S.l. [Saint-Maurice d'Etelan] s.n. [Pierre Bettencourt], Collection "L'Air du temps" 1949 1 vol. Broché in-12, broché, couverture illustrée rempliée, 46 pp. Édition originale tirée uniquement à 250 exemplaires numérotés sur Arches. Envoi autographe signé de l'auteur "Pour Simone et pour André, affectueusement", et correction de la mention erronée sur le deuxième feuillet ("Jean Paulhan né en 1896") avec ce commentaire autographe : "n'exagérons rien !" Dos très légèrement passé, sinon bel exemplaire.
Paris n.d. (circa 1945), 13,6x21cm, une page sur une feuille.
Lettre autographe signée de Jean Paulhan à un auteur, écrite à l'encre noire. Date en haut de la lettre, signature au bas de la lettre. Papier à en-tête de la NRF. Pliure centrale inhérente à l'envoi postal. Jean Paulhan écrit cette lettre pour remercier son correspondant pour sa suggestion. Il l'informe qu'il a transmis celle-ci au directeur des Lettres Française, Claude Morgan. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris s.d. (circa 1955), 13,5x20,5cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Jean Paulhan, 16 lignes rédigées à l'encre noire à en-tête de la Nrf, adressée à Felia Leal l'éditrice des "Paroles transparentes", ouvrage de Jean Paulhan orné de 14 lithographies originales de Georges Braque. Jean Paulhan n'entend que des éloges de son ouvrage qui vient de paraître et dont Felia Leal est l'éditrice : "Il me semble qu'il n'est pas un ami des livres qui n'admire sans réserve vos "Paroles transparentes". L'auteur indique qu'il est disposé à une séance de dédicaces et réclame à Felia Leal les suites des lithographies de Georges Braque pour enrichir son propre exemplaire : "vous m'aviez promis une série de suites, dont je suis bien impatient..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris s.d. (circa 1955), 13,5x20,5cm & 13,5x10,5cm, deux feuilles.
Lettre autographe signée de Jean Paulhan, 20 lignes rédigées à l'encre noire à en-tête de la Nrf, adressée à Felia Leal l'éditrice des "Paroles transparentes", ouvrage de Jean Paulhan orné de 14 lithographies originales de Georges Braque. Deux feuillets assemblés par un trombone ayant laissé de légères traces de rouille et pliures. Jean Paulhan réclame de l'argent à son éditrice Felia Leal et estime qu'il rencontrera des difficultés pour de nouveaux projets, notamment pour la rédaction d'une préface : "... la "mescaline" n'est pas encore montrable. Je dois y ajouter des tas de choses. Mais je ne l'oublie pas." L'auteur évoque l'article d'une revue retraçant les débuts de Georges Braque : "Il y a dans la Parisienne de très amusants croquis de Braque dans sa jeunesse, par H.P. Roché. Je vous les garde"" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris s.d. (circa 1955), 13,5x20,5cm & 13,5x10,5cm, deux feuilles.
Lettre autographe signée de Jean Paulhan, 15 lignes rédigées à l'encre bleue adressée à Felia Leal l'éditrice des "Paroles transparentes", ouvrage de Jean Paulhan orné de 14 lithographies originales de Georges Braque. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Jean Paulhan souhaite décaler un rendez-vous de peur d'être en retard : "... j'ai peur de ne pouvoir rentrer aux Arènes demain avant quatre heures. Est-ce qu'il vous dérangerait un peu plus tard que nous n'avions décidé ?" et se montre affecté par les critiques formulées par Marcel Jouhandeau à son égard : "Marcel J. me bat froid, et je trouve la Passerelle un peu féroce." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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2 p. in-8, 20 septembre (1923).En vacances prolongées (suite à des problèmes de santé) à La Roque, dans le Gard.“Non, il y a longtemps que je vous avais dit préférer de Courteline le mariage d’Alceste au Train et aux petites pièces. C’était tout à fait absurde.” Il remercie son correspondant pour une semaine supplémentaire de congés. “J’ai pu me remettre au travail, et avancer sérieusement ma sémantique (je voudrais bien qu’elle ne vous ennuie pas, si vous consentez à la lire). Enfin j’ai beaucoup rodé dans les champs, j’ai mangé du raisin, de l’ail et de l’huile, et vu à Nîmes une course de taureaux “intégrale”, dit-on. Si intégrale qu’elle s’est terminée par une manifestation générale contre un taureau, mort trop tôt : l’on a jeté les chaises sur la piste, et brûlé quelques barrières. Enfin, une vraie course. J’ai découvert un très beau livre de Max Jacob : Filibuth, qui vous plaira”...
