Paris, Vve Turgis - Déposé à la Bibliothèque [Impériale], 1840 sans date [c. 1804-1814]. Grand in-4 oblong (30 x 42,5 cm), (1) f. de titre manuscrit, 24 planches gravées (31 x 21 cm) (1) f. de table manuscrit, toile bleue, chiffre OP au centre du premier plat dans un encadrement de double filet à froid avec fleurons aux angles (reliure de l'époque).
Suite complète en nouveau tirage des 24 planches en noir de Carle Vernet gravées au trait par Gamble (entre 1804 et 1814), à l’adresse de la veuve Turgis après 1840.La suite a initialement paru numérotée 1 à 24, sans date ni titre-frontispice, ni table des planches, avec la seule mention "Déposé à la Bibliothèque Impériale", ici partiellement effacée par la Veuve Turgis ("Déposé à la Bibliothèque") qui ajouta sa propre adresse dans la marge inférieure rue Serpente à Paris, adresse attestée après 1840 - la bibliothèque n'était plus "Impériale" après 1814. La collation est conforme au premier tirage dont 4 planches portent la mention en toutes lettres Dessiné par C. Vernet, Gravé par Gamble, contre Vernet delt. Gamble sc. pour les autres. Contient : 1. Le Cerf près d’entrer dans l’eau ; 2. Le Cerf faisant tête aux chiens sur terre ; 3. Valet de chiens requérant des chiens ; 4. L’Hallali ; 5. La Curée ; 6. L’Instant de frapper aux brisées ; 7. Le Cerf à l’eau ; 8. Le Rendez-vous ou l’Assemblée ; 9. L’Attaque ; 10. Le Cerf sur ses fins ; 11. Le Défaut ; 12. Le Rameuté ; 13. Cerf dix-cors à sa Reposée ; 14. L’Accompagnée ; 15. Le Cerf lancé ; 16. Valet de limier travaillant un Cerf ; 17. Étalons de Chevaux de Chasse ; 18. Valet de chiens avec sa harde en relais ; 19. Le Change ; 20. Le Débuché ; 21. Le Valet de limier entrant en quête ; 22. Une Harde qui découple ; 23. Le Défaut relevé 24. La Chasse. Titre et table des planches manuscrits.Provenance Théodore Du Pont comte puis marquis d'Aubevoye Oysonville (1784-1862) avec son ex-libris armorié et son chiffre à froid, capitaine de vaisseau qui laissa une relation sur Le naufrage du vaisseau "la Superbe" le 15 décembre 1833 (Paris Goetschy 1834). Étiquette ancienne "Adolphe Legoupy 5 boulevard de la Madeleine, marchand d’estampes" éditeur du Catalogue Carle Vernet établi par Armand Dayot en 1925.Armand Dayot, Carle Vernet étude sur l'artiste, suivie d'un catalogue de l'oeuvre gravé, n°16 : « Chasse à courre. Suite de 24 planches en noir gravées au trait par Gamble et numérotées de 1 à 24, dans le coin supérieur droit. Déposé à la Bibliothèque Impériale » ; Thiébaud, 927 (Veuve Turgis, s.d. vers 1830) ; inconnu de Beraldi et Souhart.
Paris, Gide fils, 1822. Grand in-8 de (4)-XV pp., 99 lithographies coloriées, et autant de feuillets de notices, demi-maroquin rouge à coins, dos à nerfs, tête dorée, non rogné (relié vers 1860).
Édition originale illustrée de 99 lithographies dessinées par E. Lami et H. Vernet et gravées par Delpech. Elles ont été finement coloriées à l'époque. Selon Glasser, « l'ouvrage de Lami et Vernet est sans contredit l'un des plus beaux qui aient été faits sur l'Armée française ».Exemplaire complet de l'article supplémentaire : Sapeurs, Tambours, Cornets, Timbaliers et Trompettes. A la suite est relié le prospectus pour : Collection des Uniformes de l'Armée française de 1814 à 1824.Bel exemplaire malgré de petits défauts à quelques planches (pâle mouillures ou rousseurs, petites taches sans gravité).Glasser, Costumes militaires. Catalogue des principales suites de costumes militaires français, 99 planches, p. 253.
Réunion très rare de l’ensemble des gravures des vues et ports de France, de Joseph Vernet, dans leur superbe tirage d’origine. Paris, J. P. Le Bas, [1760-1778]. In-plano oblong de (2) ff., 16 planches, reliure du temps à dos de veau fauve marbré orné de faux nerfs et de motifs dorés, cartouche de maroquin rouge avec dentelle en encadrement et titre dorés au centre des plats, non rogné. Reliure de l’époque. 800 x 550 mm.
