A Paris, chez Gervais Clousier, 1648. 3 parties en 1 vol. in-4 de (8)-276 pp. ; (4)-179 pp. ; (4)-150-(6) pp., veau brun glacé, dos orné à nerfs, double filet doré sur les plats (reliure de l'époque).
Première édition du recueil des voyages de Vincent Le Blanc rédigé par Bergeron et Coulon à partir de ses mémoires. Vincent Le Blanc s'est certainement inspiré de relations authentiques, mais dans son livre la part du merveilleux et du romanesque est importante.Vincent Le Blanc (1554-v.1640) est présenté comme un voyageur marseillais qui se serait rendu à aux quatre coins du monde depuis l'âge de 12 ans jusqu'à ses 60 ans. L'ouvrage commence par son embarquement pour le port d'Alexandrie, sa première destination : Partis de Marseille, nous prîmes le vol d'Alexandrie, & eûmes le vent si favorable, que nous y arrivâmes en peu de jours. Il visite ensuite l'Asie (Bornéo, Inde, Birmanie, Indonésie), les Amériques (Pérou, Canada, Brésil, Mexique, Cuba, Antilles, etc.), le Moyen-Orient (Égypte, Syrie, Liban), l'Afrique (Éthiopie, Maroc, Libye, Mozambique, Zanzibar), les principaux pays européens. Ainsi, il nous donne les descriptions de chaque lieu visité.« Marchand, marin, mercenaire, Vincent Leblanc a quitté Marseille en 1567 pour soixante ans de voyages dans les quatre parties du monde. À son retour, il rédige de longs mémoires qu’il fait parvenir, non sans réticences, à Peiresc. Ce dernier en confie l’édition à Pierre Bergeron, qui les remanie, les enrichit de références, supprime les élucubrations de Vincent Leblanc niant la rotondité du monde et en fait un best-seller publié en 1640. Les mémoires autographes, conservés à la Bibliothèque nationale, sont eux-mêmes un feuilleté d’observations, de réminiscences livresques, de plagiats, un roman picaresque aussi, et construisent des pays utopiques aux marges du monde réel, « allotopies » comme le Pégou (Birmanie), résumé du monde indien, ou le Caramel (Paraguay), synthèse entre Brésil des Tupinambas et société inca. Ces royaumes et ces villes chimériques que l’éditeur n’a pas éliminés, parcelles d’un monde virtuel, passent dans le savoir géographique jusqu’au xixe siècle » (Henri Bresc).Bon exemplaire, trace mouillure marginale au début et à la fin du volume., coiffes restaurées.Gay, 218 ; Chadenat, 1149 ; Borba de Moraes, 460 ; Sabin, 39591 ; Leclerc, 861; Cordier B1, 122.
Balzac, Mérimé, Stendhal, Napoléon, St. Vincent de Paul, Casanova, Edgar Poe, Paul de Molènes, Henry IV, Ch. Baudelaire.
Reference : 31668
(1944)
Maxilien Vox, 1944/1945, Collection "Brins de Plume", In/6 broché, oblong, couverture remplié, tirage mille exemplaires sur B.F.K. Rives tiré pard Daniel-Luxe à Lille pour Union Bibliophile de France, tirage numéroté. N° 1 Les Caprices de la Gina, par H. de Balzac, texte retrouvées par Marcel Bouteron, 63 pages (tache sur la couverture) - N° 2.- Viccolo di madama Lucrezia, par Mérimée 74 pages - N° 3 Vanina Vanini : chronique italienne, par Stendhal, 80 pages - N° 4 Lettres de Napoléon à Joséphine, 56 pages - N° 5 L'Évangile selon Saint Vincent de Paul d'après les entretiens spirituels, 56 pages - N° 6 Mon cher Casanova : lettres d'amour, de Manon Balletti, 58 pages - N° 7 Le Corbeau, par Edgar Allan Poe ; traduit par Ch. Baudelaire, 58 pages - N° 8 Réflexions sur l'Imitation de N.S.J.C., par Paul de Molènes ; (préf. de Barbey d'Aurevilly et postface par le général du Barail) 56pages - N° 9 - Lettres d'Henry IV à Corysande : 1585-1597, 56 pages - N° 10 Mon coeur mis à nu : journal intime, par Ch. Baudelaire, 69 pages.
