1 vol. in-8 reliure pleine basane racinée (reliure d'ancien comptoir français en Inde), dos lisse orné, couvertures conservées, Connaissance du Monde, Paris, 1961, 246 pp.
Bon exemplaire bien relié, enrichi d'une dédicace de l'auteur : "Pour M. et Mme Marcel P... qui connaissent le pays d'origine des Tsiganes".
Paris au bureau du Journal d'économie rurale et domestique an XIII - 1805 2 parties en un vol. in-12 broché sous couverture d'attente de papier moutarde
2 ff.n.ch., pp. 5-40, 98 pp., 8 pp. de catalogue, une planche dépliante hors texte regroupant 5 figures.Unique édition, très rare, de ce traité important dans l'histoire du nettoyage des tissus.Frappé des résultats qui avaient été obtenus avant la Révolution dans une buanderie de Bercy, Chaptal, nommé ministre de l’intérieur, fit étudier cette question par divers chimistes, parmi lesquels Bosc, Roard, Curaudeau,Bourgeron, de Layre et Cadet de Vaux, qui furent chargés d'expérimenter et de juger ce nouveau procédé. Chaptal chargea même Cadet de Vaux de rédiger une instruction populaire sur le blanchiment à la vapeur (notre opuscule). Cependant, malgré les recommandations de Chaptal et de Cadet de Vaux, ce procédé fut accueilli avec peu de faveur. On se défia de la température élevée à laquelle le linge était soumis. Ou crut que la vapeur brûlait le linge. Dans les buanderies qui furent établies à Paris, vers 1805, d’après l’instruction de Cadet de Vaux, on employait la vapeur produite par des générateurs à haute pression. Cette vapeur, d’une température trop élevée, détériorait le linge, y coagulait les matières albumineuses et le laissait maculé de taches difficiles à enlever. Le préjugé que "la vapeur brûle le ling" se répandit ainsi dans le public, et fit rejeter cette méthode, jusqu’au moment où des appareils simples, mais, d’ailleurs, construits sur les mêmes principes posés dans l’instruction de Cadet de Vaux, sont venus rendre évidents les avantages du blanchissage à la vapeur. Ce qui ne peut intervenir que sous la Monarchie de Juillet
Hachette, 1957, in-8° carré, 127 pp, dont 31 p. de texte de présentation, 63 pl. en noir, 8 pl. en couleurs hors texte et 11 p. de notices géographiques, historiques et archéologiques, cart.éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Les Albums des Guides Bleus), envoi a.s.
"L'on ne peut que se féliciter de la vogue des albums photographiques lorsqu'à des images de la qualité de celles du photographe André Serres s'ajoute le plaisir de la lecture d'un texte aussi délicat que celui de M. de Vaux de Foletier. C'est, selon la formule de la collection, une « présentation » des Charentes au lecteur ; mais c'est aussi bien plus que cela, une invitation au voyage, une flânerie sous des ciels exquis, une conversation érudite et paisible. L'âme des Charentes. M. de Vaux de Foletier la connaît mieux que quiconque, puisqu'il fut, pendant dix-huit ans, archiviste en chef à La Rochelle ; et ce n'est pas à nos confrères qu'on apprend à quel point ces fonctions aident à pénétrer l'intimité de la province où on les exerce. Il y a du reste, à la première page de ce livre, une quarantaine de lignes frémissantes à la gloire du « métier d'archiviste » que nous ne lisons pas sans émotion. M. de Vaux de Foletier a voulu, aux images d'André Serres, donner leur quatrième dimension ; aussi ne décrit-il pas les paysages : il les emplit, par de savoureuses citations littéraires, par l'évocation du passé, proche ou lointain, par des tableautins animés, tels ceux de la criée du marché au poisson de La Rochelle ou du cortège des condamnés en partance de Ré pour la Guyane. Et d'Ausone à François Porché, en passant par Octavien de Saint-Gelais, Guez de Balzac et Vigny, nous entendons les plus belles phrases consacrées aux pays charentais par les romanciers et les poètes qui succombèrent à leur charme ; mais M. de Vaux de Foletier est lui-même un écrivain de si rare qualité que ses phrases à lui sont peut-être les meilleures." (Michel Duchein, Gazette des Archives, 1958)
Lettre Autographe militaire signée de Bertin de Vaux datée du 12 décembre 1841, adressée au Ministre Soult.Officier d'ordonnance du Duc d'Orléans, puis aide de camp du Comte de Paris. Auguste Bertin de Vaux (1799-1879), est député de St Germain en Laye de 1837 à 1842 et Pair de France sous la monarchie de Juillet en 1845. Général de division le 7 mars 1861.Fils de Louis François Bertin dit Bertin de Vaux, journaliste et homme politique français, né à Paris le 18 août 1771 et mort dans la même ville le 23 avril 1842.LAS 3 pages. Format in-8°(20x14). Tampon au verso. Petite tache sur le bord inférieur de la première page. Très bon état.
