Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 2p in-12. « Vieux, Je n'ai pu dormir, déchiqueté par la pensée funèbre (soyons de style .) que les libraires allaient gueuler comme des putois en délire, et surtout se désintéresser, peut-être de ce bouquin. Est-ce que, Monsieur, vous n'en recevrez que lundi, comme les [premiers?] servis ? C'est un laps seulement plus long que vous ne vous y attendez ! Vous seriez abondamment chouette si vous m'écriviez, non si vous m'envoyiez un télégramme (pas d'exprès à payer) ainsi adressé Willy Roches Verneuil Eure. J'y passe toute la journée. Mille amitiés. Willy ». On joint deux enveloppes autographes adressées à Vallette [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., 14 avril 1902, 1p in-12. A Alfred Vallette (1858-1935). Amusant courrier : « Oui, cher ami, je lâche tout autre proposition. À demain. C'est cochon de ne vous avoir vu ni samedi ni dimanche ! Vous en menez une vie, patachon ! Yours, Willy ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., 23 novembre 1900, 1p in-12. A Adolphe Boschot (1871-1955). Il lui demande ce que seront les inédits que « l'ouvreuse » (i.e. Willy) a annoncé car on lui demande. [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., 5 janvier 1901, 1p in-12. A Adolphe Boschot (1871-1955). Il refuse de faire partie de la société Mozart et fera insérer un article sur la confession d'un Mozart inconnu dans la Revue encycloépdique. L'ouvreuse (i.e. Willy) se tient à sa disposition. Belle lettre. [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1/2p in-8. Peut-être à Adolphe Boschot (1871-1955), difficile à lire : « Fichtre, mon cher ami, je n'ai pas [mot illisible] votre précieux volume. Voyez le Mercure, p.412, je le [mot illisible] aujourd'hui. Votre Saint Saëns, quel sale bonhomme ! Tout plein d'amitiés. Willy ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. Peut-être à Maurice Duhamel (1884-1940), musicien, militant breton. Longue et sympathique lettre de Willy donnant des conseils pour une oeuvre de son correspondant. Nous n'avons pas trouvé de quelle oeuvre il s'agissait. On joint deux enveloppes de Willy à Duhamel datées de mai et juin 1904. [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain [sous le pseudonyme d'Alfred Diard, son collaborateur]. L.A.S., sd, 1p in-12. A Maurice Duhamel (1884-1940). « mais oui, cher monsieur, vous pouvez envoyer prendre ces deux affiches dès demain matin entre 10h 1/2 et midi. Bien cordialement vôtre. Alfred Diard ». L'écriture est bien celle de Willy. [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain [sous le pseudonyme d'Alfred Diard, son collaborateur]. L.A.S. avec autoportrait, 13 octobre 1904, 1p in-12. A Maurice Duhamel (1884-1940). « Cher Monsieur, Mais non, Willy n'est pas fâché, et s'il ne vous a pas répondu, c'est qu'il a été bien bousculé par les répétitions du Friquet, et qu'il a encore à se débattre contre Franck et Bernstein. Quand aux clichés que vous demandez, voulez-vous le Valloton ci-dessous [dessin en bas de la page] et un cliché de Polaire en Friquet paru dans le dernier n° d'Arts et Sports. Si cela vous convient, je vous les enverrai immédiatement. Croyez, cher monsieur, à l'assurance de mes sentiments distingués. Alfred Diard ». L'écriture est bien celle de Willy. Avec un joli autoportrait de Willy dans le coin. En haut à gauche, il a noté « Toutes mes amitiés mon cher Duhamel. Willy ». On joint 3 enveloppes autographes au même. [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-12. A Maurice Duhamel (1884-1940). « Mon cher confrère, Il est évident que le Cri va me traîner dans la m.boue ( ce que je m'en fous). Comme je ne reçois pas cette aimable feuille, vous serez bien aimable de me faire parvenir son engueulade, et aussi - s.v.p. - de quoi leur répondre. par ministère d'huissier. Nous verrons bien ! Très cordialement. Willy ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. C.A. + enveloppe, 14 janvier 1908, 1 ligne. A Maurice Duhamel (1884-1940). « Bonnes amitiés, meilleurs voeux à Maurice Duhamel ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-12. A Robert Charvay (1856-1925). Amusant courrier : « Mon cher Charvay, Décidément, l'apaisement se fait : j'ai remarqué en effet, quai de la Rapée, la raison sociale Dreyfus et marchand. Si encore c'était avenue de la fraude armée ! À toi, Willy ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain [sous le pseudonyme d'Alfred Diard, son collaborateur]. L.A.S., sd [mercredi], 1p in-12. « Cher Monsieur, M. Willy me charge de vous dire qu'il est chez lui tous les matins de dix heures à midi. Vous pouvez venir le voir dès que vous voudrez. Recevez, Monsieur, mes salutations empressées. Alfred Diard ». L'écriture est bien celle de Willy qui a ajouté en dessous « Venez-vous samedi ou dimanche ? Vous me ferez plaisir. Willy ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-12. Court billet : « Cher ami, Ci-inclus un placet facétieux de Dante. Consentez-vous ? Je pense que oui. Mille amitiés. Willy. Vous me laisseriez jeter un coup d'oeil sur les épreuves, s' pas ? ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. Court billet : « Veuillez agréer, mon cher confrère, mes vifs remerciements pour votre double mention dans l'Album de ce jour. Willy ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-12. Au dos d'une belle CPA le représentant avec Claudine dans une auréole. Mon cher confrère, Excusez l'erreur de [mot illisible]. Voici un exemplaire du bouquin de Colette, je vous l'envoie avec d'autant plus de plaisir qu'il devient très rare et s'épuise à force d'être dans toutes les mains. Yours. Willy ». [348]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S. & Page de dédicace, 1926 & 1893. Courrier au dos d'une CPA le représentant pour donner deux fauteuils à Jean Bernard, de « Presse associés » (CPA pliée). La page de dédicace est de 1893, sur Bains de Sons : « A Monsieur Emile Besn.., Hommage d'une ouvreuse féconde en idées très libres. ». [348]
Henri Le Dran ou Ledran (1656-1720), maître chirurgien juré à Paris et chirurgien major des gardes françaises de Sa Majesté, ayant beaucoup oeuvre pour remettre en vigueur l'extirpation du cancer du sein, sauva le maréchal de Villars blessé à la bataille de Malplaquet en 1709, père d'Henri-François Le Dran (1685-1770).
