[De l'Imprimerie de Farge] - VICTORIN FABRE, Marie Jacques Joseph
Reference : 66469
(1808)
1 brochure in-8, couverture imprimée avec mention "Offert par l'auteur", De l'Imprimerie de Farge, Paris, 1808, 46 pp.
Belle impression sur beau papier vélin. On peut lire en regard du faux-titre cette ligne autographe signée de l'auteur : "Sub umbra alarum tuarum" ("Sous l'ombre de tes ailes"). Né à Jaujac (Ardèche), Marie-Jacques-Joseph-Victorin Fabre (1785-1831) obtint de nombreux prix de l'Académie Française. Véritable phénomène littéraire, il donnera des cours d'éloquence française à l'Athénée de Paris en 1810 et 1811. Bon état (petit mq. en dos, bon exemplaire par ailleurs) de cette impression peu commune.
Paris, Maradan [Imprimerie de Firmin Didot], 1812 in-8, [2] ff. n. ch., 83 pp., dérelié.
Édition originale. Victorin-Fabre (1785-1831), né en Ardèche, fut très jeune un petit "prodige littéraire" monté à Paris à l'âge de dix-neuf ans et qui accumula les succès : il remporta de nombreux concours de poésie et d'éloquence ; ses pièces en vers et en prose furent couronnées par l'Académie française et par plusieurs académies de province. Fort de sa réputation, il donna des cours d'éloquence française à l'Athénée de Paris en 1810 et 1811. Tout cela fut instantanément oublié juste après sa mort, en dépit de la publication d'une édition collective en 1844.Cioranescu, XVI, 15 396. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris : Imprimerie de Farge. 1808 In-8, 46 pages. Broché, couverture imprimée, deuxième plat manquant.
Envoi autographe de l'auteur à Mme de Fontanes. Exemplaire de présent, avec une couverture spécialement imprimée. Première édition. Venu à Paris à l’âge de dix-neuf ans après avoir fait ses études à Lyon, Victorin Fabre (1785-1831) remporte de nombreux concours de poésie et d’éloquence. Ses pièces en vers et en prose sont couronnées par l’Académie française et par plusieurs académies de province. Phénomène littéraire, il donne des cours d’éloquence française à l’Athénée de Paris en 1810 et 1811. Il fonde le journal littéraire La Semaine en 1824, puis, avec son frère Augustin, le journal politique La Tribune des départements en 1829. Quérard III, 53.