Reference : AWD-476
Dessin original, aquarelle et gouache sur papier cartonné, vers 1940. Dessinateur non identifié, un peu dans le style de Calvo (13,4/17,5 cm sur une feuille de 20/26 cm). Bon état.
Reference : AWD-424
Mai 68. Affiche d'époque imprimée en rouge sur un papier couleur crème avec la mention "68 A. P. M." Entoilée, en bel état (41/61 cm).
Reference : AWD-433
Juin 68. Affiche imprimée en rouge sur papier blanc cassé (56/82 cm). Anciennement roulée mais en bon état. Couleurs très vives.
Reference : AWD-438
Mai 68, affiche imprimée en noir et rouge sur papier blanc. Bon état (50/68 cm).
Reference : AWD-440
Mai 68. Affiche imprimée en bleu clair sur papier blanc (44/56 cm). Bon état.
Reference : AWD-436
Mai 68. Affiche imprimée en bleu foncé sur papier blanc. Tampons "Atelier populaire / Comité d’action St Séverin". Quelques traces de plis (42/62 cm).
Reference : AWD-435
Reference : AWD-422
Paris, Comité d’initiative pour un mouvement révolutionnaire. Imprimerie Robert et Cie, mai 68. Affiche d'époque imprimée en noir sur un papier légèrement brun. Décollée avec traces de plis et restes de colle ancienne. Minces déchirures avec légers manques (55,4/75,4 cm).
Lettre manuscrite autographe signée sur papier à en-tête de La Nouvelle revue, adressée au journaliste Émile Berr, 2 pp. (13,5/21 cm). « Paris, le 23 avril, Mon cher Berr, je publie dans le numéro 1er mai une nouvelle admirable d’Alphonse Daudet : L’Enterrement d’une étoile, puis un non moins beau prologue de A. Vaquerie Warwick cher Louis XI, inédit prologue de la nouvelle édition de Formosa. Comme les droits de reproduction sont interdits, je vous prie de n’en pas publier d’extraits, mais vous me feriez grand plaisir en en parlant mercredi dans la XX des lettres. Je vous parlerai, pour l’autre numéro de la revue, de la publication inédite que je fais de pages superbes de Victor Hugo. Mille sympathies, Juliette Adam. » On joint un mot manuscrit inscrit sur une carte de visite à l’encre noire (6,8/10,5 cm). « [Madame Adam (Juliette Lamber)] recevra de quatre à sept heures dimanche du sept mai au dix huit juin à cinq heures : ‘causerie’. De cinq à six heures les portes seront fermées dans le « salon où l’on cause ».
Lettre manuscrite a. s., certainement adressée à Émile Berr, écrite à l’encre violette sur double page de papier à lettre (12/18,4 cm). « Mon cher ami, Si le Figaro n’a envoyé personne à Stockholm pour l’exposition, je serai fort désireux de faire à cette occasion un grand reportage sur les pays du Nord. A cette exposition tous les types de la Finlande, de la Norvège, ceux de la Prusse Septentrionale , du Danemark et de la Prusse Occidentale de trouveront réunis. On peut voir Copenhague, Elseneur et la Baltique, donner un aperçu des civilisations développées là, de l’effort industriel, de la puissance des races, du conflit des marines et des états et, peut-être, faire quelques affaires de publicité. Vous paraît-il possible de parler de cela à notre directeur. J’ai fait ainsi au Journal, des reportages sur l’Espagne, qui eurent beaucoup de succès, et cela s’accommoderait peut-être mieux que le plan d’un de mes romans, aux convoitises de vos lecteurs. Bien ferveusement à vous, Paul Adam, Mercredi. »
Lettre manuscrite autographe signée, vraisemblablement adressée au journaliste Émile Berr, 1 p. (13,8/13,8 cm). « Dimanche, Mon cher ami, vous êtes tout à fait aimable d’avoir pensé à m’envoyer les pages de Cosmopolis qui m’ont fait un extrême plaisir. Je vous remercie de cœur. A vous, Paul Adam. »
