Tahiti 23 août 1904, 11,5x18,1cm, 4 pages sur un double feuillet.
Lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard. Quatre pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet.Pliure transversale inhérente à l'envoi. Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Dernière lettre de Tahiti que Segalen envoya à son ami: «La dernière lettre avant le départ qui me rapproche, mon bien cher Emile. Donc, nous quittons Tahiti le 1er Septembre. Rien de changé en notre retour, que l'imprévu modifiera certainement. Serons à Nouméa vers le 13 Septembre.» Cette ultime lettre est l'occasion pour Segalen de dresser un bilan, assez surprenant de sobriété quand on sait avec quelle crudité il dévoilait à son ami ses aventures charnelles: «L'une des choses qui me laisseront ici le plus de regrets sont les «possibilités chirurgicales» quittées. Je m'étais mis, en ces temps derniers, aux yeux; et les cataractes indigènes sont matières à cures bénévoles...Cela me fera sourire, plus tard, d'être quatrième sous-fifre, en un hôpital maritime, à une ouverture d'abcès. » Cet exil nouméen permet à Segalen de poursuivre la rédaction de ses Immémoriaux, qui paraîtra finalement en 1907 au Mercure de France sous le pseudonyme de Max-Anély (Max en hommage à Max Prat et Anély, l'un des prénoms de sa femme), Segalen n'étant pas autorisé, en sa qualité de médecin militaire, à signer une uvre fictionnelle de son patronyme: «Le scénario de mon livre est bâti. J'aurai à mon retour, un mois de travail très dur, puis le laisserai mûrir pour reprendre mon Esthétique des Idées-Malades. J'ai besoin de deux ans d'Europe.» Le 29 janvier 1902, Segalen avait soutenu sa thèse dont le titre était L'observation médicale chez les écrivains naturalistes et traitait des névroses dans la littérature contemporaine. Sous l'impulsion de Gourmont et de Fleury il projetait d'approfondir son sujet et de publier l'ouvrage évoqué dans cette lettre; cette publication ne verra jamais le jour. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Nouméa 16 septembre 1904, 12,2x16,4cm, 3 pages 1/2 sur un double feuillet.
Lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard. Trois pages 1/2 rédigées à l'encre noire sur un double feuillet.Pliure transversale inhérente à l'envoi. Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. La dernière lettre polynésienne de Segalen écrite depuis Nouméa: «La traversée usuelle, monotone, bien que rapide (13 jours) entre Tahiti-Nouméa, mon bien cher Emile.» Il relate ses derniers instants en terre tahitienne: «Derniers jours chargés, comme tu penses, avec des après-midi échevelés de paquets, promenades dernières, désirs ultimes de revoir encore et encore des sites familiers et des visages amis; et des nuits blanches; j'étais finalement éreinté à souhait et volontairement, quand je me suis embarqué.» Après presque deux ans sur l'île, Segalen ne semble pas ressentir de chagrin à l'idée de retrouver sa vie métropolitaine: «Tahiti a disparu dans un grain. Même pas l'apothéose lumineuse attendue. Mais, aux cours des longues siestes à la mer, le souvenirs hâtifs du départ ont fait place à ceux exquis et lents, des deux années mortes. Maintenant, dispos et en train, j'inhume après embaumement mes souvenirs figés; je flaire et désire, au retour une vie très, très active.» - Photos sur www.Edition-originale.com -
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San Francisco jeudi 10 décembre 1902, 11,2x17cm, 2 pages sur un feuillet.
Lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard, deux pages rédigées à l'encre bleue sur un feuillet de papier à lettre de papier bois asiatique imprimé en marge de silhouettes et paysages asiatiques bleus. Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Segalen, parti du Havre le11 octobre 1902 en direction de Tahiti, voit son voyage interrompu par la contraction de la fièvre typhoïde qui l'immobilise deux mois à San Francisco. Ce sera l'occasion pour le jeune homme de découvrir China Town, le quartier asiatique qu'il évoque dans cette lettre : "Je t'ai déniché chez un petit singe à figure jaune du quartier japonais un petit porte-carte qui aura toujours, à défaut d'autre chose, l'intérêt de "venir de loin" et de son authenticité...et aussi peut-être celui d'être donné avec la plus profonde affection que je puisse dédier à un Ami."Segalen quittera San Francisco pour Tahiti le 11 janvier 1903. Les lettres autographes de Victor Segalen sont d'une grande rareté. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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San Francisco dimanche 22 novembre 1902, 13,7x18cm, 4 pages sur un feuillet double.
Lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard, quatre pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet de papier à lettre bleu.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Trace d'onglet de papier blanc. Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Segalen, parti du Havre le11 octobre 1902 en direction de Tahiti, voit son voyage interrompu par la contraction de la fièvre typhoïde qui l'immobilisera finalement deux mois à San Francisco: «Pleine convalescence mon cher Emile. [...] Aucune complication. Ma fièvre aura été de type «ambulant» car j'ai promené tout mon premier septénaire en sleeping. [...] J'ai renoncé à prendre le paquebot du 6 Décembre. Une rechute à bord et je ferais immanquablement connaissance avec les bas-fonds du Pacifique. Je partirai seulement le 11 Janvier. L'hiver est très doux à S[an] Franc[isco]. Dans 10 à 12 jours je m'installerai en ville.[...] New-York m'eût été infâme pour un séjour d'un mois. San Fr[ancisco] m'agrée. » Après avoir fait part à son correspondant de ses sentiments à l'approche d'un éventuel décès («[...] je cherche à définir mon état d'esprit, quand, lucide j'ai appris que j'avais 41° et plus, la réaction de Vidal et des taches rosées lenticulaires. J'ai envisagé froidement l'éventualité d'une issue fatale. Au point de vue religieux siccité absolue.Tout s'est reporté sur mes parents, mes amis. »), Segalen - toujours très intéressé par la gent féminine - livre à son ami médecin des détails sur les infirmières de l'hôpital: «Etonnement de trouver un Hôpital Français en ce répertoire cosmopolite du Grand Océan. Etonnement d'y voir comme personnel une quarantaine de «nurses», 20 à 25 ans, jolies parfois, toutes munies de brevets littéraires, «graduées» comme on dit ici, dont une attachée à ma personne, me baignant, me lotionnant, me frictionnant de mains adroites, couchant en long peignoir bleu et les cheveux défaits dans ma chambre, me parlant de Rudyard Kipling, Tennyson, écrivant entre deux bains froids à ses «amis»...» Cette convalescence, qui durera jusqu'à début janvier 1903 sera l'occasion pour Segalen de découvrir China Town. Les lettres autographes de Victor Segalen sont d'une grande rareté. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Les cent une, s.l. 1952, 22x32cm, 2 volumes brochés sous chemise en bois laqué et étui remplié en pleine toile moirée.
Edition illustrée de38 gravures originales de Ling Chou gravées sur cuivre et tirées à la main en sanguine et imprimée à 134 exemplaires nominatifs et numérotés sur papier de chine double Yu-Pan. Le livre, séparé en deux fascicules cousus à la main et recouverts de soie moirée verte, est protégé par deux plaques de laque noire et des lacets, oeuvre du maître-laqueur Tchou-Tse-Tsin. L'ensemble est contenu dans un emboîtage de soie moiréefermé par deux agrafes en ivoire, selon la maquette de l'illustrateur. L'étui est partiellement et légèrement décoloré, une tache claire en tête du premier plat de l'étui, bel exemplaire. Signatures de Ling Chou, de la présidente et de la vice-présidente de la société de Femmes bibliophiles qui a édité l'ouvrage. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris 18 mars 1905, 13,1x20,9cm, 3 pages sur un double feuillet.
Lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard, trois pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet de papier quadrillé. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Une des très rares lettres relatant le rocambolesque sauvetage des oeuvres de Gauguin par son "champion". Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Segalen a quitté Tahiti, après avoir transité par Colombo, Port Saïd et Toulon, il est à Paris pour quelques jours et raconte à son ami les réactions face aux uvres de Gauguin qu'il a fait revenir de Polynésie. La vente aux enchères des biens et des uvres de Gauguin, demeurés dans sa Maison du Jouir après sa mort, se déroula à l'automne 1903. L'un des rares acquéreurs présents lors de cette liquidation fut Victor Segalen qui permit ainsi le sauvetage de plusieurs pièces capitales du peintre qui risquaient d'être détruites dans l'indifférence générale. Segalen, qui avait espéré arriver à temps pour rencontrer Gauguin, ravive sa mémoire en tentant - malgré sa faible solde - d'acquérir un maximum d'uvres de son défunt mentor. Il relate dans son «Hommage à Gauguin» (préface desLettres de Paul Gauguin à Georges-Daniel de Monfreid, 1918) cette dispersionaujourd'hui incroyable : «Puis s'accomplit la vente judiciaire, sous les formes les plus légales, les plus sordides. On liquida sur place les objets «utiles», vêtements, batterie de cuisine, conserves et vins. Une autre adjudication eut lieu à Papéété, et comprenait quelques toiles, deux albums, l'image de Satan et de la concubine Thérèse, le fronton et les panneaux de la Maison du Jouir, la canne du peintre, sa palette. Pour acquéreurs: des marchands et des fonctionnaires; quelques officiers de marine; le Gouverneur régnant à cette époque; des badauds, un professeur de peinture sans élèves devenu écrivain