VLADY Marina / VALLIER Hélène / VERSOIS Odile
Reference : R160042625
(1979)
ISBN : 2859561099
RAMSAY Image. 1979. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 227 pages. Illustré en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
VLADY MARINA / VALLIER Hélène / VERSOIS Odile
Reference : R260181977
(2013)
ISBN : 2213661456
FAYARD - MAME. 2013. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 113 pages. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
VLADY (Marina), Hélène Vallier, Odile Versois, Olga Baïdar-Poliakoff.
Reference : 106698
(1979)
Ramsay, 1979, gr. in-8°, 222 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état. Première édition
Le récit des quatre soeurs Poliakoff. Espoirs et incertitudes, drames et bonheurs... Le chanteur d'opéra Vladimir de Poliakoff et la danseuse étoile Militza Envald, émigrés de Russie en France après la Révolution de 1917 ont quatre filles. Olga, née en 1928, appelée un temps Laure Thierry, puis Olga Varen, réalisatrice de télévision ; Tania, 1930-1980, actrice sous le nom d'Odile Versois, elle meurt d'un cancer ; Militza, 1932-1988, actrice sous le nom d'Hélène Vallier ; Marina, née en 1938, actrice sous le nom de Marina Vlady. En 1979, les quatre soeurs publient en commun Babouchka, livre de souvenirs, rédigé par Loly Clerc. — "Faisons un livre ! Oui, faisons un livre. Pour raconter ce que nous sommes vraiment: des comédiennes et des femmes. Des femmes à qui il est arrivé tout ce qui arrive aux autres et même un peu plus. Des comédiennes avec une carrière riche et longue, plus longue que la moyenne. Un livre pour dire l'amour de nos parents, la présence de notre mère et l'image de notre père. Un livre qui parle de quatre petites filles, deux brunes et deux blondes qui vivaient heureuses, rue d'Alsace, à Clichy, et eurent beaucoup d'enfants. Alors, nous nous sommes racontées à bâtons rompus devant un magnétophone. Parfois, nous avons dû nous interrompre parce que c'était trop dur, le chagrin et les larmes nous étouffaient. Il fallait attendre: certaines blessures que nous avions crues cicatrisées se rouvraient. Le titre nous a paru s'imposer de lui-même : Babouchka ! C'est maman, babouchka pour ses petits-enfants, et bientôt nous-mêmes pour les enfants de ceux-ci. Mais nous aurions pu l'intituler Matriochki, du nom de ces poupées russes en bois qui se ressemblent comme des soeurs et s'emboîtent les unes dans les autres, les unes libèrent les autres ou les emprisonnent. Illusions qui vont et viennent, pages tournées, amours et plaisirs renouvelés, chagrins oubliés ou inconsolés... Comment notre vie ne leur ressemblerait-elle pas?"