Manuscrit autographe intégral titré au début et signé à la fin, 7 ff. paginés remplis au recto, dont 1 découpé et recollé. Nombreuses ratures et corrections. (21/29 cm chaque) « Enturbanné de gazes sanglantes et piqueté de taches pourpres sur les épaules, l’aviateur allemand mince, morne, dans sa tunique réséda, se laisse conduire. Deux réservistes moustachus, pansus, l’amènent, bayonnette (sic) au canon, par le faubourg tumultueux de la ville flamande, où les femmes aux corsages clairs, les cyclistes alertes, les boutiquiers accourus se précipitent, s’appellent, se montrent l’ennemi chétif. Tout à l’heure il survolait l’église. Les mitrailleurs l’ont atteint. Il a dû descendre et s’affaisser parmi les ailes rompues de son appareil. Le vautour à terre est traîné vers la citadelle entre les rangs de la cohue, plus curieuse que malveillante. Très loin, l’orage de la canonnade gronde sans émouvoir ces français accortes, ces français gouailleurs. Ils continuent de vendre, d’acheter, de flâner, de prendre aux cantines des feuilles de nouvelles, de s’assembler autour des soldats contant leurs aventures. Sur une place, le spahi soudanais dompte, les maxillaires serrés, un cheval trop fringant. Poudreuses, les motocyclettes militaires arrivent à grand bruit entre les tramways combles. Dans les cafés, lieutenants et capitaines écrivent. A mesure que l’on monte vers la haute ville, plus de soldats se pressent dans les rues de briques. Chasseurs bleus et goguenards, fantassins d’écarlate et d’azur, anglais cossus et athlétiques en draps verdâtres, marocains vêtus de jaune avec de singuliers turbans dont une bande couvre la nuque, et sous le petit béret à rubans, highlanders, les genoux nus, en kilt masqués par un tablier brun, tout le monde mange, boit, rit, fume, au seuil des tavernes, des maisons. Tout le monde s’interpelle en français, en anglais, en arabe. Bientôt les groupes deviennent foules, que divisent les prolonges et les fourragères, que contournent les automobiles d’officiers. Plus haut, ce sont des colonnes au repos derrière les faisceaux, autour des cantines. Les États-majors causent à l’écart. Tels Anglais attribuent le succès des Allemands aux hécatombes de leurs troupes. Les Civilisés épargnent davantage leurs bataillons : l’avenir, déjà, qui eut raison… Voici la bannière. Les compagnies marocaines en ligne s’allongent par la campagne d’XX, derrière des meules rousses, vers les bois bleuâtres. Sur leurs trépieds, les mitrailleuses tendent, hors des tranchées, leurs canons brillants. Aquilins et sveltes, les hommes, quelques-uns debout, la plupart vautrés, guettent. De quelle chaouïa arrivent ces Sémites carthaginois ou arabes, ces berbères en larges baies de toile, en dolmans jaunes, ces petits-fils des Hamilcars, des Mohammeds, des Jugurthas ? Au milieu de la riche terre des Flandres, ils apparaissent comme les types d’une image d’autrefois, choisie dans la collection d’un fermier-général orientaliste. Reconnaissants d’avoir été, par nos armes, délivrés de la tyrannie féodale que leur imposaient les caïds, ils viennent ici combattre, pour le génie de la Méditerranée, contre la barbarie des Baltiques. Au-delà, rien que le silence ; des hommes attentifs des hommes attentifs ; et là-bas, ce grondement interrompu, repris, de la canonnade. Brusquement, dans le torpédo surgis, deux allemands captifs, deux lieutenants boueux, ioniques, les mains emmaillotées, avec quelques-uns des nôtres, christs mourants qui caressent leurs plaies dans la capote bleue. Et quand ils ont franchi nos avant-postes, la huée de la ville monte à la face des prisonniers barbares, massacreurs de femmes et d’enfants. Cela se passe au soleil d’août, vers la fin de l’après-midi. Notre moteur maintenant retentit sur une route désertée, qu’ombragent des platanes et des ormes épanouis. On nous a dit de revenir très vite si nous apercevions de ces XX téméraires, qui s’avancent loin de leurs infanteries. Et nous essayons de les discerner entre les barrages qui, ornent partout si royalement cet espace de cultures rectilignes. Mille dômes d’or sur la terre que l’ennemi convoite. Il en a chassé les quatre familles assises en un immense chariot au milieu de leurs