Troyes, Pierre Du Ruau, s.d. (c. 1628). In-8 de 63-(1) ff.Les Propheties de M. Michel Nostradamus. Centuries VIII. IX. X. Qui n'avoient esté premierement Imprimées : & sont en la mesme edition de 1568. Presages tirez de ceux faicts par M. Nostradamus, és années 1555 & suivantes jusques en 1567. Predictions admirables pour les ans courans en ce siecle. 64 ff.Recueil des Propheties et Revelations, tant Anciennes que Modernes. 62 ff. (dernier feuillet mal chiffré 65) (2) ff. table.3 parties en 1 vol. petit in-8 (105 x 165 mm), vélin (reliure de l'époque).
Édition troyenne sortie des presses de Pierre Du Ruau (1577-1642, imprimeur-libraire actif de 1626 à 1634) ornée d'une vignette de titre à la sphère armillaire. « Les éditions Du Ruau poursuivent l'exercice de compilation engagé par les éditions troyennes Chevillot, imprimées une quinzaine d'années auparavant sous la régence de Marie de Médicis et de son ministre Concino Concini. Elles y ajoutent diverses pièces, et notamment les "Presages tirez de ceux faicts par M. Nostradamus" qui sont les quatrains des almanachs commentés par Chavigny dans son Janus. L'influence de ces éditions composites sera considérable puisqu'on en retrouve l'organisation dans de nombreuses éditions modernes. Hormis le Recueil des Propheties et Revelations qui a été abandonné car il n'a clairement pas été écrit par Nostradamus, ces éditions en reprennent la plupart des pièces, y compris les plus suspectes, notamment quelques quatrains de l'édition parisienne Roffet prétendûment adressés à Catherine de Médicis, les sizains de Vincent Sève, et quelques pièces controuvées rajoutées ici et là pour répondre à des inquiétudes et influer sur le destin politique immédiat. (…) La plupart des éditions Du Ruau connues et datées l'ont été entre 1625 et 1630 (cf. Betz, 1981). Mais cet imprimeur à la carrière éphémère aurait continué son exercice au moins jusqu'en 1634. (…) Ce serait durant ces années (1625-1634) que seraient parus au moins quatre éditions ou retirages Pierre du Ruau (…) » (Patrice Guinard).Ex-libris moderne. Déchirure en coin du feuillet 12 de la partie II avec perte de quelques lettres, feuillet de titre sali (biffures à l'encre du temps), quelques pâles mouillures, gardes renouvelées, petit accident sur la coupe.Chomarat, 188 ; Ruzo, n°52A ; Corpus Nostradamus, Patrice Guinard, Les éditions troyennes Pierre du Ruau (c. 1627-1631), 115C.
Robert Morel, Editeur, 1970. Fort In/12 carré de 413 pages, feutrine rouge et titre en noir (titre usé). Edition originale.
Paris, François Babuty, 1734. 5 tomes en 6 vol. in-12 de XII-599 pp. 8 pp. de catalogue ; (4)-472 pp. ; (4)-451 pp. ; [tome IV en 2 vol. à pagination continue:] (8)-710 pp. ; (8)-606-(1) pp., maroquin bleu nuit, dos à nerfs orné à petit fers, triple filet doré d’encadrement sur les plats, fleuron répété aux angles, roulette intérieure, tranches dorées (reliure de l'époque).