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2 pages recto in-8, datée le 3 janvier [1918]. (...) “Je n’étais pas à Paris mardi, et n’ai trouvé que ce matin le mot d’Hermant. Sans quoi j’eusse bondi à la Closerie.Il me tarde de vous voir. Notre Minerve-Aurel m’invite à ses jeudis et me demande si j’ai un ami qui consente à parler du Guerrier appliqué. Que dois-je lui répondre ? J’ai apprécié votre réponse mesurée et juste à la Vie [Suite à une note non signée [M.-A. Leblond], intitulée « JeanPaulhan »]. Quand vous lirai-je dans les Solstices ?”
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1 page, format 26 x 21 cm, à l’encre violette, datée 28 mars 1954, env. conservée. Un accident aux yeux l’a envoyé dans le Midi, avec défense de lire et d’écrire. Il lui a adressé M. Eustin qui prépare une thèse. “Avez-vous vu l’exposition Dubuffet ? [Peintures, dessins et divers travaux exécutés de 1942 à 1954. Cercle Volney 17 mars-17 avril 1954] Il le faut. Voilà qui donne confiance. Je ne suis pas si bien guéri qu’il ne m’arrive encore de n’y rien voir du tout de cinq minutes. Voilà qui est vexant. Mon cher prince, “oetophore” me semble gagner à cette légère extension du sens (que vous dirigez dune main si délicate) un poids et, si je peux dire, une moelle, infiniment heureux. Merci donc de cette pulsation”.
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1 L. dactylographiée signée de 1 p. in-8 , avec l'enveloppe jointe. : "Mademoiselle, Je vous donne bien volontiers l'autorisation que vous souhaitez. Oui, c'est bien P. L. Couchoud avec son Fil de l'eau qui a été le premier haïjin français. Lui avez-vous écrit (9 ter Boulevard du Montparnasse) ? Je crois qu'il vous répondrait très volontiers ; et sur le genre de haï-kaï, lui seul a qualité pour vous répondre. Quant à René Maublanc, vous pouvez lui écrire au lycée Henri IV (23 rue Clovis, Paris Ve) où il est professeur".
Intéressante lettre signée de Jean Paulhan, dans laquelle il reconnaît à Paul Louis Couchoud le statut de "premier haï jin français". La lettre est adressée à la journaliste Luce Doll (pseudonyme de Francine Ollivier), qui avait publié en 1936 une des premières études de référence sur le haï-kaï français : "Regards haï-kaï".
Les Editions de Minuit, Paris 1951, 12x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Dos légèrement insolé, petites taches sur le premier plat. Bel envoi autographe daté et signé de Jean Paulhan : "Les rapports dont un style se composent font autant de vérités, non moins précieuses pour l'esprit humain que celles qui peuvent être au fond du sujet. Buffon. A Jean D. , son Jean P. 10.x.1951" Notre exemplaire comporte cette annotation en tête de la page de garde : exemplaire de la bibliothèque de Marcel Jouhandeau donné à Jacques Louvière. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris : Les Editions de Minuit (collection "Méthode"), 1951 - Un volume 12x18,8cm broché, de 106 pages - Légères rousseurs en couverture sinon bon état - Edition originale sur papier courant avec un bel envoi autographe signé de Jean Paulhan adressé à l'écrivain Raymond Dumay -
Paris, Les Editions de Minuit, 1951.
