Typ. Et Lith. Barlatier-Feissat, père et fils à Marseille Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1877 Book condition, Etat : Bon relié, reliure simili-velin moderne, pièce de titre au dos In-8 1 vol. - 43 pages
1ere édition, 1877 Contents, Chapitres : Introduction - Combats de la science - La naissance de Le Verrier, premières luttes - Ses premières études en astronomie - Stabilité du système du monde - Son mariage - Sa présentation à l'Académie - Publication des tables de Mercure - Son entrée à l'Académie, Neptune - Première contestation sur la découverte de Neptune - Parallèle de Le Verrier et Adams - Comètes périodiques - Détermination des étoiles fondamentales - Deuxième contestation de la découverte de Neptune - Nomination à l'Observatoire national - Travail de réorganisation - Services des avertissements télégraphiques - Observatoire de Marseille - Théories des planètes voisines - Essaims d'astéroïdes - Révocation des fonctions de directeur de l'Observatoire - Théorie de Jupiter, théorie de Saturne - Théorie d'Uranus et de Neptune - Honneurs à ses travaux - Tables d'Uranus et de Neptune - Sa foi en l'existence de Dieu - Notes, 6 pages dont une lettre de Le Verrier - Urbain Le Verrier, né à Saint-Lô le 11 mars 1811, mort à Paris le 23 septembre 1877, est un astronome et mathématicien français spécialisé en mécanique céleste, découvreur de la planète Neptune et fondateur de la météorologie moderne française. - Urbain Le Verrier devient célèbre lorsque la planète dont il a calculé les caractéristiques comme cause hypothétique des anomalies des mouvements d'Uranus, est effectivement observée par l'astronome allemand Johann Galle à l'observatoire de Berlin, le 23 septembre 1846. On baptisera Neptune cette nouvelle planète, malgré la proposition par François Arago, sous le chantage de Le Verrier (une rumeur prétend qu'Arago a une liaison avec Madame Le Verrier), qui fut faite de la baptiser Le Verrier auprès de l'Académie des sciences, alors que les Anglais proposent Janus ou Oceanus. La planète Uranus, découverte par William Herschel en 1781, présentait en effet des irrégularités par rapport à l'orbite qu'elle aurait dû avoir suivant la loi de la gravitation universelle d'Isaac Newton. Le Verrier postule que ces irrégularités peuvent être provoquées par une autre planète, encore jamais observée. Encouragé par François Arago, Le Verrier se lance en 1844 dans le calcul des caractéristiques de cette nouvelle planète (masse, orbite, position actuelle), dont il communiquera les résultats à l'Académie des Sciences le 31 août 1846. Ces calculs seront confirmés (à peu de chose près) par Johann Galle, qui observa le nouvel astre le jour même où il reçut sa position par un courrier de Le Verrier. Devant l'Académie des Sciences, Arago prononcera la célèbre phrase : « M. Le Verrier vit le nouvel astre au bout de sa plume ». La Royal Society lui décerne la médaille Copley la même année avec pour éloge «un des plus grands triomphes de l'analyse moderne appliqué à la théorie de la gravitation ». Cette découverte sera le sujet de nombreuses polémiques à l'époque, puisque ces calculs ont été effectués en même temps par John Couch Adams, mais sans qu'aucun d'eux ne connaisse les travaux de l'autre. Les caractéristiques de la planète avaient été déterminées par Adams un an plus tôt mais n'avaient pas été publiées. En 1846, est créée pour Le Verrier une chaire de mécanique céleste à la Faculté des sciences de Paris. Pierre-Ossian Bonnet lui succédera en 1878. Plus tard, Le Verrier tenta de répéter le même exploit pour expliquer les perturbations de Mercure. Après plusieurs observations par d'autres astronomes de taches rondes passant devant le Soleil (dont celle, célèbre, du docteur Lescarbault en 1860), Le Verrier en déduit la présence d'une autre planète, Vulcain, dont il prédit le passage devant le Soleil en 1877. Ces prédictions se révéleront inexactes, et ces anomalies seront expliquées un demi-siècle plus tard par Albert Einstein avec la théorie de la relativité générale. (source : Wikipedia) - L'abbé Aoust, professeur à la faculté des sciences de Marseille et directeur de l'Académie des Sciences de cette même ville en 1866 reliure en simili-velin en très bon état, intérieur frais et propre, mais le bord gauche de la plupart des pages a été réparé proprement avec du papier relieur, le texte étant toujours très lisible, cela reste un bon exemplaire de lecture d'un texte assez peu courant sur Le Verrier
Typ. Et Lith. Barlatier-Feissat et Demonchy à Marseille Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1865 Book condition, Etat : Bon relié, reliure papier relieur gris et blanc moderne, pièce de titre au dos In-8 1 vol. - 25 pages
