16 rue Thiers
38000 Grenoble
France
E-mail : lieetrelie@gmail.com
Phone number : 0983795509Broché, 135 pages
Voici quatre grandes figures protestantes qui ont animé la vie intellectuelle française au cours du XXe siècle. La philosophie, le droit et l’histoire ne seraient pas ce qu’ils sont aujourd’hui en France et même au-delà sans les apports de Paul Ricoeur, Jacques Ellul, Jean Carbonnier et Pierre Chaunu. Disparues entre 1994 et 2009, ces quatre personnalités reconnues affichaient des convictions protestantes marquées, même si elles n’ont parfois été qu’un contrepoint discret dans leur existence de chercheurs. Entre 1991 et 1994, elles s’étaient confiées chacune au philosophe Olivier Abel pour quatre émissions de télévision vouées à présenter leur oeuvre, leur vie et leurs convictions. Cet ouvrage propose la version écrite de ces entretiens. Par-delà les vingt ans d’écart, leur profondeur et leur actualité sont frappantes. On y lit des trajectoires, des anecdotes et des prises de position qui mettent en lumière des aspects encore peu connus du parcours de ces grandes figures, et surtout de leurs convictions sur la politique, l’histoire ou le protestantisme.
Nouvelle édition, in-8, dos à quartes nerfs, nom d'auteur et titre dorés, tranches de tête dorées, couverture et dos conservés, 282 pages. CAMILLE BLOCHE ÉDITEUR. Paris. 1921
Hors frais d'envoi, en l'état.
Édition Originale de la traduction et des remarques de Compain de Saint-Martin. Deux volumes, in-12, basane blonde, filet doré sur les plats, dos à nerfs, pièce de titre et de tomaison, tranches jaspées. 12 fines gravures hors texte par Desmaretz, gravées par Thomassin. Brunet. Paris. 1707 Tome I : mors craquelés, frottement sur les coins hauts ; rousseurs de la page 397 à la fin du tome, 411 pages. Tome II : trois petits trous de bêtes sur les mors au premier plat, 452 pages, rousseurs sur les trois dernières pages. Bon exemplaire.
Apulée ( Lucius Apuleius Theseus ) est un écrivain d'origine berbère né à Madaure en Numidie (petit bourg du royaume de Tunis), vers 123-125, auteur du IIe siècle après Jésus-Christ, originaire d'Afrique.
Couverture illustrée, 108 x 178 mm, 282 pages. Collection Folio, Gallimard. Paris. Bon état.
Lorsque ces Réflexions sur la peine capitale sont parues, en 1957, la guillotine fonctionnait encore en France, pour les crimes de droit commun, et plus souvent encore pour ceux liés à la guerre d'Algérie. Quand ce livre a été mis à jour pour la dernière fois, en 1979, presque vingt ans après la mort d'Albert Camus, la peine de mort était encore en vigueur en France. Moins de deux ans plus tard, Robert Badinter, nommé garde des Sceaux, fit voter l'abolition par le Parlement le 9 octobre 1981. Pour autant, le débat ne s'est pas interrompu. Il s'est déplacé et il s'est élargi, en devenant international. Si l'abolition a prévalu en Europe et gagné du terrain partout dans le monde, la peine de mort est encore appliquée dans de nombreux pays, parfois à grande échelle. Il nous a paru intéressant d'apporter au débat ces Réflexions d'Arthur Koestler et d'Albert Camus qui n'étaient plus disponibles. Éditeur. Hors frais d'envoi, livre d'occasion, bon état.
Quatre volumes complets, Demie-reliure de chagrin vert bronze. in-8°de 444,509,580 pages. Dos à nerfs orné de fers dorés. Pièces de titre et tomaisons dorés - Tome III dos frotté - Tome I et III coiffes du haut frottées. Quelques rousseurs, toutefois l'intérieur reste frais. Coins émoussés et manques. Tranches dorées.
Ex libris - Edité par Nicolas Vaton 1850 6ème édition
[gravé par Augustin de Saint-Aubin] - BATTEUX - CHARLES (ABBÉ).
Reference : Batteux-Poetiques-2-1.
