Librairie Armand Colin Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1974 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleu-gris In-8 2 vol. - 282 pages
5 planches volantes dans le tome 2, numérotées A à E (normalement complet) Tome 1 (1966, 1ere édition) - Tome 2 (1974, 5eme édition) Contents, Chapitres : Tome 1, 190 pages - Tome 2, 92 pages - Tome 1. Historique et méthodologie - Construction de l'échelle 1966 - Résultats et étalonnages - Commentaires sur les épreuves - Derniers conseils - Annexe : Références données dans les chapitres II, III, IV, table des échelles et des tableaux - Tome 2. Introduction - Consignes pour l'application : Sondage - Autres subtests - NB : On joint 5 planches volantes numérotées A, B, C, D, et E qui étaient dans le tome 2 - Alfred Binet et Théodore Simon proposent, en 1905, la première échelle métrique d'intelligence. Cette échelle de développement sert à estimer le degré de développement intellectuel de l'enfant. Les items visent à mesurer le développement mental, sans faire appel aux connaissances de l'enfant. En 1916, le test de Stanford-Binet introduit la notion de quotient intellectuel, ou QI. Puis, en 1966, le psychologue et universitaire français René Zazzo introduit une « nouvelle échelle métrique de l'intelligence » (NEMI). - En 1945, soutenu par Henri Wallon, René Zazzo est sollicité pour fonder les premiers services de psychologie scolaire, prolongeant ainsi l'uvre d'insertion de la psychologie dans l'éducation entamée par Alfred Binet, dont il développe les travaux entre 1946 et 1966, date à laquelle il publie la nouvelle échelle métrique de l'intelligence (NEMI). Cependant, son souhait est de prévenir l'échec scolaire plutôt que de dépister les enfants déficients. - Selon René Zazzo, « Si Piaget n'est plus, on parle plus que jamais cependant des fonctions cognitives : le cognitivisme est dans le vent, et contre-vent d'ailleurs, en contrepartie de courants obscurs qui gagnent tout aussi bien la physique que la psychologie ». Zazzo a tort de mettre dans le même sac Jean Piaget et le cognitivisme. En effet, si le cognitivisme (empiristes comme le « réformiste » Frank Ramus) et les néo-Piagétiens (pragmatistes comme le « radical » Howard Gardner) dénient la dialectique dans leurs objets d'étude dont l'intelligence et la cognition, Jean Piaget la met en lumière et l'exploite. Il use d'ailleurs abondamment du terme de « dialectique », bien plus qu'Henri Wallon, même si selon Tran-Thong sa dialectique est plus hégélienne que marxienne. Cependant, il est vrai, que si l'école « classique » est accusée de « racisme » et de « réductionnisme », l'école « réformiste » née de la cybernétique influencée par l'empirisme pur reste en vogue aujourd'hui notamment grâce à l'intelligence artificielle. Il y a encore aujourd'hui un déni des écoles « radicales » qui mettent en avant non pas UNE intelligence mais DES intelligences dont René Zazzo. (source : Wikipedia) 2 volumes homogènes mais d'éditions différentes, 1966 pour le tome 1 et 1974 pour le tome 2, mais, sauf erreur, le texte est le même dans les différentes éditions (même nombre de pages), couvertures à peine jaunies. Tome 1 : Petite tache rouge au bas du plat inférieur affectant à peine le bas des 6 premières pages - Tome 2, bord gauche du plat supérieur un peu insolé. L'intérieur des deux tomes est sinon frais et propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire - NB : Il existe un 3eme fascicule de planches, le test Binet-Simon, 21 planches sous chemise, absent ici, nous proposons uniquement les 2 volumes de texte seuls, 1 et 2 (avec les 5 planches volantes du tome 2)