Le livre de poche 1977 poche. 1977. Broché. 188 pages. Les Editions de Minuit ont été conçues par Vercors à l'automne 1941 et créées par lui avec Pierre Lescure. Le Silence de la mer est le premier titre à y être publié. Une vingtaine d'autres suivront jusqu'à la Libération mais c'est le texte inaugural de Vercors qui connaît le plus grand retentissement. Cette sobre histoire où une famille française s'oppose par le silence à l'officier allemand qu'elle a été obligée de loger est un plaidoyer implacable contre la barbarie hitlérienne. Sous la calme surface des eaux c'est la terrible mêlée des bêtes dans la mer qui se trouve soudain révélée et toute la vie sous-marine des sentiments cachés des désirs et des pensées qui se nient et qui luttent. Les récits qui accompagnent ici Le Silence de la mer ont une portée peut-être moins complexe mais tout aussi forte. Tous lancent un vibrant appel aux vertus d'un humanisme conscient de ses devoirs Bon Etat
Le livre de poche 1986 poche. 1986. Broché. 188 pages. Les Editions de Minuit ont été conçues par Vercors à l'automne 1941 et créées par lui avec Pierre Lescure. Le Silence de la mer est le premier titre à y être publié. Une vingtaine d'autres suivront jusqu'à la Libération mais c'est le texte inaugural de Vercors qui connaît le plus grand retentissement. Cette sobre histoire où une famille française s'oppose par le silence à l'officier allemand qu'elle a été obligée de loger est un plaidoyer implacable contre la barbarie hitlérienne. Sous la calme surface des eaux c'est la terrible mêlée des bêtes dans la mer qui se trouve soudain révélée et toute la vie sous-marine des sentiments cachés des désirs et des pensées qui se nient et qui luttent. Les récits qui accompagnent ici Le Silence de la mer ont une portée peut-être moins complexe mais tout aussi forte. Tous lancent un vibrant appel aux vertus d'un humanisme conscient de ses devoirs Bon Etat
Le livre de poche 1974 poche. 1974. Broché. 188 pages. Les Editions de Minuit ont été conçues par Vercors à l'automne 1941 et créées par lui avec Pierre Lescure. Le Silence de la mer est le premier titre à y être publié. Une vingtaine d'autres suivront jusqu'à la Libération mais c'est le texte inaugural de Vercors qui connaît le plus grand retentissement. Cette sobre histoire où une famille française s'oppose par le silence à l'officier allemand qu'elle a été obligée de loger est un plaidoyer implacable contre la barbarie hitlérienne. Sous la calme surface des eaux c'est la terrible mêlée des bêtes dans la mer qui se trouve soudain révélée et toute la vie sous-marine des sentiments cachés des désirs et des pensées qui se nient et qui luttent. Les récits qui accompagnent ici Le Silence de la mer ont une portée peut-être moins complexe mais tout aussi forte. Tous lancent un vibrant appel aux vertus d'un humanisme conscient de ses devoirs Bon Etat
Plon, 1981-1984, 3 vol. gr. in-8°, 332, 266 et 460 pp, 48 pl. de photos hors texte, biblio, brochés, couv. illustrées, bon état
Complet — "La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors) — "Moi, Aristide Briand" n'est pas une biographie comme les autres. Briand n'ayant pas laissé de Mémoires, Vercors, en écrivain de grande classe expert à saisir de l'intérieur les hommes et les choses, s'est substitué à lui pour nous donner ici la plus vraie des autobiographies. Était-il manière moins infidèle de raconter une vie, de comprendre un destin, que de rendre ainsi la parole à celui qui demeure l'une des plus hautes figures de l'histoire contemporaine ? La rencontre est exceptionnelle et la réussite totale, car la sympathie ne masque jamais le regard critique. Et Aristide Briand, avec son éternelle cigarette entre les lèvres, est là tout entier, vivant dans son temps. Du jeune avocat de Saint-Nazaire, aux prises avec un « scandale » amoureux, au diplomate des accords de Locarno, deux grandes passions dominent cette vie et cette carrière politique bien remplie. La passion d'unifier et la passion de la paix. Avant la guerre, voici l'ami de Jaurès – avec lequel il rompra dans la tristesse – œuvrant pour l'union du socialisme français. Après la guerre, voici l'apôtre du désarmement, avec son horreur de la « guerre inhumaine », voulant redonner ses chances à l'Europe meurtrie. Le prix de ce grand livre est de montrer que ces passions, ces combats ont été portés par une même et longue fidélité. Un portrait aux mille facettes, où revit de la façon la plus vivante toute une époque.
Plon, 1984, gr. in-8°, 460 pp, 16 pl. de photos hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état (Cent ans d'histoire de France, 3)
"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)
Plon, 1984, gr. in-8°, 266 pp, 16 pl. de photos hors texte, broché, bon état (Cent ans d'histoire de France, 2), envoi a.s.
"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)
Pitte, André Parc Naturel Regional du Vercors. Lans-en-Vercorsco-auteur Paepe, Michel de Beaumier, Séverine Bioullès, Jean Masseport, Jean Pornet, Claude Serres, Olivier de Neumiller, Roberto Audra, Jean
Reference : 3561
photographies, témoignages et documents sur la gestion et l'exploitation de la forêt dioise 1860-1980. Expositionéditeur-date Lans-en-Vercors : Parc naturel régional du Vercors, 1982description 30 p ; ill ; 32 cmCette brochure accompagnait la présentation de l'exposition réalisée dans le cadre du Projet culturel du Parc naturel régional du Vercors 1982-1983collection Cahiers culturels du parc du Vercors ; 2sujet Forêts - Diois (Drôme)rare
RAY AX
"Courrier" n° 22 : une plaquette de 54 pages, format 180 x 265 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, publiée en 1979, bon état
Découverte des sites préhistoriques du Vercors, en Isère
Phone number : 04 74 33 45 19
Terres latines in8. Sans date. broché. 171 pages. Très bon état
Haumont 1945 in8. 1945. broché. 96 pages. Bon Etat intérieur propre petit manque à la 1° de couverture ( voir photo )
Le Livre de Poche 1967 poche. 1967. Broché. 215 pages. Bon état (BE) interieur propre
Club francais du livre 1953 in8. 1953. reliure editeur. 162 pages. Bon Etat intérieur propre
Paris, Fernand Nathan, 1928. In-4 carré, 126 pp., cartonnage éditeur illustré en blanc et d'une composition en couleur contrecollée au plat supérieur.
Un des premiers (si ce n'est le premier) albums d'anticipation pour enfants en France. * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous.
Minuit 1945 in12. 1945. broché. 44 pages. Etat correct d'usage interieur propre petite tache sur la couverture
Albin 1950 12x19. 1950. Broché. 247 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs couverture frottée sur ses coiffes
Albin 1950 12x19. 1950. Broché. 277 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs
Albin 1954 12x19. 1954. Broché. 176 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs
Albin 1951 12x19. 1951. Broché. 357 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs
Broché 1985 15x22x3cm. 1985. Broché. 286 pages. Bon Etat intérieur propre pointes cornées
Albin 1954 12x19. 1954. Broché. 288 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs
LGF - Livre de Poche 1972 poche. 1972. Broché. 435 pages. bon état intérieur propre pointes légèrement cornées
Maxi-livres-Profrance 1996 15x23. 1996. Broché. 161 pages. Bon Etat intérieur propre
Albin 1952 14x20. 1952. Broché. 245 pages. état intérieur propre et sans rousseurs couverture brunie et légèrement salie