1ere édition, 1865 Contents, Chapitres : Urbain Le Verrier, né à Saint-Lô le 11 mars 1811, mort à Paris le 23 septembre 1877, est un astronome et mathématicien français spécialisé en mécanique céleste, découvreur de la planète Neptune et fondateur de la météorologie moderne française. - Urbain Le Verrier devient célèbre lorsque la planète dont il a calculé les caractéristiques comme cause hypothétique des anomalies des mouvements d'Uranus, est effectivement observée par l'astronome allemand Johann Galle à l'observatoire de Berlin, le 23 septembre 1846. On baptisera Neptune cette nouvelle planète, malgré la proposition par François Arago, sous le chantage de Le Verrier (une rumeur prétend qu'Arago a une liaison avec Madame Le Verrier), qui fut faite de la baptiser Le Verrier auprès de l'Académie des sciences, alors que les Anglais proposent Janus ou Oceanus. La planète Uranus, découverte par William Herschel en 1781, présentait en effet des irrégularités par rapport à l'orbite qu'elle aurait dû avoir suivant la loi de la gravitation universelle d'Isaac Newton. Le Verrier postule que ces irrégularités peuvent être provoquées par une autre planète, encore jamais observée. Encouragé par François Arago, Le Verrier se lance en 1844 dans le calcul des caractéristiques de cette nouvelle planète (masse, orbite, position actuelle), dont il communiquera les résultats à l'Académie des Sciences le 31 août 1846. Ces calculs seront confirmés (à peu de chose près) par Johann Galle, qui observa le nouvel astre le jour même où il reçut sa position par un courrier de Le Verrier. Devant l'Académie des Sciences, Arago prononcera la célèbre phrase : « M. Le Verrier vit le nouvel astre au bout de sa plume ». La Royal Society lui décerne la médaille Copley la même année avec pour éloge «un des plus grands triomphes de l'analyse moderne appliqué à la théorie de la gravitation ». Cette découverte sera le sujet de nombreuses polémiques à l'époque, puisque ces calculs ont été effectués en même temps par John Couch Adams, mais sans qu'aucun d'eux ne connaisse les travaux de l'autre. Les caractéristiques de la planète avaient été déterminées par Adams un an plus tôt mais n'avaient pas été publiées. En 1846, est créée pour Le Verrier une chaire de mécanique céleste à la Faculté des sciences de Paris. Pierre-Ossian Bonnet lui succédera en 1878. Plus tard, Le Verrier tenta de répéter le même exploit pour expliquer les perturbations de Mercure. Après plusieurs observations par d'autres astronomes de taches rondes passant devant le Soleil (dont celle, célèbre, du docteur Lescarbault en 1860), Le Verrier en déduit la présence d'une autre planète, Vulcain, dont il prédit le passage devant le Soleil en 1877. Ces prédictions se révéleront inexactes, et ces anomalies seront expliquées un demi-siècle plus tard par Albert Einstein avec la théorie de la relativité générale. (source : Wikipedia) - L'abbé Aoust, professeur à la faculté des sciences de Marseille et directeur de l'Académie des Sciences de cette même ville en 1866 reliure moderne en bon état, à peine jaunie, intérieur frais et propre, trace de collant sur les pages de gardes, intérieur sinon frais et propre, papier à peine jauni
(Paris, Imprimerie de Bachelier), 1843. 4to. Recent blue boards. 87, (1) pp. Clean and fine. In ""Journal de Mathématiques pures et appliquées"", tome VIII.
Scarce first separate edition of Le Verrier's provisional theory on the motion of Mercury, his studies of which eventually did much to demonstrate the validity of Einstein's Theory of Relativity. The separate edition - as we have it here - is paginated 1-87, while the periodical version is paginated 273-359.The planetary orbits should agree with the predictions of the General Theory of relativity, but as Einstein pointed out in his ""Erklärung der Perihelbewegung des Merkurs aus der allgemeinen Relativitätstheorie"" from 1915, the divergences predicted were too small to be observed, except in the case of the nearest planet Mercury, where the perihelion advance, according to the formula, reaches the value of 43"""" per 100 years, being in full agreement with the calculations of Le Verrier, who found this unexplained rest in the perihelion advance of Mercury per century, if the perturbations due to the other planets are deduced.- Einstein tells in a letter to a friend that for several days he was in a 'state of delirious joy' by this wonderful astronomical confirmation of his theory.""Le Verrier first began to study Mercury on the suggestion of Arago in 1840. Astronomers realized that Mercury's perihelion (the point at which the orbit of a planet is closest to the sun) advanced along its orbit at a rate of 566 seconds per century. Le Verrier calculated that, even when taking into account the forces exerted by other planets in the solar system, there still existed a discrepancy between calculation and observation. Le verrier's accurate calculations showed that the planet's perihelion...did indeed advance forty seconds of an arc per century more than could be accounted for by Newton's theory of gravitation, even after the minor pertubing effects of the other planets had been allowed for."" (Asimov). - Le verrier published these findings in the present work, carefully as to the mass of the planet, comparison with other orbits of planets and their perihelia. At the time, Le Verrier put down the discrepancy to mis-observation or mis-calculation.- Sparrow, Milestones of Science No. 133.
