Paris, imprimerie de Demonville, 1790. In-8 de 23 pp., cartonnage de papier marbré à la bradel, pièce de titre de maroquin rouge avec le titre en long (reliure moderne).
Les membres de l'Assemblée Provinciale dénoncent les décisions de l'Assemblée Générale de Saint-Domingue de s'ériger en "corps législatif en ce qui concerne le régime intérieur", c'est à dire décider et voter les lois de la colonie, alors qu'elle n'a qu'un droit de proposition. Bon exemplaire. Max Bissainthe, 4382. — Inconnu de Ryckebusch et de Sabin.
Paris, Demonville, 1790. In-8 de 23 pp.; cartonnage de papier marbré à la Bradel, pièce de titre verte (reliure moderne).
Les membres de l'Assemblée Provinciale dénoncent les décisions de l'Assemblée Générale de Saint-Domingue de s'ériger en "corps législatif en ce qui concerne le régime intérieur", c'est à dire décider et voter les lois de la colonie, alors qu'elle n'a qu'un droit de proposition. Bon exemplaire. Nombreux passages soulignés de l'époque à l'encre. Max Bissainthe, 4382. — Inconnu de Monglond et de Sabin.
S.l., 1789. In-8 de 15 pp.; cartonnage de papier marbré vert, pièce de titre rouge (reliure moderne).
Rare brochure rédigée par Billard et Lohier, au nom d'une société de propriétaires à Saint-Domingue, dont la liste des noms se trouvent après le texte. Ils demandent à l'Assemblée Nationale, de "renvoyer à un autre temps toutes motions qui pourroient âtres faites, relatives à la colonie de Saint-Domingue, ou tout au moins celles qui auroient quelque rapport à son régime intérieur". Car "la colonie de Saint-Domingue est dans un grand éloignement" et il lui faut "une constitution propre à ses mœurs, à ses usages, à ses manufactures, à son climat". Bon exemplaire. Inconnu des principales bibliographies.
Versailles, Imprimerie de Ph.-D. Pierres, 1789. In-8 de (1) f., 55 pp.; cartonnage à la bradel de papier marbré vert, pièce de titre de maroquin rouge avec le titre en long, non rogné (reliure moderne).
Réponse datée du 24 septembre 1789 et signée par 21 députés des ports de Marseille, Bayonne, Bordeaux, La Rochelle, Nantes, Lorient, Le Havre, Rouen, Dieppe, Amiens et Dunkerque qui y dénoncent les arguments avancés par les colons de Saint-Domingue pour ouvrir la colonie au commerce des blés. Bon exemplaire. Tache brune dans la marge en fin de volume. Inconnu de Max Bissainthe, de Monglond et de Sabin.
Paris, Veuve Saugrain & Pierre Prault, 1731. In-4 de 11 pp.; broché, sans couverture.
Arrêt qui autorise Jacques Auriol, associé à un groupe de négociants marseillais, de reprendre, pendant 10 ans, les droits de la Compagnie des Indes, concernant le commerce en Afrique. L'arrêt autorisant la reprise des activités de la Compagnie des Indes est suivi du règlement de la nouvelle Compagnie. Manque à Ryckebusch.
Paris, Imprimerie Royale, 1741. In-4 de 4 pp.; broché, sans couverture.
Arrêt du 21 mai 1741 qui venait compléter celui du 27 décembre 1740. En effet, ce dernier accordait l'autorisation d'aller chercher des viandes au Cap-Vert pour les revendre aux Antilles françaises, et sans aucune taxe. Mais un négociant de Bordeaux demanda que cette exemption s'applique aussi au sel pour les viandes, "attendu qu'on ne trouve point ordinairement au Cap-Verd des chairs toutes salées". C'est chose faite avec ce second arrêt. Bon exemplaire.
Paris, Imprimerie Royale, 1788. In-4 de 6-(2 bl.)pp.; cartonnage de papier marbré à la bradel, pièce de titre de maroquin rouge en long (reliure moderne).