JC Lattès, 1981, in-8°, 251 pp, 8 pl. de gravures hors texte, 4 fac-similés, sources et biblio, broché, couv. illustrée, bon état
"Voici tout juste vingt ans, en commentant la publication de l'étude de notre confrère François de Vaux de Foletier sur “Les Tsiganes dans l'ancienne France” (Gazette des Archives, n° 39, 1962), nous exprimions le souhait de voir cet ouvrage continué par une suite sur le XIXe siècle – le grand siècle des « Bohémiens ». C'est chose faite aujourd'hui, avec ce livre, une vaste fresque, aussi large dans son cadre que minutieuse dans son détail, documentée à toutes les sources imaginables avec l'érudition encyclopédique qui est celle de M. de Vaux de Foletier sur le peuple de l'errance. Rapports de préfets et de gendarmes, interventions parlementaires, articles de presse, romans, poésies, correspondances, peintures, tout ce qui, entre la Révolution et la guerre de 1914, a dépeint ou évoqué les tsiganes, est ici utilisé, évalué, remis en perspective. Il est aisé de concevoir que la société française du XIXe siècle, bourgeoise, éprise d'ordre et de sécurité, a été, dans son ensemble, aussi peu favorable aux « bohémiens » qu'à tous les autres marginaux et non-conformistes. Les romantiques se sont intéressés à eux pour leur pittoresque et leur exotisme ; mais rares sont ceux qui ont été au-delà d'une curiosité assez superficielle. Cependant, à côté des dénonciations contre l'« immoralité » et la délinquance des nomades, à côté des appels à la répression qui annoncent, surtout à la fin du siècle, les persécutions nazies, il est notable que, de divers côtés, y compris de la part de préfets et de magistrats, se font entendre des opinions plus modérées et plus équitables. M. de Vaux de Foletier cite, à ce propos, une belle page de Flaubert, qui pourrait servir de devise à toutes les ligues contre l'intolérance et le racisme. En même temps, l'intérêt pour les origines, les mœurs, la langue des « bohémiens » s'affirmait, non sans d'abondantes et parfois surprenantes erreurs et fantaisies, dont la moindre n'est pas de faire de ce peuple un vestige de ... l'Atlantide. A partir de 1860 environ, l'arrivée des tsiganes d'Europe centrale, avec leur musique qu'admirait Franz Liszt, suscite un véritable engouement dans la société parisienne – engouement dont, malheureusement, ne profiteront guère les vieux errants traditionnels, vanniers, chaudronniers, saltimbanques et voleurs de poules, de plus en plus pourchassés et interdits de séjour. C'est donc, non seulement à une meilleurs connaissance des tsiganes (dont les « gitans », terme devenu aujourd'hui générique, n'étaient alors qu'une branche, à la frontière espagnole), mais à une profonde réflexion sur le sort des minorités que nous convie M. de Vaux de Foletier." (Michel Duchein, Gazette des Archives, 1982)
Trecis, Ioannem Griffard et Natalem Moreau dit le Coq, 1615, 1 volume in-12 de 110 x 165 mm environ, (1) f., (14) ff. (titre, benevolo lectori, prologus), 326 pages, (7) ff. (index), reliure plein vélin d'époque souple avec titre manuscrit sur le dos. Deux restaurations anciennes avec vélin de même couleur sur chaque plat, quelques pages légèrement brunies, deux annotations XIXè sur la garde blanche et l'intérieur du premier plat, sinon bon état pour cet ouvrage rare.
Par Pierre des Vaux-de-Cernay, mort après 1218 et moine de l'abbaye cistercienne des Vaux-de-Cernay. L'Histoire des Albigeois et l'intervention de Simon de Montfort. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une r0 éférence au sein de notre librairie.