LE VERRIER, URBAIN JEAN JOSEPH. - A CONFIRMATION OF THE GENERAL THEORY OF RELATIVITY.
Reference : 42922
(1843)
(Paris, Imprimerie de Bachelier), 1843. 4to. No wrappers as extracted from ""Journal de Mathématiques pures et appliquées...Publié par Joseph Liouville"", tome VIII. Pp. 273-360. Clean and fine.
First appearance of Le Verrier's provisional theory on the motion of Mercury, his studies of which eventually did much to demonstrate the validity of Einstein's Theory of Relativity. The planetary orbits should agree with the predictions of the General Theory of relativity, but as Einstein pointed out in his ""Erklärung der Perihelbewegung des Merkurs aus der allgemeinen Relativitätstheorie"" from 1915, the divergences predicted were too small to be observed, except in the case of the nearest planet Mercury, where the perihelion advance, according to the formula, reaches the value of 43"""" per 100 years, being in full agreement with the calculations of Le Verrier, who found this unexplained rest in the perihelion advance of Mercury per century, if the perturbations due to the other planets are deduced.- Einstein tells in a letter to a friend that for several days he was in a 'state of delirious joy' by this wonderful astronomical confirmation of his theory.""Le Verrier first began to study Mercury on the suggestion of Arago in 1840. Astronomers realized that Mercury's perihelion (the point at which the orbit of a planet is closest to the sun) advanced along its orbit at a rate of 566 seconds per century. Le Verrier calculated that, even when taking into account the forces exerted by other planets in the solar system, there still existed a discrepancy between calculation and observation. Le Verrier's accurate calculations showed that the planet's perihelion...did indeed advance forty seconds of an arc per century more than could be accounted for by Newton's theory of gravitation, even after the minor pertubing effects of the other planets had been allowed for."" (Asimov). - Le verrier published these findings in the present work, carefully as to the mass of the planet, comparison with other orbits of planets and their perihelia. At the time, Le Verrier put down the discrepancy to mis-observation or mis-calculation.- Sparrow, Milestones of Science No. 133.
Au siège de la société d’ethnographie, n° 1 1887 In-8 demi-chagrin bleu nuit, 332 pp.
N°1- au N°10 -Tome XI de la Collection, Seconde série - Tome premier ; Thèmes traités : “La Lèpre” par le Dr E. Verrier ; ”les dolmens dans la Russie Méridionale”, “Nationalité russe actuelle” par WL. de Youferow ; “Mariages entre les blancs et nègres”, législation Par A.T. Mondière ; “Les Aborigènes d’Australie” Par John Fraser ; “Ethnographie médicale des peuples de race jaune” par Dr E. Verrier ; “Monuments mégalithiques de Mascara” par P. Pallary ; “L’Ile de Kiou-Siou” par J. Dautremer ; “Les Bulgares” par Léon de Rosny ; “Religion du nègre” par Dr. E. Verrier ; L’Hygiène à Madagascar”; “Forteresses gauloises” par Alex Bertrand ; “La médecine dans l’Avesta” Pr Casartelli ; “Anthropologie des Néo-Calédonniens” par E. Verrier ; “Civilisation en Finlande” par Léon de Rosny ; ... Bon état d’occasion
"LE VERRIER, URBAIN JEAN JOSEPH. - PREDICTING THE EXISTENCE OF THE PLANET NEPTUN.
Reference : 46890
(1846)
Paris, Bachelier, 1846. 4to. No wrappers. In: ""Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences"", Vol. 23, No 9 (entire issue offered). With htitle and titlepage to vol. 23. Pp. 425-484. Le Verrier's paper: pp. 428-438.