Arrêt daté du 29 décembre 1787 et signé du secrétaire d'état de la marine La Luzerne, établissant les droit de douane pour les marchandises venant des États-Unis et qui "accorde aux citoyens & habitans des États-Unis, tous les privilèges & avantages dont ses propres sujets de France jouissent ou pourront jouir en Asie & dans les Échelles qui y conduisent". Bon exemplaire. Manque à Sabin.
Paris, Imprimerie Royale, 1777. In-4 de 2 pp. ; cartonnage de papier marbré à la bradel, pièce de titre de maroquin brun en long (reliure moderne).
Arrêt du 7 septembre 1777, signé de Sartine (ministre de la marine) accordant aux colons ayant amené avec eux des domestiques "un nouveau délai de deux mois, à compter du jour de la publication du présent arrêt, pendant lesquels lesdits habitans pourront faire repasser lesdits domestiques Noirs, Mulâtres ou autres gens de couleur, dans les colonies d'où ils les auroient amenés. Veut sa majesté que ceux desdits domestiques qui n'auroient pas été remis dans deux mois pour tout délai, aux dépôts établis dans les ports, en exécution de ladite déclaration, ne puissent être retenus que de leur consentement, au service de leurs maîtres." Bon exemplaire. Ryckebusch, 250.
Paris, P. F. Didot, 1790. In-4 de 4 pp.; broché, sans couverture.
Plaidoyer pour la ville de Lorient, où se trouvait le siège de la Compagnie des Indes, alors que la ville craignait de perdre le privilège d'être le seul port autorisé pour le commerce avec l'Inde. Bon exemplaire. Roquincourt, 3487.
Paris, J. L. Scherff, 1817. In-4 à pagination multiple; cartonnage de papier marbré, pièce de titre de maroquin rouge (reliure moderne).
Ouvrage composé de 2 tableaux dépliants. Ces comptes furent vérifiés par une Commission créée par le gouverneur, le comte Pierre de Vaugiraud. Nommé en décembre 1814, il fut chargé de remettre de l'ordre dans les comptes publics qui se trouvaient en grand désordre après l'occupation anglaise. Dans ces comptes, outre la vérification des comptes royaux et municipaux, on trouve celle des fees (une taxe anglaise), celle de la caisse des curateurs des successions vacantes, et celle de la régie des biens des déportés et des absents. Bon exemplaire. Inconnu de Sabin.
Paris, Imprimerie Nationale, An V [1796]. In-8 de 8 pp.; cartonnage de papier marbré à la bradel, pièce de titre de maroquin brun en long (reliure moderne).
Extrait du registre des délibérations du Directoire exécutif du 21 novembre 1796. Lettre du Directoire au Conseil des Cinq-Cents en réponse à une demande de ce dernier sur la situation politique et commerciale des colonies. Après avoir fait le point sur les évènements rapportés par les envoyés du gouvernement, le texte conclut : "Si le Directoire n'étoit pas intimement convaincu que le secret sur les opérations relatives aux colonies en assure presque toujours le succès, il auroit déjà rendu publique ses instructions à ses agens". Bon exemplaire. Inconnu de Max Bissainthe et de Monglond.
Paris, Baudouin, 1790. In-4 de 14 pp. ; cartonnage de papier marbré marron à la Bradel, pièce de titre marron (reliure moderne).
Cette assemblée provinciale du nord s'était constituée en mars et avril 1790 pour s'opposer aux réformes de la Révolution Française. Elle contient également: - Adresse de l'assemblée provinciale permanente du nord, aux citoyens de la province, qui différent de principes avec elle. Cette adresse invite les municipalités opposées aux réformes à se joindre à l'assemblée. - Extrait des registres des délibérations de l'assemblée provinciale permanente du nord. Par crainte d'une guerre civile qu'ils jugent imminente, les membres de l'assemblée invite tous les citoyens, soldats ou non, à se rassembler sur le Champs-de-Mars de la ville du Cap le 23 octobre 1793, pour y prêter un serment de paix et "d'attendre en paix, & de recevoir avec soumission & respect la décision de l'Assemblée Nationale, acceptée par le roi, sur la contestation qui divise les citoyens de la colonie". Bon exemplaire. Inconnu de Max Bissainthe. — Roquincourt, 3532.
