Pheonix. 1947. In-12. Broché. Etat passable, Couv. légèrement pliée, Dos fané, Papier jauni. 220 pages - rousseurs dans le livre et sur les tranches - coin légèrement frottés.. . . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Livre en anglais. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
London, Archibald Constable and Co, 1818. 8vo. Bound uncut in a nice recent half calf binding with five raised bands with gilt lettering and ornamentation to spine. A very nice and clean copy. (6), (I)-LXXIV, (2), 439, (1) pp.
First appearance of Well's important work, which constitutes the first clear pioneering statement about natural selection. He applied the idea to the origin of different skin colours in human races, but from the context it seems he thought it might be applied more widely. Charles Darwin said: ""[Wells] distinctly recognises the principle of natural selection, and this is the first recognition which has been indicated"". (Darwin, Charles 1866. The origin of species by means of natural selection. 4th and subsequent editions, in the preliminary 'Historical sketch')In 1813, Wells read a paper to the Royal Society of London, occasioned by a white female patient with splotches of dark skin. In his paper, Wells speculated about the origin of skin color variations in humans. He suggested that long ago, there might have arisen in equatorial regions a variety of humans that were better able to resist diseases such as malaria, perhaps aided by darker skin, and they survived where other variations perished. Similarly, lighter-skinned humans might have been variations that were better able to survive in temperate and arctic regions.""Wells' paper was not printed in the Philosophical Transactions, but after he died in 1817, two of his treatises, ""On Single vision with Two Eyes,"" and ""On Dew"", were published posthumously, and Wells' brief ""Account of a white female, part of whose skin resembles that of a negro"" was added on at the very end. No one noticed, certainly not Charles Darwin, who was 9 years old at the time.Time went by, Darwin discovered natural selection on his own in the late 1830s, and he sprang it on the world in On the Origin of Species in 1859. During the year after publication, various readers noticed that certain aspects of Darwinian evolution had been anticipated by such naturalists as Étienne Geoffroy St. Hilaire, Patrick Matthew, and the anonymous author of the Vestiges. So in 1861, for the third edition of the Origin, Darwin added an ""Historical Sketch"" in which he discussed his precursors and to what extent they anticipated his own work (third image). Geoffroy St. Hilaire, Matthew, and the Vestiges all merited a paragraph in the ""Historical Sketch."" But there was still no mention of William Wells.Then, sometime before 1866, an American, Robert Rowley, drew the attention of an Englishman, Charles Loring Brace, to Wells' paper, and Rowley conveyed the information to Darwin. Darwin was apparently impressed. For the fifth edition of the Origin, he revised the ""Historical Sketch"", and he added a paragraph about Wells, in which he commented: ""In this paper he [Wells] distinctly recognises the principle of natural selection, and this is the first recognition which has been indicated."" Darwin also pointed out, quite correctly, that Wells used natural selection only to account for human races, not to explain the origin of species. But still, Wells was the only precursor of natural selection that Darwin took seriously.""( William B. Ashworth, Linda Hall Library)
Cassell and Company, LondonNew YorkTorontoMelbourne 1917, 13,5x20,5cm, reliure de l'éditeur.