PORT EN BESSIN 1880 une photographie stéréo originale albuminée en noir, format : 17,5 x 8,5 cm, L'ABBATIALE SAINT-ETIENNE A VAUX-SUR-MER , sans date (1880), photographe inconnu,
Superbe Photographie ....... TRÉS RARE ... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Paris EDOUARD PELLETAN 1916 1 Préface d'Emile VERHAEREN. Edition illustrée de 24 paysages de Leysin par LOUIS-VAUX. P., éditions d'art Edouard Pelletan, R. Helleu, libraire-éditeur, 1916, in-12, br. filet d'encadrement marron et vert, médaillon avec un paysage de Louis Vaux, 75 pp.
Poèmes nostalgiques du début du siècle, écrits dans la solitude des montagnes alpestres, à la fois lucides et mélancoliques. Illustrations harmonieuses de Louis VAUX, originaire de Leysin, en Suisse, lieu de retraite ou Marthe DEFOSSE écrivit ses poèmes. Il a également décoré le Carlton Theatre de Londres. Un des 600 ex. sur papier vergé teinté, n°28. déchirures, reports et salissures à la couvertures, large manque au coin inférieur.
1757 Nouveau Mémoire pour servir à l’histoire des Cacouacs Amsterdam 1757. Suivi de: - [GIRY DE VAUX]. Catéchisme et décisions de cas de conscience, à l'usage des Cacouacs; avec un discours du patriarche des Cacouacs, pour la réception d'un nouveau disciple. Cacopolis [Paris?], 1758.
[CHASSE A COURRE - ÉQUIPAGE DE DONATIEN LEVESQUE DE LA FORÊT DE PAIMPONT] Charles DEVAUX DIT BARON DE VAUX
Reference : 26877
(1888)
paris journal "L'EVENEMENT" 1888 -in-12 broché un article paru le 9 et 10 avril 1888 dans le journal "L'ÉVÈNEMENT" découpé en 12 morceaux et collé dans un cahier de 12 pages de papier couleur crème, format in-douze (17 x 11 cm), 1ère de couverture avec titre manuscrit à l'encre brune : "MM. LEVESQUE (Donatien) Evènement du 9/10 Avril 1888" et noté en haut de la 4ème de couverture au crayon à la mine de plomb : "Archives d'Henri CHEGUILLAUME" [Henri CHEGUILLAUME était ingénieur aux pont et Chaussées, on lui doit le Pont TRANSBORDEUR DE NANTES] ... L'article parle de Donatien LEVESQUE GRAND VENEUR (Fils de l'industriel et conserveur Nantais Louis Auguste LEVESQUE), propriétaire de la Forêt de Paimpont (Brocéliandre) chargé de la Direction et de l'Administration de l'EQUIPAGE y chassant le CHEVREUIL, on y décrit le piqueur, la meute de 40 chiens, les prix obtenus à l'exposition canine de Nantes de 1885, on y décrit la race des chiens , les prix obtenus par l'équipage, par quels juges, les technique employées , les boutons, les uniformes de l'Equipage ains que ses différentes qualités etc.. mais surtout le récit d'une chasse à Ancenis chez Mr le Comte de DURFORT, un débuché sur la petite Forêt de LARCHE .... et une célèbre CHASSE A COURRE au CHATEAU DE LA GACHERIE, le 6 Octobre 1884; bois faits par BRANCHEREAU (le piqueur), on retrouve la trace du Cerf en gare de Sucé-sur-Erdre qui franchit les voies et s'engage dans les rues du bourg suivi par la foule des habitants, arrive au pont de l'Erdre et s'engage en direction de CARQUEFOU puis se jette dans la rivière et retourne au Parc du Chateau de la Haye et retourne à son lancer, puis dans le village de MOULINE, le cerf saute dix fois au milieu de cent personnes à vue, c'est un Halali courant d'un quart d'heure. Obstacle imprévu, l'auto du Comte de Paris se trouve en travers de la route et en voulant l'éviter, le cerf s'échoue dans une haie d'épine et y reste accroché. Le cerf est porté dans une carriole jusqu'à La Chapelle-sur-Erdre où les honneurs du pied sont faits à Mme P0YDRAS DE LA LANDE, au joyeux son des fanfares devant un millier de personnes.
