[Moreau luc-albert] - ( MOREAU Luc-Albert) - VERCORS ( Jean Bruller, dit).
Reference : 11192
(1945)
1945 Paris, (Edité Aux dépens des Amis de l'artiste, par les soins de Monsieur E. Simon); 1945; in-4° en feuilles, sous chemise cartonnée gris-bleuté, titre en bleu au dos; 100pp. Frontispice, 2 hors-texte et 10 grandes vignettes dans le texte ( dont 1 cul-de-lampe) en noir, lithographies de Luc-Albert Moreau. Tiré à 250 exemplaires sur velin pur fil de Lana.
Il manque l'étui, la chemise cartonnée est présente, la couverture souple de papier est un peu jaunie, sinon très bon état. (Reu-Bur)
Plon, 1981-1984, 3 vol. gr. in-8°, 332, 266 et 460 pp, 48 pl. de photos hors texte, biblio, brochés, couv. illustrées, bon état
Complet — "La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors) — "Moi, Aristide Briand" n'est pas une biographie comme les autres. Briand n'ayant pas laissé de Mémoires, Vercors, en écrivain de grande classe expert à saisir de l'intérieur les hommes et les choses, s'est substitué à lui pour nous donner ici la plus vraie des autobiographies. Était-il manière moins infidèle de raconter une vie, de comprendre un destin, que de rendre ainsi la parole à celui qui demeure l'une des plus hautes figures de l'histoire contemporaine ? La rencontre est exceptionnelle et la réussite totale, car la sympathie ne masque jamais le regard critique. Et Aristide Briand, avec son éternelle cigarette entre les lèvres, est là tout entier, vivant dans son temps. Du jeune avocat de Saint-Nazaire, aux prises avec un « scandale » amoureux, au diplomate des accords de Locarno, deux grandes passions dominent cette vie et cette carrière politique bien remplie. La passion d'unifier et la passion de la paix. Avant la guerre, voici l'ami de Jaurès – avec lequel il rompra dans la tristesse – œuvrant pour l'union du socialisme français. Après la guerre, voici l'apôtre du désarmement, avec son horreur de la « guerre inhumaine », voulant redonner ses chances à l'Europe meurtrie. Le prix de ce grand livre est de montrer que ces passions, ces combats ont été portés par une même et longue fidélité. Un portrait aux mille facettes, où revit de la façon la plus vivante toute une époque.
Plon, 1984, gr. in-8°, 460 pp, 16 pl. de photos hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état (Cent ans d'histoire de France, 3)
"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)
Plon, 1984, gr. in-8°, 266 pp, 16 pl. de photos hors texte, broché, bon état (Cent ans d'histoire de France, 2), envoi a.s.
"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)
VERCORS , Jean Bruller Dit Vercors , Nom De Guerre Puis Littéraire
Reference : 017697
(1972)
Paris Presses De La cité 1972 Grand In 8 Jean Bruller entra dans la Résistance pendant la 2° guerre mondiale dans le massif du Vercors et en garda le surnom pour son oeuvre littéraire . Il fonda les Editions de Minuit , clandestinement en 1941 avec Pierre de Lescure , où il publia dès 1942 - Le Silence de la Mer - Les Armes de la Nuit - nouvelle qu'il fit paraitre ( comme un cri ) en 1946 , au retour des déportés des camps de concentration nazis . Puis il y ajouta cinq années après : - La Puissance du Jour - roman où il exprime que " Tout danger n'est pas écarté " . Sillages est son 14° roman . Légers défauts en jaquette . - 188 p. , 450 gr.
Couverture rigide Très Bon État . Jaquette en très bon état 1ère Édition
Tchou, 1977, gr. in-8°, 252 pp, brochés, couv. à rabats, bon état. Edition originale, envoi a.s.