Retirage de mars-avril 1917, postérieur d'un mois à l'édition originale parue en février de la même année. Reliure de l'éditeur en pleine toile rouge, dos lisse. Exceptionnel envoi autographe signé d'H. G. Wells à André Citroën?: «?To André Citröen who has to do his share in making a new world out of a very shattered old one. From H.G. Wells?» («?à André Citröen, qui contribue à créer un monde nouveau à partir d'un monde en ruines. De la part d'H.G. Wells?»). L'envoi fait un écho au chapitre du livre intitulé New arms for old ones, dans lequel Wells décrit l'usine d'armement créée par Citroën pour remédier à la faiblesse de l'artillerie française. Reconvertie à la fin de la guerre, l'usine deviendra la première manufacture d'automobiles Citroën. Superbe témoignage de l'amitié naissante entre l'industriel André Citroën et l'écrivain H.G. Wells, qui dans ce même ouvrage, consacre un chapitre à la nouvelle usine de munitions conçue par Citroën, ainsi qu'au progrès social qu'il apporta chez ses quelque treize mille «?munitionnettes?». War and the Future, ouvrage de propagande écrit au cur de la première guerre mondiale, réunit diverses observations sur le conflit en cours, soulignant le changement radical de l'art de la guerre qu'imposent les nouvelles technologies d'armement. Wells y expose sa théorie d'un nouvel ordre mondial scientifique et technique, qui imprégnait déjà ses chefs-d'uvre de science-fiction de la fin du siècle dernier (War of the Worlds, The Time Machine). De son côté Citroën, ayant compris l'importance capitale de l'artillerie dans la guerre moderne, fit le pari en 1915 de concurrencer la puissance des usines d'armement Krupp. Abandonnant son projet d'usine automobile le temps de la guerre, il construisit à ses propres frais un immense complexe industriel sur le quai de Javel, qui produisit 23 millions d'obus pour les armées alliées. War and the Future porte les marques de l'admiration de Wells pour Citroën, qu'il rencontra l'année précédente lors de son tour d'Europe pour l'écriture de ce livre?: «?He is a compact, active man in dark clothes and a bowler hat, with a pencil and a notebook conveniently at hand. He talked to me in carefully easy French, and watched my face with an intelligent eye through his pince-nez for the signs of comprehension.?» («?C'est un homme compact, dynamique, vêtu de noir et portant un chapeau melon, gardant un carnet et un crayon toujours à portée de main. Il m'a parlé en un français facile, et guettait d'un il alerte à travers son pince-nez des signes de compréhension?», page 141). à l'immobilité du Front qu'il visite en 1916 l'écrivain oppose l'incroyable dynamisme de l'usine Citroën, véritable temple de l'industrie moderne, qu'il décrit comme «?les hangars [...] les plus actifs et vivants de toute la guerre?» («?The busy sheds of Paris struck me as being the most living and active things in the entire war machine?», page 139). Les quelques heures passées avec ce pionnier de l'ingénierie militaire eurent un impact considérable sur l'écrivain, qui sut reconnaître en lui un innovateur à son image, s'activant à la construction du monde moderne. Au sortir de la guerre, Citroën mit fin à la production d'armes et fonda la fameuse entreprise Citroën, faisant de l'usine sa toute première manufacture automobile. à l'instar d'autres personnalités comme Joséphine Baker ou Rudolph Valentino, H. G. Wells deviendra un habitué de la marque Citroën et demeura un fervent admirateur du génie de son fondateur. Réalisée à l'aube du XXème siècle, cette superbe dédicace autographe de Wells à Citroën sur l'ouvrage qui célèbre ses talents de visionnaire, témoigne de l'admiration d'un homme qui rêva le futur pour celui qui le réalisa. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, C. Georges-Bazile, (décembre) 1917. 1 vol. (130 x 220 mm) de 8 pp. Broché. Édition originale de la traduction française et première publication en volume. Exemplaire de l'éditeur et traducteur du texte, Georges-Bazile, dédicacé par Wells : " Thank you. H.G. Wells".
