Hachette Jeunesse 1948 1948. Alfred de Vigny: Cinq-Mars/ Hachette Bibliothèque de la Jeunesse 1948 . Alfred de Vigny: Cinq-Mars/ Hachette Bibliothèque de la Jeunesse 1948
Bon état
Aristide Quillet Sans date. Alfred de Vigny: Servitude et Grandeur Militaires/ Librairie Aristide Quillet . Alfred de Vigny: Servitude et Grandeur Militaires/ Librairie Aristide Quillet
1929 1929. Alfred de Vigny: Poésies complètes-Servitude et Grandeur militaires/ Hachette 1929 . Alfred de Vigny: Poésies complètes-Servitude et Grandeur militaires/ Hachette 1929
Bon état
Robert Laffont Marseille 1944 Grand in-4 carré ( 335 X 260 mm ) de 168 pages, plein chagrin noisette, filets à froid sur les plats se prolongeant sur le dos avec titre doré en long "à la chinoise", tête dorée, couverture et dos conservés, étui bordé. Ouvrage illustré de dessins et lithographies de Benno VIGNY ( Ce cinéaste franco-allemand fut le compagnon de la mère de Charles TRENET ). Comédie cinématographique d'après William SHAKESPEARE. Tirage limité à 375 exemplaires numérotés, celui-ci un des 350 exemplaires numérotés sur vélin blanc de Rives à la forme. Dos légèrement éclairci, bel exemplaire.
Editions Hatier 1955 1955. 2 Alfred de Vigny: Cinq-mars ou une conjuration sous Louis XIII / Hatier 1955
Très bon état
Sans date. 5 H.LABASTE R. NICOLLE - ALFRED DE VIGNY OEUVRES CHOISIES
Etat correct
Sans date. 2 Oeuvres de Alfred de Vigny: Stello / Éditions R. Simon non daté
Bon état
1914 1914. Alfred de Vigny: Cinq-Mars ou Une Conjuration sous Louis XII / Louis Conard 1914
librairie éditeur 1914 1914. Alfred de Vigny - Poemes / Louis Conard Librairie Editeur 1914
1933 1933. Livre un peu tuilé / bombé et pages jaunies sinon restant en bon état voir photo
Robert Laffont Marseille - Paris 1945 In-8 ( 255 X 170 mm ) de 119 pages, broché sous couverture illustrée rempliée, chemise et étui. 37 lithographies dans et hors-texte en noir de Benno VIGNY. Très bel exemplaire, 1 des 720 numérotés sur vélin de Rives.
Précieux exemplaire dédicacé par l’auteur à sa cousine la comtesse de Clérembaut revêtu d’une fine et élégante reliure romantique. Paris, Urbain Canel, 1826. 2 tomes en 2 volumes in-8 de : I/ (1) f.bl., (2) ff., 411 pp., (1) p.; II/ (2) ff., 491 pp., (1) p. Reliés en plein veau glacé, filet doré et diverses roulettes à froid encadrant les plats, large motif décoratif frappé à froid au centre des plats, dos à nerfs finement ornés, coupes décorées, tranches dorées, rares rousseurs. Reliure de l’époque. 202 x 125 mm.
Edition originale de cet «ouvrage extrêmement rare» d’Alfred de Vigny, le «premier roman historique français». (Carteret, II, p. 452). Vicaire, VII, 1053; Clouzot, p. 274. « Peu commun» souligne Clouzot. Cinq-Mars, publié en 1826, fut considéré comme le premier grand roman historique français. Vigny place les hommes illustres au premier plan, procédé qui contribue à créer un genre hybride entre le roman et l'histoire, mais aussi à créer un décalage entre le fait historique et l'action. Cinq-Mars cristallise l'épineux problème du rapport entre histoire et fiction. Vigny défend l'idée d'un récit qui « perfectionne l'évènement pour lui donner une grande signification morale ». Répondant aux critiques qui lui reprochent ses écarts d'imagination et de poésie, il affirme que la liberté qu'il prend avec l'histoire est « la liberté que les Anciens portaient dans l'histoire même », car «à leurs yeux l'histoire était aussi une œuvre d'art ». L'action du roman se situe au début du XVIIe siècle et a pour cadre la cour du roi Louis XIII. Il relate l'histoire du marquis de Cinq-Mars qui, homme de bravoure et de fermeté, sut gagner l'estime du roi en organisant un mouvement d'opposition au cardinal de Richelieu. Cependant, des manipulations, des complots, des trahisons diverses amenèrent finalement le roi à abandonner son champion et permirent à Richelieu de triompher. En choisissant cet épisode historique et en magnifiant le personnage de Cinq-Mars, Vigny prenait délibérément partie en faveur d'une aristocratie restée fidèle à l'idéal chevaleresque. Cinq Mars, favori du roi, y incarne l’ancienne noblesse sacrifiée par Richelieu à la monarchie absolue et unitaire. En faisant revivre cette authentique conjuration ourdie en 1639, Vigny réalise un désir d’enfant : «Apres avoir lu les ‘Mémoires’ du Cardinal de Retz, il me vint dans l’esprit d’écrire une Histoire de la Fronde. J’avais quatorze ans… Il me sembla depuis acquitter une véritable dette d’amitié lorsque j’écrivis ‘Cinq-Mars’.. et en 1824 à Oloron dans les Pyrénées, je composai entièrement et écrivis sur une feuille de papier le plan entier de ‘Cinq-Mars’. Il n’y a pas de livre que j’ai plus longtemps et plus sérieusement médité… Ce ne fut qu’n 1826 que je me mis à écrire le livre d’un bout à l’autre, et, comme on dit, d’une seule encre». (Vigny, Journal d’un poète, mai 1837). L’éclatant succès littéraire de «Cinq-Mars» allait museler les critiques qui qualifiaient l’écrivain d’amateur et permettre à celui-ci de s’imposer au public français. Hugo écrivit dans la Quotidienne du 30 juillet 1826 un article élogieux sur le présent roman : « Admirable ! La foule le lira comme un roman, le poète comme un drame, l'homme d'État comme une histoire!» Précieux exemplaire offert par l’auteur sa cousine, la comtesse de Clérembaut, portant cet envoi signé sur le faux-titre: «A Madame la Comtesse de Clérembaut. Témoignage d’attachement. Alfred de Vigny». La comtesse de Clérembaut est la femme du Colonel comte de C., le cousin de Vigny. Vigny et la comtesse étaient très proches et entretenaient une correspondance épistolaire régulière. Bel exemplaire de cette édition originale d’une grande rareté, d’une émouvante provenance, revêtu d’une fine et élégante reliure romantique. Les exemplaires en reliure de l’époque sont de toute rareté. D’après nos recherches, seules 3 Institutions publiques françaises possèderaient cette rare originale : B.n.F., Bibliothèque de Lille et Bibliothèque Sainte-Geneviève de Paris. Le dernier exemplaire répertorié sur le marché international, l’exemplaire Hayoit, pourtant en reliure très postérieure, fut vendu il y a 22 ans 5000 € (Paris, Sotheby’s, vente Hayoit du 29 juin 2001, lot 330).
