VERCORS , Jean Bruller Dit Vercors , Nom De Guerre Puis Littéraire
Reference : 023689
(1997)
Paris Editions Michalon 1997 in-8° Un livre inédit de Vercors publié après sa mort , son premier roman policier en Bretagne , près de Douarnenez . Roman Policier . - 210 p. , 400 gr.
Couverture souple Très Bon État . 1ère Édition
VERCORS , Jean Bruller Dit Vercors , Nom De Guerre Puis Littéraire
Reference : 017697
(1972)
Paris Presses De La cité 1972 Grand In 8 Jean Bruller entra dans la Résistance pendant la 2° guerre mondiale dans le massif du Vercors et en garda le surnom pour son oeuvre littéraire . Il fonda les Editions de Minuit , clandestinement en 1941 avec Pierre de Lescure , où il publia dès 1942 - Le Silence de la Mer - Les Armes de la Nuit - nouvelle qu'il fit paraitre ( comme un cri ) en 1946 , au retour des déportés des camps de concentration nazis . Puis il y ajouta cinq années après : - La Puissance du Jour - roman où il exprime que " Tout danger n'est pas écarté " . Sillages est son 14° roman . Légers défauts en jaquette . - 188 p. , 450 gr.
Couverture rigide Très Bon État . Jaquette en très bon état 1ère Édition
VERCORS , Jean Bruller Dit Vercors , Nom De Guerre Puis Littéraire
Reference : 011470
(1977)
Paris Tchou 1977 Grand In 8 Collection " La mort en question " . Ecrit 35 ans après - Le silence de la mer - Livre énigmatique , mais qui dit " L'amour est plus fort que la mort " . - 252 p. , 550 gr.
Couverture souple Très Bon État .
Paris Le Livre De Poche 1992 in-12° Poche n° 25 . Texte intégral . ( Commandez plusieurs livres dans notre librairie pour un seul frais de port compté ) . Roman historique . - 192 p. , 250 gr.
Couverture souple Très Bon État .
Paris Le Livre De Poche 1984 In 16 Collection " Texte intégral " . Humidité en dernières pages . ( Commandez plusieurs livres pour un seul frais de port compté ) . Roman . - 320 p. , 250 gr.
Couverture souple Très Bon État .
Plon, 1981-1984, 3 vol. gr. in-8°, 332, 266 et 460 pp, 48 pl. de photos hors texte, biblio, brochés, couv. illustrées, bon état
Complet — "La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors) — "Moi, Aristide Briand" n'est pas une biographie comme les autres. Briand n'ayant pas laissé de Mémoires, Vercors, en écrivain de grande classe expert à saisir de l'intérieur les hommes et les choses, s'est substitué à lui pour nous donner ici la plus vraie des autobiographies. Était-il manière moins infidèle de raconter une vie, de comprendre un destin, que de rendre ainsi la parole à celui qui demeure l'une des plus hautes figures de l'histoire contemporaine ? La rencontre est exceptionnelle et la réussite totale, car la sympathie ne masque jamais le regard critique. Et Aristide Briand, avec son éternelle cigarette entre les lèvres, est là tout entier, vivant dans son temps. Du jeune avocat de Saint-Nazaire, aux prises avec un « scandale » amoureux, au diplomate des accords de Locarno, deux grandes passions dominent cette vie et cette carrière politique bien remplie. La passion d'unifier et la passion de la paix. Avant la guerre, voici l'ami de Jaurès – avec lequel il rompra dans la tristesse – œuvrant pour l'union du socialisme français. Après la guerre, voici l'apôtre du désarmement, avec son horreur de la « guerre inhumaine », voulant redonner ses chances à l'Europe meurtrie. Le prix de ce grand livre est de montrer que ces passions, ces combats ont été portés par une même et longue fidélité. Un portrait aux mille facettes, où revit de la façon la plus vivante toute une époque.
Plon, 1984, gr. in-8°, 460 pp, 16 pl. de photos hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état (Cent ans d'histoire de France, 3)
"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)
Plon, 1984, gr. in-8°, 266 pp, 16 pl. de photos hors texte, broché, bon état (Cent ans d'histoire de France, 2), envoi a.s.