"L’ouvrage Les Chevaux du Temps (1977) est décrit comme une récréation que s’accorde l’intellectuel engagé que l’on connaît. Dans un récit-cadre, plusieurs personnages sont chargés à tour de rôle de raconter une histoire, dans la longue lignée de la tradition littéraire. Roman ou nouvelles ? La structure adoptée est ambiguë. Vercors plonge le lecteur dans des univers fantastiques à la manière de Nerval ou de Poe." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)
VERCORS , Jean Bruller Dit Vercors , Nom De Guerre Puis Littéraire
Reference : 011470
(1977)
Paris Tchou 1977 Grand In 8 Collection " La mort en question " . Ecrit 35 ans après - Le silence de la mer - Livre énigmatique , mais qui dit " L'amour est plus fort que la mort " . - 252 p. , 550 gr.
Couverture souple Très Bon État .
VERCORS , Jean Bruller Dit Vercors , Nom De Guerre Puis Littéraire
Reference : 023689
(1997)
Paris Editions Michalon 1997 in-8° Un livre inédit de Vercors publié après sa mort , son premier roman policier en Bretagne , près de Douarnenez . Roman Policier . - 210 p. , 400 gr.
Couverture souple Très Bon État . 1ère Édition
Paris : Editions de Minuit, 7 juillet 1945 In-12, 93 pages. Broché, couverture imprimée rempliée.
Envoi de l'auteur à l'historien du cinéma Georges Sadoul (1904-1967). Récit directement inspiré de la vie du père de l'auteur, qui vint à quinze ans, à pied, de Hongrie, par amour pour la France, Voltaire et Hugo, afin d’y vivre et de devenir français. « "Il faut écrire cela !” me dit Lescure. J’ai donc conté cette marche à l’étoile, mais qui allait aussi être la marche à l’étoile jaune et à la mort. Mais j’ai imaginé aussi son désespoir horrible, lui français par amour, s’il s’était vu, comme juif, fusillé par nos gendarmes. » (Vercors cité par Anne Simonin in Les Editions de Minuit, p. 23). Vignes, Intelligence en guerre, n°
P., Les Editions de Minuit, 1947. In-12 br., 93p. Papier lég. jauni.
Histoire de Thomas Muritz.
1946 A Paris, Les Éditions de Minuit, 1946. Coffret de trois ouvrages de Vercors: «Le silence de la mer», 94 pages / «Les armes de la nuit», 149 pages, non-coupé / «La marche à l'étoile», 115 pages. 19 x 13 cm, brochés, sous couvertures souples déditeur recouvertes de papier protecteur transparent. 19x13cm. Tirés à 2500 exemplaire, celui-ci l'un des 2000 (n°966) sur vélin supérieur. Emboitage avec des petites dechirures, dos légèrement ensoleillés, autrement en très bon état. L'intérieur est en parfait état.
1945 Les Editions de Minuit, Paris, 1945. In-12 broché. 44 pages.
Tirage sur papier bleuté.Envoi Autographe Signé de Vercors.Minimes taches de rouille sur la couverture
Paris EDITIONS DE MINUIT 1945 1 Paris, Editions de Minuit, 1945, in-12, broché, 44 pp.
L'auteur évoque, en novembre 1913, un songe qui lui a fait entrevoir l'univers des camps de concentration. Il se révolte contre l'égoïsme des hommes privilégiés dans leur confort quotidien, qui ferment les yeux face aux atrocités que subissent d'autres hommes.
Christian Bourgois, collection Bibliothèque Lettre internationale, 1991. Grand in-8 broché, couverture photographique. Illustrations in-texte en noir.
Livre de recettes écrit "avec clarté et jubilation par l'auteur du Silence de la mer". * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
Paris, Editions de Minuit, 1945 in-12, 45 pp. imprimées sur papier gris, broché.
Première édition séparée : le texte, composé en novembre 1943, fut d'abord publié dans la revue suisse Traits en 1944, puis repris dans le premier numéro non clandestin des Lettres françaises (septembre 1944). Il sera repris ensuite dans la collective Le Silence de la mer, et autres récits (à ne pas confondre avec l'édition originale de la première nouvelle, qui donna son nom au recueil). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Les Éditions de Minuit [Imprimerie française de musique et reproduction photomécanique], 1948 in-12, 94 pp., un f. n. ch., coupure de presse contrecollée sur les premières gardes, broché.