(1771)
BATTEUX - CHARLES (ABBÉ). Édition originale. Professeur Royal de l'Académie Françoise, & de celle des Inscriptions & Belles Lettres. Deux volumes in-8, veau havane marbré, dos lisses richement ornés, pièces de titres et de tomaisons de marocain vert, titres encadrement de filets dorés sur les plats, tranches marbrées. Reliure de l'époque. Édition ornée d'un frontispice gravé par Auguste de Saint-Aubin d'après Cochin fils. Petits défauts d'usages sans gravité, intérieur frais.
hors frais d'envoi.................en l'état..........
Édition Originale. Petit in-12, plein cuir de l'époque, dos lisse orné, titre de tomaison marocain rouge, toutes tranches rouges, 239 pages. Petit manque sur la partie haute du dos, mors fendu sur le haut du plat avant, fendu également sur le bas du mème plat avec un manque, petite épidermique sur le plat avant ainsi qu'un tout petit manque en haut à gauche du mème plat, manque aux coins supérieurs, petite trace de mouillure sur le bas de la page de gauche. A PHILADELPHIE. Petite tâche dans la marge de la page 6, intérieur très frais.
Beccaria Cesare Né en 1738, mort en 1794, les écrits du marquis Cesare Beccaria relèvent des incontournables du réformisme pénal des Lumières. Éduqué chez les Jésuites de Parme, docteur en droit, il fut scandalisé par le supplice de Jean Calas, dont le fils a été retrouvé mort en 1761. Il s’agissait sans doute d’un suicide, mais le parlement de la ville a aussitôt accusé Jean Calas, protestant, d’avoir tué son fils qui songeait, d’après certaines rumeurs, à devenir catholique. Après un procès empreint de fanatisme catholique, Jean Calas a été condamné à mort et assassiné sur la place publique. Par la suite, grâce à l’indignation de certains (dont Beccaria et Voltaire) face à une condamnation sans véritable preuve, le procès a été révisé et Jean Calas innocenté et réhabilité. Marqué par le libéralisme et la modération de Montesquieu (Esprit des lois, 1748) et le contractualisme de Rousseau, Beccaria critique la pratique de l’excès pénal enraciné dans l’héritage inquisitorial. Beccaria, compagnon de route des philosophes, élargit le problème de la modération pénale en prônant au nom des Lumières la suprématie de la raison, l'éducation populaire et la sécularisation des normes morales pour les droits de l'homme. Homme d'un seul livre d'importance publié pour la première fois en langue italienne à Livourne, chez Coltellini, en 1764, alors qu’il n’a que vingt-six ans, il propose un nouveau paradigme du droit de punir. Il récuse la tradition pénale romaine et prône l'abolition du gibet, réclame la décriminalisation du suicide et de l'homosexualité et propose de remplacer l'arbitraire des délits et des peines par leur légalité. Le crime est pour lui moins un péché qu'une infraction sociale, aussi la peine ne doit-elle pas être la rétribution expiatoire du péché. Déjà en 1764, il réclame sine die l'abrogation de la peine capitale qui n'a jamais « rendu les hommes meilleurs » et dont la « cruauté » est socialement nuisible dans un livre qui n’est alors pas signé, par crainte de représailles. “Si je prouve que cette peine n’est ni utile ni nécessaire, écrit Beccaria, j’aurai fait triompher la cause de l’humanité.” Le succès de l’ouvrage de Beccaria conduira des souverains éclairés, tel le grand-duc Pierre-Léopold de Toscane, à s'en inspirer lorsqu’en 1786 il supprime la peine capitale. Aux États-Unis, l'ouvrage inspire les pères fondateurs de la démocratie américaine. En France, les rédacteurs du Code pénal (1791) le suivent partiellement en abolissant les supplices, en généralisant le système carcéral comme institution démocratique de la pénalité en République, tout en maintenant la peine capitale. Adulé ou combattu, Beccaria est à l’origine du régime pénal de l'État de droit né de la Révolution qui trouve son prolongement dans l’abolition de peine capitale au sein de tous les pays de l'Union européenne et la consécration d’un droit