public. [...] La palette m'échut pour quarante sous. J'acquis au hasard de la criée tout ce que je pus saisir au vol. Une toile [Village breton sous la neige], présentée à l'envers par le commissaire-priseur qui l'appelait «Chutes du Niagara» obtint un succès de grand rire. Elle devint ma propriété pour la somme de sept francs. Quant aux bois - fronton et métopes de la Maison du Jouir, personne ne surmonta ma mise de...cent sous! Et ils restèrent à moi. [...] Les bois de la Maison du Jouir, je les destinai dès lors, à l'autre extrémité du monde, à ce manoir breton que Saint-Pol-Roux se bâtissait, lui aussi, comme demeure irrévocable, dominant la baie du Toulinguet, sur la presqu'île atlantique. La palette, je ne pus décemment en faire mieux hommage qu'au seul digne de la tenir, - non pas entre ses doigts, comme une relique dont on expertise avec foi l'origine, - mais passant dans l'ovale au double biseau le pouce qui porte et présente le chant des couleurs, ...à Georges Daniel de Monfreid.[...] Cette toile [Village breton sous la neige], je l'ai gardée. Le don même en serait injurieux. Gauguin mourut en la peignant, c'est un legs. » La biographie de Gauguin par David Haziot, dresse l'inventaire précis des uvres achetées par Segalen: «Segalen put acquérir sept toiles sur dix. Parmi elles l'autoportraitPrès du Golgotha[aujourd'hui au musée d'art de Saõ Paulo]. Les sculpturesPère PaillardetThérèsepartirent, ainsi qu'une seconde version des trois femmes au bord de la mer dont une allaitant à leurs pieds. [...] Segalen [...] emporta le carnet de dessins d'Auckland, quatre des cinq panneaux de bois qui ornaient la porte de la Maison du Jouir (pour 100 sous!), les photographies d'Arosa avec notamment les images de Borobudur et du Parthénon, et leVillage breton sous la neigepeint après la catastrophe de Concarneau et que Gauguin avait emporté avec lui.» Ces uvres, parmi les plus célèbres de notre patrimoine artistique, sont aujourd'hui conservées au Musée d'Orsay (Paris) et dans d'autres grandes institutions mondiales. «Gros succès avec mon déballage Gauguin. Certains qui ricanaient à Tahiti s'interloqueront du seul argument qui vaille pour eux: la valeur commerciale. Elle est importante. Néanmoins je compte tout ramener, y compris surtout le Sandwich que nous avons pieusement décollé et qui donne, dans l'uvre complète, une admirable note. Formule générale: Gauguin ne fut pas «peintre» mais Décorateur.» Le «Sandwich» dont il est ici question semble être Près du Golgotha, autoportrait de Gauguin qui, en très mauvais état, avait été contrecollé (en sandwich donc) pour le protéger durant le transport de Tahiti vers la France. Ce bref séjour à Paris est enfin l'occasion pour Segalen de rencontrer Georges-Daniel de Monfreid avec lequel il a correspondu depuis Tahiti. C'est probablement lui qui fait prendre conscience au jeune docteur de la valeur des uvres rapportées de Polynésie, comme en témoigne une lettre de Segalen écrite à sa mère le même jour que la nôtre: «Il se peut que je retire d'importants avantages pécuniaires de mon déballage Gauguin. [...] Je ne perds pas une minute, aidé par un vieux peintre [G.-D. de Monfreid, 49 ans!], disciple de Gauguin, et avec lequel je cours les musées.» Le «vieux peintre» note d'ailleurs dans ses Carnets à la date du 16 mars 1905: «Visite du Dr Segalen qui nous a prévenus par télégramme le matin. Il arrive très ponctuellement à 11h1/2 et déjeune avec nous. Ensuite, il m'emmène chez lui où il me fait voir ce qu'il rapporte. Enfin, nous portons rue Guénégaud, chez Tisserand, la toile (portrait de Gauguin) [Le fameux «Sandwich»] la plus abîmée, et je le quitte à 5h au Luxembourg.» Segalen ne perd pas de temps à Paris et entreprend un véritable marathon culturel: «Entendu: Chez [André] Antoine: Les Avariés. Deux actes très scéniques suivis d'un troisième plutôt conférentiel et assommant. Hier au Gymnase: Le Retour de Jérusalem, et une admirable silhouette de Juive qui serait froidement nietzschéenne. Ce soir, «notre» Lohengrin, demain Tannhauser. Je ne crois pouvoir terminer mes explorations diverses avant Mardi et Mercredi. Ne pas m'attendre avant Jeudi.» Il en profite également pour visiter la rédaction du Mercure de France dans lequel il a publié en juin 1904 un intéressant article intitulé «Gauguin dans son dernier décor»: «J'ai déjà liquidé la série «Mercurielle»: de Gourmont, toujours aimable mais empâté et, de symboliste devenu «biologiste» enragé. Ce que Morache en jubilerait! Vu [Alfred] Vallette, «mon» directeur qui m'a réclamé des études. Promis. Donc, placements assurés, et puis, ça m'est égal, j'écris pour écrire et pour quelques amis.» Exceptionnelle et rarissime lettre de Victor Segalen évoquant le rapatriement et la révélation à Monfreid et quelques initiés, des dernières oeuvresde Gauguin. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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SEGAL (Erich) Écrivain américain, né à New York en 1937 auteur d’un best- seller international, « Love Story » (1970, porté à l'écran par A. Hiller en 1971).