paquets, de leurs ustensiles, de portraits chers. La bataille s’étant reprochée de leur bourg il fallait évacuer, en moins d’une heure, pour éviter les supplices et les exécutions que les Barbares prodiguent à la plus certaine innocence. Point de larmes ni de lamentations. Plutôt de la bonne humeur, et la certitude qu’avant peu la victoire nous couronnera. Chacun semble content d’avoir sacrifié sa maison à l’honneur de la patrie. Les jeunes filles et les enfants sourient à nos modestes cadeaux et les reçoivent de bonne grâce. Même cette veuve qui, dans la petite voiture de son XX, trottinant, pousse un peu de linge, des casseroles, les images des parents défunts, le crucifix de cuivre avec le coquillage du bénitier. De grosses femmes en sueur, ses fil adolescents qui plient sous le faix, décrivent sans geindre, leur infortune. C’est du provisoire. Ils rentreront chez eux, derrière notre sûre victoire. Des âmes sans pareilles. Plus avant nous rencontrons l’avant-garde à cheval d’un train d’artillerie. Il vient au ravitaillement des munitions. Bien qu’elles soient rouges par places, les toiles de leurs civières, repliées sur les caissons gris, tous ces hommes sortent calmes et fiers du combat. Un lignard hâlé, intelligent, le nez écarlate, nous conte qu’ils répondent au feu de l’ennemi depuis cinq jours et quatre nuits, sans repos ni trêve. Mais ça va : ‘On les a contenus.’ Des batteries prussiennes furent anéanties en grand nombre. Le peloton cycliste accepte nos cigarettes et nos tablettes de chocolat. Ces Nantais ont beaucoup connu de la bataille. Ils déclarent l’ennemi fixé en bien des points. L’un extrait de sa musette un tesson d’acier XX et bleu, fragment ramassé de l’obus qui a coupé la jambe d’un camarade. Ils ne s’en montrent pas moins de gais fatalistes, des XX lurons. A les en croire il paraît impossible que ces multitudes allemandes ne se désagrègent pas tout à l’heure. Leurs soldats ne sont redoutables qu’en masses, sous le revolver des lieutenants. Or ces masses s’allongent, se divisent, perdent, chaque jour de leur cohésion, de leurs cadres, de leurs artilleries. Notre canon les fauche par mille et mille. Nos élans à la baïonnette les épouvantent et laisse de la terreur dans l’âme des survivants, de leurs voisins. S’ils n’avaient su multiplier cette accumulation scientifique de leurs nombres pour déborder sans cesse à notre gauche, ils étaient déjà perdus. Ils le seront. Leur effort titanique s’épuise. L’intelligence et la foi illuminent les yeux de nos amis instantanés. Dans leurs charrettes, les blessés eux-mêmes témoignent de cette confiance. Il n’importe guère que l’éclat d’obus ait déchiré de haut en bas ce pantalon garance, puis la jambe à cette heure méticuleusement bandée, ni qu’une explosion ait noirci ce visage contusionné où deux yeux effrayants persistent et visent dans un masque de boursouflure noirâtre, ni que les balles aient couché ces dormeurs fiévreux sur la paille des chariots successifs, avec la tête dans les bras bleus, les jambes écarlates ballant aux cahots. Ce qui seulement importe pour eux, pour les autres, c’est l’espoir de la chance finale. Une paysanne à tignasse grise se précipite au-devant de l’automobile : ‘Y-a-t-il un médecin parmi vous ?’ Cinquante mètres plus bas un fantassin souffre sur une table où on le déshabille. Quand nous arrivons il achève de mourir, stoïque. Derrière un char de blessés, l’un tire par la bride, le cheval bien sellé, harnaché, du capitaine qui succomba. L’épée pend derrière l’arçon. Au soir, le vent qui se lève emporte et dissipe l’orage de la canonnade par-delà les campagnes riches en moissons. Les lièvres courent, s’arrêtent, écoutent. Les perdrix rappellent. Paul Adam. »
Paris, Arts et Métiers graphiques, 1973. Grand in-4 , cartonnage pleine toile brune de l’éditeur, jaquette illustrée, LXXI pp. de texte et 201 planches. Bon état.