trés intéressant Article trouvé dans les Archives de Henri-Auguste-Mathurin CHÉGUILLAUME (1860-1903), Né à Nantes le 20 juin 1860. Comme son père Henri-Auguste Cheguillaume, il entre à lÉcole Polytechnique (1879) et devient ingénieur des Ponts et Chaussées. Chargé en mars 1902 de contrôler la construction du pont transbordeur de Nantes, il meurt avant la fin des travaux. Gendre de lhistorien Alfred Lallié, il a publié quelques travaux historiques et collaboré à la Revue des traditions populaires et, sous le pseudonyme de Penguillon, à lIntermédiaire des chercheurs et curieux ...... Charles Devaux, dit le baron de Vaux : né le 3 septembre 1843 à Bailleul (Nord) et mort le 2 décembre 1915 à Paris, est un cavalier puis écrivain et journaliste sportif français. il a écrit entre autres : VAUX baron de. - L'armorial de la vénerie. Les grands veneurs de France... précédés du Déduit du roi Jean. Paris, Rothschild, 1895 ...... TRÉS RARE ARCHIVE qui sans le travail de Mr de Cheguillaume serait à jamais restée dans l'oubli ...... en trés bel état (good condition). en trés bon état
Guide des recherches généalogiques aux archives nationales. avec une étude sur les recherches biographiques aux archives de la seine par fr. de vaux de foletier. avant-propos de ch. braibant.
Reference : DHF63CC
ISBN : B0000DTMO1
P. Impr. Nat. (Libr. Didier) 1953. Relié D'occasion bon état 01/01/1953 150 pages
Le Puy (Haute-Loire), Badiou-Amant et Peyriller-Rouchon-Gamon,1922, 1 volume in-4 de 295x225 mm environ, 93 pages, demi-percaline vert amande, titres dorés sur pièce de brune. Exemplaire N° 3/16, un des 6 exemplaires sur papier Japon numérotés de 1 à 6, avec un frontispice et deux planches de blasons. Insolé, un coin émoussé, sinon bon état.
Gaston de Jourda de Vaux (1862-1933). Historien et généalogiste, Illustrateur. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une r0 éférence au sein de notre librairie.
che l'auteur, mars 1982. In-4, broché, dos toilé, 106 ff. imprimé au recto, nombr. planches photocopiées.
Bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, C. Marpon et E. Flammarion 1888 Ensemble de 2 volumes. In-4 26 x 16,5 cm. Reliures demi-maroquin rouille à coins, dos à 5 nerfs, titres et dates dorés au dos, têtes dorées, couvertures conservées. Vol. I : Les Femmes de sport. Préface par Henri Houssaye et Lettre de Catulle Mendès, [3] ff., IX pp., [1] ff., VI pp., [1] ff., 187 pp., [2] ff., 22 gravures et vignettes in-texte. édition originale. Tirage à 500 exemplaires numérotés, celui-ci, un des 464 sur papier de Hollande justifié “Au Bon de Vaux” - Vol. II : Les Hommes de sport. Préface par Alexandre Dumas. [4] ff., XXI pp., [1] ff., 336 pp., 18 portraits hors-texte gravés sur Chine, vignettes dans le texte. édition originale. Tirage à 500 exemplaires numérotés, celui-ci, un des 463 sur papier de Hollande. Très bel ensemble. Reliures légèrement frottées, intérieur et planches d’une grande fraîcheur.
Vol. I : Escrime, équitation, patinage, tir à l’arc, vénerie, fauconnerie... les femmes de la haute société. Portraits de quelques-unes d’entre elles, dont les duchesses d’Uzès, de Fitz-James, la vicomtesse Greffulhe, etc. - Vol. II : Tous ces hommes de sport sont cavaliers émérites et chasseurs passionnés, tel l’archiduc Rodolphe dont le portrait ouvre ce volume. D’autres se distinguent dans la pratique d’autres sports : l’escrime, le jeu de Paume, le vélocipède, la pêche à la ligne, le patinage ou le polo. Très bon état d’occasion
1939 Paris : J. Peyronnet & cie 1939,grand in8 broché,couv.ill.,3 p. ß., [5]-286 p., 1 ß. : ill.HT ; 25 cm titre: M. de Vaux Phalipau, Bibliographie: p. [275]-281.