"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)
Pitte, André Parc Naturel Regional du Vercors. Lans-en-Vercorsco-auteur Paepe, Michel de Beaumier, Séverine Bioullès, Jean Masseport, Jean Pornet, Claude Serres, Olivier de Neumiller, Roberto Audra, Jean
Reference : 3561
photographies, témoignages et documents sur la gestion et l'exploitation de la forêt dioise 1860-1980. Expositionéditeur-date Lans-en-Vercors : Parc naturel régional du Vercors, 1982description 30 p ; ill ; 32 cmCette brochure accompagnait la présentation de l'exposition réalisée dans le cadre du Projet culturel du Parc naturel régional du Vercors 1982-1983collection Cahiers culturels du parc du Vercors ; 2sujet Forêts - Diois (Drôme)rare
RAY AX
Édition originale. Exemplaire bien complet de la profession de foi des Éditions de Minuit. Paris, Éditions de Minuit, (20 février) 1942. 1 vol. (110 x 165 mm) de 90 p., 1, [1] et 1 f. Broché, sous chemise et étui. Édition originale. Exemplaire bien complet de la profession de foi des Éditions de Minuit, véritable manifeste pour la liberté d'expression des écrivains, sur feuillet volant.
Jean Bruller s’engage dans la Résistance aux côtés de Pierre de Lescure : ils sont chargés de réaliser, pour l’Intelligence Service, un réseau de renseignements et de filières d’évasion d’agents et d’aviateurs anglais. Le réseau découvert, ils écrivent ensuite des articles pour une revue communiste clandestine, La pensée libre, qui souhaite s’ouvrir à des rédacteurs de toutes tendances. Lescure a rédigé lui-même une nouvelle et pousse Bruller à en écrire une à son tour, lui qui s’est réfugié dans le silence de son village de Villiers-sur-Morin. Un silence trop pesant pour l’illustrateur, qui se change, en quelques semaines, en écrivain et rédige Le Silence de la mer. La rédaction est terminée à la fin de l’été 1941 et Vercors en fait la première lecture à son ami Lescure : « pendant plus d’une heure il resta impassible… Enfin il releva la tête, posa sur moi un regard brouillé, humide, et prononça : ‘De longtemps je n’avais plus ressenti une pareille émotion’ ». Reste à le publier. Sous pseudonyme évidemment, déjà trouvé : « Jean Bruller se trouvait à l’Armée des Alpes, du côté de Romans-sur-Isère, lorsque l’armistice de juin 1940 fut annoncée. Son regard se posa sur les monts du Vercors dans lequel il vit, avec la prescience du poète, une citadelle de Liberté. De sorte que le nom de ‘Vercors’ se présenta à son esprit quand il eut à signer d’un pseudonyme significatif le premier des écrits français que la résistance ait inspiré » (Jacques Dalloz). On cherche un typographe assez fou pour tenter l’aventure. Par l’intermédiaire de l’imprimeur Ernest Aulard, Bruller trouve à Paris un petit atelier boulevard de l’Hôpital, celui de Georges Oudeville, spécialisé dans les faire-part et les cartes de visite. Bruller envisage un livre de petit format, d’une centaine de pages, à la finition soignée. Aulard fournit papier et caractères. La machine, une minerve, ne permettant de tirer que huit pages à la fois, le travail d’impression prend près de trois mois et, chaque semaine, Bruller apporte huit pages du manuscrit, détruites au fur et à mesure de l’avancement de la composition, et repart avec les pages imprimées, qui sont déposées boulevard Raspail, dans des bureaux où travaille une amie de Lescure, puis, après une perquisition allemande, dans un café, boulevard de la Gare. Fin janvier 1942, le travail de presse est achevé. Yvonne Paraf, une amie de Bruller, se charge du brochage et Vercors lui-même collera les couvertures. Le résultat est un livre de qualité, à la typographie parfaite. Bruller a fait, comme il le dit lui-même, de « la belle ouvrage ». En février 1942, 350 exemplaires sont constitués : 100 pour la zone Nord, rapidement diffusés sous le manteau, et 250 pour la zone Sud : 200 exemplaires seront saisis par les Allemands alors qu’ils transitaient vers Lyon. Personne ne soupçonnera jusqu’en 1945 qu’il est l’auteur de son livre (ni Aulaurd ni Oudeville ni même sa propre épouse ne sont au courant) et les rares initiés, une petite dizaine, garderont le secret. En raison de cette diffusion réduite – seuls 150 exemplaires purent être distribués –, le coup d’éclat demeure sans lendemain dans un premier temps. Mais, très vite, au gré des multiples rééditions clandestines qui vont suivre, d’abord à Londres, puis en Suisse, en Afrique du Nord, aux États-Unis, au Liban et jusqu’au Sénégal, Le Silence de la mer devient vite le texte emblématique de la Résistance, au même titre que son pendant poétique, « Liberté » d’Éluard, qui aura entretemps pris les rênes des Éditions de minuit. Très bel exemplaire, en parfaite condition.