In-4 en feuilles, couverture illustrée à rabats (32 pp.).
Édition originale contenant 6 compositions en couleurs d’Himat imprimées en sérigraphie. Tirage à 75 exemplaires, tous signés par l’auteur et l’illustrateur.
4 photographies en noir et blanc, tirages albuminés collés sur panneaux de carton, vers 1970. Deux portraits, dont celui d'un homme et celui d'un enfant, légendés au dos "Burundi ou Est-Zaïre", puis deux scènes de danse dans un village, sans légende. Quelques rousseurs sur l'un des tirages (29,5/24 cm chaque). L'ensemble.
Lettre manuscrite sur carte-télégramme bleue adressée à Émile Berr au Figaro, 1 p. (11/12,5 cm). « Mon cher confrère, En corrigeant les épreuves de notre ‘Mistral’, j’aperçois une coquille énorme : tribunal au lieu de brume, au 4ème feuillet, IIème ligne de l’épreuve que je vous ai remise. Voudrez-vous remplacer tribunal par brume. Il n’y a pas d’autre chose à revoir. Avec cent remerciements par avance, croyez à mes sentiments dévoués. »
Lithographie originale tirée d'une Affiche créée pour une exposition consacrée aux correspondances artistiques et intellectuelles entre les différentes cultures noires et françaises. (Musée du Montparnasse, 2006). Tirage à 100 ex. numérotés et signés sur vélin (70/50 cm). Très bel état.
Paris, Caractères, 1954. In-8 carré br., couverture imprimée, 71 pp. Nouvelle édition, exemplaire imprimé sur offset supérieur. Envoi autographe signé à l'écrivain, résistant et homme de radio Luc Bérimont : "Aimerez-vous ce poème, mon cher confrère ? Pierre Albert-Birot." Dos bruni, couverture légèrement pliée.
Carte autographe manuscrite signée, datée du 25. 6. 75 et adressée à Michel Bulteau : « Chers Bulteau, voici un chèque. C’est plus simple puisque vous iriez vendre aussitôt le dessin demandé. Cordialement, Pierre Alechinsky. » Bon état (enveloppe conservée).
Paris, Yves Rivière, 1972. In-4 br., couverture illustrée (64 pp.).
Tirage numéroté et signé au colophon. Envoi autographe daté du 23 janvier 1973.
Huile sur isorel signée en bas à droite et datée 1971 au dos (67/64,5 cm).
Inventeur d’instruments de musique (métaphone, pantophone, plectrophone, etc.), créateur du jeu d’hyperechecs et du jeu de doubles dames (commercialisé par Mako), « lettriste avant la lettre », André Vernier (1915-1992) a publié ses premiers poèmes à l’âge de 19 ans avant de découvrir la métapoésie et la parole transformelle à la fin des années 40. Remarquées par Pierre Schaeffer, Jean-Jacques Pauvert, Thierry Agullo, Pierre Molinier, Arrigo Lora-Totino et Henri Chopin, ses œuvres pluridisciplinaires ont été montrées en 2019 à l’exposition Beyond words de New Haven (suite à l’achat de ses archives par l’université de Yale en 2017). En 1984, le romancier chilien Roberto Bolaño avait déjà imaginé une rencontre entre Isidore Isou, Georges Pérec et Altagor (L’Esprit de la science-fiction, Éditions de l’Olivier, 2020).
