Stock, 1948, 286 pp., couverture un peu défraîchie, broché, dos en gouttière, couverture tachée, état correct
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Londres 26 décembre 1937, 17,9x22,9cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Stefan Zweig adressée à Alfred Cortot, deux pages sur un feuillet rédigées à l'encre violette. Superbe lettre autographe dans laquelle le fin collectionneur fait part de son acquisition de manuscrits inédits de Wagner à son ami Alfred Cortot qui lui-même doit à sa précoce découverte du compositeur allemand, sa carrière de chef d'orchestre. Cortot partageait en effet avec Zweig son « envoûtement quasi tyrannique [subi] avec autant d'ivresse que de ferveur » pour le compositeur. Zweig, qui parlait de sa collection comme « plus digne de me survivre que mes propres uvres » (Le Monde d'hier, 1942) refait pour son ami le détail de cette incroyable découverte de centaines de feuillets oubliés, comprenant de la correspondance intime de Wagner, des partitions et extraits de livrets d'opéras de sa main dont Le Hollandais volant, La sublime fiancée, Les Fées, La défense d'aimer (ou La Novice de Palerme) ainsi qu'une version orchestrale perdue de Rule Britannia. En ce mois de décembre 1937, alors qu'il est réfugié à Londres fuyant la terreur brune, Zweig s'enthousiasme pour des archives d'un temps où l'Europe intellectuelle vivait en parfait syncrétisme. L'écrivain pose un regard nostalgique sur les papiers de Richard Wagner, qui, comme lui, a passé sa jeunesse à parcourir les capitales européennes : «J'ai eu la chance extraordinaire de pouvoir mettre la main pendant un petit séjour à Vienne sur tout un lot de manuscrits musicaux et littéraires deRichard Wagnerde sa première époque (Leipzig, Magdebourg, Riga et Paris)». Parmi ces précieux manuscrits, se trouve entre autres le rarissime arrangement orchestral du chant patriotique anglaisRule Britannia, disparupendant plus de soixante ans. Partageant sa passion de Wagner avec son ami le pianiste Cortot, il lui annonce sa découverte avec cet émerveillement si familier aux collectionneurs devant une trouvaille exceptionnelle :" [...]Il contient des choses qui vous intéresseront spécialement par exemple la traduction complète (60pages) la version française (inédite (je crois) du texte du "Liebesverbot")entièrement de la main de Wagner, puis les manuscrits d'une chanson de vaudeville "Descendons la Courtille"(qu'il faisait dans sa misère la plus noire) [...]presque trente pièces du plus haut intérêtet justementde l'époque la plus rare. Tout cela était caché pendant 50 ans dans une collection privée et j'avais la chance de pouvoir acquérir le lot entierunjour avant que Bayreuth envoyait une personne de confiance". La lettre constitue un fascinant témoignage de la vie parallèle de Zweig, qui s'était forgé une réputation de collectionneur éclairé. Sa collection lui a par ailleurs inspiré une de ses plus belles nouvelles,La collection invisible (die Unsichtbare Sammlung) ainsi qu'un essai pionnier dans leDeutscher Bibliophilen Kalender (De la collection d'autographes considérée comme un art). Ses centaines d'autographes historiques, musicaux et littéraires du Moyen-Age au XXe siècle, étaient soigneusement répertoriés dans des catalogues et rassemblés dans la bibliothèque-musée de sa maison du Kapuzinerberg : "Dans cette bibliothèque, "lieu de culte", il exerce aussi une véritable activité d'expert en autographes [...] La bibliothèque attirera un nombre de savants professeurs, parfois accompagnés de leurs assistants, qui n'hésiteront pas à revenir y travailler au calme des jours d'affilée, voire des semaines" (Stefan Zweig, le voyageur des mondes,Serge Niemetz). Avec cette acquisition, Zweig voit se réaliser le rêve de tout collectionneur. Exilé depuis deux ans en Angleterre, et bravant la progressive fermeture des frontières de l'Europe, Zweig retourne à Vienne à temps et fait l'achat de ces documents exceptionnels, soustraits aux émissaires de Bayreuth qui rassemblaient déjà à l'époque une importante collection aujourd'hui gérée par le musée et la fondation Wagner. On reconnaît également