[video width="996" height="1920" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/07/VERNET-bis.mp4"][/video] Superbe suite des 16 vues des ports d’après Joseph Vernet finement gravées par Charles-Nicolas Cochin et Jacques-Philippe Le Bas. L’exemplaire comporte les deux planches supplémentaires - la dernière (Le Havre) d’après Cochin - terminées à l’eau-forte par P. Martini. Joseph Vernet n’a pas peint de tableau représentant le port et la ville du Havre. La planche n°16, jointe à la série des gravures reproduisant les peintures de Joseph Vernet, a été dessinée par C. N. Cochin et gravée par J. Ph. Le Bas. Vernet reçut du marquis de Marigny, directeur général des bâtiments du roi et frère de la marquise de Pompadour, une commande de Louis XV pour la représentation des principaux ports de France, tâche à laquelle il s’attela en 1753. Après avoir peint Marseille et le golfe de Bandol, il partit pour Toulon, puis Antibes et Sète. De Bordeaux, où il reçut un accueil très brillant, il redescendit à Bayonne puis remonta vers La Rochelle et Rochefort. Installé à Paris en 1763, il se rendit à Dieppe, dernier port qu’il représenta. Nicolas Ozanne accompagna Joseph Vernet pendant une partie de son voyage. La commande royale concernait vingt ports, mais Vernet n’en peignit que neuf, plus la baie de Bandol, de 1753 à 1765, donnant lieu à quinze tableaux. La guerre de Sept Ans et les difficultés financières qui en découlaient suspendirent ses travaux. Liste des seize planches: Planche N°1. Le port neuf ou l’Arsenal de Toulon, vu de l’angle du parc de l’artillerie - peinture de 1755 - gravure de 1760. Planche N°2. L’intérieur du port de Marseille, vu du Pavillon de l’horloge du Parc - peinture de 1754 - gravure de 1760. Planche N°3. La Madrague ou la Pêche du Thon, vue du golfe de Bandol - peinture de 1754 - gravure de 1760. Planche N°4. L’entrée du Port de Marseille, vue de la Montagne appelée Tête de More - Peinture de 1754 - gravure de 1760. Planche N°5. Le Port vieux de Toulon, vu du côté des Magasins aux Vivres - peinture de 1756 - gravure de 1762. Planche N°6. La Ville et la Rade de Toulon vues à mi-côte de la montagne qui est derrière - peinture 1755 - gravure 1762. Planche n°7. Le Port d’Antibes en Provence, vu du côté de la Terre - peinture de 1756 - gravure de 1762. Planche N°8. Le Port de Cette en Languedoc, vu du côté de la mer, derrière la jettée isolée - peinture 1756-57 - gravure 1762. Planche N°9. Vue de la Ville et du Port de Bordeaux, prise du Côté des Salinières - peinture 1757-59 - gravure 1764. Planche N°10. Vue de la Ville et du Port de Bordeaux, prise du Château Trompette - peinture 1757-59 - gravure 1764. Planche N°11. Vue de la Ville et du Port de Bayonne, prise à mi-côte sur le Glacis de la Citadelle - Peinture de 1759-61 - gravure de 1764. Planche N°12. Vue de la Ville et du Port de Bayonne, prise de l’allée de Bouflers, près de la Porte de Mousserole - peinture de 1759-61 - gravure de 1764. Planche N°13. Le Port de Rochefort vu du Magasin des Colonies - peinture de 1761-62 - gravure de 1767. Planche N°14. Le Port de La Rochelle, vu de la petite Rive - peinture de 1761-62 - gravure de 1767. Planche N°15. Vue du Port de Dieppe - peinture 1763-65 - gravure de 1778. Planche N°16. Le Port et la Ville du Havre, vus du pied de la Tour de François premier, 1776. Les ordres du roi étaient clairs: «vos tableaux doivent réunir deux mérites, celui de la beauté pittoresque et celui de la ressemblance, autant que son intention: voir les ports du royaume représentés au naturel dans vos tableaux». A Toulon: le quai aux vivres est une véritable exposition de ce que l’on pouvait trouver à bord en matière de sacs, de jarres, de corbeilles, de paniers, de bouteilles et de futailles. Le vin, la viande salée, les fromages dont on voit des meules que l’on roule, les légumes secs, les épices, le bétail sur pied sont embarqués sur l’allège à quai qui chargera les munitions à bord d’un vaisseau en partance. A Marseille: sur le quai du vieil arsenal, au fond du port, s’active une foule animée et colorée de femmes et d’hommes du peuple auxquels se mêlent gentilshommes, femmes de qualité et religieux. Des levantiers, Turcs ou Barbaresques enturbannés arpentent aussi les quais. L’entrée du port est animée de multiples embarcations, canots, allèges, bateaux pêcheurs, tartanes. A Bordeaux, sur le quai des Salinières, nous voyons des jésuites, d’élégantes jeunes femmes en robes à panier, mais aussi des boulangers et un garçon vacher; un précieux tilbury lancé à vive allure contrastant avec un attelage de bœufs traînant un lourd charroi de tonneaux. Sur le fleuve, des bateaux de commerce viennent charger le vin contenu dans les tonneaux alignés sur le quai. A Rochefort, nous voici sur le quai aux vivres: les tonneaux de vin de Bordeaux, les chaudrons, les marmites sont destinés à l’approvisionnement des vaisseaux, de même que les bestiaux