First printing of this important paper in the history of astronomy in which Le Verrier predicted the existence of a new planet, determining its orbit and the mass as well as its actual position, so that, by informing Dr. Galle the following month, where he should look for it in the sky. The same evning when Galle had received the letter, he found close to the position given by Le Verrier a strange body showing a small planetary disc, which was soon recognized as a new planet, known now as Neptune. Adams in England, independently made the same prediction.""Until 1846 there was no theory of Uranus that permitted its movements to be represented satisfactorily. In 1821 Bouvard had constructed tables that, abandoning the older positions, adhered very closely to recent observations. Yet twenty years later a discrepancy of two minutes had already been observed, and several astronomers suggested that it might result from the attraction of an unknown planet. In 1845 Arago presented the problem to Le Verrier, who began by establishing a precise theory of Uranus. He then demonstrated that its observed perturbations could not be explained as the effect of the actions of Jupiter and Saturn, whatever modifications might eventually be made in the values assigned to the masses of those planets. He began to search for signs of an unknown disturbing planet. Finally, in a third memoir on the subject, appearing on 31 August 1846, Le Verrier fixed the exact position of the unknown planet and gave its apparent diameter.""(DSB)
Paris Max Le Verrier v.1960 1 vol. broché grand in-8 oblong, broché, (60) p., nombreuses photos en noir, introduction de Max Le Verrier sur un feuillet de papier de soie en tête. Catalogue des scuptures en bronze proposées par la fonderie, sans date (vers 1960), publié à l'occasion des 60 ans de l'entreprise. Très bon état.
Paris, Bachelier, 1848.
Tiré à part des Comptes rendus des séances de l'Académie des Sciences', tome XVII, séance du 2 octobre 1848. On joint 9 tirés à part des communications de Le Verrier à l'Académie des Sciences et un de Mouchez : - Recherches sur les comètes périodiques. ... , tome XXV, séance du 25 octobre, 1847. 11 pp. - Recherches sur les comètes périodiques. ..., tome XXV, séance du 20 décembre, 1847. 9 pp. - Nouvelle détermination de la différence de longitude entre les observatoires de Paris et de Greenwich. ..., tome XXXIX, séance du 25 septembre 1854. 14 pp. - Théorie et tables du mouvement de Vénus. ..., tome LI, séance du 26 novembre 1860. 7 pp. - Réponse de M. Le Verrier à M. Delaunay. [sur une modifications de nombres de la Théorie de Vénus et de la Terre.] ..., tome LI, séance du 26 novembre 1860. 4 pp. - Réponse de M. Le Verrier aux critiques [de Delaunay] dirigées à tort contre quelques-uns des derniers chiffres, des derniers coefficients des dernières séries dont dépendent les actions réciproques de Vénus et de la Terre. ..., tome LI, séance du 19 novembre 1860. 7 pp. - Travaux en voie d'exécution à l'Observatoire. ...tome LXXXX, séance du 28 juin 1875. 6 pp. - Eclipse totale du Soleil le 18 août 1868. ... tome LXVI, séance du 3 février 1868. 7 pp. - Exposé des opérations entreprises par l'Observatoire ... pour la détermination astronomique des longitudes et latitudes des points principaux du réseau géodésique français. ...tome LVI, séance du 5 janvier 1863. 20 pp. On joint : Catalogue [des étoiles] de l'Observatoire de Paris. Note de M. Mouchez. ...tome CV, séance du 17 octobre 1887. 4 pp. /// In-4 de Brochés, sans couverture. //// 10 off-prints by Le Verrier and one by Mouchez. /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
Paris, éd. Observation de Paris, imprimeur Gauthier-Villars, 15 octobre 1946, EDITION ORIGINALE, aucune réédition postérieure, gd. in-8, cartonnage souple, couv. ill. en noir et texte en noir et rouge sur fond blanc éd., VII - 75 - (5) pp., ill. de 6 planches de lettres et textes manuscrits de l'auteur hors-texte, portrait de Le Verrier en frontispice, "la découverte de Neptune à travers les journaux et les périodiques contemporaains", Urbain Le Verrier (1811 - 1877) fut astronome et mathématicien français, spécialiste en mécanique céleste, fondateur de la météorologie moderne française et "inventeur" de la planète Neptune en 1846. Il fut élu à l'Académie des Sciences pour ses travaux sur la stabilité du système solaire. RARE Très bon état
[Jean-Louis Verrier] - Franc-Nohain / Jean-Louis Verrier
Reference : DMI-660
(1951)
Portrait de l'écrivain Maurice Étienne Legrand, dit Franc-Nohain (1872-1934). Gravure d'après un dessin original du peintre nivernais Jean-Louis Verrier (1915-2001). Très belle planche de 26,9x20,6 cm légendée "Franc Nohain / 1872-1934" et signée dans la planche "J. L. Verrier - 51". Nous n'avons pas trouvé trace de l'origine de ce portrait-hommage du peintre nivernais au poète nivernais qui, rappelons-le a choisi son nom de plume en hommage à la rivière le Nohain, affluent de la Loire, traversant Donzy, lieu de ses vacances d'enfance.