Précieux ensemble des premières lettres de Vigny à Hugo : 18 lettres autographes. Un témoignage remarquable de l'amitié de ces deux illustres romantiques. Reliure de Marius Michel et titrage de Maylander. [Courbevoie, Orléans] Bordeaux, Oloron, Pau 1820 - 1831. 1 vol. (155 x 235 mm) de 4 f., 18 p. avec ms et 4 f. Maroquin rouge, dos à nerfs orné, plats richement ornés d'un décor en encadrement, titre doré, tranches dorées sur témoins, doublures du même maroquin et dorures à l'identique, double garde de soie et papier (reliure signée Marius Michel, dorure et titres signés A. et R. Maylander). Merveilleux et passionnants messages de Vigny, l’autre chantre du romantisme naissant.
La première lettre connue de Victor Hugo à Alfred de Vigny est datée du 31 octobre 1820. Les deux jeunes hommes – âgés respectivement de dix-huit et vingt-trois ans – s’étaient rencontrés peu avant par l’entremise d’Émile et Antoni Deschamps. Vigny, qui suit en 1820 une carrière militaire, n’a alors rien publié, tandis que Hugo est déjà célèbre. En décembre, Le Conservateur littéraire, fondé par les frères Hugo, va publier ses premiers textes. La première des lettres de notre recueil contient la lettre princeps de leur échange, celle que Vigny envoie à Hugo le 22 octobre 1820 et à laquelle Hugo répondra le 31. Il félicite « Monsieur Victor » de son Ode sur la naissance du duc de Bordeaux : « Vous avez fait là un bel ouvrage sur un sujet où l’on marche toujours au bord du vulgaire, et jamais le pied ne vous a glissé ». L’amitié est réelle, placée sur le signe des lettres, mais aussi de la fraternité quand survient un drame : « Que vous dire, mon bon ami, sinon que je pleure comme vous ? Je ne sais pourquoi on a créé le mot de consolation, quand la chose n’existe pas. Il n’y en a pas pour ceux qui sentent le malheur tout entier, tout fort comme il est. Vos douleurs de père ont été bien proches de celles de fils et de frère ; vous êtes accablé par les peines de famille, cette assemblée naturelle que l’on croit notre seule source de biens » (octobre 1823, à la mort du premier fils des Hugo). Louis Barthou se chargea de l’édition de cette correspondance en volume, alors inédite, qu’il fit précéder d’une étude critique qui analyse ces 18 lettres autographes. « Mon intention n’a pas été d’écrire cette histoire qui ne s’achève pas en 1831, mais seulement de l’enrichir de documents que l’on croyait perdus. Ils prouvent que pendant onze ans, l’amitié fraternelle des deux grands poètes ne fut traversée par aucun nuage. Elle fait honneur à leur cœur et à leur génie […] ». Cette étude fut publiée à part dans La Revue des deux mondes (vol. 25, n° 3, 1er fév. 1925, p. 513-537), puis en volume chez Émile-Paul, en mai. Des bibliothèques Louis Barthou (I, 25-27 mars 1935, n° 420, ex-libris) ; Gérard de Berny (I, 27 novembre 1958, n° 121, ex-libris) et Charles Hayoit (II, 29 juin 2001, n° 328, ex-libris).
DE VIGNY Alfred ...//... Alfred de Vigny, Alfred Victor de Vigny, comte de Vigny (1797-1863).
Reference : 10746
(1948)
Paris, Gallimard, 1948-1948, 2 volumes, in-12 (17,5 cm), reliés, 1020 p. /1398 p.. Volumes n° 74 et 76 de la "Bibliothèque de la Pléiade". Texte présenté et commenté par F. Baldensperger, notes et bibliographie en début de chaque texte. Reliure éditeur, plein chagrin vert foncé, dos lisses avec filets et titre dorés, têtes bleutées, rhodoïds présents dont celui du tome 1 avec un accroc à la coiffe supérieure, jaquettes et emboîtages manquants.
Très bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).