[1790]. In-8 de 3 pp. ; cartonnage de papier marbré marron, pièce de titre marron (reliure moderne).
Lettre dans laquelle les habitants du Trou (actuelle commune de Trou-du-Nord, en Haïti), expliquent qu'ils ont révoqués les mandats de leurs députés à l'Assemblée du Nord, qui siégeait au Cap, et qu'ils en désapprouvent les actions, soutenant ainsi le gouverneur de Saint-Domingue, Antoine Thomassin de Peynier. Bon exemplaire. Max Bissainthe, 5217. — Roquincourt, 3533.
Reference : LBW-7772
Paris, Pillet ainé, [début XIX° siècle]. In-8 de 6-(2 bl.) pp.; cartonnage de papier marbré mauve, pièce de titre rouge (reliure moderne).
De nombreux colons de Saint-Domingue étaient endettés lors de la Révolution. La perte de la colonie les privait de leurs propriétés mais n'effaçait pas leurs dettes. Un sursis à rembourser fut voté en 1802 dont l'auteur demande la prolongation, tant que les rapports entre la France et Saint-Domingue ne sont pas clarifiés. Bon exemplaire. Roquincourt, 3556.
Paris, Didot fils aîné, 1790. In-8 de 34 pp. ; cartonnage de papier marbré à la bradel, picèce de titre de maroquin vert au dos avec le titre en long (reliure moderne).
Discours en forme de justification prononcé par un membre de l'Assemblée Générale de Saint-Domingue, dans lequel il retrace les premiers troubles survenus dans l'île, depuis l'annonce de la révolution jusqu'à leur départ en juillet 1790. Bon exemplaire. Max Bissainthe, 5497. — Manque à Sabin.
Paris, Imprimerie Nationale, 1790. In-8 de (1) f., 10 pp.; cartonnage de papier marbré à la Bradel, pièce de titre rouge (reliure moderne).
Discours de remerciement pour le décret du 12 octobre 1790 qui annulait les actes de l’Assemblée Générale de Saint-Domingue, les déclarait attentatoires à la souveraineté nationale et à la puissance législative, et pourvoyait aux moyens de rétablir le calme dans la colonie. Bon exemplaire. Inconnu de Max Bissainthe, de Monglond et de Sabin.
Paris, P. G. Simon, 1777. In-4 de 4 pp.; cartonnage de papier marbré à la bradel, pièce de titre de maroquin brun en long (reliure moderne).
"Le commerce des eaux-de-vie extraites des sirops & mélasses, & connues sous le nom de taffias, a été prohibé dans toute l'étendue de notre royaume, par déclaration du 24 janvier 1713. L'opinion répandue alors que cette liqueur étoit dangereuse & nuisible à la santé. Mais l'expérience ayant depuis long-temps prouvé qu'elle étoit utile & salubre" cette interdiction est levée par la présente déclaration du 6 mars 1777. Bon exemplaire. Manque à Sabin.
Nantes, Malassis, 1794. In-8 de 2-(2 bl.) pp.; broché sans couverture, non rogné.
Décret qui ordonne l'arrestation de "tous les colons qui ont été membres de l'assemblée de Saint-Marc, & de celle connue depuis sous le nom d'assemblée coloniale, ... & les membres des clubs de Massiac & des colonies, actuellement en France" Leurs papiers seront également saisis. Le club Massiac était un cercle de riches colons de Saint-Domingue et des Petites Antilles, installée à l'Hôtel de Massiac, à Paris, et fondée le 20 août 1789. Avec le marquis de Gouy d'Arsy comme chef de file, il réussit à suspendre dans les colonies l'application de la Déclaration des droits de l'homme dont les principes abolissaient l'esclavage, et à différer de plusieurs mois la création à l'Assemblée d'un comité des colonies. Bon exemplaire. Ryckebusch, 2337.