[Paris Gauthier-Villars 1868] in-4 de 40 pp. avec simple titre de départ br., couv. bleue impr., un peu effrangée, petites fentes au dos
Rare extrait des "Comptes rendus des séances de l'Académie des Sciences", tome LXV, séance du 23 décembre 1867.Rapport rédigé pendant une période cruciale de l'administration de l'Observatoire et de la carrière de l'astronome Le Verrier [1811-1877] dont la gestion, vivement contestée, devait prendre fin, une première fois, en 1870. Nommé à nouveau à la tête de l'Observatoire en 1873, il devait conserver ce poste jusqu'à sa mort.Le Verrier, un des fondateurs de la météorologie moderne, dirigeait l'Observatoire depuis 1854 ; il avait succédé à Arago. Lors de son retour en 1873, après la mort de son successeur et ennemi Charles-Eugène Delaunay, il se fit assister par un étudiant, J.B. Gaillot, qui compléta les théories de Jupiter et de Saturne, sujets que Le Verrier n'avait pu traiter entièrement. Cf. D.S.B., VIII, 276-279
(à la fin:) Paris, (1850). 38 pages. (1 feuillet blanc). (20x13 Cm). Broché, couverture muette de l'époque. Edition Originale de ce texte du célèbre astronome originaire de Saint-Lô, Urbain Le Verrier à qui l'on doit la découverte de la planète Neptune. Le Verrier était membre d'une commission chargée d'étudier un projet de loi ouvrant aux particuliers le service du télégraphe, car l'utilisation de ce moyen de communication dont l'implantation ne remonte en France qu'à 1845, était réservé jusqu'alors aux pouvoirs publics. Le présent texte contient les suggestions de cette commission, et plusieurs documents relatifs à l'implantation du télégraphe à l'étranger, en particulier aux Etats-Unis d'Amérique. Bon exemplaire à part quelques taches au début de l'ouvrage.
Éditions d'art et d'histoire Broché D'occasion état correct 01/01/1941 89 pages
DIDRON (Edouard), maître verrier français (1836-1902). Il est le neveu et fils adoptif d’Adolphe Didron, qui fut un archéologue français de renom mais également un journaliste et éditeur, spécialiste de l'iconographie du Moyen Âge chrétien.
Reference : 7C28
Didron adresse avec une grande humilité sa candidature au titre de membre résident à la Société Philotechnique, section des Arts, en indiquant l’ensemble de ses divers travaux par-delà le monde. Il se positionne comme étant le « représentant d’un art spécial dont l’intérêt est considérable » et détaille avec précision, tout l’intérêt que son art occupe une place dans cette Société. « J’ai l’honneur de vous informer que je désire être admis dans la Société Philotechnique (section des arts) à titre de membre résident. En présentant ma candidature, j’ai le devoir de vous indiquer les titres que je puis faire valoir pour être reçu dans la célèbre compagnie que vous présidez et pour obtenir par cela même un honneur auquel j’attache le plus grand prix. Ces titres sont modestes Monsieur le Président, ils n’ont assurément pas la valeur de ceux que vous avez l’habitude d’examiner, mais je compte sur la bienveillante indulgence de vos honorables collègues ainsi que la vôtre. Je me suis à peu près exclusivement occupé jusqu’ici de l’étude du Moyen-Age chrétien, c’est-à-dire de notre art national ancien, et, tout en continuant la publication des "Annales Archéologiques" dont le deuxième volume est achevé, après la mort de Monsieur Didron ainé, mon oncle et père adoptif, fondateur de cette grande Revue, j’ai appliqué mes connaissances scientifiques et le résultat de mes études d’artiste à l’exécution de vitraux peints. J’ai essayé de faire progresser cet art spécial de la peinture sur verre dont les spécimens anciens brillent d’un éclat incomparable dans nos grands édifices religieux et sont une des gloires de l’art français. Mes œuvres principales sont placées dans les Cathédrales de Paris, Soissons, Langres, Nantes, Sens, Aix, Montpellier, Périgueux, d’Anvers (Belgique) etc. ainsi que dans les églises de Saint Vincent de Paul à Marseille, Notre Dame à Chalons S-M, Saint Eloi à Dunkerque, Notre Dame à Calais, Saint-Sauveur à Lille, du Saint Sépulcre à Abbeville, de Saint Maclou à Pontoise, ainsi que dans une assez grande quantité d’autres édifices en France, en Belgique, en