cm, broché.
Deuxième édition en partie originale car revue et augmentée. Envoi autographe signé de Florent Fels au docteur Collet enrichi d'un envoi autographe signé de Carzou ainsi que d'un dessin original aux crayons de couleurs représentant un décor floral. Iconographie. Dos légèrement ridé comme habituellement, agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Pierre Cailler, Genève 1966, 16x18,5cm, broché.
Troisième édition en partie originale car revue et augmentée. Iconographie, coupures de presse jointes. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Carzou à madame Troillard. Nous joignons une enveloppe à l'adresse de la dédicataire et une invitation à exposition des récentes oeuvres de Carzou présentées au "Dôme" à Montparnasse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Pierre Cailler, Genève 1955, 13,5x18,5cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Iconographie. Agréable exemplaire en dépit de légères piqûres sur le dos et les gardes. Envoi autographe signé de Florent Fels à Robert Rey enrichi d'un envoi autographe signé de Carzou ainsi que d'un dessin original à l'encre noire représentant un décor portuaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Lettres autographes signées par Maurice Feltin, archevêque de Paris puis cardinal. Carte autographe signée en date du 7 avril 1957, et 5 lettres ou cartes dactylographiées et signées de 1964 à 1069. Bel ensemble adressé à Abel Moreau, président des écrivains catholiques. En feuilles Très bon Angers 1886
édition originale
1816 1 page in-4 à en-tête du Ministère de la Guerre. 1816
Lettre de refus à la demande de son correspondant pour le grade de Capitaine honoraire de Cavalerie. "… les Ordonnances n'admettent plus les grades honorifiques…".
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Liliane FENECH, professuer, a écrit une thèse sur Jaques CHARDONNE. À propos de Chardonne; 4 lettres autographes signées. En feuille Très bon Limoges 1973
Tarascon, 10 janvier 1734 3 pages in-4.
L'abbé de Fenelon insulté. Il demande l'intervention de son correspondant dans une querelle avec un certain Monsieur Doria au sujet de son cocher. "C'est avec regret que je me vois forcé de vous demander justice de la manière dont j'ai été traité par Monsieur Doria". L'abbé de Fénelon (1685-1754) fut doyen du chapitre royal de Tarascon et grand archidiacre d'Avignon.
( FENEON) - DUJARDIN Edouard,(Saint-Gervais-la-Forêt 1861 - Paris 1949), écrivain, poète, essayiste.
Reference : 11423
Dujardin relance Fénéon " Félix fénéon, nous allons bientôt tirer notre prospectus de la Revue Neuve. N'oubliez pas les quelques demandes d'adhésion qui vous sont chargées, Félix Fénéon : de Sainte-Croix, Camille Lemonnier, Verlaine, Moréas, Zola… Bourget, Viguier paraissent assurés …?… Le très important est Zola". Il cite encore Morice et Alexis, il a vu Huysmans et propose à Fénéon d'aller voir le dernier des Goncourt et termine " "Votre main" pour moi l''autre pour Wyzewa".
Écrivain, poète et dramaturge, disciple de Stéphane Mallarmé (1842-1898), Dujardin fut Directeur de la "Revue wagnérienne" qu'il fonda avec Téodor de Wyzewa, puis de la "Revue de littérature et d'art" et il dirigea "La Revue Indépendante" dont était rédacteur en chef Félix Fénéon. (Cl Reu-Bur)
s.l. 17-2-1942, 21x27 cm, 2 feuilles.
