Prentice Hall & IBD 1996 21x26x2cm. 1996. Relié. 349 pages. Bon Etat intérieur propre
Le livre de poche 1986 poche. 1986. broché. 253 pages. C'est en hiver que l'étranger s'est installé à l'auberge du village d'Iping. Ses bandages qui lui enveloppent entièrement la tête sauf le nez d'un rouge vif lui donnent un aspect étrange assez terrifiant et les langues vont bon train. On l'aurait peut-être laissé en paix s'il n'avait pas retardé le paiement de sa note et s'il n'y avait pas eu un vol mystérieux au presbytère. Mandat est donné de l'arrêter mais comment se saisir d'un personnage qui disparaît à mesure qu'il se dépouille de ses vêtements ? Quant à l'étranger obligé d'être nu pour échapper aux poursuites il souffre cruellement du froid et de la faim. Ainsi débute l'aventure du savant qui a découvert la formule de l'invisibilité un des romans les plus célèbres de Herbert George Wells et par son invention et son humour un des chefs-d'oeuvre de la littérature fantastique Bon Etat
London, Archibald Constable and Co, 1818. 8vo. Bound uncut in a nice recent half calf binding with five raised bands with gilt lettering and ornamentation to spine. A very nice and clean copy. (6), (I)-LXXIV, (2), 439, (1) pp.
First appearance of Well's important work, which constitutes the first clear pioneering statement about natural selection. He applied the idea to the origin of different skin colours in human races, but from the context it seems he thought it might be applied more widely. Charles Darwin said: ""[Wells] distinctly recognises the principle of natural selection, and this is the first recognition which has been indicated"". (Darwin, Charles 1866. The origin of species by means of natural selection. 4th and subsequent editions, in the preliminary 'Historical sketch')In 1813, Wells read a paper to the Royal Society of London, occasioned by a white female patient with splotches of dark skin. In his paper, Wells speculated about the origin of skin color variations in humans. He suggested that long ago, there might have arisen in equatorial regions a variety of humans that were better able to resist diseases such as malaria, perhaps aided by darker skin, and they survived where other variations perished. Similarly, lighter-skinned humans might have been variations that were better able to survive in temperate and arctic regions.""Wells' paper was not printed in the Philosophical Transactions, but after he died in 1817, two of his treatises, ""On Single vision with Two Eyes,"" and ""On Dew"", were published posthumously, and Wells' brief ""Account of a white female, part of whose skin resembles that of a negro"" was added on at the very end. No one noticed, certainly not Charles Darwin, who was 9 years old at the time.Time went by, Darwin discovered natural selection on his own in the late 1830s, and he sprang it on the world in On the Origin of Species in 1859. During the year after publication, various readers noticed that certain aspects of Darwinian evolution had been anticipated by such naturalists as Étienne Geoffroy St. Hilaire, Patrick Matthew, and the anonymous author of the Vestiges. So in 1861, for the third edition of the Origin, Darwin added an ""Historical Sketch"" in which he discussed his precursors and to what extent they anticipated his own work (third image). Geoffroy St. Hilaire, Matthew, and the Vestiges all merited a paragraph in the ""Historical Sketch."" But there was still no mention of William Wells.Then, sometime before 1866, an American, Robert Rowley, drew the attention of an Englishman, Charles Loring Brace, to Wells' paper, and Rowley conveyed the information to Darwin. Darwin was apparently impressed. For the fifth edition of the Origin, he revised the ""Historical Sketch"", and he added a paragraph about Wells, in which he commented: ""In this paper he [Wells] distinctly recognises the principle of natural selection, and this is the first recognition which has been indicated."" Darwin also pointed out, quite correctly, that Wells used natural selection only to account for human races, not to explain the origin of species. But still, Wells was the only precursor of natural selection that Darwin took seriously.""( William B. Ashworth, Linda Hall Library)
Cassell and Company, LondonNew YorkTorontoMelbourne 1917, 13,5x20,5cm, reliure de l'éditeur.