Trois encres originales sur calques réalisées vers la fin des années 1930 pour le court-métrage d’animation « Élégie », resté inachevé (22/29, 23/31 et 22,6/30 cm).
L’artiste se représente lui-même, agacé par une muse évoluant autour de son visage pendant le processus de la création. Peintre, décorateur et costumier pour le théâtre et le cinéma né à Petropavlovsk en 1889 et mort à Paris en 1974, diplômé des Beaux-Arts de Petrograd et illustrateur des Douze d’Alexandre Blok en 1918, Iouri Annenkov a aussi travaillé auprès de Murnau, Pabst, Marcel Lherbier, Jacques Becker et Max Ophüls après avoir été contraint de quitter l’Union Soviétique en 1921.
Photographie originale, tirage argentique en couleurs (légèrement postérieur), vers 1970 (25,4/20,4 cm).
Étoile marquante de la photographie érotique (ainsi que bondage, S. M. et fétichiste) au début des années 50, Bettie Page devint l’une des premières playmates du magazine Playboy sous l’objectif de Bunny Yeager, qui, lui consacra (avec des panthères) une séance au parc Africa USA de Boca Raton (Floride) en 1954. Diagnostiquée schizophrène paranoïaque et internée dans un asile psychiatrique de San Bernardino à 56 ans après avoir passé un diplôme de théologie pour devenir missionnaire, elle fut inculpée de tentative d’assassinat (puis jugée irresponsable) pour avoir poignardé le propriétaire de son logement de 27 coups de couteau. Devenue l’objet d’un culte underground en tant que porte-étendard de la libération sexuelle quelques décennies plus tard, elle mourut à Los Angeles des suites d’une crise cardiaque à l’âge de 85 ans.
Photographie originale, tirage argentique en couleurs (postérieur), vers 1970 (25,4/20,4 cm).
Étoile marquante de la photographie érotique (ainsi que bondage, S. M. et fétichiste) au début des années 50, Bettie Page devint l’une des premières playmates du magazine Playboy sous l’objectif de Bunny Yeager, qui, lui consacra (avec des panthères) une séance au parc Africa USA de Boca Raton (Floride) en 1954. Diagnostiquée schizophrène paranoïaque et internée dans un asile psychiatrique de San Bernardino à 56 ans après avoir passé un diplôme de théologie pour devenir missionnaire, elle fut inculpée de tentative d’assassinat (puis jugée irresponsable) pour avoir poignardé le propriétaire de son logement de 27 coups de couteau. Devenue l’objet d’un culte underground en tant que porte-étendard de la libération sexuelle quelques décennies plus tard, elle mourut à Los Angeles des suites d’une crise cardiaque à l’âge de 85 ans.
Photographie originale, tirage argentique en couleurs (postérieur), vers 1970 (25,4/20,4 cm).
Étoile marquante de la photographie érotique (ainsi que bondage, S. M. et fétichiste) au début des années 50, Bettie Page devint l’une des premières playmates du magazine Playboy sous l’objectif de Bunny Yeager, qui, lui consacra (avec des panthères) une séance au parc Africa USA de Boca Raton (Floride) en 1954. Diagnostiquée schizophrène paranoïaque et internée dans un asile psychiatrique de San Bernardino à 56 ans après avoir passé un diplôme de théologie pour devenir missionnaire, elle fut inculpée de tentative d’assassinat (puis jugée irresponsable) pour avoir poignardé le propriétaire de son logement de 27 coups de couteau. Devenue l’objet d’un culte underground en tant que porte-étendard de la libération sexuelle quelques décennies plus tard, elle mourut à Los Angeles des suites d’une crise cardiaque à l’âge de 85 ans.