Angleterre, en Espagne, en Allemagne et en Amérique. La nature même de mes travaux qui sont principalement de l’ordre décoratif, ne me permet guère de les préciser davantage, ce que je tenterais de faire, cependant, si cela vous semblait utile…. ». Les deux lettres autographes signées du peintre et archéologue Ernest Breton sont relatives à la candidature de Didron. Dans sa lettre du 3 Novembre 1873, Ernest Breton informe le Président qu’il ne pourra pas se rendre à la séance prévue le soir-même, pour examiner la demande de Didron. Il lui adresse toutefois son rapport sur le maitre verrier et lui demande de « le faire signer par MM. David, mes collègues de la Commission… ». Le rapport, signé par Breton, et co-signé par les frères David [Jules David, lithographe et peintre français et François Alexandre David, décorateur ornemaniste français], ne tarit pas d’éloges pour le verrier « S’il est un art bien véritablement français et dans lequel notre pays n’a jamais eu à craindre de rivaux c’est celui de peindre ces admirables verrières d’honneur de nos splendides cathédrales ogivales. Cet art, qui du premier coup était arrivé à l’apogée de son éclat au XIIIème et pour la beauté des couleurs et qui aurait pu tomber en décadence dans les siècles suivants malgré le perfectionnement notable de la composition et du dessin avait été totalement abandonné au XVIIème et XVIIIème siècle. C’est à notre temps qu’était réservée la gloire de la ressusciter en le perfectionnant. Maréchal de Metz, les Lobins de Tours, les manufactures de Sèvres, de Choisy, de Clermont etc. … l’ont remis en honneur. Et voici que l’un de leurs plus habiles collaborateurs vient demander à prendre place dans nos rangs. Monsieur Edouard Didron, présenté par MM. De Beaumont et Roux-Ferrand, s’est consacré à cet art et a enrichi de ses précieux précédents, un grand nombre d’églises de France, de Belgique, d’Allemagne, d’Angleterre, d’Espagne et même d’Amérique. Ses travaux spéciaux ne l’ont pas empêché de continuer ses études sur le Moyen-Age et de conserver la direction de l’intéressant recueil des Annales archéologiques, fondé par son oncle, M. Didron Ainé, qui a laissé dans la science un nom si justement honoré. Nous pensons donc que la Société Philotechnique ne peut que faire une excellente acquisition en la personne de M. Edouard Didron et nous avons l’honneur de vous proposer son admission en qualité de membre résident de ka classe des Beaux-arts… ».
"LE VERRIER (LEVERRIER), URBAIN JEAN JOSEPH. - THE EXISTANCE OF NEPTUNE PREDICTED.
Reference : 47206
(1846)
Paris, Bachelier, 1846. 4to. No wrappers. In: ""Comptes Rendu hebdomadaires des Séances de l’Académie des Sciences"", Vol. 22, No 22. Pp. (893-) 928. (Entire issue offered). Le Verrier's paper: pp. 907-018.
First appearance of Le Verrier's paper in which he postulated the existance of a new planet on mathematical premises from the gravitational disturbencies of Uranus.""In 1846 John Cauch Adams... and Urban J. Leverrier... simultaneously and independently determined the location of a possible new planet... In 1845 he wrote of his findings of the mathematical location of a new planet to Sir George Bidell Airy,,, Because Adams was unknown, his letter was put aside. Meanwhile the same perturbations of Uranus had become of interest to Leverrier. On July 1(should be June !), 1846 he presented a paper ""Recherches sur les mouvements d'Uranus"" (the paper offered) to the Academie des Sciences inParis. When Airy realized that Leverrier and Adams had reached the same conclusions, he hastened to suggest that a search be made for the newplanert. Shortly hereafter it was seen bur not recognized. About a week before it was found in England, it was discovered by Galle in Berlin on information supplied by Leverrier. Thus, the honour of the discovery, or even co-discovery of the new planet, Neptune, was lost to Adams and credited to Leverrier.... Adams paper was reade before the Royal Astronomical Society, November 13, 1846, and was published in 1847. (Milestones p. 40).Milestones of Science No 132. - Dibner No. 16.
"LE VERRIER, URBAIN JEAN JOSEPH. - THE FIRST STEPS TOWARDS DISCOVERING NEPTUNE.