Lettre autographe signée de Félix Fénéon adressée à Gabriel Mourey, 18 lignes à l'encre noire, traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre. Témoin et acteur privilégié de son époque, le critique d'art et collectionneur Félix Fénéon aide l'auteur Gabriel Mourey dans sa quête pourretrouver la correspondance de Paul Adam avec Maurice Barrès : "Le romancier et occultiste Paul Adam fut, comme vous savez, très lié à Maurice Barrès. (Candidats boulangistes dans deux circonscriptions lorraines contiguës, il firent fraternellement une campagne électorale et journalistique à laquelle leur amitié ne survécut guère.)Comment retrouver tous les papiers de Paul Adam, mort il y a une vingtaine d'années ? Mme Paul Adam vit-elle encore. - je n'en sais rien. Mais il est probable que vive une de ses soeurs, veuve depuis quelques trois ans de ce L. Cappielloauteur de tant d'affiches, - peintre elle aussi (et, de plus, fort sourde). Leur demeure était 8 rue Lechatelier, XVIIe. Par Mme L. Cappiello vous retrouverez peut-être des papiers barrésiens laissés par Paul Adam. Pour le cas où vous chercheriez dans cette direction, je note que que j'ai été en excellents termes avec toute la famille et que vous pouvez donc user de mon nom à votre gré." Personnalité majeure de l'Avant-garde, Fénéon avait le talent de débusquer les plus grands artistes. Cet étrange dandy volontairement discret, fit le vude servir quasi religieusement tout ce qui dans l'art forme une nouvelle sensibilité.Défenseur des néo-impressionnistes Seurat et Signac, ami de Mallarmé et de Camille Pissaro, de Paul Adam, Gustave Kahn, anarchiste puis communiste, directeur d'une douzaine de petites revues, il publia des uvres neuves telles les Illuminationsde Rimbaud, lePaludesd'André Gide,Dédalusde James Joyce. Prolifique journaliste, il écrivit partout et ne signa pas ses articles ou emprunta même des pseudonymes extravagants comme Gil de Bache, Porphyre Kalouguine, voire Thérèse ou Louise. Rare lettre de Félix Fénéon sur ses contemporains. Nous y joignions une lettre autographe signée de Fanny Fénéon, femme de Félix Fénéon, datée du 30 décembre 1941 alors que son mari était malade et alité, 10 lignes à l'encre noire, traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre. "Mon mari gravement malade est dans l'impossibilité de recevoir quelqu'un. Si la difficultéque vous désirez lui remettre peut se résoudre par lettre, veuillez lui dire ce dont il s'agit. Une réponse immédiate vous montrera que malgré ses 80 ans, il est tout à votre disposition. [...]" - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Editions de La revue blanche, Paris 1899, 12x19cm, broché.
Edition originale, sur papier courant, de la traduction française établie par Félix Fénéon, il n'a été tiré que 10 Hollande en grands papiers. Rare envoi autographe signé de Félix Fénéon à son ami Romain Coolus. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Petites affiches 1958 1 vol. broché in-8, broché, non coupé, 216 pp. Edition originale de cette histoire de la Presse par le directeur des "Petites Affiches". Envoi de l'auteur à G. E. Clancier. En très belle condition.
Editions en marge 1938 In-4 Agrafé Ed. originale
Edition originale. ENVOI AUTOGRAPHE SIGNE DE L'AUTEUR Satisfaisant 0
2 pages in4 - En tête "Docteur Ferdière"- (petite déchirure à un pli) -
Il regrette de n'avoir pu le voir à Paris - Il souhaitait parler d'un projet d'article pour les "Cahiers d'Hermès" - : "La mentalité magique de l'enfant dans ses contines et formulettes" pour connaitre son avis - A Rodez, il n'a pu avoir que le no 1 de la Revue: "Combien de nos sont parus à ce jour?" - Il souhaiterait les avoir - Gaston Ferdière fut proche des surréalistes et fut entre autre le psychiatre d'Antonin Artaud -
Ferdinand BAC - [Stuttgart 1859 - Compiègnes 1952] Ferdinand-Sigismond Bach dit Ferdinand Bac - Ecrivain et peintre français
Reference : 27511
(1928)
1928 1928- un feuillet collé à l'annonce du livre Louis I de Bavière et Lola Montés, N.B.- Ed. Louis Conard 1928.
provenance archives Charles de Richter - RICHTER (Charles de).
Ferdinand BRUNETIERE - [Toulon 1849 - Paris 1906] - Historien et critique littéraire français
Reference : 34956
2 pages in8 - bon état -
Il a eu le temps de réfléchir à la proposition faite par Larroumet en son nom - Il ne se dédie pas mais souhaite le rencontrer pour en parler à l'Odéon -Il n'a de préfèrence actuelle que pour Iphigènie - Quant à la comédie, Regnard ou Marivaux, même si Molière l'arrangerait -