qui paissent dans la prairie. Les paquets de toiles à voiles et les gros écheveaux de chanvre vont alimenter les ateliers de l’arsenal dont la magnifique corderie qui s’étend sur la droite. A La Rochelle, au milieu des ballots, des panières, des fûts, des bois, des ancres, des femmes et des hommes travaillent, se reposent ou discutent, en un mot vivent sous nos yeux une attitude, un geste, un regard nous les rendent plus proches que de longs discours sur la société du XVIIIe siècle. Alors que bien souvent Vernet prend de grandes libertés face aux demandes très précises du roi pour le choix des sites ou du point de vue d’où il les dépeint, il répond pleinement à ses vœux en décrivant partout des scènes de la vie quotidienne: devant nos yeux vit tout un peuple au naturel. Témoignage pittoresque de la vie portuaire en France au temps de la marine à voile et de la douceur de vivre sous le règne de Louis XV le bien-aimé. Réunion très rare de l’ensemble des gravures des vues et ports de France, de Joseph Vernet, dans leur superbe tirage d’origine. Avec Joseph Vernet et sa descendance directe s'affirme une dernière fois la continuité de cette école d'Avignon qui, depuis le XIVe siècle, n'a cessé de se manifester par des artistes de talents et de caractères forts différents mais unis par d'indiscutables affinités. On peut faire remonter l'origine de cette école à l'époque où Bertrand de Goth, archevêque de Bordeaux, devenu pape sous le nom de Clément V, transporta la cour pontificale à Avignon. Dans cette «petite ville paisible, dont le charme ne pouvait leur échapper, les papes firent éclore un puissant foyer artistique, dont l'éclat devait se prolonger jusqu'au XIXe siècle. À Avignon, qui garde intacts tant de vestiges de son destin exceptionnel, le jeune Joseph Vernet pouvait à chaque pas rencontrer des monuments susceptibles de lui donner un avant-goût de la ville unique qui devait plus tard le révéler à lui-même. Face au Palais des Papes s'élève cet Hôtel de la Monnaie, construit par un cardinal Borghèse, légat du Pape, et qui porte sur sa façade le dragon et l'aigle, armes de la famille, enfin la colline des Dons, où la vue est si belle sur le Rhône et sur Villeneuve est une réduction de ces jardins du Pincio, qui forment avec la Villa Médicis l'un des plus beaux lieux de Rome et du monde. Cet appel de l'Italie, Joseph Vernet le ressentit de bonne heure, et son père, Antoine Vernet, fut assez heureux pour intéresser aux dons brillants du jeune peintre plusieurs nobles personnages de la ville, en particulier le marquis de Caumont et le comte de Quinson, qui lui ouvrirent leur bourse et lui permirent de partir pour Rome, qui offrait à cette époque aux artistes des ressources incomparables. Mais au cours de ce voyage pour rejoindre la Ville éternelle, dont la première étape le conduisit à Marseille, Joseph Vernet devait faire une rencontre capitale : celle de la mer ; en effet des hauteurs qui dominent la ville elle lui apparut pour la première fois dans toute sa beauté ; ce fut le coup de foudre, et lorsque quelques jours plus tard, après une tempête spectaculaire, Vernet arrive à Civita-Vecchia, son destin est fixé : il deviendra le peintre de la mer qui, désormais, sera présente dans presque toutes ses œuvres. La vie que mène à Rome le jeune artiste est des plus agréables ; il y a été fort bien accueilli et s'y est fait rapidement une clientèle avide de tempêtes et de naufrages. Les livres de raison de Vernet nous donnent sur ses travaux des renseignements précis : en 1743 il est reçu membre de l'Académie de Saint Luc, honneur assez rare pour un étranger, la mer l'attire de plus en plus, c'est avec joie qu'il se rend en pèlerinage à Naples, où le maître qu'il admire tant, Salvator Rosa, trouva la source principale de son inspiration. Cependant à Rome la popularité de Vernet croît de jour en jour ; sa clientèle devient européenne. En Italie, Joseph a trouvé la fortune, la gloire et l'amour ; aussi n'est-il pas pressé de quitter un pays qui l'a si bien reçu. Pourtant, sollicité par ses protecteurs français, il se décide à rentrer définitivement dans son pays, mais il retourne en Italie à plusieurs reprises et ce n'est qu'en 1753 qu'il se fixe en France pour toujours. Grâce au haut patronage de M. de Marigny, directeur suprême des Beaux-Arts et frère de Mme de Pompadour, qui avait à ce moment toute la faveur de Louis XV, Vernet obtint du roi une commande où il devait donner toute la mesure de son talent : Les Ports de France. La mer qui l'inspira si souvent dans ses œuvres antérieures va lui fournir encore un thème important, mais elle ne sera cette fois que le complément de ses compositions ; pour un moment il va cesser de peindre des tempêtes, des orages et des coups de vent. Ces ports de France seront des paysages où la vérité et la fantaisie se mêlent agréablement, témoin ce Port de Marseille lumineux et doré comme