Édition originale. Prêtre de l'Oratoire et moraliste renommé, l'abbé Duguet (1649-1733) se rattache à Port-Royal, proche de Racine, mais aussi de Mme de La Fayette dont il fut le directeur spirituel. En 1690, il prend ses distances avec les jansénistes les plus extrêmes. Retiré en Savoie, il y écrivit une Institution d'un prince, traité politique à l'intention du duc héritier, qui ne fut publié qu'après sa mort, en 1739. Abbé de la Vieuville de 1688 à 1726, docteur en Sorbonne (1693), Jacques-Vincent Bidal d'Asfeld (1664-1745) était un proche de Jacques Joseph Duguet, avec qui il écrivait. En 1721, ses positions théologiques lui valurent une lettre de cachet. Élégante reliure de l’époque attribuable à l'atelier de Luc-Antoine Boyet (v. 1658-1733) dont les deux soleils poussés dans l'entrenerf tomé des trois premiers volumes sont caractéristiques (Esmerian II-1, p. 100, n°65) ; le fer en forme de trèfle quadrilobe tigé répété aux quatre angles de chaque plat et repris dans les entrenerfs du dos provient de l’atelier Antoine Ruette (Esmerian II-2, annexe A-VI) auquel succéda Claude Le Mire (“relieur rarement cité” selon la BnF) dont la charge de relieur du roi échut à Luc-Antoine Boyet de 1698 à 1733.Reure, Bibliothèque des écrivains foréziens I, 1914, p. 268 ; Ingold, Essai de bibliographie oratorienne, 1880, p. 195 ; Thoinan, Les Relieurs français, p. 213.
Edisud, 2003, in/4 reliure éditeur, 109 pages. Photographies en couleurs.
"Après le succès de son précédent ouvrage Ocres peintures décorative en Provence, Vincent Tripard choisit ici de guider ses lecteurs dans l'utilisation des enduits de chaux et de plâtre. Conçu comme un complément parlait du premier livre, l'auteur nous propose de nouvelles techniques pour personnaliser nos décors, embellir nos finitions murales d'intérieur, créer des effets spéciaux en s'initiant par exemple à l'art du trompe l'œil en pierres factices ou bien encore à celui du tadelakt. En effet, la diversité des sables, des chaux, des poudres minérales et des terres colorantes provençales, qui entrent dans la composition des enduits, offre une multitude d'options décoratives, tant du point de vue de l'aspect des matières que des finitions. Le stuc est l'art de travailler et de modeler les mortiers de chaux, de plâtre et les mélanges plâtres et chaux, pour obtenir des finitions de parement pouvant ressembler au marbre, à la pierre de taille, aux appareillages de briques et assemblages de carreaux. Il sert également à réaliser des moulures, des bas-reliefs, des gypseries, des enduits décoratifs mats ou brillants, des enduits gravés ou taillés, des peintures ou des couleurs à fresques. Dans le vaste champ que constituent les techniques de stuc, c'est plus particulièrement le point de vue du peintre que l'auteur souhaite exposer ici. Le stuc a ses propres couleurs qui sont celles de la terre, et le travail de ces couleurs représente " une autre manière de peindre ". A partir d'échantillons, de panneaux décoratifs, de réalisations de chantiers, il décrit différentes méthodes d'applications de couleurs en enduit, des plus simples aux plus élaborées. L'occasion de redécouvrir un ensemble de techniques à la portée de tout amateur appliqué."
Musée du Vieil Aix, 1985. Catalogue, In-4 à l'italeinne (29 x 22 cm) reliure toile éditeur, reproductions en noir et en couleurs, 109 pages.
Librairie Baillière et Fils, 1929. In/12 cartonnage éditeur illustré, 416 illustrations in-texte, 334 pages. Ouvrage en excellent état.
Moulage sur modèles : méthodes pour faciliter le dégagement du modèle, les outils, constructions des modèles, noyaux et portées, détails de construction des modèles simples, boîtes à noyaux de forme simple, modèles démontables, disposition de modèles simplifiant le travail de fonderie simplification des modèles, détermination du prix de revient - moulage au trousseau : trousseau sur tour à noyaux, trousseaux d’axe vertical.