"Courrier" n° 22 : une plaquette de 54 pages, format 180 x 265 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, publiée en 1979, bon état
Découverte des sites préhistoriques du Vercors, en Isère
Phone number : 04 74 33 45 19
Rio de Janeiro Les Editions de Minuit 1944 In-12 Broché, couverture rempliée. Dédicacé par l'auteur
Edition achevée d'imprimer le 15 novembre 1944 par Aullard, imprimeur clandestin des "Editions de Minuit", publiée à la libération, en tout point conforme à celle parue sous l'oppression. Exemplaire numéroté sur vélin. ENVOI AUTOGRAPHE signé de Vercors. Très bon 0
ASTIER DE LA VIGERIE (Emmanuel d') / ARAGON (Louis) / ELUARD (Paul) / VERCORS ([BRULLER] Jean
Reference : 17
(1946)
Paris Editions de minuit 1946 In-12° (187 x 126 mm), 43 pp. - [1] p. bl. - [1] f. v. bl., broché tel que paru, non-coupé.
Un des 25 exemplaires numérotés en chiffres romains Édition originale, tirée à 2000 ex. sur papier BFK de Rives, de ces trois textes d'Aragon, Eluard et Vercors publiés pour le Conseil National de la Résistance à l'occasion des Journées Européennes de la Résistance afin de célébrer l'engagement des poètes français. Ils sont précédés d'une préface par Emmanuel D'Astier de la Vigerie. La plaquette s'ouvre sur la « Comptine du quai aux fleurs » d'Aragon, poème dont le rythme lui valut d'être plusieurs fois mis en musique. La forme mélodique soutient, en se posant en contraste, une esquisse de Paris comme témoin de la violence. Il a vraisemblablement été titré ainsi en référence à l'appartement qu'occupait alors les d'Astier. Dans « Athena », Éluard exhorte le peuple grec à défendre sa liberté. La mention de la déesse évoque une Grèce antique, mythique, mais on notera qu'à la publication de l'ouvrage, ces vers font écho au contexte de la guerre civile grecque. Dans le récit autobiographique « Désespoir est mort », publié pour la première fois en 1943, Vercors dresse le portrait de trois personnages écrasés par le désespoir au lendemain de l'armistice. Mais le ton change lorsqu'ils observent ensemble un groupe de cannetons à la démarche comiquement martiale. Marges de la couverture et du texte légèrement jaunis., 1er cahier découronné assez peu nettement
Paris Albin Michel 1956 In-8 Broché, couverture illustrée Dédicacé par l'auteur
Edition originale. 70 dessins et 14 photo en couleurs hors texte de l'auteur. Exemplaire portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé de Vercors. Inséré le prospectus "Les Animaux dénaturés de Vercors et la presse mondiale". Bon 0
ca 1898 1898 Album relié muet, 32 X 24,5. Un mors fendillé. Rousseurs des supports, les épreuves très généralement épargnées.
Pont en Royan ; Route des Grands Goulets, Saint Martin en Vercors, Saint Julien en Vercors, routes du Vercors, procession de la fête Dieu à Villars de Lans, gorge de la Bourne, route des Ecouges, gorge de la Drevenne, le Grand Som, le Guiers-Mort, la Grande Chartreuse (couven), Saint Laurent du Pont, Chorance, Saint Anthelme, Miribel, portrait types d’habitants, Cavalcade du 15 âout (Saint-Laurent du Pont), ... Bon état d’occasion
Paris Editions Vialetay 1965 In-4, en feuilles, couverture imprimée (emboîtage de l'éditeur).Edition originale de la préface et de la traduction du texte par Vercors, illustrée par ce dernier de 24 remarquables eaux-fortes originales dont un frontispice, 5 hors-texte et 18 in-texte. Tirage limité à 331 exemplaires numérotés, signés par Vercors. Un des 180 exemplaires sur vélin de Rives, enrichi d'un grand et superbe dessin original inédit exécuté à l'encre et à la mine de plomb, signé Jean Bruller (variante de l'illustration de la page 51).