un Claude Gellée, qui nous montre au premier plan un groupe réuni pour un goûter en plein air, un autre pour un bal ; les robes et les ombrelles des femmes animent ce paysage aux lignes si nobles et lui donnent un air de fête familiale. Même procédé dans la Vue de la Ville et de la Rade de Toulon, où nous voyons à mi‑hauteur des collines qui dominent la rade, s'activer sur une terrasse monumentale, des cavaliers, des chasseurs, des joueurs de boules et des dames en grande toilette. Cette volonté d'humanisation du paysage se retrouve dans presque toutes les œuvres de J. Vernet, même dans celles où elle pourrait paraître artificielle; dans les tempêtes, les naufrages, les orages, nous verrons toujours l'homme opposer à la force aveugle des éléments son courage, son ingéniosité ou son désespoir. Cette introduction du drame humain au milieu des aspects pittoresques d'une nature hostile, c'est là la véritable originalité de Joseph Vernet. «C'est un grand magicien, que ce Vernet, écrit Diderot, on croirait qu'il commence par créer un pays et qu'il a des hommes, des femmes, des enfants en réserve, dont il peuple sa toile comme on peuple une colonie, puis il leur fait le ciel, le temps, la saison, le bonheur, le malheur qu'il lui plaît ». La production de J. Vernet est considérable et ses contemporains raffolèrent de lui. Dans cette œuvre consacrée presque exclusivement à la mer, aux tempêtes, et aux orages, on peut distinguer au moins deux périodes, une période romaine profondément marquée par les peintres napolitains, Salvator Rosa et Solimena, qu'il admirait sans réserve ; il leur doit ce sentiment dramatique de la nature et cette largeur de facture qu'il manifesta dès ses premières œuvres. À son retour en France, son art s'humanise et s'enrichit de détails savoureux qui, loin d'en altérer le caractère, lui confèrent une grande part de son charme. Certes, J. Vernet a entendu le message de Poussin et de Claude Gellée, mais au sublime de l'un et au mystère de l'autre, il a substitué un pathétique humain et familier, et s'il n'atteint pas leur grandeur, il garde avec son siècle un contact plus étroit et une audience plus large en lui tenant un langage plus accessible. Après les fêtes galantes de Watteau et les Bergeries de Boucher, la nature telle que la conçoit Vernet et si apprêtée qu'elle nous paraisse, est une nature vraie et non un décor d'opéra. Si Vernet eut une influence manifeste sur le goût de son temps, il est plus difficile de percevoir son passage dans la peinture moderne. Pourtant bien des œuvres qui nous ravissent toujours portent sa marque indiscutable ; comment ne pas penser à lui devant les Ruines et les Cascades d'Hubert Robert et plus près de nous, comment oublier le Ponte Rotlo en admirant les Corot d'Italie ? Heureusement la postérité si sévère envers les gloires récentes en apparence les plus solides et qu'elle précipite si volontiers en enfer ou en purgatoire, révise tôt ou tard ses jugements les plus définitifs ; et tandis que les grandes batailles d'Horace Vernet ne font plus recette, la gloire du grand peintre des Ports de France, si aimable et si française nous apparaît toujours aussi pure et aussi justifiée.» J. Dupuy. Très bel exemplaire à grandes marges relié en demi-veau fauve.
[LE VERNET-SAINTE-MARGUERITE]. Marquis de CRUSSOL, Comte de Laily, Baron de Cerveix, Marquis de Choizinet, Seigneur de Sennecterre et de Valbelaix.
Reference : 9539
Cahier manuscrit in-4 (23 x 18 cm), broché, sans couverture. 100ff. chiffrés. 1742-1743. Sur papier d'Auvergne (des papeteries Courbeyre et Cusson, à Ambert). La table des noms du hameau de Saigne est placé au folio 77. Une tâche et des traces de manipulation sur le premier feuillet, si non document frais et très lisible.
Important terrier comportant l'indication et la description des terres, cens, droits et redevances de la paroisse du Vernet (aujourd'hui Le Vernet-Sainte-Marguerite, près de Saint-Nectaire), relevant de la seigneurie de "haut et puissant seigneur Messire Pierre Emmanuel de Crussol, Comte de Laily, baron de Cereix, marquis de Choizinet, seigneur de Senneterre, Valbelaix et autres lieux, colonel du Régiment de l'Isle de France, demeurant à Paris..." Ce registre a été établi par Teissedre, notaire royal à Champeix, entre 1742 et 1743. Les 67 premiers feuillets sont consacrés au bourg du Vernet, 10 feuillets font ensuite l'inventaire des droits dus par les habitants du hameau de "Fontmarceil" [Fontmarcel], et 20 feuillets pour les habitants du hameau de Saigne. Une dernière note indique que "Les habitants [du Vernet] à l'exception d'une maison qui est la dernière du Vernet, doivent outre les cens, vingt et un sol et dis deniers chaque feu au seigneur de Senectère. Fontmarceil, Saignes et autres endrois compris dans le présent cahier ne doit que le cens parce qu'ils ne sont poin justiciables". (cf. Delaunay, Filigranes d'Auvergne, N° 805 et 1875).