1790. In-8 de 61 pp.; cartonnage de papier marbré à la Bradel, pièce de titre verte (reliure moderne).
Le décret de l'Assemblée de Saint-Domingue confiait à elle seule le droit de légiférer, considérant que "aucun acte de corps législatif, en ce qui concerne le régime intérieur, ne pourra être considéré comme loi définitive s'il n'est fait par les représentants de la partie françoise de Saint-Domingue". L'ouvrage donne le texte de ce décret, suivi de plusieurs textes justificatifs et des réponses aux observations faites par l'Assemblée Provinciale du nord de l'île. Bon exemplaire. Max Bissainthe, 5392.
De l'imprimerie de Mallard, 1793. In-4 de 4 pp.; broché, sans couverture, non rogné.
La loi du 15 août 1792 avait rendu obligatoire un serment de fidélité des ecclésiastiques, mais tous ne l'avaient pas fait. Pour résoudre le problème, la Convention décida que les récalcitrants "seront embarqués & transférés sans délai à la Guiane françoise" et que "ceux des déportés […]qui rentreroient sur le territoire de la république seront punis de mort dans vingt-quatre heures". Bon exemplaire. Roquincourt, 4836.
Madrid, imprenta de D. E. Aguado, [1841]. In-16 de 139 pp. ; veau raciné, dos lisse orné, pièce de titre de veau rouge (reliure de l'époque).
Relation historique de la mission des Dominicains espagnols au Vietnam, du XVIIe siècle jusque vers 1840. L'histoire du christianisme au Tonkin est faite de nombreuses persécutions. En 1825, l'entrée du pays fut interdite aux prêtres étrangers. Puis, en 1833, ce fut le début d'une persécution générale de tous les chrétiens, toujours en cours lors de la publication de l'ouvrage. Bon exemplaire de cet ouvrage peu commun. Quelques rousseurs. Cordier, BI, 1943.
Sans lieu, 1900. Album in-8 oblong (20 x 28 cm) de (101) pp. ; demi-chagrin brun, dos muet, titre doré sur le plat supérieur (reliure de l’époque).
Bel album de photographies de l’Exposition Universelle de 1900 à Paris. Il contient 100 photographies non signées, de dimensions 12,5 x 16,8 cm, contrecollées sur papier fort au recto et au verso de chaque feuillet. Elles sont présentées dans un encadrement à l’encre rouge et accompagnées, pour la plupart, d’une légende manuscrite. Une numérotation, discontinue, se trouve au bas des planches. Dans cet album, les photographies sont regroupées selon les différents sites de l’Exposition : Champs-Elysées (9 photos), Esplanade des Invalides (2), Quai d’Orsay (11), Champ-de-Mars (28), Trocadéro (17), Quai de Billy (actuellement avenue de New York, 13), Environs de l’Exposition (5), Annexe de Vincennes (15). Elles représentent des sujets en rapport avec l’Exposition : Porte monumentale, Grand Palais, Petit-Palais, Avenue Nicolas II (actuellement avenue Winston Churchill), pont Alexandre III ; elles peuvent aussi concerner des sujets techniques : Trottoir roulant (l’une des attractions de l’Exposition), chemin de fer, aérostation, automobile. De nombreuses photographies montrent les palais des pays étrangers : Italie, Autriche, Hongrie, Etats-Unis, Canada, Allemagne, Suède, Norvège, Roumanie, Bulgarie, Algérie, Maroc, Egypte, Guinée, Dahomey, Chine, Tonkin…, tandis que d’autres représentent des pavillons en rapport avec le commerce, l’industrie, la finance, les lettres, les sciences et les arts, les forêts, la chasse et la pêche, etc. Inaugurée le 14 avril 1900 par le président Emile Loubet, l’Exposition universelle de Paris fut ouverte au public du 15 avril au 12 novembre, et accueillit près de 51 millions de visiteurs. 