Reference : 013835
Henri Le Dran ou Ledran (1656-1720), maître chirurgien juré à Paris et chirurgien major des gardes françaises de Sa Majesté, ayant beaucoup oeuvre pour remettre en vigueur l'extirpation du cancer du sein, sauva le maréchal de Villars blessé à la bataille de Malplaquet en 1709, père d'Henri-François Le Dran (1685-1770). P.S., 16 janvier 1697, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement d'une rente, contresignée par deux notaires. [329-2]
Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd [1899], 2p in-8. A son nègre Christian Beck (1879-1916). Amusant courrier avec un phylactère imprimé « Prière de bien vouloir excuser le retard [.] ». Il vient d'apprendre que Beck était seul à Florence, il parle de son impatience, la comparant aux « automobiles au bord d'un trottoir attendant - embrayées - leur chauffeur. Elles tremblent d'impatience, crachent du désir. c'est moi ». Il parle ensuite de sa santé : « Je me porte aussi mal que peuvent le souhaiter mes meilleurs ennemis ». Il est à nouveau grippé. « La fièvre sonne des cloches obstinées dans mes esgourdes ». Il attend la réponse avec impatience « Ne tardez pas trop ou je serai crevé de désespoir ». Par un autre courrier au même, on sait que le courrier date de 1899. Cela rend la comparaison avec les automobiles plus amusante puisqu'on était alors aux débuts. [291]
Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., 1er janvier 1925, 1p in-12. Probablement à Alfred Vallette (1858-1935). « Mes souhaits les plus vifs, cher Maître et ami. Combien je vous suis reconnaissant d'être intervenu avec tant de rapide obligeance ! ». [291]
Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., 15 novembre 1909, œp in-12. A Pierre Mortier (1882-1946). Il accepte une invitation, pour le soir-même, qui lui a été transmise par Edouard Helsey (1883-1966). L'adresse au dos n'est pas de Willy. Probablement plutôt d'Helsey. [291]
Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd [1893], 2p in-12. « Mon cher ami, A titre de curiosité, je vous adresse cette appréciation littéraire de Sagot, qui m'a beaucoup amusé. Si vous la montrez à quelqu'un, coupez le haut de la lettre, s.v.p. pour que l'on ne puisse savoir à qui écrit cet esthète ». [291]
Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd [1902], 2p in-8. A Alfred Vallette (1858-1935) appelé ici « Cher Vieux » (écrit d'une encre différente). Importante lettre pour l'édition de Claudine en ménage. « Je n'ai pu me faire recevoir, vers 6 heures Œ malgré mes coups de sonnettes éperdus. Alors, j'en ai . que vous étiez absent. Dites-moi, Simonis Empis m'écrit de lui apporter Claudine. Mais nous sommes bien d'accord, n'est-ce pas ? Je vais lui répondre que je marche avec vous ? ». Suite une note « Il n'y a pas d'urgence, de nous voir, n'est-ce pas ? On ne peut guère paraître en période électorale ». Suit ensuite ses disponibilités. 1902 est en effet une année d'élection. Claudine paraît, pour ses deux premiers volumes chez Ollendorff. Willy change d'éditeur pour le troisième, Claudine en ménage, et cette lettre prouve donc que H Simonis Empis aurait bien voulu l'éditer. Il avait déjà publié plusieurs ouvrages de Willy. Finalement, c'est bien Vallette et donc le Mercure de France qui le publiera. Très beau courrier. [291]
Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., Cézy, sd [1895], 3p in-8. A Alfred Vallette (1858-1935). Lettre entremêlée de formulations incorrectes, comme savez très bien le faire Willy : « N'aureriez vous pas, des fois, reçu le bouquin Entre deux Airs, de l'Ouvreuse ? ». Il n'a point été annoncé dans le Mercure et Willy se demande si c'est un oubli de Flammarion. Mauclair va faire un compte-rendu du livre. Il parle longuement de la pluie qui tombe sans cesse à à Cézy. Il parle d'études sur l'Allemagne d'Edmond Barthélémy, collaborateur au Mercure. Il termine par un amusant paragraphe sur le raté de La Mouche des Croches, le précédent ouvrage de l'Ouvreuse, son pseudonyme. Malgré une « réclame forcenée » qui laissait espérer plus de 1000 exemplaires vendus, Fishbacher, l'éditeur, n'en a vendu que « deux cents et quelques exemplaires ». « Ne le dites à personne, au moins ! Si Entre deux Airs cuit dans le même four (et pourquoi non ?) Flammarion fera une tête sinistre ». [291]
Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. A Alfred Vallette (1858-1935). Il le remercie pour le Mercure qu'il lui renvoie. Il lui renverra le Latin plus tard, à son retour. [291]
Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. A Alfred Vallette (1858-1935). « Je demande à tous les échos l'adresse de Stuart Merrill ». Il a écrit à l'adresse indiquée mais n'a pas eu de réponse, de plus, Merrill serait souffrant et à la campagne. Il demande donc à Vallette s'il connaît l'adresse de Merrill à la campagne. [291]