Paris Delpeche 1823 Une excellente collection de lithographies de luxe d'Horace. Elles ont été publiées vers 1823 par Delpeche. La plupart des exemplaires que nous pouvons voir sont dans l'"édition commerciale" qui est en noir et blanc, et qui a des titres en dessous de l'impression. Notre collection, sur papier tissé de haute qualité, est surlignée en rouge et blanc. Elles n'ont pas de légende. Elles ont été transférées sur du papier d'art, avec des bordures autour des gravures. Il y a inévitablement des rousseurs légères à modérées dans l'ensemble de l'ouvrage. Il n'y a pas de page de titre ou de titres pour aucune des uvres. Cependant, nous avons réussi à identifier un certain nombre d'entre elles comme ayant trait à des sujets napoléoniens, à l'apprentissage du maniement des armes par des Grecs, à des soldats en maraude. Nombre d'entre elles mettent en scène des animaux, un sujet de prédilection de Vernet. De nombreuses scènes montrent des soldats affamés en train de chasser pour se nourrir, comme celle intitulée "Ce n'est pas un lapin, non c'est le chat !". Reliure récente en demi-cuir avec titre au dos, plats marbrés. 24 pages. La taille des gravures varie, mais elle est généralement de 16 cm x 22 cm. Les pages mesurent 27 cm x 40,5 cm. Horace Vernet, (1789-1863), était un peintre français de batailles, de portraits et de sujets orientalistes.
An excellent collection of deluxe lithographs by Horace. These were published circa 1823 by Delpeche. Most of the copies we can see are in the "trade edition" which is in black and white, and which have titles below the print. Our collection, on high quality woven paper, are all highlighted in red and white. These do not have the captions. They have been tipped onto art paper. with borders around the engravings. Inevitably there is light to moderate foxing throughout the work. There is no title page or titles to any of the works. However, we have managed to identify a number of them as relating to Napoleonic subjects, teaching Greek's to handle weapons, marauding soldiers. Many feature animals, a favourite subject of Vernet. Many of the scenes picture hungry solders hunting for food, such as that entitled "Ce n'est pas un lapin, non c'est le chat!" Recently bound up in half leather with title to the spine. marbled boards. 24 pages. The engravings vary in size, but generally around 16 cm x 22 cm. The pages are 27cm x 40.5cm. Horace Vernet, (1789-1863), was a French painter of battles, portraits, and Orientalist subjects. .
Avec un portrait de Napoléon 1er, accompagné d'un fac-similé de sa signature.Collection de 60 planches dite de Carle Vernet (1758-1836), peintre d'histoire, faite d'après les tableaux de ce grand maitre et les dessins de Swebach.Paris, librairie, rue Visconti - vers 1850.Cartonnage pleine toile rouge de l'éditeur. Titre au dos. Titre sur le 1er plat. Cartonnage défraichi. Charnière interne déchirée au niveau des gardes. Mors fendillés. Coins émoussé. Pas de tache sur les gravures. Pas de rousseur. Intérieur en bon état. Bon état. Format in-plano (48x32).
VERNET Carle
[VERNET Horace pinxit - COLIN sculp] - VERNET Horace pinxit - COLIN sculp
Reference : 9147
(1842)
Gravure. Bataille de Fontenoy (11 mai 1745).Vernet Horace pinxit - Colin sculp - Imp. de Bougeard.Publié par Furne, Paris - 1842.Très bon état. Format in-4°(28x21) pour la gravure. Format in-plano(51x35) pour le passe-partout. Livré sans le passe-partout pour des raisons pratiques.
VERNET Horace pinxit - COLIN sculp
Paris Les Impénitents 1981 2 vol. Broché Menu imprimé sur Arches et illustré d'une eau-forte en couleurs (6 x 10 cm) signée par Patrick Vernet. En parfait état.
Gravure en couleurs. Passage du Pont de Lodi le 21 Floréal An.Déssiné par Carle Vernet. Terminé par P.P. Choffard. Gravé à l'eau forte par Duplessi Bertaux vers 1840.Très bon état. Format in-folio(47x29) pour la gravure. Format in-plano(51x35) pour le passe-partout. Livré sans le passe-partout pour des raisons techniques.
VERNET Carle - CHOFFARD
Récits d'escalades dans les Alpes. Photographies de Georges Vernet.Paris, J. Susse 1948 - 227 pp.Reliure demi chagrin marron signée C.M.D. sur le dos. Dos à nerfs. Couverture illustrée conservée. Très bon état. Format in-8° (21x15).
VERNET Georges
[Horace VERNET pink. - POURVOYEUR sc.] - Horace VERNET pink. - POURVOYEUR sc.
Reference : 9126
(1842)
Gravure en noir et blanc. 30 Juillet 1830. Horace Vernet pink. - Pourvoyeur sc.- Imp. de Bougeard.Publié chez Furne à Paris - 1842.Très bon état. Format in-4°(29x21) pour la gravure. Format in-plano(51x35) pour le passe-partout. Livré sans le passe-partout pour des raisons pratiques.
Horace VERNET pink. - POURVOYEUR sc.
