‎L'album USA‎

‎Hermé Cartonnage d'éditeur avec jaquette 2001 In-4 (26x32 cm), cartonnage de l'éditeur sous jaquette illustrée, 258 pages, texte de Marc Saporta, photographies couleurs de Gérard Sioen hors-texte ; jaquette à peine défraîchie, excellent état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

‎CENTRAL PARK. An American Masterpiece.‎

‎2003 / 255 pages. Relié avec jaquette. Editions Harry N. Abrams, Inc / Central Park Conservancy.‎

‎Very Good Condition.‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Sarah Bernhardt, comédienne.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Née à Paris en 1844. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Alfred Stieglitz. Photographs & Writings.‎

‎Washington, Bulfinch Press. Little, Brown and Company, 1999, Relié jaquette éditeur, 246 pages. Bon état. ‎

‎Robert Frank : Moving Out.‎

‎, National Gallery of Art, 1994 Hardcover, 335 pages, ENG, 300 x 245 x 35 mm, dustjacket, NEW, illustrated with photographs in colour / b/w. ISBN 9781881616269.‎

‎Robert Frank is one of the most important photographers to have emerged since World War II. In the early 1950s he pioneered an original and sophisticated way of looking at the world that has dominated the art of photography for many years. It was not simply the raw style of his work that made Frank so controversial. Nor was it only his subjects - gas stations, roadside cafes or cars - which he explored in his highly influential book The Americans. Rather it was the combination of all these things, plus Frank's ability to express the loneliness and isolation so characteristic of our age. His powerful images have profoundly influenced successive generations of photographers, painters, film makers, critics and writers. In five specially commisioned essays, scholars draw upon the National Gallery of Art's archive of Frank's vintage prints, negatives, contact sheets, and work prints to provide a comprehensive examination of his landmark contribution to the art of photography and film.‎

‎Vrais semblants ‎

‎ 1991. Delpire, 1991. Format 23x29 cm, broche sous jaquette "Vienne 1991", 81 planches photographiqies pleine-pages. Bon etat.‎

‎Livre promotionnel offert par les "Parfums Cacharel", lors du 35eme congres des parfumeurs detaillants a Vienne le Mercredi 16 octobre 1991. Justificatif en forme de carte de visite jointe au livre. ‎

‎Sarah Moon - Coïncidences‎

‎Paris, Delpire Editeur, 2001, in-4 carré, cartonnage éditeur, dos toilé noir, 279p. Rond d'insolation sur le premier plat, sinon très bon état. ‎

5 Images

‎Night light‎

‎Paris, Pierre Bordas et fils, 1979, Broché, 42 pages. Un des mille exemplaires sur vélin. Dédicace des deux auteurs. 12 photographies N/B. Petite trace d'insolation en tête courant sur les deux plats. ‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Francisque Sarcey, homme de lettres et critique dramatique.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Dourdan. 1828-1899. Photo Boyer. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Francisque Sarcey, homme de lettres et critique dramatique.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Dourdan. 1828-1899. Photo Boyer. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Yvonne Sarcey, femme de lettres.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Collée sur carton.‎

‎Photo. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Französischer Dramatiker.‎

‎Paris, Lemercier, um 1875. Reproduktion einer Photographie (Brustbild in ovaler Umrahmung). Bildgrösse: 12,4 x 8,6 cm. Blattgrösse: 39 x 27,5 cm.‎

‎Aus: "Paris-Théâtre", Journal hebdomadaire paraissant le jeudi du 25 Novembre au 1 Décembre 1875.‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Victorien Sardou, homme de lettres.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Paris en 1831. Photo Boyer. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Victorien Sardou, homme de lettres.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Paris en 1831. Photo Boyer. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Les Landes. Naissance du paysage.‎

‎Couverture rigide. Reliure de l'éditeur 128 pages. 25 x 32 cm. Jaquette.‎

‎Livre. Photographies de Jean-Luc Chapin et Jean-Frédéric Ittel. L'horizon chimérique, 1989.‎

‎Les Landes. Naissance du paysage.‎

‎Couverture rigide. Reliure de l'éditeur 128 pages. 25 x 32 cm. Jaquette.‎

‎Livre. Photographies de Jean-Luc Chapin et Jean-Frédéric Ittel. L'horizon chimérique, 1989.‎

‎Les Landes. Naissance du paysage.‎

‎Couverture rigide. Reliure de l'éditeur 128 pages. 25 x 32 cm. Jaquette réparée.‎

‎Livre. Photographies de Jean-Luc Chapin et Jean-Frédéric Ittel. L'horizon chimérique, 1989.‎

‎Concerto pour formes et lumières : l'expérience de Grenoble.La Compagnie des lampes Mazda est heureuse d’avoir pu, dans le cadre des Jeux Olympiques de Grenoble se mettre à la disposition de l’architecture contemporaine. ‎

‎Mulhouse / Paris, Imprimerie Braun, MCMLXVIII, 1968, in-4to, 26 feuilles avec illustrations photographiques d’architecture en couleurs et n/bl., (photogr. de Photopress à Grenoble et Patrice Habans), cartonnage original, avec impression gauffrée montée sur la couverture. Jaquette transparente rhodoïd.‎

‎Colophon: plaquette d’après une maquette de Pat-Synodis, la couverture en impression gauffré est de Sarkosy, (l’oeuvre sur la couverture fait penser à l’oeuvre du néerlandais Jan Schoonhoven). Exemplaire numéroté n° 790. Image disp.‎

‎Pas-appâts. Contrejour. 1976.‎

‎1 volume broché in-8° carré, couverture illustré. Non paginé. Photographies noir et blanc de Christian Sarramon. Peu courant. ‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Albert Sarraut, homme politique.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Bordeaux en 1872. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Albert Sarraut, homme politique.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Bordeaux en 1872. Photo Petit. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Albert Sarraut, homme politique.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Bordeaux en 1872. Photo Petit. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Objets virtuels‎

‎Lieu Commun Cartonné avec jaquette 1990 In-4, (31x22 cm), cartonné sous jaquette illustrée, non paginé, photographies en couleurs, préface de Pontus Hulten ; petites déchirures sur la jaquette, reliure lâche, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

‎Portrait photographique par Claude Perez.‎

‎ Tirage argentique, tampon du photographe et légende manuscrite au dos (23,5 x 18 cm), janvier 1966. L'écrivain pose à sa fenêtre devant son bureau.‎

‎Portrait de Nathalie Sarraute. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1983, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