Reference : 170C30
Photo dédicacée en noir et blanc. 12,5 cm x 20,5 cm.
1 vol. on-8 br., Librairie Jean de Pellieux, 1936, 141 pp.
Envoi de l'auteur à l'écrivain André Maurois.
Paris, Plon,1909 ; In-16°, broché, couverture bleu clair imprimée en bleu ; ( 8), 330pp.Couverture un peu jaunie, ex-libris manuscrit à l'encre au 1er plat.
Visite des sites archéologique et architecturaux remarquables de Sicile, évocations historiques et littéraires.Envoi autographe signé de l' auteur au -faux-titre ( nom du dédicataire effacé). ( CO1) Absente jusqu'au 16 mars, vos commandes seront enregistrées mais je ne pourrai y répondre qu'à partir du dimanche 17. Merci de votre compréhension.
Paris : Chez l'auteur, 1965 - in-8 broché (18,8x25cm) sous couvertures illustrées (photographies par Fina Gomez), 40 pages - bon état - tirage limité à 1000 exemplaires sur vélin de Lana - Envoi autographe signé et carte autographe de l'auteur adressés à Albert Loranquin, critique littéraire au Bulletin des lettres -
S.l. (Bruxelles) André de Rache 1972 1 vol. broché gr. in-8, broché, couverture illustrée rempliée, 93 pp. Edition originale. Exemplaire du service de presse numéroté sur Bouffant Da Costa, enrichi d'un superbe envoi de l'auteur à Bernard Delvaille et assorti de 3 cartes autographes signées et d'une jolie carte de voeux également dédicacée. Très bon état.
Paris chez l'auteur 1984 1 vol. broché grand in-8, broché, couverture illustrée à rabats, 91 pp. Edition originale à tirage limité et numéroté. Envoi autographe signé de l'auteur à Maurice Nadeau "en lui souhaitant Bonne fortune et Bonne année, avec mes félicitations pour son action et sa revue". Très bon état.
Neuchâtel Ides et Calendes 1943 1 vol. broché in-4, broché, 68 pp. Édition originale. Un des 60 exemplaires de tête numérotés sur Hollande Van Rhyn, et parmi ceux-ci l'un des 10 hors commerce avec un très bel envoi autographe signé du poète : "à mon fraternal ami Philippe Dumaine, mon camarade, ce que dit [Le Chien de pique] et ce qu'il ne dit pas : qu'au plus noir des temps noirs, il suffit d'un ami". En excellent état.
Paris Editions Pierre Seghers 1945 In-8 Broché Ed. originale
Edition originale. ENVOI AUTOGRAPHE SIGNE DE L'AUTEUR à Georges Sadoul. Exemplaire justifié HC. Non coupé Bon 0
Editions De Minuit / L'Honneur Des Poètes Paris 1947 In-12 carré ( 190 X 140 mm ) de 72pages, broché sous couverture illustrée en couleurs. Edition originale. Un des 2000 exemplaires sur vélin, numérotés contenant 17 poèmes inédits sous le sous-titre «Poèmes 1945» et réédition de «Poèmes de l'été 1942» et de «Poèmes 1942-1944». Bon exemplaire enrichi d'un très bel envoi autographe signé de l'auteur.