1850 Paris, Administration des Journaux Réunis, sans date [vers 1850]. In-folio (324 X 484) toile chagrinée vieux rouge, sur les plats encadrement de filets à froid avec armes impériales et titre dorés, dos lisse orné de caissons avec titre doré, tranches dorées (Ch. MAGNIER REL.) ; (2) ff. blancs, frontispice, titre imprimé en rouge et noir, table des planches, 57 planches sous serpente, (1) f. blanc. Cartonnage en partie ombré avec les ors ternis, léger cerne de mouillure claire dans la marge inférieure de l'ensemble des planches, plus marqué aux premiers et derniers feuillets, à peine visible dans le reste de l'ouvrage.
EDITION ORIGINALE et PREMIER TIRAGE de ce bel atlas composé de 60 PLANCHES, dont frontispice, titre imprimé en rouge et noir, table, 5 planches contenant 100 portraits dans un médaillon légendé des principales personnalités de l'Empire et 52 PLANCHES gravées de batailles du Consulat et de l'Empire par Carle Vernet, Swebach, Le Compte, Roehn, etc. Cet ouvrage reproduit en particulier les planches des "Tableaux historiques des campagnes d'Italie" de Vernet, publiés à Paris en 1806. PLAISANT EXEMPLAIRE, conservé dans sa solide reliure éditeur réalisée par Charles MAGNIER, au corps d'ouvrage frais et aux planches d'un beau tirage. PLEASANT COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
GONNELIEU Jérôme de (de la compagnie de Jésus) [Horace VERNET Illustrateur]
Reference : 17011
(1818)
1818 un volume, reliure (signée par P. DUPLANIL) plein maroquin rouge grand in-octavo (binding signed full morocco by P. DUPLANIL in-8) (15,6 x 24,4 cm), doslong (spine without raised band), décoration or (gilt decoration) à filets, entrelacs et rinceaux or (gilt lines), fers spéciaux (special blocking stamps), titre frappé or (gilt title), plats décorés d'un quintuple filet doré + 2 roulettes "Empire" en encadrement d'une bande de "feuillage" à froid (cover with five gilt lines and two fillets "empire"), roulettes or sur les coupes (gilt fillets on the cuts) ) et grappes et feuilles de vigne "or" sur les chasses ( decoration on the turn-ins), toutes tranches lisses dorées (all edges gilt), marque-page en tissu (bookmark in tissue), pages de garde en papier peignés (endpapers with white painting paper), Edition ornée d'un frontispice et de 4 gravures hors-texte gravés sur bois en noir (engraving wood) par Horace VERNET, ex-libris à l'encre brune sur la page de titre rayé, 582 Pages, 1818 Paris : F. Janet Editeur,
Nouvelle édition ornée de figures d'après les dessins d'Horace Vernet................................SUPERBE RELIURE EMPIRE.........................en parfait état (very good condition).
S.l., (1798) 5 gravures de 28,5 x 36,5 cm à la cuvette, en feuilles fixées sur des supports, différentes qualités de papier, qqs piqures sur les états 1 à 3, traces à la plume de l'époque sur le 3e état, traces de pliures sur le 1er état. Un timbre sec au-dessus de l'artilleur sur l'état défnitif (n°5) tout comme le 6937 de la collection De Vinck.
De toute rareté.Série de 5 états, la plus complète connue des épreuves du Congé absolu dessiné par Carle Vernet.La BnF détient les exemplaires des collections De Vinck et Hennin, qui ne présentent et connaissent que 3 états. Aucun autre exemplaire au CCFr.Gravure en taille-douce, préparée à l'eau-forte par Duplessis-Bertaux (dont elle ne porte pas le nom) et terminée au burin par François Godefroy (1743-1819), d'après un dessin de Carle Vernet.Elle sera exposé au Salon de l'An VI (n°717).L'état définitif se décrit comme suit : sur un piedestal, la République, tenant la Constitution de l'an III, est assise entre deux figures allégoriques et surmonte le congé accosté d'un hussard et son cheval et d'un artilleur appuyé sur son canon et un drapeau. Les rayons du soleil semblant venir de la République forment des faisceaux nimbant l'ensemble. Le texte, attendant d'être augmenté du nom de chaque citoyen recevant son congé des campagnes révolutionnaires, se déploie sur le piedestal imitant le marbre.Notre série se compose de 5 états dont 4 essais, sur différents types de papiers, et se décline comme suit :- Premier essai, pure et avant toute lettre, les noms de Vernet et de Godefroy ne sont pas encore présents, de même que la partie centrale destinée au congé lui-même.- Deuxième essai, avant les retouches aux marges, aux fonds et au cartouche.- Troisième essai, avec la retouche derrière le cavalier et avant la retouche aux nuages.- Quatrième essai de tirage avec les retouches aux nuages qui disparaissent, fonds et cartouches.- État définitif de l'essai de tirage.De Vinck, 6937 (pour le tirage définitif) - 6938 (pour le 1er état). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
Paris, E. Leconte, s.d. (1823) gravure in-folio oblong (43 x 52 cm), en feuille, sous passe-partout moderne.