criminel respectueux des droits de l'homme, loin des dérives sécuritaires. Dès 1766 Voltaire adhère au réformisme beccarien. Le commentaire sur le livre Des délits et des peines qu’il réalise est publié à Genève en 1767. Ce commentaire est joint à l’ouvrage de Beccaria traduit à Trois éditions de l’ouvrage de Beccaria furent épuisées en six mois. La troisième édition, parue au début de 1765 – avec l’indication du lieu d’édition fictif de Lausanne – fut traduite en français par l’abbé Morellet, sur les instances de d’Alembert, qui la lui avait remise. D’Alembert avait écrit, le 9 juillet 1765 : « Ce livre, bien que de format petit, suffit à assurer un nom immortel à son auteur. Quelle philosophie ! Quelle vérité ! Quelle logique ! Quelle précision et en même temps quelle humanité dans son œuvre ! » (cité par Paul-Emile Schazmann, « Le Traité des délits et des peines en Suisse », Revue Pénale Suisse, 1943, p. 67). « Un livre où l’on plaide la cause de l’humanité, une fois devenu public, appartient au monde et à toutes les nations », avait justement proclamé l’abbé Morellet dans sa Préface. Avant la traduction française de Morellet, une traduction polonaise (anonyme) avait paru, en 1762, et une traduction allemande, en 1765 (cf. Stefan Glaser, « Beccaria et son influence sur la réforme du droit pénal », Revue internationale de droit pénal, vol. 5, 1, 1928, p. 429). Brissot de Warville et Diderot l’annotaient, et Voltaire en donnait un Commentaire presque aussi célèbre que l’original. Le Commentaire de Voltaire est publié à la suite même du traité de Beccaria, dont il semble inséparable. C’est en se dissimulant – sous le nom de « M. Cassen, avocat au Conseil du Roi » – que Voltaire, la même année, adresse à M. le marquis de Beccaria sa Relation de la mort du chevalier de La Barre, et qu’il publia, sans nom d’auteur ni de lieu et sans date, son Commentaire sur le livre des Délits et des peines, par un Avocat de province, imprimé clandestinement par Cramer, à Genève.
In-12, plein cuir,dos a nerfs, caissons rehaussés de liserets, pièce de titre, double filets sur les plats.
Né en 1738, mort en 1794, les écrits du marquis Cesare Beccaria relèvent des incontournables du réformisme pénal des Lumières. Éduqué chez les Jésuites de Parme, docteur en droit, il fut scandalisé par le supplice de Jean Calas, dont le fils a été retrouvé mort en 1761. Il s’agissait sans doute d’un suicide, mais le parlement de la ville a aussitôt accusé Jean Calas, protestant, d’avoir tué son fils qui songeait, d’après certaines rumeurs, à devenir catholique. Après un procès empreint de fanatisme catholique, Jean Calas a été condamné à mort et assassiné sur la place publique. Par la suite, grâce à l’indignation de certains (dont Beccaria et Voltaire) face à une condamnation sans véritable preuve, le procès a été révisé et Jean Calas innocenté et réhabilité. Marqué par le libéralisme et la modération de Montesquieu (Esprit des lois, 1748) et le contractualisme de Rousseau, Beccaria critique la pratique de l’excès pénal enraciné dans l’héritage inquisitorial. Beccaria, compagnon de route des philosophes, élargit le problème de la modération pénale en prônant au nom des Lumières la suprématie de la raison, l'éducation populaire et la sécularisation des normes morales pour les droits de l'homme. Homme d'un seul livre d'importance publié pour la première fois en langue italienne à Livourne, chez Coltellini, en 1764, alors qu’il n’a que vingt-six ans, il propose un nouveau paradigme du droit de punir. Il récuse la tradition pénale romaine et prône l'abolition du gibet, réclame la décriminalisation du suicide et de l'homosexualité et propose de remplacer l'arbitraire des délits et des peines par leur légalité. Le crime est pour lui moins un péché qu'une infraction sociale, aussi la peine ne doit-elle pas être la rétribution expiatoire du péché. Déjà en 1764, il réclame sine die l'abrogation de la peine capitale qui n'a jamais « rendu