1500 VERCORS ENRÔLE PAULHAN POUR SOUTENIR LE VIETNAM« Merci pour votre adhésion que le secrétariat de l’Appel vient de me transmettre.Est-ce très sérieux, dites-vous ? Comme j’en doutais aussi, j’ai interrogé les Vietnamiens eux-mêmes. La réponse fut sans équivoque : ce qu’ils attendent de leurs amis occidentaux, c’est moins une aide matérielle (que leurs amis socialistes leur fournissent, disent-ils en suffisance) que le soutien de l’opinion. Qui mieux qu’eux-mêmes connaîtrait leurs besoins ?Il s’agit donc de ne pas laisser retomber, s’endormir ce soutien, et de recommencer chaque fois qu’il le faut. Le dessein du présent Appel (auquel affluent les signataires de façon surprenante : 1500 à ce jour !) est de réunir en mars un vaste public dans un local encore à trouver.Heureux de vous trouver, cette fois encore, à nos côtés. Tout mon fidèle et amical souvenir.Vercors ».
[En mars 1968, est organisée une « journée des intellectuels pour le Vietnam ». Un appel signé Aragon, Simone de Beauvoir, Vladimir Jankelevitch, François Mauriac, Pablo Picasso, Jean-Paul Sartre, Elsa Triolet, Vercors ou Jean Vilar propose de faire converger l’action des intellectuels dans une journée pour le Vietnam, au Parc des Expositions de la Porte de Versailles. La journée se déroule en présence de M. Hoang Minh Giam, ministre de la Culture du Vietnam du Nord et de Waldeck Rochet, secrétaire général du PCF].
[Association Nationale des Pionniers et Combattants Volontaires du Vercors]
Reference : LFA-126718224
Une plaquette de 20 pages, format 145 x 215 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, s.d., (Grenoble)
Guide pour la visite historique du Vercors, haut-lieu de la Résistance française (1942-1944)
Phone number : 04 74 33 45 19
Paris - Les Documents de notre Temps - 1948 - 1 plaquette in8 brochée de 14pp -
bon etat
Editions Albin Michel. 1951. In-8° broché. 277 pages. E.O. 1/26 de tête sur hollande. [26 hollande / 37 vélin du Marais].
Envoi autographe de Vercors. Pages non coupées. Exemplaire non rogné, à grandes marges. Infimes piqûres sur la couverture. Bon exemplaire.
Editions Albin Michel. 1954. In-8° broché. 288 pages. E.O. 1/22 de tête sur hollande. [22 hollande / 27 vélin du Marais].
" Hommage de Vercors absent de Paris " sur bristol joint. Pages non coupées. Exemplaire non rogné, à grandes marges. Quelques piqûres sur la couverture. Bon exemplaire.
P., Klincksieck, 1969, in-8, br., couv. ill;, 214 pp., bibliographie. (DD3)
Avec des commentaires de Vercors et 18 dessins hors-texte de Jean Bruller.
Aveline Claude Cassou Jean Martin-Chauffier Louis Vercors
Reference : ENA14AP
ISBN : B0018JJ7ZQ
Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1951 184 pages
2000 C&R editions, 2000, un fort volume grand format 23.5x33cm, relié toile, jaquette illustrée, 423 pages. Cette edition a été tirée à 446 exemplaires, celui-ci numeroté 65. La notice ( quelques pages ) est tres annotée au crayon à papier. La jaquette est un peu défraîchie mais ne comporte qu'un minuscule manque à un angle, peu visible. Peu commun. Nous joignons une brochure: Hommage à Vercors: la bataille du silence à Villiers sur Morin ( extraits du roman "la bataille du silence" de Jean Bruller dit Vercors) Photos sur demande / pictures on request. Livre tres lourd, le port devra être majoré.