Reference : 48802
(1845)
(Paris, Bachelier), 1845. 4to. No wrappers. In: ""Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences"", Vol. 21, No 19. Pp. (1009-) 1082 (entire issue offered). With titlepage to vol. 21. Le Verrier's paper: pp. 1050-1055. Stamp to top of titlepage.
First appearance of Le Verrier's first paper on the anomalities in the orbit of Uranus, the calculations on which eventually leading to his prediction and discovery of a new planet, Neptune the following year, 1846.
"LE VERRIER (LEVERRIER), URBAIN JEAN JOSEPH. - PREPARING FOR, PREDICTING AND CONFIRMING THE EXISTENCE OF NEPTUNE.
Reference : 49635
(1845)
Paris, Bachelier, 1845 a. 1846. 4to. No wrappers. In: ""Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences"", Vol. 21, No 19, Vol. 22, No 22, Vol. 23, Nos 9, 14, 16 a. 17. (6 entire issues offered). Le verrier's papers: pp. 1050-1055 (No 19), pp. 907-919 (no 22), pp. 428-438 (No 9), pp. 657-659, 659-643, 676 (No 14), pp. 741, 741-754, 754 (No 16), pp. 798-799, 799-800 (No 17). With title-pages to vol. 21,22 a. 23. Titlepages with a small stamp in upper corner and a perforated stamp to lower margin. Light yellowing to title-pages, otherwise clean and fine on good paper.
First printing of Le Verrier's importent and famous papers, predicting and confirming the discovery of the Planet Neptune, including the ""preparatory"" paper, the first paper on the anomalities in the orbit of Uranus, the calculations on which eventually leading to his prediction and discovery of a new planet, Neptune the following year, 1846.""In 1846 John Cauch Adams... and Urban J. Leverrier... simultaneously and independently determined the location of a possible new planet... In 1845 he wrote of his findings of the mathematical location of a new planet to Sir George Bidell Airy,,, Because Adams was unknown, his letter was put aside. Meanwhile the same perturbations of Uranus had become of interest to Leverrier. On July 1(should be June !), 1846 he presented a paper ""Recherches sur les mouvements d'Uranus"" to the Academie des Sciences inParis. When Airy realized that Leverrier and Adams had reached the same conclusions, he hastened to suggest that a search be made for the newplanert. Shortly hereafter it was seen bur not recognized. About a week before it was found in England, it was discovered by Galle in Berlin on information supplied by Leverrier. Thus, the honour of the discovery, or even co-discovery of the new planet, Neptune, was lost to Adams and credited to Leverrier.... Adams paper was reade before the Royal Astronomical Society, November 13, 1846, and was published in 1847. (Milestones p. 40).Milestones of Science No 132. - Dibner No. 16.
Paris, Imp. V. Goupy et Jourdan, [1890], in-8, 11 pp, 6 fig, broché,sous couverture d'attente, Opuscule daté du 17 avril 1890, consacré aux déformations du crâne observés Par Eugène Verrier (1824-1910), membre de la Société d'anthropologie de Paris et président honoraire de la Société africaine, est autrement connu en tant que membre fondateur de la Société de gynécologie de Paris. Ses conférences sur les sociétés africaines étaient très suivies. Les figures représentent 5 crânes étudiés par le Docteur Verrier et un appareil employé à Bornéo. Couverture salie. Couverture rigide
Bon 11 pp., 6 fig.
Paris, Veuve de Jean Cochart, 1704, 1 volume, in-8, relié, [4]-730-[2] p.. Seconde édition, revue, corrigée et augmentée. Classement des article sous forme de dictionnaire. Reliure d'époque, plein veau marron foncé, dos à nerfs avec caissons et fleurons dorés, titre doré, roulette dorée sur les coupes, tranches brique, usure à trois coins dont un avec manque de cuir.
Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Editions Erasme, 1955, in-8 de 222 pages, reliure plein skyvertex, titre et filets dorés sur dos lisse, couverture et illustrations de Claude Verrier. 1ère de couverture de l'édition brochée conservée. Corps frais, reliure solide et en bon état, 1 tampon en tête de la 1ère page de garde. C700g. Bel exemplaire.
Tous nos ouvrages sont collationnés et complets, sauf mention particulière.