les hommes meilleurs » et dont la « cruauté » est socialement nuisible dans un livre qui n’est alors pas signé, par crainte de représailles. “Si je prouve que cette peine n’est ni utile ni nécessaire, écrit Beccaria, j’aurai fait triompher la cause de l’humanité.” Le succès de l’ouvrage de Beccaria conduira des souverains éclairés, tel le grand-duc Pierre-Léopold de Toscane, à s'en inspirer lorsqu’en 1786 il supprime la peine capitale. Aux États-Unis, l'ouvrage inspire les pères fondateurs de la démocratie américaine. En France, les rédacteurs du Code pénal (1791) le suivent partiellement en abolissant les supplices, en généralisant le système carcéral comme institution démocratique de la pénalité en République, tout en maintenant la peine capitale. Adulé ou combattu, Beccaria est à l’origine du régime pénal de l'État de droit né de la Révolution qui trouve son prolongement dans l’abolition de peine capitale au sein de tous les pays de l'Union européenne et la consécration d’un droit criminel respectueux des droits de l'homme, loin des dérives sécuritaires. Dès 1766 Voltaire adhère au réformisme beccarien. Le commentaire sur le livre Des délits et des peines qu’il réalise est publié à Genève en 1767. Ce commentaire est joint à l’ouvrage de Beccaria traduit à Trois éditions de l’ouvrage de Beccaria furent épuisées en six mois. La troisième édition, parue au début de 1765 – avec l’indication du lieu d’édition fictif de Lausanne – fut traduite en français par l’abbé Morellet, sur les instances de d’Alembert, qui la lui avait remise. D’Alembert avait écrit, le 9 juillet 1765 : « Ce livre, bien que de format petit, suffit à assurer un nom immortel à son auteur. Quelle philosophie ! Quelle vérité ! Quelle logique ! Quelle précision et en même temps quelle humanité dans son œuvre ! » (cité par Paul-Emile Schazmann, « Le Traité des délits et des peines en Suisse », Revue Pénale Suisse, 1943, p. 67). « Un livre où l’on plaide la cause de l’humanité, une fois devenu public, appartient au monde et à toutes les nations », avait justement proclamé l’abbé Morellet dans sa Préface. Avant la traduction française de Morellet, une traduction polonaise (anonyme) avait paru, en 1762, et une traduction allemande, en 1765 (cf. Stefan Glaser, « Beccaria et son influence sur la réforme du droit pénal », Revue internationale de droit pénal, vol. 5, 1, 1928, p. 429). Brissot de Warville et Diderot l’annotaient, et Voltaire en donnait un Commentaire presque aussi célèbre que l’original. Le Commentaire de Voltaire est publié à la suite même du traité de Beccaria, dont il semble inséparable. C’est en se dissimulant – sous le nom de « M. Cassen, avocat au Conseil du Roi » – que Voltaire, la même année, adresse à M. le marquis de Beccaria sa Relation de la mort du chevalier de La Barre, et qu’il publia, sans nom d’auteur ni de lieu et sans date, son Commentaire sur le livre des Délits et des peines, par un Avocat de province, imprimé clandestinement par Cramer, à Genève.
Édition originale posthume, In-12, pleine basane brune d'époque, dos à cinq nerfs, pièce de titre marron, titre doré, caissons richement décorés, contre-plats jaspés, page de garde, page de faux titre, tranches rouges. Manque bas du dos, manque sur plat de derrière, petits trous de vers dans le mors de derrière, craquements et épidermure aux mors, manque en bas du dos. Deux cent dix huit pages, plus table et feuille de fautes à corriger. Intérieur frais. État : bon.
Deux parties en un volume. L'auteur aborde deux doctrines La première : Traitez du libre-arbitre La deuxième : Traitez de la concupiscence ou exposition de ces paroles de SAINT JEAN : "N'aimez pas le monde ni ce qui est dans le monde".
In-8 broché couv .imprimée rempliée. Illustration de Jorge CAMACHO. Nouvelle édition tirée à 600 exemplaires sur vergé ivoire.
Grand In-8demi-percaline verte, titre doré au dos. Edition originale. Bon exemplaire enrichi d'une L.A.S. Paul Carton, Brévannes.
