La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, gr. in-8°, 351 pp, préface de Hans Haug, 155 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, étui carton, bon état (la Nuit des Temps 22)
"Ce vingt-deuxième volume de la collection, dont la large diffusion contribue à raffermir le goût de l'art roman, mérite, pour son texte, des éloges particuliers ; ouvrage scientifique dans le plein sens du mot, L'Alsace romane dépasse, par sa documentation et par le caractère de ses « notices », la formule primitive de la collection, qui est de bonne vulgarisation. Ce livre est l'ouvrage le plus considérable en langue française sur ce sujet. Ainsi que l'exigeait la formule de la collection, un choix fut opéré parmi les monuments romans d'Alsace, sept seulement ayant été retenus pour donner des monographies largement illustrées (Ottmarsheim, Eschau, Epfig, Murbach, Marmoutier, Rosheim et Sainte-Foy de Sélestat). Mais des « notes » préliminaires ajoutent trente monographies abrégées et une dernière partie, intitulée « fragments divers » (p. 253-334), fait état de quatre monuments encore ; à quoi s'ajoutent des notices sur des œuvres de ferronnerie, d'orfèvrerie et de peinture sur verre. Ainsi, à part les manuscrits enluminés, l'ensemble de l'art en Alsace entre le Xe et le XIIIe siècle est analysé dans ses œuvres essentielles, situées dans la chronologie et le contexte historique. Chacune des « notices » de ce volume, quelle que soit sa longueur, est le fruit de constatations et de réflexions personnelles de l'auteur et non le simple « état de la question » résumant la bibliographie..." (Louis Grodecki, Bulletin Monumental, 1966)
La pierre qui vire, Zodiaque la nuit des temps, 1965; in-8, 333 pp., cartonnage d'éditeur . Avec jaquette.
Avec jaquette.