Rouen, Nicolas et Richard Lallemant, 1763 2 parties en un vol. in-8, x pp., viij pp., 396 pp., 14 pp. [Tons de chasse et fanfares, avec musique notée], pp. xj-ccxxvj [Bibliothèque historique et critique], un f. n. ch. de privilège, avec 16 planches sur bois hors texte, dont plusieurs imprimées recto & verso, exemplaire dans lequel le titre de la seconde partie a été relié immédiatement après celui de la première partie, avec interversion de la Bibliothèque par rapport au texte, veau fauve marbré, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre cerise, simple filet doré sur les coupes, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale rare, bien complète de toutes ses parties, en dépit d'une répartition différente de la plupart des exemplaires. La Bibliothèque historique et critique des auteurs qui ont traité de la chasse, est due aux frères Lallemant (les imprimeurs), et non à l'auteur ; elle ne se retrouvera pas dans la deuxième édition, parue en 1778 sous le titre un peu trompeur de Vénerie normande.Cette Bible de la chasse est le résultat de plus de quarante ans d’expérience : Le Verrier de La Conterie (1718-1783), écuyer du roi, était seigneur d’Amigny, des Aulnets et autres lieux de la bonne province de Normandie. Réédité à plusieurs reprises, ce livre fait toujours autorité.Thiébaud, 589. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Rouen, Laurent Dumesnil, 1778 in-8, XVI pages, [524] pp. chiffrées 1-446, puis 446-526 (le feuillet 447-448, qui est blanc, n'existe pas dans notre exemplaire, comme très souvent), avec des fanfares gravées dans le texte, et 20 pl. gravées sur bois, dont 15 dépliantes tirées sur papier bleuté, demi-maroquin vert à coins, dos à nerfs, filets dorés et à froid (reliure du XIXe siècle).
Deuxième édition, plus complète que l'originale de 1763, et présentant le texte définitif voulu par Le Verrier (1718-1783), lequel ne sera plus repris avant l'édition de 1932 parue chez Nourry. Elle doit être préférée à la première pour la qualité de l'information. En revanche, elle ne comprend pas la Bibliothèque historique et critique des auteurs qui ont traité de la chasse, laquelle formait la première partie de l'édition de 1763, mais était due aux frères Lallemant (les imprimeurs), et non à l'auteur.La collation de notre exemplaire est rigoureusement identique à celle des bibliographies de référence, à la seule exception du feuillet 447-448 ; mais, laissé blanc pour assurer la transition entre les 14 pages de fanfares gravées (comprises dans la pagination, de 433 à 446), il manque en fait à la plupart des exemplaires. Quant aux planches, elles reprennent celles de la première édition (à l'exception de celles du chien, du lièvre et du daim, qui sont nouvelles), et représentent soit les différents gibiers (et alors, elles sont semblables aux gravures naïves des impressions de colportage), soit les têtes, fumées et traces des animaux (en ce cas, elles sont imprimées recto-verso).Très bel exemplaire.Thiébaud, 589. Souhart, 299-300. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Bordeaux, Imprimerie nouvelle A. Bellier, s.d. (1888) in-12, 68 pp., avec 8 gravures sur bois dans le texte, broché sous couverture illustrée.
Deuxième édition (la première est de 1875). Léon Verrier avait formé un équipage de bassets pour la chasse au lièvre.Thiébaud, 929-930. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Rouen, Laurent Dumesnil, 1778 in-8, XVI pages, [524] pp. chiffrées 1-446, puis 446-526 ( avec des fanfares gravées dans le texte, et 20 pl. gravées sur bois, dont 15 dépliantes tirées sur papier bleuté, demi-maroquin vert à coins, dos à nerfs, filets dorés et à froid (reliure du XIXe siècle). Taches brunes sur page de titre et sur quelques feuillets, déchire anciennement restaurée sur une planche, qqs petites usures sans gravité.
Deuxième édition, plus complète que l'originale de 1763, et présentant le texte définitif voulu par Le Verrier (1718-1783), lequel ne sera plus repris avant l'édition de 1932 parue chez Nourry. Elle doit être préférée à la première pour la qualité de l'information. En revanche, elle ne comprend pas la Bibliothèque historique et critique des auteurs qui ont traité de la chasse, laquelle formait la première partie de l'édition de 1763, mais était due aux frères Lallemant (les imprimeurs), et non à l'auteur.La collation de notre exemplaire est rigoureusement identique à celle des bibliographies de référence, avec le feuillet 447-448 laissé blanc pour assurer la transition entre les 14 pages de fanfares gravées ; il manque en fait à la plupart des exemplaires. Quant aux planches, elles reprennent celles de la première édition (à l'exception de celles du chien, du lièvre et du daim, qui sont nouvelles), et représentent soit les différents gibiers (et alors, elles sont semblables aux gravures naïves des impressions de colportage), soit les têtes, fumées et traces des animaux (en ce cas, elles sont imprimées recto-verso).Bon exemplaire.Thiébaud, 589. Souhart, 299-300. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Artège Editions Broché D'occasion bon état 02/07/2005 224 pages