Reproduction photomécanique de l'édition originale, parue le 20 février 1942, à l'adresse clandestine des Éditions de minuit, dans un tirage confidentiel (350 exemplaires). L'ouvrage est mythique, et lança les Éditions de Minuit à travers cet engagement résistant. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris : Editions de Minuit, 25 décembre 1943 In-12, 93 pages. Broché, couverture imprimée rempliée.
Edition originale. Récit directement inspiré de la vie du père de l'auteur, qui vint à quinze ans, à pied, de Hongrie, par amour pour la France, Voltaire et Hugo. Les persécutions antisémites en France lui furent presque impossible à admettre. Vignes et Lacroix, Intelligence en guerre, n° 34.
[Hermine DAVID] - / DAVID (Hermine) / - VERCORS (Jean BRULLER, dit).
Reference : 1289B
(1952)
Terres Latines, Bruxelles, s.d. (c.1952), in-8 (215x160mm), 171pp., broché, couverture crème illustrée en couleurs rempliée (petite brunissure bords plats couverture (poussière).
Ouvrage illustré de 8 compositions en couleurs (couverture, frontispice et 6 planches hors-texte) par Hermine DAVID. Ces compositions reproduisent, en phototypie, les pointes-sèches originales de la première édition (la mise en couleurs a été effectuée dans les ateliers Huguette LEGROS). Tirage limité à 1600 exemplaires numérotés (n° 114).
1946 New York, Pantheon, 1946, 1 vol. in-12 (196 x 132) broché sous couverture gris clair encadrée de gris foncé, imprimée en bistre, de 78 pp.Très bel exemplaire.
Rare édition américaine de ce classique de la littérature clandestine de la deuxième guerre mondiale, imprimée sur beau papier vélin.Huitième volume de la collection "French Pantheon Books" éditée par Jacques Schiffrin.Non référencée dans la "Bibliographie des Editions de Minuit" de Vignes.
Londres, Les Cahiers du Silence, 25 juillet 1943. 1 vol. in-8°, piqué à cheval au fil métallique, couv. blanche imprimée en rouge et bleu. (4) ff., 46 pp., (1) f.
Seconde édition, imprimée à Londres d'après une copie de l'édition originale clandestine parue aux Editions de Minuit en février 1942. Cette édition imprimée pour le compte de C. Divonne de Boisgelin, éditeur des Cahiers du Silence, est préfacée par Maurice Druon, qui signe de ses initiales. Un premier tirage, limité à 100 exemplaires avait été imprimé en juin.
Phone number : 02 47 97 01 40
Paris, Aux Editions de Minuit, 1947, 10 X 17 cm., broché, 51 pp. N° 3 de la collection Nouvelles originales. Edition originale. Tirage limité à 1000 exemplaires numérotés. Couverture rempliée. Non coupé et en bon état.
Paris, LUF. Egloff, (Copyright by Egloff, Fribourg et L.U.F., Paris, Impr. par Albert Kundig à Genève), 1945, gr. in-8°, 43 p. (+ 1) + 4 ff. + 9 p. imprimée en grand caractères, en feuilles, sans couverture, (exemplaire provient de l'éditeur).
Phone number : 41 (0)26 3223808
P., Editions de Minuit, 1946, 1 vol. in-12 (189 x 125) broché sous couverture mauve rempliée imprimée en noir et blanc, de 148 pp. - 3 ff. Dos et bords de la couverture insolés, petites déchirures en bas du dos, bon exemplaire par ailleurs.
Véritable édition originale tirée à 2500 exemplaires, 1 des 2000 sur vélin (N°548). Réf. biblio. : Vignes, "Bibliographie des Editions de Minuit", 52.