Edition originale sur papier courant. Exemplaire enrichi d'un bel envoi de l'auteur à André Lhote, courant sur tout le faux-titre. Cette leçon de stylistique à l'usage de la critique littéraire constitue le seul volume de la collection Méthode, créée sur mesure pour Paulhan. Vignes, 140.
Bruxelles Editions "Synthèses", s.d. [1951] 1 vol. broché plaquette in-8, agrafée, couverture imprimée, 8 pp. Édition originale de cet article sur Malcolm de Chazal. Tiré à part à 100 exemplaires sur papier Pont de Warche de la revue Synthèses (Lacroix, p. 86), avec un envoi autographe signé de l'auteur à Jérôme Lindon.
Paris Hors Commerce 1928 1 vol. broché plaquette in-8, brochée, sous couverture imprimée rouge, 26 pp. Tiré à part de ce texte paru dans la revue Commerce limité à "25 exemplaires au mieux" selon Jean-Yves Lacroix (Bibliographie des écrits de Jean Paulhan, p. 81). Exemplaire enrichi d'un bel envoi autographe signé "Jean P." à une amie. En bonne condition.
Grasset, Paris 1964, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des ex du service de presse. Bel envoi de l'auteur à Jean Paulhan. Agréable exemplaire complet de son prière d'insérer. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris Gallimard 1947 2 vol. broché in-16, broché, non coupé, 79 pp. Édition originale. Un des 10 exemplaires numérotés sur bleuté Guérimand réservés à l'auteur, celui-ci enrichi d'un envoi autographe signé à André Lhote, avec une citation fantaisiste : "comment feras-tu honorablement un jour celui de l'autre monde, si tu ne t'es pas d'abord exercé aux voyages? (Massillon)". On joint : CALET (Henri). Rêver à la suisse. Avertissement de Jean Paulhan. Paris, Éditions de Flore, coll. "Propos", 1948, in-16, couverture rempliée, 104 pp. Édition originale. Un des 210 exemplaires numérotés sur Crève-coeur crème du Marais, seul tirage en grand papier.Ces deux exemplaires, en parfait état, sont réunis sous un double emboîtage de papier vert avec dos chagrin vert sapin portant les noms des deux auteurs et le titre "La Suisse" (A. Devauchelle).
Il avoue être bien ennuyé que René Jouglet sera « par décision officielle, seul directeur en titre des éditions Grasset », ajoutant : « Que trame-t-il ? ». Il lui indique ce qu’il a écrit dans les « cahiers » avec détail : « vraiment, vraiment, le devoir de rendre à la France toute sa figure et toutes ses voix me semble, en ce moment, aussi impérieux que l’était, en 1940, un autre devoir. Et je ne vois guère qui aillent là-contre, que des soucis politiques… Où cela me mènera-t-il ? Suivant toute apparence, sur la liste noire… ». Il lui assure que personne n’a eu le plus léger doute sur son courage, « ou je me trompe beaucoup, que vous ne seriez peut-être pas courageux pour d’autres pour vos hommes. (Jean Blanzat était résistant au sein du Groupe du musée de l’Homme) Je vous écris, sans grande envie d’écrire. Pardonnez-moi. Tout semble grave, et tout rend anxieux. Ici avec des prés et leur brebis, ce grand calme, ces silences, ces arbres qui blanchissent tous à la fois, il est peut-être plus honteux qu’ailleurs de se sentir du côté de ceux qui sont protégés, non de ceux qui protègent. (Je suis surpris, quand je me rappelle 1914, de voir à quel point la guerre m’était indifférente, je ne me posais même pas la question de sa fin. Comme tout a changé… ». Il vient de rentrer d’El Goléa où il a passé trois jours chez Dubuffet, et est stupéfait de trouver « La petite ordure des L.F. Evidemment, cela tient de la maison GR (Grasset ?), mais je n’aurais pas pensé (tout en m’attendant vaguement à quelque chose) qu’ils pussent être aussi infects… ». Il lui confirme que pour J.D. (Jacques Decour), « il a été exécuté le 30 mai, après 72 jours de secret…», et tient à lui apporter « un Goethe ». Pour « Sybilla et Saint-Saturnin : je continue à penser que la nrf devait les publier, même manqués : ne fût-ce que pour donner l’exemple d’un grand dessein – de ces grands desseins qui nous manquent. (Et que l’auteur fût un peu inférieur au dessein ce n’en était que plus excitant. Il me semble que tu vois un peu trop dans la nrf un palmarès : ce n’est pas [seulement] parce qu’ils étaient meilleurs que d’autres qu’on publiait un récit, un poème ; ou moins bons, qu’on les refusait… ». Enfin, la démission de J.G. ( ?) lui semble une excellente chose pour son ami. « Te revoilà, sans ce voile d’action politique (qui fait tellement illusion) tout à fait en face de toi. Je crois que tu dois- si même tu ne le sens pas tout prêt en toi, et exigeant- te remettre à écrire un roman, ou du moins une longue nouvelle. Tes critiques… Tu les écrivais trop vite, tous ces derniers temps. Je sais bien que cela leur donnait peut-être une sorte d’indolence gracieuse ; naturellement, tu écris "charmant". Mais tu peux avoir une force, qui ne se montre qu’à la longue, et que (moi du moins) j’attends de toi. Il n’y avait rien, j’en ai peur, de nécessaire dans tes notes de la Bataille (les écris-tu toujours ? impossible de la trouver en Suisse ici non plus… ». Les trois lettres qu’il adresse et qu’il signe avec quelques commentaires supplémentaires à Jean Blanzat sont destinées au Comité national des écrivains (CNE, organe de la résistance littéraire) qui sont, pour la première lettre, une critique sévère à l’égard de Romain Rolland qui selon lui, aurait "trahi la cause de la France" d’après une lettre qu’il aurait écrite à Bachelin en avril 1921, et publiée dans le catalogue Charavay, lettre, qu’il cite partiellement. « …Ma conviction est absolue qu’en fait la guerre de 1914-1918 a eu pour véritable objet (profond, non avoué) de détruire la nation qui travaillait le mieux, au profit des nations qui travaillaient moins bien, et principalement l’Angleterre. C’est un crime contre les intérêts de l’humanité. Elle le paiera », poursuivant, « Voilà donc ce que pensait, voilà ce qu’écrivait Rolland, alors que la France, deux fois envahie en quarante cinq ans, rassemblait déjà ses forces – et tentait de grouper celles du monde – contre une troisième invasion. Vous avez reconnu les deux thèmes de la propagande pangermanique, qu’allait reprendre bientôt la propagande hitlérienne… ». En conclusion, il précise que cette « vérité » provoque de grands remous et de grandes émotions au sein du CNE. « vingt ripostes, une lettre signée par seize écrivains qui m’adjurent de changer d’avis, une page entière des Lettres Françaises (avec échos anonymes, mensonges et faux), une soirée commémorative en Sorbonne […] On m’a toujours assuré qu’il fallait, à tous risques, dire la vérité. Je dis la vérité. Quant aux risques, nous en avons vu d’autres. ». Dans la seconde lettre, datée du 15 mai 1947, Paulhan conteste le manifeste d’Aragon, considérant que ce manifeste qui cite, « non sans éloge, divers textes de Rimbaud », est trompeur. Aragon « se trompe exprès. Drôle de mensonge : naïf, car nous sommes tout de même quelques uns à lire Rimbaud ; imprudent, car le trac se trouve encore dans les bibliothèques. A-t-il un tel mépris de ses lecteurs qu’il pense les gagner à sa cause par des procédés, dont le savon Cadum ne voudrai pas pour sa propagande – ni la police pour ses enquêtes ? Mais le mensonge Rimbaud, comme l’erreur Rolland, posent des problèmes, qui dépassent de loin le cas d’Aragon. ». Pour conclure, il ajoute de sa main : « nous avons trop souffert des mensonges des gens de droite. Ne laissons pas trop mentir les gens de gauche. A demain peut-être. Jean ». Enfin dans la dernière lettre du 4 juillet 1947, Paulhan qui défend les principes de "droit à l'erreur" à l’encontre de Vercors qui lui, soutient, la notion de "responsabilité de l'écrivain", (débat déclenché par l’épuration des intellectuels), s’insurge contre cette « liste noire », liste établie en 1944, à l’issue d’une commission voulant établir des critères pour sélectionner les écrivains compromis. « Je ne suis pas un moraliste. Je ne sais s’il faut être patriote, et l’on m’assure qu’un mensonge peut avoir sa raison d’être ; même sa noblesse. Ce n’est pas mon affaire. Ce que je cherche, c’est la raison d’un certain malaise, que je ne suis pas seul à éprouver. Je dois l’avouer, au sein du C.N.E., si peu que j’y ai mis les pieds. Je les cherche... ». Il ne veut pas se sentir « l’âme » d’un juge. « Quand je vous demande au nom de quels principes vous jugez, et ce que signifie votre liste noire, vous me faites deux sortes de réponses – dont la première est plaisante, évidement sincère, au demeurant indiscutable. Indiscutable, parce qu’elle ne prête pas à discussion… ». Paulhan évoque également la conception de Vercors en le citant (Petit pamphlet des dîners chez Gazette) : « Je ne juge pas. Je ne les condamne pas ni les punis – ni les acquitte. Ils m’inspirent de la répulsion, c’est mon droit je pense ? … De penser à eux, ça me soulève le cœur. On ne veut pas les voir, c’est tout. Parce qu’ils nous dégoûtent, qu’ils nous débectent, que leur physionomie nous coupe l’appétit… ».
Au sans pareil, Paris 1921, 11,5x14,5cm, broché.
Edition originale, un des 500 exemplaires numérotés sur vélin, seul tirage après 5 Japon et 20 Hollande. Signature manuscrite de Jean Paulhan en pied de la première garde. Ouvrage illustré d'une vignette de André Derain sur la couverture. Dos et plats uniformément insolés comme souvent, deux déchirures en pied et en tête du dos, petits manques en pied de la page de titre qui a été mal découpée. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Camille Bloch, Paris 1921, 11,5x14,5cm, broché.
Edition originale imprimée à 575 exemplaires numérotés sur vergé d'Arches à la forme. Ouvrage illustré d'une vignette de Raoul Dufy sur la couverture. Dos éclairci comme généralement, sinon agréableexemplaire. Signature manuscrite de Jean Paulhan en pied de la première garde. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Seuil, Paris 1964, 14x20,5cm, broché.
Edition originale, un des ex du service de presse. Bel envoi de l'auteur à Jean Paulhan : "... des guerriers sans application..." Dos très légèrement passé, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Nrf, Paris 1930, 11x17cm, broché.
Première édition Gallimard, un des exemplaires du service de presse. Bel exemplaire. Ouvrage illustré d'une vignette de Jean-Emile Laboureur sur le premier plat. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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2 pages in16 + enveloppe - bon état -
Il ne peut se rendre à un rendez vous et propose une solution de remplacement - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Paris Fontaine, coll. "L'Âge d'or" 1945 1 vol. broché in-16, broché, couverture rempliée illustrée en couleurs par Mario Prassinos, 25 pp. Édition originale. Un des 750 exemplaires numérotés sur vélin blanc enrichi d'un amusant envoi autographe signé de l'auteur : "Maast profite de ces sept causes célèbres pour assurer André Malraux de sa vive et forte admiration M." A noter que Paulhan a contrefait son écriture pour rédiger cet envoi signé de son pseudonyme. En parfaite condition.
Paris Editions de Minuit, coll. "Nouvelles originales" 1947 1 vol. broché plaquette in-16, brochée, 35 pp. Edition originale tirée à 1000 exemplaires numérotés sur vélin du Brandshire, celui-ci non justifié et enrichi d'un envoi autographe sginé de l'auteur à André Lhote.