[1949] La jeune écrivaine et réalisatrice pose de face, un coquillage dans les mains. Cette oeuvre unique sur parchemin a figuré à l'une des premières expositions de Robert Lapoujade "50 portraits d'écrivains exécutés à la pointe d'argent" (Galerie Chardin, Paris, 1949). On joint un commentaire autographe signé de 2 pages in-folio (60 lignes) où Nicole Vedrès s'interroge : "Pourquoi ces traits plutôt que d'autres - et même : pourquoi une figure plutôt qu'une poignée d'herbe, une touffe de plumes, une coquille ?" Le texte salue l'art du portraitiste qui saisit et restitue une part de vérité au-delà des apparences.