Retirage de mars-avril 1917, postérieur d'un mois à l'édition originale parue en février de la même année. Reliure de l'éditeur en pleine toile rouge, dos lisse. Exceptionnel envoi autographe signé d'H. G. Wells à André Citroën?: «?To André Citröen who has to do his share in making a new world out of a very shattered old one. From H.G. Wells?» («?à André Citröen, qui contribue à créer un monde nouveau à partir d'un monde en ruines. De la part d'H.G. Wells?»). L'envoi fait un écho au chapitre du livre intitulé New arms for old ones, dans lequel Wells décrit l'usine d'armement créée par Citroën pour remédier à la faiblesse de l'artillerie française. Reconvertie à la fin de la guerre, l'usine deviendra la première manufacture d'automobiles Citroën. Superbe témoignage de l'amitié naissante entre l'industriel André Citroën et l'écrivain H.G. Wells, qui dans ce même ouvrage, consacre un chapitre à la nouvelle usine de munitions conçue par Citroën, ainsi qu'au progrès social qu'il apporta chez ses quelque treize mille «?munitionnettes?». War and the Future, ouvrage de propagande écrit au cur de la première guerre mondiale, réunit diverses observations sur le conflit en cours, soulignant le changement radical de l'art de la guerre qu'imposent les nouvelles technologies d'armement. Wells y expose sa théorie d'un nouvel ordre mondial scientifique et technique, qui imprégnait déjà ses chefs-d'uvre de science-fiction de la fin du siècle dernier (War of the Worlds, The Time Machine). De son côté Citroën, ayant compris l'importance capitale de l'artillerie dans la guerre moderne, fit le pari en 1915 de concurrencer la puissance des usines d'armement Krupp. Abandonnant son projet d'usine automobile le temps de la guerre, il construisit à ses propres frais un immense complexe industriel sur le quai de Javel, qui produisit 23 millions d'obus pour les armées alliées. War and the Future porte les marques de l'admiration de Wells pour Citroën, qu'il rencontra l'année précédente lors de son tour d'Europe pour l'écriture de ce livre?: «?He is a compact, active man in dark clothes and a bowler hat, with a pencil and a notebook conveniently at hand. He talked to me in carefully easy French, and watched my face with an intelligent eye through his pince-nez for the signs of comprehension.?» («?C'est un homme compact, dynamique, vêtu de noir et portant un chapeau melon, gardant un carnet et un crayon toujours à portée de main. Il m'a parlé en un français facile, et guettait d'un il alerte à travers son pince-nez des signes de compréhension?», page 141). à l'immobilité du Front qu'il visite en 1916 l'écrivain oppose l'incroyable dynamisme de l'usine Citroën, véritable temple de l'industrie moderne, qu'il décrit comme «?les hangars [...] les plus actifs et vivants de toute la guerre?» («?The busy sheds of Paris struck me as being the most living and active things in the entire war machine?», page 139). Les quelques heures passées avec ce pionnier de l'ingénierie militaire eurent un impact considérable sur l'écrivain, qui sut reconnaître en lui un innovateur à son image, s'activant à la construction du monde moderne. Au sortir de la guerre, Citroën mit fin à la production d'armes et fonda la fameuse entreprise Citroën, faisant de l'usine sa toute première manufacture automobile. à l'instar d'autres personnalités comme Joséphine Baker ou Rudolph Valentino, H. G. Wells deviendra un habitué de la marque Citroën et demeura un fervent admirateur du génie de son fondateur. Réalisée à l'aube du XXème siècle, cette superbe dédicace autographe de Wells à Citroën sur l'ouvrage qui célèbre ses talents de visionnaire, témoigne de l'admiration d'un homme qui rêva le futur pour celui qui le réalisa. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, C. Georges-Bazile, (décembre) 1917. 1 vol. (130 x 220 mm) de 8 pp. Broché. Édition originale de la traduction française et première publication en volume. Exemplaire de l'éditeur et traducteur du texte, Georges-Bazile, dédicacé par Wells : " Thank you. H.G. Wells".