Paris et Lyon, Garnery, Robert et Gautier, 1799. In-8 de 431 pp., basane marbrée, dos lisse orné, pièce de titre fauve (reliure de l'époque).
Édition originale suivie de la Constitution de l'an VIII. Feuillet F4 noirci, coins frottés mais bon exemplaire. Tourneux, I, 5176.
Michel Lafon, 2001, in/8 carré, broché, 303 pages, une petite mouillure sur la table des matières.
, , 1748. 3 tomes en 1 vol. de 1 frontispice gravé, (32)-106 pp. ; (2)-107-334 pp. ; (2)-335-474 pp.Les Moeurs appréciées, ou Lettre écrite a un bel esprit du Marais, à l'occasion de cet ouvrage. Sans lieu, 1748. 45 pp.Ensemble 1 vol. petit in-8, maroquin rouge, dos lisse orné, filet doré encadrant une large dentelle florale sur les plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Édition originale. « Les Moeurs, ouvrage qui parut sous le nom de Panage, en 1748, à Amsterdam, était accompagné d'une simple dédicace à Madame A.T.***. Il fut jugé par la Cour du Parlement de Paris comme « contraire aux bonnes moeurs, scandaleux, impie et blasphématoire » car « le but qu'on s'y propose est d'établir la Religion naturelle sur les ruines de tout culte extérieur et d'affranchir l'homme des lois divines et humaines, pour les soumettre uniquement à ses propres lumières ». Cette censure sévère eut pour conséquence de rendre le livre extrêmement populaire : « Je suis enfin parvenu à avoir le livre des Moeurs que l'arrêt du 6 mai a rendu bien rare et très cher", écrit Barbier. Il faut dire que peu de personnes avaient songé à ce livre, au lieu qu'il n'y a personne à présent, dans un certain monde, hommes et femmes se piquant de quelque esprit qui n'ait voulu le voir. Chacun se demande : Avez-vous lu les Moeurs ? Un seul exemplaire passe rapidement dans cinquante mains » (t. III, p. 34) » (Dictionnaire des journalistes, 776).Toussaint est un avocat parisien qui, en 1744, se consacre entièrement à l’activité littéraire. Outre la publication des Moeurs, il participe à la mise en oeuvre des premiers volumes de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert et il dirige aussi deux revues prestigieuses, le Journal étranger et les Observations périodiques sur la Physique, l’Histoire Naturelle, & les Beaux Arts. En 1764, il fut appelé à Berlin par Frédéric II pour être intégré dans l’Académie des Nobles et l’Académie des Sciences. À partir de ce moment-là, Toussaint devient également l’un des principaux médiateurs entre les littératures allemande et française, menant d’abord à terme la traduction en prose des fables de Gellert et n’entamant qu’ensuite la version des premiers chapitres de l’Histoire de l’art de Winckelmann.Frontispice gravé en regard du titre, vignette gravée en tête de chaque partie (mais inversée à la 2e partie), fleuron répété sur chaque titre.Bel exemplaire.Cohen - De Ricci, 995 ; Drujon, Les Livres à clefs, 646 ; Brunet III, 1788 ; Barbier III, 322 ; Françoise Weill, Livres interdits, Livres persécutés, 554.