Gravure en taille-douce, préparée à l'eau-forte par Couché fils et terminée au burin par Edme Bovinet (1767-1832).Elle reproduit un des plus célèbres tableaux de Horace Vernet (1789-1863), achevé en 1820 sur commande de l'orfèvre Jean-Baptiste-Claude Odiot (1763-1850, qui avait participé au fait d'armes). Il fut refusé pour d'évidentes raisons politiques par le jury du salon de 1822 (avec la Bataille de Jemmapes). Du coup, Vernet avait organisé dans son atelier de la rue des Martyrs une exposition de ses oeuvres où figuraient notamment les deux peintures incriminées. Ce fut un beau succès, qui consacra la réputation du peintre. En 1835, Odiot en fit cadeau à la Chambre des Pairs.De Vinck, 8917 (avec un titre un peu différent : Le Maréchal Moncey à la Barrière de Clichy). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Huzard, 1817. In-8 de 162 pages, demi-maroquin vert sapin à coins, dos à nerfs, tête dorée. Reliure signée L. Bauser.
Illustré de 3 planches gravées d'après les dessins d'Horace Vernet. Deuxième édition augmentée d'une XIIe lettre contenant un traité sur la manière de dresser les chevaux d'arquebuse pour la chasse à tir. "L'auteur s'inspire de Newcastle et de La Guérinière. Il veut que ses élèves commencent leur instruction en habit d'homme et ne leur permet que plus tard la position à cheval et le costume habituels de l'amazone." Menessier de La Lance II, 336. Étiquette de la librairie Roth à Lausanne.
( Bob Morane ) - Henri Vernes - Jean-Michel Vernet - Franck Leclercq.
Reference : 29524
Editions Ananké / Collection Bob Morane en grand format - GF 112 ( n° 321 ) de 2024. In-8 broché de 152 pages au format 14,5 x 23 cm. Couverture illustrée par Franck Leclercq. Aventure de Bob Morane par Jean-Michel Vernet, d'après Henri Vernes. Tirage spécial hors commerce à 250 exemplaires numérotés, avec ex-libris illustré signé par Jean-Michel Vernet et Franck Leclercq. Edition originale. Etat du neuf.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
NORVINS (Jacques MARQUET de MONTBRETON de) - [BONAPARTE (Napoléon)] - VERNET (Horace, gravures. de).
Reference : 28993
(1834)
Paris, Furne et Cie, 1834. 4 vol. in-8 (217 x 133 mm) de 1 f. bl., 1 frontispice gravé, 2 ff., xvi - 384 pp. + 2 cartes rempliées in fine et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 2 ff., 1 frontispice gravé, 416 pp. + 1 carte rempliée in fine et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 2 ff., 1 frontispice gravé, 430 pp. + 2 cartes rempliées in fine ; 1 f. bl., 2 ff., 1 frontispice gravé, 376 pp. et 1 carte rempliée. Reliures uniformes de l'époque de demi-veau glacé cerise, dos à nerfs orné de filets gras en noir, filets maigres dorés, quintuple filet doré sur les nerfs, larges fleurons romantiques en noir, titre doré, tomaison dorées, filets en pointillés dorés en tête et queue, tranches jaspées. (Bauzonnet).
Ensemble revêtu de délicates reliures du temps ; signées [Antoine] Bauzonnet en pied du dos du 1er volume. ''Though not working on his oown till after Purgold's death in 1830, Bauzonnet was one ot the great binders of the period before 1848, in xhich year he died [...]''. (in Ramsden). L'ouvrage recèle 49 planches gravées montées sous serpente, ainsi que des 6 cartes rempliées placées en fin de volumes. Parmi ces planches, plusieurs plans de bataille ont été réhaussés. Ses planches sont entre autres l'oeuvre d'Horace Vernet (dit Charlot ou Carle Vernet). ''Fils de Joseph Vernet, Carle montra très tôt de grandes aptitudes pour le dessin et la peinture. Pour utiliser sa connaissance profonde des chevaux, il va devenir peintre de batailles. Ses oeuvres sont vivantes et exactes. La plus célèbre d'entre elles est La Bataille de Marengo, dans laquelle le dessein du peintre est de représenter une bataille vraisemblable, où chacun des personnages participent à une action logique et ordonnée, suivant un plan stratégique rigoureux [...]''. (in Bénézit). D'abord secrétaire du préfet de la Seine, Norvins entre comme secrétaire au service du général Leclerc qu'il accompagne à Saint-Domingue. Il fait ensuite la campagne de Prusse dans les gendarmes d'ordonnance. Il devient secrétaire général du ministère de la Guerre du royaume de Westphalie, puis chambellan de la Reine Catherine et enfin chargé d'affaires auprès du Grand-duché de Bade. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en 1808 et devient directeur de la police des États romains (1810-1814). Son Histoire de Napoléon remporta à parution un grand succès, et concourut à forger la légende napoléonienne. Ramsden, French bookbinders, p. 26 - Fléty, Dictionnaire des relieurs français, p. 19 - Martin & Pigeard, Bibliographie napoléonienne, p. 713 (pour une édition de 1839 ; également parue chez Furne) - Vicaire VI, Manuel de l'amateur de livres du XIXème siècle, col. 219 (pour l'originale de 1827 - 1828) - Bénézit X, Dictionnaire des peintres, p. 464 - Osterwalder I, Dictionnaire des illustrateurs, p. 1086 - Carteret III, Le Trésor du bibliophile, p. 439 (pour l'édition Ambroise Dupont). Rousseurs dans les corps d'ouvrages. Quelques cahiers parfois légèrement oxydés; Du reste, belle condition.