40 pays y participèrent. Elle était la cinquième exposition universelle organisée dans la capitale, après celles de 1855, 1867, 1878 et 1889. Son coût élevé, ainsi que les pertes occasionnées, conduisirent les autorités à mettre fin à ces manifestations. Un ticket d’entrée à l’Exposition a été monté en tête du volume ; son prix était à l’époque d’un franc. On joint : VERNERT (J.). Plan de l’Exposition de 1900. Dessin à l’encre et à l’aquarelle, exécuté sur une toile fine cirée, signé et daté dans l’angle inférieur droit. S.l., septembre 1900, 1 p. in-4 oblong (34,3 x 42,5 cm) repliée. Légende manuscrite dans l’angle inférieur gauche précisant : « Les vues photographiées ont été coloriées en rouge ; et leurs numéros correspondent à ceux placés dans l’album ». Bon état de conservation des photographies. Mors supérieur fendu intérieurement. Liste complète des photographies : Champs-Elysées : Porte Monumentale ; Grand Palais ; Petit-Palais ; Intérieur du Grand-Palais ; Cour intérieure du Petit-Palais ; L’Avenue Nicolas II ; Le Pont Alexandre III ; Un pylône du Pont Alexandre III ; La Seine et le Pont des Invalides. Vue prise du Pont Alexandre III. – Esplanade des Invalides : [Sans légende] ; Vue prise sur le Trottoir roulant. – Quai d’Orsay : Le Palais de l’Italie ; Les Palais étrangers : Italie, Egypte, Etats-Unis ; Etats-Unis, Autriche, Bosnie, Hongrie, Grande-Bretagne ; Belgique, Norvège, Allemagne, Espagne ; Monaco, Suède, Roumanie, Bulgarie ; Vue générale des Palais étrangers, prise du pont de l’Alma ; Le Palais des armées de terre et de mer ; Le Palais du Creusot et de la navigation de commerce ; L’entrée du Palais de la navigation de commerce ; L’usine Worthinghton. Service de l’élévation des eaux ; Le Palais des forêts, chasse, pêche (côté sur la Seine). Champ-de-Mars : Le Palais des forêts, chasse, pêche (façade sur le Champ-de-Mars) ; Le Champ-de-Mars vu des Jardins du Trocadéro ; La Tour Eiffel ; 1ère vue générale de l’Exposition ; 2ème vue générale de l’Exposition ; Le Globe céleste ; La gare du Champ-de-Mars ; Le Palais de la Femme ; Le Palais de la République de l’Equateur ; Le Pavillon du Touring Club de France ; Les Pavillons de l’Empire du Maroc ; Le Pavillon du Comptoir national d’escompte de Paris ; Entrée du Palais des lettres, sciences et arts ; Entrée du Palais du Génie civil et des Transports ; Entrée du Palais des fils, tissus, vêtements ; Le Champ-de-Mars et le Château d’Eau ; Le Château d’Eau, Palais de l’électricité ; Le Champ-de-Mars, vue prise du Château d’eau ; Entrée du Palais de la mécanique ; Entrée du Palais des Mines & Métallurgie ; Le Palais lumineux ; Le Palais de la République de Saint-Marin ; Le Pavillon de la « Société Générale » ; Pavillon des manufactures de l’Etat (allumettes et tabac) ; Le Pavillon de la Marine britannique ; Le Pavillon de la Marine allemande ; Le Pavillon de la Marine française ; Pavillon de la Chambre de Commerce de Paris. Trocadéro : Le Palais du Trocadéro ; Le Palais de l’Algérie ; Les cafés & restaurants algériens ; Chaloupe à vapeur de l’Etat français ; Vue dans les Jardins du Trocadéro ; Les Pavillons de la Guinée ; Le Pavillon du Dahomey ; Les Pavillons du Tonkin ; Une pagode Indo-Chinoise ; Les Pavillons de la Guadeloupe ; Le Jardin colonial ; La Pagode de