dans cette lettre la curiosité insatiable de Zweig biographe, en recherche constante de matériaux inédits, de sources premières à intégrer dans ses études biographiques - la même année, il avait silloné l'Europe avec sa future femme Lotte en quête des portulans de l'époque de Magellan pour l'écriture de sa biographie. A Paris, entre deux visites à la Bibliothèque natonale, Zweig reste à l'affût des manuscrits les plus rares, s'arrêtant comme Marcel Proust avant lui chez le négociant en autographes Charavay.L'écrivain ne put malheureusement jouir de sa collection pendant très longtemps, contraint d'en vendre à son départ de Vienne au célèbre marchand Martin Bodmer, puis d'en laisser à nouveau à Londres avant son voyage sans retour pour le Brésil. La collection de manuscrits musicaux, historiques et littéraires de Stefan Zweig se trouve désormais partagée entre la British Library à Londres, la fondation Bodmer de Genève, et la bibliothèque nationale d'Israël. Admirable témoignage de la plus grande et prestigieuse acquisition de l'écrivain. En cette veille de guerre mondiale, en proie à l'angoisse et la nostalgie du "monde d'hier",Stefan Zweig trouva le réconfort parmi lespapiers noircis d'encre de Richard Wagner, alors que la menace des totalitarismes pesait sur les villes européennes de sa jeunesse. "Mon cher ami et chère Madame, laissez vous envoyer les meilleurs voeux pour l'année nouvelle ; je suis tellement heureux de savoir que vous vous reposez maintenant après les semaines et les mois de travail. Je ne sais pas encore exactement quand je viendrai à Paris, mais certainement cela sera encore au printemps. J'ai eu la chance extraordinaire de pouvoir mettre la main pendant un petit séjour à Vienne sur tout un lot de manuscrits musicaux et littéraires deRichard Wagnerde sa première époque (Leipzig, Magdebourg, Riga et Paris). Il contient des choses qui vous intéresseront spécialement par exemple la traduction complète (60pages) la version française (inédite (je crois) du texte du "Liebesverbot")entièrement de la main de Wagner, puis les manuscrits d'une chanson de vaudeville "Descendons la Courtille"(qu'il faisait dans sa misère la plus noire), des"Lieder"français, composés par lui ("Les aveux de Marie Stuart" par Béranger, deux Lieder, je crois inédites, de Victor Hugo) puis l'esquisse de la "Ballade de Senta" en Français. En outre la "Polonia ouverture"(version pour piano) des esquisses de la Ouverture pour le "Roi Enzio", ouverture et esquisses pour le"Liebesverbot", parties de sapremière symphonieet la"Neujahrs Cantate", le libretto allemand presque entier du"Liebesverbot", des lettres à Meyerbeer, à Pillet, etc. etc* - presque trente pièces du plus haut intérêtet justementde l'époque la plus rare. Tout cela était caché pendant 50 ans dans une collection privée et j'avais la chance de pouvoir acquérir le lot entierunjour avant que Bayreuth envoyait une personne de confiance. Vous ne vous doutez pas, j'espère, du plaisir que j'aurai de pouvoir vous montrer bientôt ces manuscrits ! Et votre conférence ou votre essai pour mon éditeur ? Il me l'a déjà écrit, qu'il serait heureux de pouvoir faire une édition. Mille amitiés de vous deux de votre Stefan Zweig * une partie du libretto de sa première opéra "die Feen", la musique pour une tragédie inconnue, un "entreacte" inconnu etc, etc." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Club des Libraires de France, 1954, fort in-8°, [8]-432 pp, traduit de l'allemand par Alzir Hella, dossier illustré en tête d'ouvrage, 13 documents hors texte, numéroté, exemplaire tiré sur Alfa, reliure pleine soie tricolore éditeur, premier plat orné d'un billet signé de Marie-Antoinette contrecollé, signet, tranche sup. lég. salie, bon état. Jolie édition