, , 1748. 3 tomes en 1 vol. in-8 à pagination continue de 1 frontispice gravé, (32)-122 pp. ; (2)-123-386 pp. ; (2)-387-547 pp., maroquin vert, dos lisse orné à froid, filet à froid sur les plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Deuxième édition publiée la même année que l'édition originale. Précieux exemplaire annoté à l'époque, restituant l'identité des pseudonymes choisis par Toussaint : Damis est l'abbé Aubourg, Lais, Mlle Gaussin de la Comédie française, Irène, reine de France élevée dans un couvent de Strasbourg, Cloé, la marquise de Pompadour, Cléon, feu le duc d'Orléans, Rosine, la duchesse du Maine, etc.Fernand Drujon, dans sa Bibliographie des livres à clefs, signale : « Il paraît que quelques contemporains essayèrent de lever les masques ; mais à moins de trouver un exemplaire annoté, nous ignorerons sans doute toujours qui étaient : Orgaste, Polydamas, Lysippe, Léonore, etc ».L'épitre dédicatoire est signé Panage, qui est la traduction de Toussaint en grec.« Les Moeurs, ouvrage qui parut sous le nom de Panage, en 1748, à Amsterdam, était accompagné d'une simple dédicace à Madame A.T.***. Il fut jugé par la Cour du Parlement de Paris comme « contraire aux bonnes moeurs, scandaleux, impie et blasphématoire » car « le but qu'on s'y propose est d'établir la Religion naturelle sur les ruines de tout culte extérieur et d'affranchir l'homme des lois divines et humaines, pour les soumettre uniquement à ses propres lumières ».Cette censure sévère eut pour conséquence de rendre le livre extrêmement populaire : « Je suis enfin parvenu à avoir le livre des Moeurs que l'arrêt du 6 mai a rendu bien rare et très cher », écrit Barbier. « Il faut dire que peu de personnes avaient songé à ce livre, au lieu qu'il n'y a personne à présent, dans un certain monde, hommes et femmes se piquant de quelque esprit qui n'ait voulu le voir. Chacun se demande : Avez-vous lu les Moeurs ? Un seul exemplaire passe rapidement dans cinquante mains » (t. III, p. 34) » (Dictionnaire des journalistes, 776).Toussaint est un avocat parisien qui en 1744, se consacre entièrement à l’activité littéraire. Outre la publication des Moeurs, il participe à la mise en oeuvre des premiers volumes de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert et il dirige aussi deux revues prestigieuses, le Journal étranger et les Observations périodiques sur la Physique, l’Histoire Naturelle, & les Beaux Arts. En 1764, il fut appelé à Berlin par Frédéric II pour être intégré dans l’Académie des Nobles et l’Académie des Sciences. À partir de ce moment-là, Toussaint devient également l’un des principaux médiateurs entre les littératures allemande et française, menant d’abord à terme la traduction en prose des fables de Gellert et n’entamant qu’ensuite la version des premiers chapitres de l’Histoire de l’art de Winckelmann.Frontispice gravé en regard du titre, vignette gravée en tête de chaque partie, fleuron répété sur chaque titre. Bel exemplaire.Cohen - De Ricci, 995 ; Drujon, Les Livres à clefs, 646 ; Brunet III, 1788 ; Barbier III, 322 ; Françoise Weill, Livres interdits, Livres persécutés, 554.
Delachaux et Niestlé 1970, in/4 reliure éditeur et jaquette en couleurs, 368 pages. 105 illustrations n couleurs, 114 illustrations en noir, plus de 200 articles traitant de mammifères et des oiseaux, des reptiles, des amphibiens, des poissons et des plantes en voie de disparition.
I. A. C 1956, Catalogue du Musée de Lyon VII, fort n/4 broché, 416 pages de texte ; XCVI pages photographies en noir et illustrations en couleurs. In fine table des planches et bibliographie. Exemplaire numéroté.
Paris, Ladvocat, 1823. 2 vol. in-8 de (12)-347 pp., erreurs de pagination sans manque, (4) pp. de catalogue ; (6)-356 pp., demi-veau brun, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale. Nouvel avatar des mémoires révolutionnaires de Lombard de Langres qui avait publié en 1819 ses Souvenirs puis l'année suivante Mémoires d'un sot ; Tulard : « Le deuxième volume en entier concerne le Consulat et l'Empire. Nombreuses anecdotes, mais écrites, ne l'oublions pas, par un personnage retiré de la politique à partir du Dix-huit brumaire ». Bon exemplaire. Fierro, 919 ; Tulard, 913
Paris, Tamisey et Champion, 1839. 2 tomes en 2 vol. in-8 brochés de (4)-403 pp. ; XIV-(2)-448 pp., couvertures imprimées.
