MAIRIE DE WY-DIT-JOLI-VILLAGE. Juin 1987. In-8. Broché. Très bon état, Couv. fraîche, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages illustrées de photos en noir et blanc, dans le texte et hors-texte.. . . . Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise
Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise
VASSEUR Roland et WARO Françoise - DUPAQUIER Jacques - FORT Léon - VALLET Pierre - DARDEL Louis
Reference : QWA-10414
Société Historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, 1987, in-8 br., 245 p., illustrations, état de neuf.
Numéro largement consacré à Omerville (pp. 1-112). Voir le sommaire complet sur photos jointes.
Pontoise, Société historique et archéologique de Pontoise, 1992, in-8°, 394 pp, (sur 471), 4 pl. en couleurs hors texte, 322 photos, fac-similés et croquis, broché, couv. illustrée, bon état (Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, tome LXXVI, 1990-1991)
Le même volume contient également les Actes du colloque Noël Taillepied -1989 (64 pp, 16 photos), une étude de Jacques Picard (La peste au village en 1596) et un compte-rendu par Marcel Lachiver.
Editions du Valhermeil, 1995, in-4 br. (20,5 x 28), 426 p., préface de Marcel Lachiver, nombreuses illustrations en n. et b. et en coul., très bon état.
Magny-en-Vexin a gardé une extraordinaire parure architecturale, qui englobe aussi bien des caves du XIIIe siècle que des bâtiments des XVe, XVe, XVIIe et XVIIIe siècles, et, surtout, le plus bel ensemble en Val-d’Oise de façades du XIXe siècle. Ce remarquable patrimoine, jusqu’alors à peu près totalement préservé et, on s’en doute, le reflet d’une histoire et d’une société. Histoire marquée dans sa topographie par la présence d’un certain nombre de seigneurs, mais surtout par le rôle que la petite ville fut amenée à jouer. Un rôle économique de premier plan, lié à sa position centrale sur la route Paris-Rouen et à la présence de l’Aubette, et le rôle administratif qui revenait à tout chef-lieu de baillage. Ainsi s’explique la prolifération des aubergistes, des commerçants, des artisans, ceux du cuir en particulier, et celle des gens de justice, dont la réussite sociale se lit dans l’habitat. Ce qui n’empêchait pas le bourg d’avoir des côtés très ruraux : animaux et tas de fumier étaient un spectacle courant, au même titre que les altercations dont la rue et les auberges étaient souvent le théâtre, et les intérieurs populaires y ressemblaient fort à ceux des campagnes environnantes. La Révolution marque une première rupture : sil la ville, déclinant quelque peu, garde ses fonctions administratives et marchandes, elle doit faire face aux réquisitions et aux mesures nouvelles, mais aussi commencer à faire l’apprentissage de la démocratie. Un travail de longue haleine qui se poursuit au XIXe siècle, époque de mutations importantes. Magny est alors investie par les rentiers, tandis que les activités séculaires déclinent au profit d’une fabrication de chaises réputée, et que le chemin de fer l’ouvre vers l’extérieur. Cette étude offre donc un éclairage neuf sur les réalités et la vie quotidienne d’une petite ville du Vexin français, ville-étape, ville de contact entre l’Ille-de-France et la Normandie, passage obligé pour approvisionner la capitale. Les deux auteurs l’ont conçue, comme leurs autres ouvrages, selon une approche originale qui leur avait valu, en 1992, le prix Sully-Ollivier de Serres pour leur livre sur Genainville. C’est-à-dire comme une approche globale de l’Histoire, mêlant étroitement tous les témoins du passé, de l’architecture aux documents de toute nature, et accordant une grande place à la présentation et à l’illustration. Voir le sommaire sur photos jointes.