Texte d'une brochure éditée par le National Council of Civil Liberties, 1917, ce pamphlet elle fut immédiatement repris dans la livraison du 14 août 1917 du Daily News & Leader, un journal publié à Londres et Manchester. Elle se diffuse rapidement dans les milieux pacifistes et arrive entre les mains de son ami d'outre-manche, traducteur et éditeur de ses oeuvres précédentes, Georges-Bazile, qui traduit le texte et l'édite dans la petite maison d'édition qu'il dirige, rue de Taitbout, pendant l'hiver. Elle ne sera publiée en langue anglaise qu'en 1920, chez l'éditeur londonien des Pelican Press. La publication est signalée en mars 1918 dans la revue des Cahiers idéalistes français : "C'est bien là le titre, qu'après lecture de l'opuscule de Wells, nous eussions donné nous-même à ces pages sensées qu'on aimerait voir contresignées par quelques sociologues français". Lorsque la guerre se termine, Wells est persuadé que jamais l'humanité ne s'est trouvée devant une telle chance de prendre en main son destin et de faire passer l'utopie dans la réalité : "la situation internationale en ce moment est sans aucun doute la plus merveilleuse que le monde ait jamais connue. Il n'y a pas un seul pays au monde où la grande majorité des gens sensés ne désire pont passionnément la paix, une paix durable ; et pourtant, la guerre continue." D'un enthousiasme sans bornes, Wells passe ainsi à un état de désillusion profonde ; le grand rêve d'un monde en paix disparaît sous les coups des puissances en place. En 1923, amer, il reviendra sur cette "grand période de souffrance universelle que fut la Grande guerre, [où] on avait l'impression que l'Utopie s'approchait de la terre. A travers les nuages noirs et la fumée de ces sombres années , d'étranges éclairs d'espoir étaient apparus, promettant un monde renaissant. Mais les nationalistes, les financiers, les prêtres et les patriotes avaient réduits tous ces espoirs à néant" (in Men like Gods, 1923). Porte-parole prolixe des jeunes générations avant-guerre, Wells, au bord de la cinquantaine lorsque l'armistice est signée, aura entretemps perdu de son influence. Même si sa prédication en faveur d'un état mondial semble avoir été entendue, avec le Traité de Versailles et la création à venir de la SDN, le constats lui est amer et sa pensée, profondement utopiste, allait venir se fracasser sur le "nouveau monde" qui, bouleversé par le conflit, s'ouvrait aux peuples. La SDN est rapidement désertée par les américains et, surtout, faisant, de bâtir un état mondial. L'heure est toujours pour lui, sans rien attendre ni des Etats-Unis, ni de quiconque d'ailleurs, un monde meilleur, en bâtissant les fondations essentielles sur le savoir. Pour Wells, toujours, l'éducation est le problème fondamental de toute société en crise : la paix passe par le savoir, seul capable d'enrayer le chaos. Rare publication et véritable édition originale du texte en volume.