Texte d'une brochure éditée par le National Council of Civil Liberties, 1917, ce pamphlet elle fut immédiatement repris dans la livraison du 14 août 1917 du Daily News & Leader, un journal publié à Londres et Manchester. Elle se diffuse rapidement dans les milieux pacifistes et arrive entre les mains de son ami d'outre-manche, traducteur et éditeur de ses oeuvres précédentes, Georges-Bazile, qui traduit le texte et l'édite dans la petite maison d'édition qu'il dirige, rue de Taitbout, pendant l'hiver. Elle ne sera publiée en langue anglaise qu'en 1920, chez l'éditeur londonien des Pelican Press. La publication est signalée en mars 1918 dans la revue des Cahiers idéalistes français : "C'est bien là le titre, qu'après lecture de l'opuscule de Wells, nous eussions donné nous-même à ces pages sensées qu'on aimerait voir contresignées par quelques sociologues français". Lorsque la guerre se termine, Wells est persuadé que jamais l'humanité ne s'est trouvée devant une telle chance de prendre en main son destin et de faire passer l'utopie dans la réalité : "la situation internationale en ce moment est sans aucun doute la plus merveilleuse que le monde ait jamais connue. Il n'y a pas un seul pays au monde où la grande majorité des gens sensés ne désire pont passionnément la paix, une paix durable ; et pourtant, la guerre continue." D'un enthousiasme sans bornes, Wells passe ainsi à un état de désillusion profonde ; le grand rêve d'un monde en paix disparaît sous les coups des puissances en place. En 1923, amer, il reviendra sur cette "grand période de souffrance universelle que fut la Grande guerre, [où] on avait l'impression que l'Utopie s'approchait de la terre. A travers les nuages noirs et la fumée de ces sombres années , d'étranges éclairs d'espoir étaient apparus, promettant un monde renaissant. Mais les nationalistes, les financiers, les prêtres et les patriotes avaient réduits tous ces espoirs à néant" (in Men like Gods, 1923). Porte-parole prolixe des jeunes générations avant-guerre, Wells, au bord de la cinquantaine lorsque l'armistice est signée, aura entretemps perdu de son influence. Même si sa prédication en faveur d'un état mondial semble avoir été entendue, avec le Traité de Versailles et la création à venir de la SDN, le constats lui est amer et sa pensée, profondement utopiste, allait venir se fracasser sur le "nouveau monde" qui, bouleversé par le conflit, s'ouvrait aux peuples. La SDN est rapidement désertée par les américains et, surtout, faisant, de bâtir un état mondial. L'heure est toujours pour lui, sans rien attendre ni des Etats-Unis, ni de quiconque d'ailleurs, un monde meilleur, en bâtissant les fondations essentielles sur le savoir. Pour Wells, toujours, l'éducation est le problème fondamental de toute société en crise : la paix passe par le savoir, seul capable d'enrayer le chaos. Rare publication et véritable édition originale du texte en volume.
Édition originale de la traduction française et première édition illustrée, par Alvim Corrêa. Tirage unique à 500 exemplaires. Spectaculaire reliure de Frère Claes. Bruxelles, Vandamme et Co., (10 mai) 1906. 1 vol. (280 x 320 mm) de 234 p., [6] f. et 32 hors-texte. Reliure à plats rapportés en polycarbonate, décor sur les quatre plats, doubles gardes de papier japon noir, couvertures conservées, emboîtage à décor en polycarbonate (Reliure signée Edgar Claes 30 avril 2017). Édition originale de la traduction française par Henry-D. Davray et première édition illustrée, par Alvim Corrêa. Tirage unique à 500 exemplaires numérotés, celui-ci exemplaire de passe (non justifié et non signé). 32 dessins à pleine page imprimés, sur papier gommé crème et 101 gravures dans le texte.
C'est la toute première édition à être illustrée, huit ans après la première publication. L'édition originale anglaise, parue en 1898, ne comportait pas d'illustrations. Il est à noter néanmoins que la pré-originale (dans le mensuel Pearson's Magazine, en 1897) fut illustrée de quelques dessins par Warwick Goble, dont Wells fut déçu - principalement pour la manière dont l'artiste représenta les martiens. Superbe édition illustrée par l'artiste brésilien Alvim Corrêa. Né dans une famille aristocratique, Alvim Corrêa quitte Rio de Janeiro pour s'installer à Lisbonne avec sa famille, puis à Paris. En 1894, il commence ses études artistiques avec Jean Baptiste Edouard Detaille (1848-1912), célèbre peintre de thèmes militaires, et fréquente, l'année suivante, l'atelier de Jean Jacques Brunet. Épris de Blanche Fernande Barbant - la fille du graveur Charles Barbant -il se marie avec elle, contre la volonté de sa famille, laquelle lui coupe les vivres. N'importe, il part s'installer avec sa femme à Bruxelles, où il ouvre un atelier. Pour joindre les deux bouts, Corrêa doit faire dans la décoration murale, le dessin publicitaire, la caricature et les dessins érotiques, qu'il signe sous le pseudonyme de Henry Lemort. C'est à Bruxelles qu'il découvre, en 1903, le roman de Wells et décide de traverser la Manche pour lui rendre visite et lui proposer de l'illustrer. Après quelques croquis d'essais, Wells n'hésite pas : c'est d'accord. Il faudra à l'artiste un peu plus de deux ans pour réaliser les 137 illustrations de l'ouvrage, qu'il vient présenter à Londres en 1905. Wells est ébloui : « Alvim Corrêa a plus fait pour mon travail avec son pinceau que moi avec ma plume. » C'est une totale réussite ; dans ses illustrations, Corrêa réussit à restituer l'étrange débarquement et la peur croissante, avec des trépieds martiens caricaturaux qui surplombent des paysages réalistes. Collant au plus près du texte de Wells, il joue sur des tons contrastés, très ombrés, avec peu de personnages ; imaginant une invasion de Martiens agressifs, aux têtes démesurées et tentaculaires supportées par d'immenses tripodes de métal, qui réduisent en cendres la campagne anglaise au rayon ardent et pompent le sang humain. Pour rendre Londres vidée de toute vie, il représente des bâtiments avec des yeux ronds à la place des fenêtres. Un visionnaire, tant les films modernes copieront ce modèle pour plusieurs adaptations mettant en scène les créatures de l'espace - au premier rang celles de Steven Spielberg, dont on murmure qu'il est l'acquéreur anonyme des planches originales, mises aux enchères à Dallas en 2015, pour 500 000 $. La présente édition offre la traduction donnée par Henry-Durand Davray, l'ami de longue date de Wells, parue en pré-originale dans le Mercure de France (du n° 120 de décembre 1899 au n° 123 de mars 1900) et, à sa suite, en volume aux éditions du même nom. Chef-d'oeuvre de l'illustration et chef-d'oeuvre de science-fiction. Remarquable reliure du frère Croisier Edgard Claes, qui a composé, au sein de son atelier au creux du monastère de Denderleeuw, une oeuvre remarquable, raffinée et rayonnante : un contrepoint multicolore aux illustrations de Corrêa et à l'agressivité des envahisseurs, rendus ici bien plus sympathiques après leur traitement au polycarbonate et à l'aérographe du maître !
Les Editions du Progrès Civique à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1921 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise In-8 1 vol. - 203 pages
1ere édition, 1921 Contents, Chapitres : Préface de Maxime Leroy, xxxii, Texte, 171 pages - L'effondrement de Petrograd - Epaves et sauveteurs - La quintessence du Bolchévisme - L'effort créateur en Russie - Le rêveur du Kremlin - Conclusion - Les articles qui composent ce volume ont été publiés initialement dans le Progrès Civique, dans les numéros allant de 65 à 71 - Herbert George Wells, plus connu sous la signature H. G. Wells, né le 21 septembre 1866 à Bromley dans le Kent (Royaume-Uni) et mort le 13 août 1946 à Londres, est un écrivain britannique surtout connu aujourd'hui pour ses romans de science-fiction. Il fut cependant également l'auteur de nombreux romans de satire sociale, d'uvres de prospective, de réflexions politiques et sociales ainsi que d'ouvrages de vulgarisation touchant aussi bien à la biologie, à l'histoire qu'aux questions sociales. Il est considéré comme le père de la science-fiction contemporaine. - Jusque dans les années 1930, Wells resta convaincu de la nécessité de créer un État-Monde. Dans cette perspective, il accueillit avec enthousiasme les tentatives de Lénine de reconstruire l'économie russe, comme il le rapporta dans Russia in the Shadows (1920). Au départ, H. G. Wells pensait que Lénine pourrait engager la construction du monde planifié dont il rêvait, même s'il était lui-même socialiste foncièrement anti-marxiste, allant jusqu'à affirmer que le monde se porterait mieux si Karl Marx n'avait jamais existé. Ensuite, la politique de Joseph Staline le conduisit à changer de point de vue sur l'Union soviétique, bien que sa première impression sur Staline fût plutôt mitigée. Il n'appréciait pas ce qu'il considérait être chez Staline une orthodoxie obtuse, mais il fit tout de même l'éloge de ses qualités, disant qu'il n'avait « jamais rencontré un homme plus juste, plus candide et plus honnête », rejetant ainsi la sombre réputation de Staline comme injuste, voire fausse. Il n'en jugeait pas moins la manière de gouverner de Staline bien trop rigide, ne laissant aucune place à la moindre pensée indépendante, et trop obtuse pour réellement mener à la Cosmopolis qu'il appelait de ses vux. Maxime Auguste Joseph Laurent Léon Leroy, né le 28 mars 1873 et mort le 15 septembre 1957, est un juriste et historien social français, qui entretenait une correspondance avec H.-G. Wells (source : Wikipedia) infime déchirure sans manque sur le haut du mors du plat supérieur, la couverture reste en bon état avec quelques rousseurs discretes, l'intérieur est propre, papier legerement jauni, cela reste un bon exemplaire
La première traduction française de La Guerre des Mondes et la première édition illustrée de ce texte majeur de la science-fiction. Jette-Bruxelles, L. Vandamme, 1906. Grand in-4 de 237 pp. y compris 32 illustrations à pleine page, (10) pp. Nombreuses illustrations dans le texte, qq. ff. piqués. Conservé dans la brochure illustrée de l’éditeur, témoins. 330 x 260 mm.
