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‎Les Bucoliques. Lithographies originales en couleurs de Jacques Villon.‎

‎Paris Scripta et Picta 1953 In-4, en feuilles, couverture imprimée (emboîtage de léditeur).Édition originale de la traduction de Paul Valéry et de sa préface Variations sur les Bucoliques, illustrée par Jacques Villon de 44 lithographies originales en couleurs et dun cul-de-lampe en noir. Tirage limité à 269 exemplaires numérotés. Un des 245 exemplaires sur vélin dArches.‎

‎Les Bucoliques de Virgile. Lithographies originales en couleurs de Jacques Villon.‎

‎ 1953 Paris, Scripta & Picta, 1953. 40 x 30 cm, in-folio, XX (II) pp. + 126 pp. + 5 ff. n. ch. + 2 ff. bl., 45 lithographies originales, dont 44 en couleurs, y compris le frontispice, et un culispice en noir, en feuilles sous couverture de papier bleu pâle portant au premier plat le titre et une vignette or en relief, chemise et étui de l'éditeur.‎

7 Images

‎Edition originale de la traduction et de la préface de Paul Valéry. L'un des 245 exemplaires sur vélin d'Arches, seul papier avec 24 sur Japon (n° 63), celui-ci enrichi d'une LITHOGRAPHIE ORIGINALE à pleine page SIGNEE ET NUMEROTEE de Jacques Villon, non annoncée au colophon (portrait de Paul Valéry, n° 69/80). Les images ont été dessinées sur pierre en couleurs par Jacques Villon qui a gravé de sa propre main chaque couleur sur une pierre différente. Edition établie par le collectionneur, bibliophile et néanmoins pédiatre Alexandre Roudinesco. Quelques légères ombres, très bel exemplaire. (MONOD, 11330 ; KARAISKAKIS, 446) ‎

‎Les Bucoliques de Virgile.‎

‎ Paris, Scripta & Picta, 1953. Un fort vol. au forma tin-folio (383 x 289 mm) de xxx - 126 pp., en feuilles, sous couverture titrée et étui-chemise cartonné, dos lisse, titre doré en long.‎

‎ Edition originale. Tirage unique à 269 exemplaires seulement. Celui-ci comptant parmi les 245 numérotés du tirage sur vélin d'Arches, second papier après seulement les 24 de tête sur Japon nacré. Il s'agrémente - ici en premier tirage - des superbes compositions originales en couleurs de Jacques Villon, lithographiées sur les presses de Mourlot Frère. ''L'oeuvre gravée de Jacques Villon marque une date dans l'histoire de cette technique. L'importance accordée à la lumière, le sens de la construction et de l'unité de l'espace n'ont cessé de préoccuper l'artiste tout au long de sa carrière. (in Bailly-Herzberg, citant la présente contribution de l'artiste). En 1913, Villon crée ses chefs d’œuvre cubistes, sept grandes pointes sèches où les formes se cassent en plans pyramidaux obscurcis. La même année, il expose au célèbre Armory Show de New York, qui contribue à introduire l'art moderne aux États-Unis. Ses œuvres connaissent une grande popularité et se vendent sans peine. Sa notoriété grandit tellement que dès les années 1930, il est mieux connu aux États-Unis qu’en Europe. La galerie Louis Carré organise une exposition de son œuvre à Paris en 1944, à la suite de quoi il reçoit des récompenses dans un certain nombre d’expositions internationales. En 1950, il reçoit le prix Carnegie et, en 1954, il est nommé commandeur de la Légion d'honneur. L'année suivante, il reçoit la commande des vitraux de la cathédrale à Metz, La France. En 1956, le grand prix de la Biennale de Venise lui est décerné à l’exposition. Les plus grandes réalisations de Villon en gravure sont sa création d’une langue purement graphique pour le cubisme, une réalisation dont aucun autre graveur, y compris ses camarades cubistes Picasso ou Braque, ne pourrait se vanter. Un caractère Didot a spécialement été fondu pour cette édition par la Fonderie Peignot. ''Il m'a été demandé par un de mes amis, au nom de quelques personnes qui veulent en faire un beau livre, de traduire à ma façon Les Bucoliques [...]''. Bénézit X, Dictionnaire des peintres, p. 517 - Bailly-Herzberg, Dictionnaire de l'estampe en France, p. 335. Petite fente affectant une coupe du coffret. Dont les plats présentent par ailleurs d'infimes frottements. Quelques serpentes effrangées. Nonobstant, très belle condition. ‎