peu courant
Paris, Marpon et Flammarion, Paris, Marpon et Flammarion1883 ; grand in-8, demi-chagrin vert, dos à nerfs avec caissons à guirlandes dor., marque dor. frappée sur le plat, tête dor., non rogné, couverture illustrée en parchemin. (Reliure de l’époque) 2 ff. (titre et fx-titre), 1 f. (dédicace au prince Bibesco), V pp. (lettre du prince Bibesco), IX pp. (préface de Maupassant), 261 pp. - 43 planches hors-texte tirées sur chine.ÉDITION ORIGINALE. Vicaire VII, 983 attribue par erreur les livres signés Baron de Vaux au baron Ludovic de Vaux, l’auteur en 1883 d’un livre sur la Palestine. En réalité il s’agit d’Arthur-Charles Devaux, un ancien sous-officier de cavalerie né en 1843, mort en 1915, qui est devenu journaliste et écrivain sportif après avoir quitté le service en 1866. On lui doit des ouvrages sur les chevaux (il fut brigadier à Saumur), sur l’escrime et sur les femmes et hommes de sport. Après avoir publié Les Hommes d’épée, il s’occupe ici des tireurs au pistolet. “À vrai dire, écrit G. Bibesco dans la lettre en tête, l’étude du pistolet n’offre pas la même attraction que celle de l’épée, mais elle présente des côtés très intéressants qui, sous votre plume habile, ne peuvent pas manquer de prendre le relief qui leur convient.”La préface de Maupassant, intitulée Le Pistolet est un chef-d’œuvre d’humour malicieux : “Mais le pistolet reste et restera un sport d’élite, aimé seulement de quelques-uns. Il ne fait pas maigrir, il ne fait pas digérér, il ne fait pas applaudir ceux qui le pratiquent, comme sont applaudis les tireurs de fleuret (...) puisque le duel est une nécessité stupide imposée par la bêtise humaine, proclamons qu’à notre époque, un seul genre de duel est logique, le duel au pistolet.” Maupassant figure dans la galerie des tireurs (pp. 99-101), mais l’auteur, parlant de sa musculature d’Hercule Farnèse, signale surtout les prouesses de l’auteur de La Maison Tellier à la canne et à la boxe, “comme tireur au pistolet, c’est un fantaisiste, qui fait le carton en s’amusant”. Parmi tous les grands tireurs célébrés ici, les Bibesco, Bossant, Castellane, Dolfuss, Lamberty, Marçay et autres Potocki, Puslowski, Talleyrand... on trouve une femme, une seule, la princesse Marie Gihka : “cette toute gracieuse amazone manie le pistolet non seulement avec grâce, mais avec une sûreté de main très remarquable”. Illustrations dans le texte et 43 planches (portraits, scènes de tir) par divers artistes.Bel ouvrage tiré à 6000 exemplaires numérotés. Un des 550 sur papier de Hollande (n° 428), provenant de la bibliothèque du Cercle de l’Union Artistique (cachets et sigle sur le plat). Ce cercle créé en 1860, a fusionné en 1946 avec le Nouveau Cercle de la rue Royale, puis en 1983 avec le Cercle de l’Union pour former le Nouveau Cercle de l’Union. Ce club masculin très élitiste se trouvait au 288 bd. Saint-Germain.
1915 - In-folio en feuilles - Manuscrits établits par Mr de Vaux Bidon, tirés pour partie des Carrés d'Hozier, de la Bibliothèque Nationale, etc.- 123 pages d'une éciture très lisible
- Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
P., Rouveyre1882; in-8. XXXI-167pp. 27 planches hors-texte et 15 dessins in-texte. Demi-percaline grise. Sans la couverture illustrée en couleurs. Quelques rares rousseurs.
Edition tirée à 650 exemplaires, un des 600 sur papier vergé, illustré de 3 eaux-fortes par F. Oudart et J. Jacquemart, et 24 portraits imprimés sur Chine, les en-têtes, culs-de-lampe et lettrines ont été dessinés par Mesple. L'identité du Baron de Vaux (1843-1915) semble difficile à déterminer : Thiébaud (824) le prénome Charles-Maurice, et son paronyme serait bien de Vaux. Raymond Toole-Scott dans sa bibliographique des ouvrages sur le cirque et les arts qui y sont liés : "Circus and Allied Arts, A World Bibliography," Volume 2, p. 115, lui conserve ce patronyme. Il le signal comme officier de cavalerie de 1860 à 1867, puis journaliste et "reporter sportif" spécialisé dans les courses, l'équitation, le tir, la chasse et l'escrime. Il aurait contribué à de nombreux journaux. Dans cet ouvrage il dresse la physionomie de l'homme d'épée à travers les portraits des meilleurs d'entre eux. Parmi ceux-là on trouve Vigeant, Mimiague, Rouleau, Carolus-Duran, Th. de Grave, Aurélien Scholl, le baron Harden-Hickley, le comte Potocki, le marquis d'Alta-Villa, P. Sohège, Yvan de Woestyne, A. de Saint-Albin, le capitaine Dérué, J.-C. de Maghalaeus, D. Giobergia, M. Pellerin, Armand Silvestre, Léon Chaperon, Henri Fouquier, le baron de Sain Malato...