Précieuse édition tirée à 500 exemplaires seulement, illustrée de 32 planches à pleine page et de 101 gravures dans le texte. Il s’agit de la première édition illustrée dans la mesure où la première anglaise parue en 1898 ne comportait pas d’illustrations. La première publication de La Guerre des Mondes dans le périodique mensuel Pearson’s Magazine, en 1897, fut illustrée par Warwick Goble. Wells ne fut pas satisfait de cette illustration, très déçu de la manière dont l’artiste représenta les martiens. La première édition anglaise à paraitre sous forme de livre en 1898 ne fut pas illustrée. Alvim Corrêa (Rio de Janeiro 1876 - Bruxelles 1910), un artiste brésilien vivant en Europe, étudie l’art auprès d’Edouard Detaille à Paris et s’installe ensuite à Bruxelles. En 1903, il lit le roman de Wells et est tellement bouleversé par sa lecture qu’il commence aussitôt à illustrer le texte. Il se rend à Londres en 1905 afin de soumettre à Wells sa vision de ‘The War of the Worlds’. Wells est très enthousiasmé et il lui donne son accord. Il faudra deux ans à Corrâ pour réaliser les illustrations de l’ouvrage. Il mourra quelques années plus tard, rongé par la tuberculose. De cette œuvre exceptionnelle, Wells dira: «Alvim Corrêa a plus fait pour mon travail avec son pinceau que moi avec ma plume» ("Alvim-Corrêa did more for my work with his brush than I with my pen"). La présente édition offre la traduction donnée par Henry-Durand Davray, l’ami de longue date de Wells. Il s’agit de la première traduction en français de La Guerre des Mondes. Chef-d’œuvre de l’illustration et chef-d’œuvre de science-fiction. Précieux exemplaire conservé dans la rare brochure illustrée de l’éditeur de cet ouvrage très recherché pour la beauté de ses illustrations.
H. G. Wells / / Wells G. G. Activities of the Reaction of Mechanical and Scientific Progress Upon Human Life and Thought. Predictions of the Impact of Technological and Scientific Progress on Human Life and Thought. The Discovery of the Future. In Russian (ask us if in doubt)/H. G. Wells // Uells G.Dzh. Anticipations of the Reaction of Mechanical and Scientific Progress Upon Human Life and Thought. Prognozy vliyaniya tekhnicheskogo i nauchnogo progressa na chelovecheskuyu zhizn i myshlenie. The discovery of the future.Otkrytie budushchego. Leipzig / London Bernhard Tauchnitz / T.Fisher Unwin 1902. 286 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbc9a35953c3cac3a0
Paris, René Kieffer, 1927. 1927 1 vol. in-8° non rogné (205 x 150 mm) de : [4] ff. (couverture conservée, faux titre, collection, titre) ; VII (introduction) ; 189 pp. (dont table) ; 20 illustrations hors-texte en double (une en couleur suivie dune autre en noire et blanc) de Camis. Exemplaire (n° 824) parmi les 1 000 premiers sur vélin teinté de cuve. Cartonnage éditeur à la Bradel, plats recouverts de motifs de coeurs, livres, étoiles et parchemins dorés répétés sur fond marron, dos lisse titré et orné, couvertures conservées.