Vilipendée par les uns, sanctifiée par les autres, Marie-Antoinette fut sans doute la plus méconnue des reines de France. Il fallut attendre Stefan Zweig, en 1933, pour que la passion le cède enfin à la vérité. Faisant œuvre d'historien, Zweig a rassemblé avec une prodigieuse maîtrise tous les matériaux existants, en particulier la correspondance de Marie-Thérèse d'Autriche avec sa famille et les papiers du comte de Fersen. Mais en même temps, profond psychologue, il a su explorer les moindres recoins de l'âme humaine, et redonner vie aux statues bordant l'avenue de l'histoire. Il nous montre ainsi comment l'impuissance temporaire de Louis XVI a précipité Marie-Antoinette dans un tourbillon de distractions toujours plus onéreuses. Comment son amitié pour la comtesse de Polignac et l'affaire du Collier lui portèrent un tort fatal. Et comment la Cour se servit de tous ces éléments pour éloigner la reine du peuple. Stefan Zweig, surtout, est parvenu à évoquer, derrière la souveraine, la femme ordinaire et aimable, bientôt emportée par les événements, et dont le destin fut malgré elle héroïque. — Le cynisme de la boutade aura beaucoup fait pour la fâcheuse réputation de Marie-Antoinette. Des Parisiens affamés, elle aurait dit : « Ils n'ont pas de pain ? Qu'ils mangent de la brioche ! » Mot très certainement apocryphe, mais révélateur du portrait de femme futile et débauchée qui fut fait de l’ « Autrichienne » après la Révolution. Zweig, s'appuyant sur les archives de l'Empire autrichien, retrace avec pénétration l'évolution de cette trop jeune reine de 15 ans, que la faiblesse de Louis XVI va précipiter dans un tourbillon de fêtes avant de la vouer à la guillotine.
Paris, Mercure de France, [4 avril] 1910. 1 vol. (120 x 190 mm) de 352 p. et 1 f. Demi-chagrin noir, dos à nerfs, caissons et fleurons dorés, couv. et dos cons., étui (Reliure de l'époque). Édition originale (pas de grand papier). Traduction par Paul Morisse et Henri Chervet. Exemplaire du premier mille (n° 427) de la première biographie publiée de Stefan Zweig. Envoi signé du traducteur : " à Albert de Bersancourt, bien amicalement, Paul Morisse".
C'est en 1910 que Stefan Zweig publie ces pages consacrées au célèbre poète belge, auteur des Villes tentaculaires, qui incarnait aux yeux de Zweig cette république des Lettres qui manifestait la quintessence de l'esprit européen. Tout le passionne dans cette oeuvre : son intense, expression de l'âme flamande, la puissance avec laquelle elle traduit les forces du monde moderne, industrie, urbanisation, masses ouvrières : « toutes les manifestations de l'activité moderne se reflètent dans l'oeuvre de Verhaeren et s'y transmuent en poésie », écrit-il. Par-dessus tout, Verhaeren lui apparaît comme une des grandes voix qui incarnent l'Europe, sur laquelle il reviendra trente ans plus tard depuis le Brésil, peu avant son suicide : "Et c'est ainsi que pendant deux heures, j'étudia cette face inoubliable, ce haut front labouré sept fois par le soc des mauvaises années, et par-dessus, la cascade des cheveux bouclés couleur rouille, la robuste structure du visage sur lequel se tendait une peau brune, tannée par les vents, le menton avançant comme un roc, et, sur les lèvres minces, longue et puissante, la moustache pendante à la Vercingétorix." Dos légèrement passé.
Grasset, 1983, in-8°, 442 pp, traduit de l'allemand par Alzir Hella, broché, couv. illustrée, bon état
Vilipendée par les uns, sanctifiée par les autres, Marie-Antoinette fut sans doute la plus méconnue des reines de France. Il fallut attendre Stefan Zweig, en 1933, pour que la passion le cède enfin à la vérité. Faisant œuvre d'historien, Zweig a rassemblé avec une prodigieuse maÎtrise tous les matériaux existants, en particulier la correspondance de Marie-Thérèse d'Autriche avec sa famille et les papiers du comte de Fersen. Mais en même temps, profond psychologue, il a su explorer les moindres recoins de l'âme humaine, et redonner vie aux statues bordant l'avenue de l'histoire. Il nous montre ainsi comment l'impuissance temporaire de Louis XVI a précipité Marie-Antoinette dans un tourbillon de distractions toujours plus onéreuses. Comment son amitié pour la comtesse de Polignac et l'affaire du Collier lui portèrent un tort fatal. Et comment la Cour se servit de tous ces éléments pour éloigner la reine du peuple. Stefan Zweig, surtout, est parvenu à évoquer, derrière la souveraine, la femme ordinaire et aimable, bientôt emportée par les événements, et dont le destin fut malgré elle héroïque.