Les Editions du Progrès Civique à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1921 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise In-8 1 vol. - 203 pages
1ere édition, 1921 Contents, Chapitres : Préface de Maxime Leroy, xxxii, Texte, 171 pages - L'effondrement de Petrograd - Epaves et sauveteurs - La quintessence du Bolchévisme - L'effort créateur en Russie - Le rêveur du Kremlin - Conclusion - Les articles qui composent ce volume ont été publiés initialement dans le Progrès Civique, dans les numéros allant de 65 à 71 - Herbert George Wells, plus connu sous la signature H. G. Wells, né le 21 septembre 1866 à Bromley dans le Kent (Royaume-Uni) et mort le 13 août 1946 à Londres, est un écrivain britannique surtout connu aujourd'hui pour ses romans de science-fiction. Il fut cependant également l'auteur de nombreux romans de satire sociale, d'uvres de prospective, de réflexions politiques et sociales ainsi que d'ouvrages de vulgarisation touchant aussi bien à la biologie, à l'histoire qu'aux questions sociales. Il est considéré comme le père de la science-fiction contemporaine. - Jusque dans les années 1930, Wells resta convaincu de la nécessité de créer un État-Monde. Dans cette perspective, il accueillit avec enthousiasme les tentatives de Lénine de reconstruire l'économie russe, comme il le rapporta dans Russia in the Shadows (1920). Au départ, H. G. Wells pensait que Lénine pourrait engager la construction du monde planifié dont il rêvait, même s'il était lui-même socialiste foncièrement anti-marxiste, allant jusqu'à affirmer que le monde se porterait mieux si Karl Marx n'avait jamais existé. Ensuite, la politique de Joseph Staline le conduisit à changer de point de vue sur l'Union soviétique, bien que sa première impression sur Staline fût plutôt mitigée. Il n'appréciait pas ce qu'il considérait être chez Staline une orthodoxie obtuse, mais il fit tout de même l'éloge de ses qualités, disant qu'il n'avait « jamais rencontré un homme plus juste, plus candide et plus honnête », rejetant ainsi la sombre réputation de Staline comme injuste, voire fausse. Il n'en jugeait pas moins la manière de gouverner de Staline bien trop rigide, ne laissant aucune place à la moindre pensée indépendante, et trop obtuse pour réellement mener à la Cosmopolis qu'il appelait de ses vux. Maxime Auguste Joseph Laurent Léon Leroy, né le 28 mars 1873 et mort le 15 septembre 1957, est un juriste et historien social français, qui entretenait une correspondance avec H.-G. Wells (source : Wikipedia) infime déchirure sans manque sur le haut du mors du plat supérieur, la couverture reste en bon état avec quelques rousseurs discretes, l'intérieur est propre, papier legerement jauni, cela reste un bon exemplaire
H. G. Wells / / Wells G. G. Activities of the Reaction of Mechanical and Scientific Progress Upon Human Life and Thought. Predictions of the Impact of Technological and Scientific Progress on Human Life and Thought. The Discovery of the Future. In Russian (ask us if in doubt)/H. G. Wells // Uells G.Dzh. Anticipations of the Reaction of Mechanical and Scientific Progress Upon Human Life and Thought. Prognozy vliyaniya tekhnicheskogo i nauchnogo progressa na chelovecheskuyu zhizn i myshlenie. The discovery of the future.Otkrytie budushchego. Leipzig / London Bernhard Tauchnitz / T.Fisher Unwin 1902. 286 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbc9a35953c3cac3a0
Livre de poche 1964 poche. 1964. broché. 437 pages. Bon état
Mercure de france 1904 in12. 1904. broché. Etat correct d'usage interieur propre couverture fanée
Payot 1920 in12. 1920. Broché. 246 pages. Mauvais Etat mais complet ( voir scan ) sans manque vendu en l'etat
Slatkine et cie 2017 15x23x2cm. 2017. Broché. 285 pages. Bon Etat intérieur propre
Gallimard 1972 11x18x1cm. 1972. Broché. 252 pages. Bon Etat intérieur propre
Leipzig / bernhard taucnitz 1909 in12. 1909. Broché. 279 pages. Etat Correct exemplaire usagé
Leipzig / bernhard tauchnitz 1908 in12. 1908. Broché. 302 pages. Etat Correct couverture usagée
Gallimard / serie noire n° 1135 1967 poche. 1967. Broché. Bon Etat intérieur propre
Gallimard / blanche 1938 in12. 1938. Broché. 138 pages. Etat Correct couverture usagée exemplaire non coupé