Edition française richement illustrée du premier roman de Herbert George Wells (1866-1946), écrivain britannique de renom. Auteur de satires sociales, d'uvres de prospective, de réflexions politiques et sociales ainsi que d'ouvrages de vulgarisation sur la biologie, l'histoire ou encore les questions sociales, H. G. Wells est avant tout connu pour ses romans de science-fiction qui en ont fait le père de la science-fiction contemporaine. Ce court roman, publié en 1895, est considéré comme un classique du genre et plus précisément du voyage dans le temps. Il sera adapté plusieurs fois au cinéma, au théâtre ou en bande dessinée. Il est aussi une source dinspiration majeure de nombreuses uvres à succès du XXème siècle. Dans ce roman, lauteur pose les jalons du voyage dans le temps tout en développant une réflexion politique et sociale. Le récit de cette uvre phare traduit par Henry-D. Davray est illustré de 20 planches à pleine page doublées de Camis. Bel exemplaire. 1 vol. 8vo untrimmed (205 x 150 mm) of : [4] ff. (cover preserved, false title, collection, title); VII (introduction); 189 pp. (including table); 20 double off-text illustrations (one in color followed by another in black and white) by Camis. Copy (no. 824) among the first 1,000 on vat-tinted vellum. Bradel-style publisher's cardboard, boards covered with gold hearts, books, stars and scrolls repeated on a brown background, smooth spine titled and decorated, covers preserved. Richly illustrated French edition of the first novel by renowned British writer Herbert George Wells (1866-1946). The author of social satire, futurology, political and social commentary and popular works on biology, history and social issues, H. G. Wells is best known for his science fiction novels, which made him the father of contemporary science fiction. This short novel, published in 1895, is considered a classic of the genre, and more specifically of time travel. It has been adapted several times for film, theater and comic strip. It was also a major source of inspiration for many successful 20th-century works. In this novel, the author lays the foundations for time travel, while at the same time developing a political and social reflection. The story of this seminal work, translated by Henry-D. Davray is illustrated with 20 full-page plates lined by Camis. A fine copy.
Paris La Connaissance. Collection "Les Bijoux typographiques" n°3 1926 In-12 carré en feuilles, couverture rempliée Edition originale.
Première édition française de ce conte de Wells, traduit par sa maîtresse, la journaliste et femme de lettres néerlandaise Odette Zoé Keun. Belle impression en noir et bleu. Tirage unique à 150 exemplaires numérotés sur Canson Montgolfier. > La traductrice fut pendant neuf ans la compagne de Wells, qui lui dédia The World of William Clissold (1926) et avec qui avec qui elle vécu à Lou Pidou, une maison qu'ils ont construit ensemble à Grasse. Après leur rupture, l'écrivain la décrit sous un jour peu flatteur dans "Apropos of Dolores" (1938). Très bon 0
Watson, Roasmund Marriott (selected by). H. G. Wells Wells, Herbert George (1866-1946). Tomson, afterwards Marriott Watson, Rosamund
Reference : CCC001df
(1911)
183. edition Frank Palmer, London, 1911. Couverture souple. État : Assez bon. In-12 11.5 X 17 cm . Broché , 104 pages avec frontispice photo du portrait de Wells. Cet ouvrage est complet et imprimé en noir et vert. les plats sont légérement froissé, mais interieur tres bon, texte en anglais. Photos possibles. In-12 11.5 X 17 cm . Paperback , 104 pages with frontispiece portrait photo of Wells. This book is complete and printed in black and green. the dishes are slightly wrinkled, but inside very good text in English. Photos available
Pas de frais de port
Jette-Bruxelles, L. Vandamme & Co, 1906, in-folio, 234-[10] pp, 32 pl, Broché, couverture imprimée de l'éditeur, PREMIÈRE ÉDITION française et première édition illustrée, rare et recherchée, limitée à 500 exemplaires numérotés. Exemplaire de passe, numéroté au composteur (95) et non signé par l'artiste. L'ouvrage comporte 32 hors texte et plus de 100 illustrations dans le texte, constituant l'iconographie la plus célèbre de The War of the Worlds. H. G. Wells (1866-1946) choisit lui-même le travail du peintre brésilien Henrique Alvim Corrêa (1876-1910), après avoir jugé qu'il était supérieur aux illustrations de Warwick Goble. Importantes rousseurs. Manques en tête en en pied du dos, charnières fragiles. Monod n° 11494. Couverture rigide
Bon 234-[10] pp., 32 pl.
Londres, Henry S. King, 1876 in-8, ix pp., un f. n. ch., 355 pp., avec des illustrations dans le texte et 15 planches hors texte, dont un frontispice, une carte dépliante en couleurs, et une coupe du navire, également en dépliant, percaline verte, dos et plats ornés de décors noirs et or (reliure de l'éditeur).