Grasset, 1960, in-8°, 444 pp, traduit de l'allemand par Alzir Hella, broché, couv. illustrée, bon état
Vilipendée par les uns, sanctifiée par les autres, Marie-Antoinette fut sans doute la plus méconnue des reines de France. Il fallut attendre Stefan Zweig, en 1933, pour que la passion le cède enfin à la vérité. Faisant œuvre d'historien, Zweig a rassemblé avec une prodigieuse maîtrise tous les matériaux existants, en particulier la correspondance de Marie-Thérèse d'Autriche avec sa famille et les papiers du comte de Fersen. Mais en même temps, profond psychologue, il a su explorer les moindres recoins de l'âme humaine, et redonner vie aux statues bordant l'avenue de l'histoire. Il nous montre ainsi comment l'impuissance temporaire de Louis XVI a précipité Marie-Antoinette dans un tourbillon de distractions toujours plus onéreuses. Comment son amitié pour la comtesse de Polignac et l'affaire du Collier lui portèrent un tort fatal. Et comment la Cour se servit de tous ces éléments pour éloigner la reine du peuple. Stefan Zweig, surtout, est parvenu à évoquer, derrière la souveraine, la femme ordinaire et aimable, bientôt emportée par les événements, et dont le destin fut malgré elle héroïque.
Bernard Grasset 1937 1937. Stefan Zweig - Joseph Fouché / Bernard Grasset 1937
Etat correct
Michel albin SA 2007 2007. Stefan Zweig - Balzac le roman de sa vie / Albin Michel 2007
Le Livre de Poche 1994 1994. Stefan Zweig - L'amour d'Erika Ewald / Le Livre de Poche 1994
Bon état
Editions Erasme 1935 1935. Stefan Zweig - Erasme (Grandeur et décadence d'une idée) / Grasset 1935
Etat correct
Le Livre de Poche 2010 2010. Stefan Zweig - Marie Stuart / Le Livre de Poche 2010
Bon état
Editions Erasme 1991 1991. Stefan Zweig - Érasme / Grasset 1991
Bon état
Stockholm, Zürich, London, New York. Neuer Verlag. 1947. 8°. 433 S., 1 S., 1 w. Bl. Originalleinwand mit Schutzumschlag.
Klawiter 2975. - Erste Ausgabe. - Schutzumschlag leicht berieben und stockfleckig sowie mit kleinen Einrissen. Einige Stockflecken am Rücken, sonst sehr schönes, praktisch ungelesenes Exemplar.
Belfond, 2000 in-8°, 152 pp, traduit de l'allemand, broché, couv. illustrée, bon état
Ce recueil consacré au voyage rassemble dix-sept récits inédits en français, publiés essentiellement dans des journaux ou des revues entre 1902 et 1939. Grand voyageur, insatiable curieux de l'ailleurs, Stefan Zweig a passé des années à parcourir le monde. Jusqu'en 1914, il est un voyageur au pied léger, attentif, enthousiaste ; la fête est au cœur de ses récits dans “La Saison à Ostende”, “La Fête à Montmartre”. Après le début de la Première Guerre mondiale, l'Histoire et ses événements dramatiques viennent entraver le voyage. Le regard de Zweig se teinte alors de nostalgie, et c'est en fouillant le passé que le voyageur-écrivain cherche à appréhender le destin de Florence ou d'Anvers. De l'insolite “Visite au royaume des milliards”, plongée dans les entrailles de la Banque de France, jusqu'à la poignante “Maison des mille destins”, où le voyage devient synonyme d'exil pour les juifs persécutés, ces textes, dans leur diversité, nous font pénétrer plus avant dans l'œuvre de l'écrivain, mais aussi dans son univers intérieur.