Vichnou et l’escalier de 50 marches ; L’Asie russe ; Le Pavillon des colonies néerlandaises ; Le Pavillon de la Chine ; Le Pavillon du Transvaal ; Le Pavillon du Canada. – Quai de Billy : Le Restaurant anglais ; Les « Voyages Animés » ; La Pâtisserie et la Boulangerie ; La Navigation de plaisance ; Le Restaurant français ; Le Vieux Paris ; Le Pont de l’Alma et le Palais des Congrès ; L’Entrée de la rue de Paris ; Le Palais de la danse et le Phare de Katsépé (Madagascar) ; L’Annexe de la verrerie et de la céramique ; Les Serres de la Ville de Paris ; Entrée d’une serre de la Ville de Paris ; Le Palais de la Ville de Paris. Environs de l’Exposition : 1ère vue générale de Paris, vue d’une tour du Trocadéro ; 2ème vue générale de Paris, vue d’une tour du Trocadéro ; La Foule aux omnibus conduisant à l’Exposition ; La Nouvelle gare souterraine des Invalides ; La nouvelle Gare d’Orléans (quai d’Orsay). – Annexe de Vincennes : Le Palais des forêts des Etats-Unis ; Le Pavillon du pétrole de Roumanie ; L’Annexe des armées de terre et de mer ; Course cycliste au vélodrome ; La Meunerie belge ; Le Pavillon des Œuvres catholiques ; Le Chemin de fer aérien (système allemand) ; Les Maisons ouvrières ; Creusement d’un puits de pétrole ; Le Pavillon du sauvetage allemand ; Le Matériel des chemins de fer ; L’Exposition d’automobiles de MM. De Dion & Bouton ; Le Ballon captif ; Le Parc aérostatique avant le départ du ballon ; Au revoir !
Paris, Imprimerie Nationale, 1791. In-8 de 12 pp. ; cartonnage de papier marbré, pièce de titre en long au dos (reliure moderne).
Textes et exposés des motifs des décrets des 13 et 15 mai 1791 qui abandonnaient les décisions relatives au sort des "personnes non-libres" et de "l'état politique des gens de couleur" aux assemblées coloniales. Bon exemplaire. Ryckebusch, 3105.
Sans lieu, 1782. In-8 de 126 pp.; veau marbré, dos à nerfs orné, pièces de titre de maroquin citron, coupes filetées, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition publiée la même année que la première, et illustrée du portrait gravé du comte Charle-Henri d'Estaing. L'ouvrage est écrit par un officier qui faisait partie de l'escadre du vice-amiral d'Estaing envoyée, en 1779, soutenir les "insurgents" américains, durant la guerre d'indépendance des États-Unis. On y trouve de très nombreux renseignements sur le déroulement de la campagne, sur la Martinique et la Guadeloupe, mais également une critique du commandant "dont le caractère altier & présomptueux ne permettoit aucun conseil" et auquel l'auteur reproche son comportement après la bataille de la Grenade et lors du siège de Savannah. [Relié avec:] LINGUET (Simon-Nicolas-Henri). Mémoire sur la Bastille. Londres, T. Spilsburi, 1783. iv-172 pp. Avec un frontispice gravé. Bon exemplaire. Petite galerie de vers en marge du second ouvrage sans atteinte au texte. Polak, 3271 (autres éditions). — Sabin, 23033.
1789. In-8 de 7 pp.; broché, sans couverture.
Le comité colonial de Saint-Domingue, sous l'impulsion de son principal membre Louis-Marthe de Gouy d'Arsy, demande à pouvoir envoyer des députés aux États-généraux. Malgré le refus du Roi, les colonies allaient, à juste titre, se faire entendre, et, grâce aux Députés de St-Domingue, figurer parmi les signataires du serment du Jeu de Paume, leur permettant par la suite de siéger à l'Assemblée Nationale. Bon exemplaire. Max Bissainthe, 5772.