Paris, Gaume, 1856. In 8 de 2 ff., 4-464 p. Broché.
“Ouvrage renfermant, en dehors de la réfutation de ce système, de nouveaux et amples développements sur la nature et les forces de la raison ; sur les principes des connaissances humaines ; sur la loi naturelle ; sur la nécessité de la tradition et de la révélation divine ; et sur les funestes effets de l'enseignement philosophique actuel dans les établissements dirigés par des rationalistes soi-disant catholiques.” L’auteur, ancien général de l’Ordre des Théatins, était consulteur de la sacrée Congrégation des Rites.
Paris, Gaume frères et J.Duprey 1861 cxv + 477 + xx + 623pp., cachet, qqs.rousseurs dans le texte, dos reparés, bon état, F28055
Paris, Gaume frères et J.Duprey 1861 cxv, 477 + xx, 623pp., cachet de bibl., qqs.rousseurs dans le texte, br.orig. (couv. 2e vol.en copie), 23cm., intérieur en bel état, F43591
Paris, Gaume frères 1856 591pp., brochure originale, qqs.rousseurs, cachet, bon état, [Ouvrage renfermant, en dehors de la réfutation de ce système, de nouveaux et amples développements sur la nature et les forces de la raison ; sur les principes des connaissances humaines ; sur la loi naturelle ; sur la nécessité de la tradition et de la révélation divine ; et sur les funestes effets de l'enseignement philosophique actuel dans les établissements dirigés par des rationalistes soi-disant catholiques], F43603
Paris, Auguste Vaton 1859 2 tomes (ouvrage complet): xxiv,535 + x,464 pp., 2e édition revue corrgiée et augmentée, reliure cart.avec dos en cuir (titre doré au dos), 23cm., qqs.rousseurs, bon état
Paris Gaume frères et J. Duprey 1858, in-8, XXVII-590 pages.Portrait lithographique de l'auteur. Demi chagrin noir époque, lettres J.P. frappée d'or sur le plat supérieur. Tampons de bibliothèques religieuses.Coins et coupes frottés, dernier feuillet déchiré sans manque et maladroiteent recollé.
1ère édition Joachim Ventura de Raulica (1792-1861), Prêtre Sicilien, théologien, philosophe, prédicateur qui prononça l’éloge mortuaire de Pie VII en 1823 et Supérieur Général de 1830 à 1833 de l’Ordre des Théatins des Clercs Réguliers. Partisan d'une confédération italienne sous la présidence du pape, il soutint la guerre contre l'Autriche et prit parti contre la nomination de Pellegrino Rossi comme chef du gouvernement à Rome. Après la chute de la république, il s'exila à Montpellier, où il s'exerça pendant deux ans à prêcher et à écrire en français, puis vint à Paris en 1851 où il se livra avec un nouveau succès à la prédication.