Le Livre de Poche 1994 1994. Stefan Zweig : Vingt-quatre heures de la vie d'une femme / Le livre de poche 1994 LBN27
Bon état
<p>Collection "Les cahiers rouges".</p><div class="field field-name-hw-presentation-editoriale field-type-text-long field-label-hidden"><div class="field-items"><div class="field-item even">C'est sur un paquebot trop confortable, en route pour l'Amérique du Sud, que Stefan Zweig eut l'idée de cette odyssée biographique. Il songea aux conditions épouvantables des voyages d'autrefois, au parfum de mort salée qui flottait sur les bougres et les héros, à leur solitude. Il songea à Magellan, qui entreprit, le 20 septembre 1519, à 39 ans, le premier voyage autour du monde. Un destin exceptionnel... Sept ans de campagne militaire en Inde n'avaient rapporté à Magellan le Portugais qu'indifférence dans sa patrie. Il convainc alors le roi d'Espagne, Charles-Quint, d'un projet fou ; " Il existe un passage conduisant de l'océan Atlantique à l'océan Indien. Donnez-moi une flotte et je vous le montrerai et je ferai le tour de la terre en allant de l'est à l'ouest " (C'était compter sans l'océan Pacifique, inconnu à l'époque..). Jalousies espagnoles, erreurs cartographiques, rivalités, mutineries, désertions de ses seconds pendant la traversée, froids polaires, faim et maladies, rien ne viendra à bout de la détermination de Magellan, qui trouvera à l'extrême sud du continent américain le détroit qui porte aujourd'hui son nom. Partie de Séville avec cinq cotres et 265 hommes, l'expédition reviendra trois ans plus tard, réduite à 18 hommes sur un raffiot. Epuisée, glorieuse. Sans Magellan qui trouva une mort absurde lors d'une rixe avec des sauvages aux Philippines, son exploit accompli. Dans ce formidable roman d'aventures, Zweig exalte la volonté héroïque de Magellan, qui prouve qu'" une idée animée par le génie et portée par la passion est plus forte que tous les éléments réunis et que toujours un homme, avec sa petite vie périssable, peut faire de ce qui a paru un rêve à des centaines de générations une réalité et une vérité impérissables ".</div></div></div> Paris, 2003 Grasset 280 p., broché. 12 x 19
Neuf
<p>La publication de cette brève nouvelle de Stefan Zweig est un hommage à l'esprit du collectionneur. Le paradoxe nous fait découvrir un collectionneur aveugle, mais tout aussi amoureux de sa collection que n' importe quel autre amateur de belles images, voire même plus... Le texte de Zweig est accompagné par une sorte de portfolio idéal, réinventé par l'éditeur pour cette occasion, et qui nous donne à voir non pas l'intégralité des estampes mais des extraits, des bouts d'images qui échappent au regard.</p> Tesserete, 2015 Pagine d’arte 56 p., broché. 11 x 22
Neuf
Paris Les Editions Pittoresques 1929 in 8 (23x14) 1 volume broché, couverture imprimée à rabats, 286 pages [1], avec 10 illustrations hors-texte en noir et blanc dont un portrait de Romain Rolland en frontispice, quelques rares rousseurs visibles sur les tranches. Texte français de Odette Richez. Stefan Zweig, Vienne 1881 - Pétropolis 1942 (Brésil), écrivain autrichien. Edition originale de la traduction française. Rare. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Broché
LGF (11/2014)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782253088660
"Short description: In Russian. Zweig, Stefan. Romain Rolland. Moscow; Petrograd: State Publishing House, 1923. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKU9178385"
"Short description: In Russian. Zweig, Stefan. The Legend of One Life: Moscow; Petrograd: State Publishing House, 1923. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKU9178384"
Short description: In Russian. Zweig, Stefan. Fatal Moments. Riga: Gramatu Draugs, 1930. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKU9249421
Short description: In Russian. Zweig, Stefan. Heart Deaths. Riga: Gramatu Drags, 1927. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKU9249415