THEURILLAT Hilaire; MAURRAS Charles (préface); VERNET Thierry (illustrateur):
Reference : 20106
(1952)
Genève, Pierre Cailler, collection "Les amis des graveurs et des poètes", 1952. In-folio en feuilles, sous chemise rempliée.
Illustré par Thierry Vernet de 8 gravures originales au burin, en noir. Édition originale, signée par l'auteur à la justification) et tirée à 50 exemplaires numérotés (40) sur Auvergne chiffon, unique papier. Ces gravures furent éditées une année avant le grand départ de Thierry Vernet et Nicolas Bouvier pour leur périple vers l'Afghanistan. Envoi autographe de l'auteur au faux-titre.
VERNET HORACE (1789-1863). VERNET CARLE (1758-1836). LAMI EUGENE (1800-1890).
Reference : 3602
(1822)
PARIS. GIDE FILS, LIBRAIRE. ANSELIN ET POCHARD, LIBRAIRES. 1822-1825. 2 VOLUMES GRAND IN-8 (20,5 X 27,5 X 10 CENTIMETRES ENVIRON) DE (4) + XV + (185) + 12 + (4) ET (4) + 6 + (77) PAGES, ENTIEREMENT MONTES SUR ONGLET, RELIURE DEPOQUE 1/2 MAROQUIN BRUN FONCE A COINS, DOS A CINQ NERFS, TITRE ET TETE DORES, NON ROGNE, RARES COUVERTURES GENERALES CONSERVEES (PETITOT RELIEUR). ILLUSTRE DE 100 + 48 LITHOGRAPHIES HORS TEXTE COLORIEES AU POCHOIR, TIREES SUR PAPIER GRIS, COUPEES PUIS COLLEES SUR PAPIER VELIN AU MOMENT DE LA RELIURE. EDITION ORIGINALE ET PREMIER TIRAGE. « L’OUVRAGE DE LAMI ET VERNET EST SANS CONTREDIT L’UN DES PLUS BEAUX QUI AIENT ETE FAITS SUR L’ARMEE FRANCAISE » (GLASSER 253-257). BEL EX-LIBRIS GRAVE DANS CHACUN DES VOLUMES DE HENRI MARCUS. RARE ENSEMBLE COMPLET DE SA SECONDE PARTIE CONCERNANT LES UNIFORMES DE LA RESTAURATION. QUELQUES FROTTEMENTS D’USAGE AUX NERFS, SANS GRAVITE, QUELQUES ROUSSEURS EPARSES SUR LES FEUILLETS DE TEXTE, SINON TRES BEL EXEMPLAIRE.
30/07/1835 Le peintre demande à son confrère de lui ...prêter un croquis d'Ecossais vu de face ? J'en aurai grand besoin pour ma bataille de l'Alma...La Bataille de l'Alma est actuellement au Musée d'Ajaccio. Cette mêm anné, Vernet exposa au Salon son tableau intitulé La Prise de la smalah d'Abd-el-Kader.
[Horace Vernet] - Laurent De l'Ardèche, P.-M / Horace Vernet
Reference : 3895
(1839)
Horace Vernet J.-J. Dubochet et Cie 18 x 26 Paris 1839 Volume in-4, demi-basane violine de l'époque, dos lisse orné de caissons aux décors romantiques et de filets dorés, auteur et titre dorés, plats et gardes marbrées, lithographie en frontispice par Adam sous serpente représentant la statue équestre de Napoléon , 802 p., très nombreuses vignettes in-texte sur bois d'Horace Vernet. Première édition. L'ouvrage, plusieurs fois réédité, fut un des grands succès d'édition de la légende napoléonienne. Belle reliure décorative, rousseurs, quelques pages roussies, mais bon exemplaire. (ApB46) Livre
[Vichy, Académie du Vernet] - Clermont-Ferrand, Imp. Copono-book, 1959 ; in-8, broché. 4ff. verts - 34ff. non chiffrés - 4ff. jaunes - 2 planches hors-texte. Couverture illustrée d'un bois en bistre de Paul Devaux. Rousseurs sur la couverture.
Edition originale tirée à petit nombre, illustrée des reproduction d'un portrait de Lucien Gachon par Boucar et du buste de Pierre Lefort par Mermet. Valery Larbaud devant l'amour, par Marcel Guillaumin - Charles-Louis Philippe, par Réené Palmiery - La légende du riz, Pierre Cony - La vie "chat-noireque" de Pierre Trimouillat, poète moulinois, Robert Croquez - Le récit presque vrai, Lucien Gachon - La trahison de Florimond, Jean Blochet - Espagne d'hier Espagne d'aujourd'hui, Lefort - Souvenirs, Gabriel Peronnet - Jules Ravassou sociétaire de la Comédie française, Serge Rousseau.