1934 Sury -en-Vaux, 1934-1936 ; bulletin in-8 agrafé de 8 pp. y compris la couverture en 1934-35, puis de 16pp. + la couverture illustrée en 1936. Nom d'appartenance manuscrit sur les couvertures
Ensemble de 15 bulletins, composé des numéros 1 de la 1ère année ( déc. 1934 - janvier 35) au n° 5 de la 2ème année ( mai 1936). A partir de 1936 le bulletin est imprimé et illustré et non plus ronéoté, et à partir du numéro 2 de février 1936 , il devient le bulletin de Sury et Saint-Gemme . (CH1)
Paris Librairie Ancienne Honoré Champion 1939 in 8 (24x15,5) 1 volume broché, CVII et 305 pages, papier vergé. Pierre des Vaux de Cernay. Tome troisième et dernier seul. Rare. Très bel exemplaire
Très bon Broché
P., Albin Michel, 1957, in-8, br., couv. ill., 294 pp., portrait-frontispice. (DE6)
Joint un article de presse (6 pp.).
Paris, au bureau de la Décade philosophique, littéraire et politique, an XI (1803) in-8, viij pp., 80 pp., broché sous couverture d'attente de papier rose de l'époque.
Deuxième édition de cette instruction qui parut originellement en l'an VIII sous le titre simple de Art de faire le vin. L'ouvrage, proposé comme guide pratique pour la viticulture par le gouvernement consulaire, connut de nombreuses éditions, tant parisiennes que provinciales.Frère puîné de Cadet de Gassicourt, Cadet de Vaux (1743-1828) tint d'abord une pharmacie, puis la quitta pour se livrer à des recherches scientifiques et philanthropiques. Il s'occupa surtout, de concert avec Antoine Parmentier, d'expériences et de publications relatives à la salubrité publique, à la culture des vins, aux aliments économiques. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1 volume in-8° broché, couvertire illustrée à rabats, 307 p., 20 illustrations. Quelques rousseurs sur la tranche sinon très bon état d'occasion. Bon de commande et prospectus de présentation joint.
Phone number : 06.31.29.75.65
Rio de Janeiro, Au siège central de l'église positiviste du Brésil, 1916-1918, 3 tomes en 4 vol. in-16, demi-basane blonde, dos à 5 petits nerfs ornés de pointillés dorés, couv. cons. (rel. de l'ép). (L.60)
Seconde édition en français, "traduction, avec des amendements et des additions de la primitive édition, en portugais, de décembre 1900." "Édition définitive". Sous-titre des tomes 1 et 2 : "Souvenir filial du centenaire de la naissance de Clotilde (3 avril 1815-3 avril 1915)". - Tome 1 : 614+32 (pagination 512.1 à 512.32)-XIV pp. 67 hors-textes, 9 planches dépliantes et 28 pp. de fac-similés. Second plat de couv. ill. en vert. - Tome 2.1 : XXXII-966+48 (689.1 à 689.48)-XXIV pp. 3 hors-textes, 6 planches dépliantes et 10 pp. de fac-similés. - Tome 2.2 : CL-(1)-660-XXV pp. 1 hors-texte, 5 planches dépliantes et 26 pp. de fac-si milés. Sous-titre du tome 3 : "L'Année sans pareille [avril 1845-avril 1846]. Méditation religieuse de l'incomparable union à laquelle les fondateurs du positivisme durent l'accomplissement de leur mission". - Tome 3 : XVI-(7)-(f. de titre)-1166+4 (932.1 à 932.4) pp. 72 hors-texte, 21 planches dépliantes et 66 pp. de fac-similés. Erreur typographique : p. 713 "seconde partie" écrit en haut de page au lieu de "troisième partie" ; p. 917 "Péilogue" pour épilogue". Impressionnante somme, abondamment documen tée et illustrée, rassemblée par Raymundo Teixeira Mendes sur "notre Maître [A. Comte] et ses Trois Anges" (Clotilde de Vaux, Rosalie Boyer, mère du philosophe et Sophie Bliaux, sa fille adoptive). Petites épidermures.
P., IBM/Club Archéologique/Comité d'Établissement Paris Banlieue, 1976, in-4, br., 12 pp. ronéotées au recto, ill. (SC71C)
Rapport de fouilles, campagne 1976.