Édition originale. La plupart de ces lettres parurent d'abord sous forme d'articles dans Le Réformateur. Raspail y traite tantôt de sujets politiques, tantôt de ses expériences vécues lors de ses incarcérations ; enfin il reprend ce thème si cher à son coeur du remplacement des peines de prison par la rééducation du condamné. L'avant-propos (pp. I à XIII), qui figure dans certains exemplaires, n'est pas présent au tome I. Premier plat taché et manque angulaire sur le deuxième plat de couverture au tome II. Exemplaire signé par l'auteur.
Paris, Editeur du commentaire analytique du Code civil, 1838. Grand in-8 à deux colonnes de 644 pp., demi-toile verte chagrinée.
De la Nouvelle collection des mémoires pour servir à l'histoire de France de Michaud et Poujoulat. Contient les Mémoires de Michel de Castelnau et Mémoires du sieur Jean de Mergey, gentilhomme champenois. Quelques pâles rousseurs mais très bon exemplaire.
Paris, Charles-Lavauzelle, 1923. In-8 de 606 p., demi-basane marbrée, dos orné à nerfs.
Études chronologiques des campagnes de 1674 à 1859 suivies des guerres de Sécession, turco-russe et russo-japonaise.
Paris, Plon, 1861. 2 vol. in-8 de 560 pp., 684 pp., toile bleue, dos lisse orné, couverture conservée (reliure moderne).
Histoire du Port de Toulon des origines jus'à 1815. Absent de Polak.
Paris, Dalibon, 1819. In-8 broché de VIII-142 pp., titre manuscrit sur le premier plat de couverture.
Édition originale rare attribuée par Caillet à Lombard de Langres qui publia la même année Des Sociétés secrètes en Allemagne et en d'autres contrées - attribution non validée par Fesch qui la classe parmi les anonymes. Origine de la Maçonnerie, du jésuitisme, des sociétés qui se servent de l'harmonica, du Tugenbund, son organisation militaire et politique etc. Exemplaire signé par l'éditeur. Caillet II, 6770 ; Fesch 1434.
Editions Gallimard, collection L'Imaginaire, 1988. in/8 broché, 567 pages. Traduit du Néerlandais par Louis Roëdlant, introduction par Pascal Bonafoux.
Reprise de l'édition de 1960. Lettres classées par ordre chronologique
Chez l’éditeur des ouvrages de M. Raspail, Paris, 1860. 3 volumes In/8 reliure demi-basane marron, figures sur bois in-texte et 19 planches gravées sur acier la plupart en couleur, frontispice avec serpente, tome 1 : 19 planches in fine, 344 p. - tome 2 : 552 p. - tome 3 : 528 pages, troisième édition considérablement augmentée.
F.V. Raspail (1794-1878). A la fois botaniste et chimiste, ce savant fut un fervent républicain, un homme politique. Le principal titre de gloire du savant sera d'être le fondateur de la cytochimie. En effet, il introduit l'utilisation des tests chimiques dans la technique microscopique et identifie ainsi les protéines par un procédé encore utilisé de nos jours.
Librairie missionnaire, Paris, 1938. In-8 (23 x 19 cm) broché, couverture illsutrée, quelques photographies sur papier couché, 191 pages.
Le Kinyaga, province du Rwanda.
LEMAITRE N., THELAMON F. & VINCENT C. A. CORBIN.
Reference : 25286
(2007)
ISBN : 9782286030377
Le grand livre du mois, 2007. Grand in-8 (24 x 15 cm) broché, couverture illustrée, 468 pages. Sous la direction de Alain Corbin.
Edition Albin Michel, 2010. In-8 (19 x 12 cm) broché, couverture illustrée en couleurs, 371 p.
Biographie du premier Européen à avoir pénétré dans la Cité Interdite, fondée sur la relation de voyage et la correspondance de Ricci.