Ancien interne des hôpitaux de Paris (AH-HP), médecin assistant de l'hospice de Limeil-Brévannes, le Dr Paul Carton (1875-1947) est l'initiateur d'un médecine non conventionnelle revendiquée comme étant fondée sur les principes du père de la médecine, le médecin philosophe de la Grèce antique Hippocrate ; il soutient le mouvement naturiste en France.
In-12,veau brun, dos à nerfs orné, titre doré, épidermure plat de devant, coins effondrés, reliure usée, mors plat de derrière légèrement fendue, infimes rousseurs, légèrement jaunie. Édition originale. Londres. Bon État.
Peu d'écrit sur l'auteur de se dictionnaire de philosophie portatif. Chicaneaux de Neuville annonce lui même que ce petit dictionnaire n'est qu'une introduction à un ouvrage qui paraitra sous le titre d'essai sur les moyens de se rendre heureux. Ce dictionnaire, est antérieur à la parution du "Dictionnaire philosophique" de Voltaire. Certes d'un autre genre tant dans sa forme, articles courts, que dans sa nature, puisque Chicaneaux de Neuville veux rendre l'homme heureux.
Fort in-12, maroquin rouge, (13x7 cm), double filet sur les plats , dos à nerfs, fleurons caissons et titre doré. Toutes tranches dorées, frontispice gravé, une gravure pleine page. 786 pages + index + table. Petit fendillement de la charnière du plat avant. Annotations manuscrites dans les marges, intérieur frais, manque de fermoirs, trace d'usage, ainsi qu'une petite trace d'encre sur le plat arrière.
En L'état...Hors frais d'envoi.
REVUE ANNÉE 1974 Numéros 5 à 10 et 12
Bon état général 10 euros pièce 45 euros les 6 volumes
4 numéro de la revue Esprit de 1936 Numéros 44, 46, 50 et 51
état d'usage 9 euros l'une 30 les 4
10 Revues brochées 23.5 x 15 cm Numéro 54 à 61, 63, 73 et 83 de l'année 1937
État d'usage 6 euros la revue 50 euros le lot
Revues Esprit de l'année 1938 Brochées - 8 revues N° 64 à 70 et 72
état d'usage 45 euros le lot 8 euros la revue
9 revues 1969 Brochées 23,5 x 15 cm n° 1 à 3, 5, 6, 9 à 12
État d'usage 6 euros le numéro 45 euros les 9 revues
livre broché, couverture souple, 14,5x23 cm. Ed. les cahiers du rocher dirigés par Pierre SIPRIOT, avec la collaboration de Didier Raymond. Rare, bel exemplaire, édition du rocher. Monaco.
Hors frais d’envoi, en l'état.
Revue brochée en bel état 26x20cm Journal de philosophie d’art et de politique
Envoi soigné et rapide
ANNÉE 1975 n°, 1 à 8
bon état général. 7 revues, 8 numéros. 10 euros pièces 55 euros l'ensemble
Revue Esprit 1974 n° 1 à 3 3 numéro État d'usage
6 euros le numéro 15 euros les 3
[Rohner-Geaorges.] - DESCARTES - RENÉ.
Reference : Descartes-clubdulivre-2-1
(1976)
Collection gravures contemporaines : tirage limité à 300 exemplaires, un des vingt exemplaires sur papier Japon Nacré numéroté 16/300. Grand volume in-folio, pleine reliure de marocain havane, plats à décors géométriques estampés noirs et bruns et filets dorés, le dos plat au titre en noir et la tête dorée. Ouvrage signé par Georges Rohner, accompagné d'une suite des illustrations identiques à celles reliées, dont 20 planches lithographiées sur papier Auvergne et 20 planches lithographiées sur papier de rives. Chaque planche signée par l'auteur. Le volume et les planches conservés séparément, dans un étui de toile brune, le dos de cuir havane au titre estampé doré. Ensemble complet de ses planches, manque la gouache originale, légère griffures à la reliure, insolation des dos. Édition club du livre et Philippe LEBAUD. Paris. Très belle ensemble.
Hors frais d'envoi.
Avec une introduction sur LES REGLES DE LA DISSERTATION PHILOSOPHIQUE 1904 - 9e éddition Demi cuir
Prix hors frais d'envoi