1953 une Planche repliée en accordéon dans chemise in-12. Editeur (17,5 x 9,5 cm), dos muet, 1ère de couverture avec titre imprimé en noir dans un encadrement de 5 filets noirs, Edition originale imprimée par Union dans une belle typographie en rouge, vert et noir. Tirage unique à 500 exemplaires numérotés sur Auvergne des Papeteries Richard, exemplaire Hors-Commerce, envoi autographe manuscrit de l'auteur à l'encre bleue sur la 3ème de couverture : "..Pour Jean Pierre Foucher...Cordialement.." (Jean Pierre Foucher, Poète Nantais ami de rené-guy cadou). 1953 Paris Pierre Seghers Editeur,
Édition Originale..............trés rare........Bel exemplaire...en bon état (good condition).
Pierre Seghers, Paris 1953, 64,5x16,5cm, une feuille dépliante sous couverture brochée.
Edition originale imprimée à 500 exemplaires numérotés sur Auvergne. Agréable exemplaire de ce poème qui consiste en un exercice typographique en trois couleurs et qui se déploie à la manière du célèbre "Liberté" de Paul Eluard. Envoi autographe daté de Pierre Seghers à son ami le poète Charles Dobzynski. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris (Seghers), Editions Poésie 44 1944 In-4 Reliure Dédicacé par l'auteur
Edition originale illustrée par Jean DUBUFFET de 2 LITHOGRAPHIES originales, signées et datées dans la pierre : la couverture en noir et le frontispice en couleurs. Tirage à 151 exemplaires numérotés. Un des 140 sur papier vélin d'Arches. Couvrant le faux-titre, ENVOI autographe signé de l'auteur. Monté in fine, le catalogue de la première exposition de Jean Dubuffet organisée par René Drouin du 28 octobre au 18 novembre 1944, préfacé par Jean Paulhan. Bel exemplaire relié par Miguet : plein box ardoise orné sur les plats d'un même décor appliqué bandes verticales de peau velours tabac et noir souligné de tarlatane blanche sur fond de soie marbrée, lettre à l'oeser blanc au dos lisse, tête dorée, couverture et dos conservés, rhodoïd, étui (J-P Miguet, 1962). Très bon 0
Paris La Presse à bras 1948 plaquette in-12 Broché Dédicacé par l'auteur
EDITION ORIGINALE. En frontispice, portrait de l'auteur par Monteiro. Tirage hors commerce à 100 exemplaires. Un des 80 sur Lafuma, celui-ci de passe. ENVOI autographe signé de Seghers, suivant les contours du frontispice : « A mon meilleur ami André un brésilien qui vous voit de loin a deux yeux pleins d'eau de Jouvence». Seghers a rehaussé à l'encre sa cravate. >>>INSERÉ : PIERRE SEGHERS. 8e message amical de Poésie, Paris, La presse à bras, 1952. Dépliant imprimé en rouge et noir regroupant deux poèmes de Seghers. Tirage à 15 exemplaires lettrés. ENVOI autographe signé « Pour Christiane et pour André en sifflant P.» ---> les 2 plaquettes Très bon 0
Neuchâtel : Editions Ides et Calendes, 1960 - un volume 24,5x22cm broché sous couverture illustrée et sous rhodoïd, 65 pages - Edition originale tirée à 1200 exemplaires sur vélin - exemplaire hors commerce avec un envoi autographe signé adressé à Albert Loranquin, critique littéraire au Bulletin des lettres -
Paris Pierre Seghers 1952 1 vol. broché in-12, broché, couverture à rabats, 68 pp. Edition originale collective avec un envoi de l'auteur : "A Monsieur Georges Bataille, en hommage, Seghers". Etiquette de classement "U.286".
1952 Paris Pierre Seghers 1952 in-12, broché, couverture à rabats, 68 pp. Edition originale collective avec un tres bel envoi de l'auteur annonçant la naissance de son fils : " a toi mon cher Georges(Hugnet) a ta charmante femme pour vous dire que Frederic est né et que ces 3kl600 de poésie vivante valent tous les poemes "
Paris, Seghers, 1969. Une plaquette broché de format grand in 8° de 64 pp., paroles et musique. Couverture repliée.
Bel état. Envoi autographe signé de l'auteur et du compositeur. Peu commun.
1956 Paris, Intercontinentale du Livre 1956, in-4 cartonné sous couverture illustrée. Edition originale, tirage numéroté, en voi autographe, signé par l'auteur
Texte de P.Seghers, photographies par Fina Gomaz. bon état
Hoëbeke, Paris 1999, 24x32cm, reliure de l'éditeur.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure de l'éditeur en pleine toile rouge, dos lisse, premier plat frappé des chevrons du constructeur. Agréable exemplaire complet de sa jaquette illustrée, belle iconographie. Bel envoi autographe signé de Jacques Séguéla à un couple d'amis. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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