Seconde édition (la première est de 1873) de cette relation d'une expédition polaire centrée sur le Spitzberg, et qui abonde en détails zoologiques sur la faune. John Campion Wells était officier de la Royal Navy, mais il effectua apparemment cette traversée sur un baleinier.Un seul exemplaire au CCF (BnF pour l'édition de 1873). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Herbert George WELLS. Une tentative d'autobiographie. Découvertes et conclusions d'un cerveau très ordinaire. 1936, Gallimard, Paris. 1 vol. in-8 (14x19cm), broché de 525 pages. Bel exemplaire, non coupé. Rare édition originale de la traduction Française, un des 20 exemplaires de tête numéroté sur Alfa des papeteries Lafuma. Seul grand papier avec les 10 exemplaires hors-commerce sur le même papier. Très bon
H.G WELLS (Herbert George). ADOLF HOFFMEISTER (illustrations). PRVNI LIDE NA MÊSICI / THE FIRST MEN IN THE MOON. 1964, SNKLHU, Praha. 1 vol. in-8 format Oblong (à l'italienne) relié de 152 pages. Original binding and dust-jacket and rhodoïd. In Very good condition. Reliure pleine toile blanche et bleue style "avant-garde", dos avec titre en noir. Exemplaire complet de sa jaquette blanche bleue et argentée illustrée, et de son rhodoïd. llustrated by famous Czech artist Adolf Hoffmeister (Collages). First Czech edition of The first men in The Moon (1902), text in the Czech language. PREMIÈRE ÉDITION TCHÈQUE, ILLUSTRÉE DE COLLAGES EN COULEURS DE ADOLF HOFFMEISTER. RARE. EXCELLENT ÉTAT. Très bon
Mercure de France Broché D'occasion état correct 01/01/1958 279 pages
Wells Herbert George Kozakiewicz Bronislaw Davray Henry D.
Reference : BZC9GM
ISBN : B0019TW8W4
Société du eMercure de Francee Broché D'occasion bon état 01/01/1906 258 pages
Wells G. 50 000 years ago. Stone Age story. In Russian (ask us if in doubt)/Uells G. 50 tysyach let tomu nazad. Rasskaz iz kamennogo veka.. Translated from Nikolai Morozovs English by St. Petersburg Pantheon 1909. 136s. SKUalb3d54d5b87df8f185.
Wells G. The newest accelerator. In Russian (ask us if in doubt)/Uells G. Noveyshiy uskoritel.. Stories. Science fiction and adventure library series Drawings by Mikhail Getmansky. Preface by Kirill Andreev. Moscow-Leningrad Detgiz 1944. 40 p. SKUalbd5505509dcfd1d84.
Wells G. A collection of essays 15t. In Russian (ask us if in doubt)/Uells G. Sobranie sochineniy 15t.. The Truth of 1964. SKUalbfa960c1a74cd70c8.
Wells G. The Invisible Man. In Russian (ask us if in doubt)/Uells G. Chelovek-nevidimka.. Peter D. Gorfinkel. Ill.N. Travina. M.-L.: Detlit 1940. 192 4 p. SKUalb4816c0df25d0410a.
Wells G. The Struggle of Worlds (War of Worlds). In Russian (ask us if in doubt)/Uells G. Borba mirov (voyna mirov).. M. Universal Library 1919. Life Edition. SKUalb52a856f129e7409d.
Wells G. Plattners Story. In Russian (ask us if in doubt)/Uells G. Istoriya Plattnera.. Stories. Translated by M. Irskaya. Illustrations by A. Naletov and L.: Around the World 1928. 163s. SKUalb99fe65038261bc69.
Wells G. Stories of Space and Time. In Russian (ask us if in doubt)/Uells G. Rasskazy o prostranstve i vremeni.. Leningrad Krasnaya Gazeta. 1928. 232 p. SKUalbaee55dfb6f5d355d.
# AUTEUR: H.G. Wells # ÉDITEUR: Mercure de France # ANNÉE ÉDITION: 1904 # COUVERTURE: imprimée jaune. # DÉTAILS: In 12° broché 364pp+ 3ff + 12pp (Wells et la critique)+ 8pp (bleues du catalogue). Edition originale française (fausse mention de 2eme). Son 1er best seller paru en 1901.Son oeuvre la plus explicitement futuriste parue en magazine et en épisodes. Envoi autographe du traducteur H.D. Daubray. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: bon, rousseurs au 1er plat